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29/02/2016

le modèle islandais

Le pays a connu une crise beaucoup plus violente que les autres pays européens du fait de la démesure de son système financier lors de l’éclatement de la crise des subprimes. Mais face à une telle situation, l’Islande a pris des mesures très différentes des autres pays européens, quitte à provoquer de vives tensions avec certains d'entre eux (leurs avoirs n'ayant pas été remboursés à la suite d'un référendum en Islande). «A la différence des autres pays heurtés par la crise, l’Islande a laissé ses banques faire faillite, ne préservant que les comptes des ménages résidents. Les étrangers qui avaient placé leur argent dans les banques du pays ont tout perdu lorsque ces banques ont fait faillite. Ailleurs, dans le reste de l'Europe, de nombreuses banques ont été nationalisées car il n’était pas concevable qu’elles puissent faire faillite», rappelait l’Express en 2015.

Le pays a mené une politique mêlant contrôle des capitaux (une idée mal vue en Union Européenne), austérité budgétaire mais aussi hausse des impôts et surtout dévaluation importante de sa monnaie (60%) qui a entraîné une importante inflation, aujourd'hui maîtrisée... et une reprise de la croissance. Résultat, Reykjavik n’a pas sacrifié sa politique sociale et le FMI a été totalement remboursé de ses avances financières. Cette politique a fonctionné, moins d’entreprises ont fait faillite et il n’y a pas eu d’exode des jeunes comme au Portugal, Espagne ou Irlande. 

28/02/2016

maintenant un UPR belge !

http://mib-pib.jimdo.com/

27/02/2016

l'Etat d'urgence qu'on appelle ça

3.335 "perquisitions" on nous dit , c'est à dire 3.335 appartement intentionnellement dévastés par des "loubards" en uniformes (mais les casseurs ne seront pas les payeurs) 3.335 portes défoncée avant que les gens n'aient eu le  temps d'ouvrir et non indemnisées.

3.335 personnes financièrement ruinés et sans recours, et combien d'enfants traumatisés à vie d'avoir vécu ça ?

Les dérives de l’état d’urgence se multiplient en France | histoireetsociete

24/02/2016

Wisława Szymborska - kato en malplena domo

« Se ŝi nur revenus,
Se ŝi nur aperus. »
non, je ne ferais pas comme la chat dans la malplena domo, « sur tre ofenditaj piedetoj », je ne ferais pas de manières, je lui sauterais tout de suite au cou .........

 



23/02/2016

"accompagnement" qu'ils disent

De nos jours dans les sociétés et les régimes du type de ceux que nous connaissons actuellement c'est la grand mode de parler rituellement d' «accompagnement » des gens qui meurent, de les « accompagner » dans leur « fin de vie » (comme celle dont on parle pour les ampoules à incandescence et autres produits à obsolescence programmée ? ). Puante verbosité hypocrite de cyniques égoïstes psychanalysés, membre de la Secte des Adorateurs de la mort ! Ils meurent pas les "accompagnants" ! ils restent bien tranquillement vivants, et conscients. Et visiblement ils n'ont pas beaucoup de chagrin (de toutes façons dans notre société/idéologie actuelle le chagrin est tabou et interdit par la loi ! http://miiraslimake.over-blog.com/article-639302.html ….) Ouvrez votre dictionnaire, et votre bon sens, et votre conscience morale, et existentielle, la seule façon d'accompagner un mourant c'est comme dans la nouvelle de Tennesee Williams : http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/11/01/un-mauvais-pelerinage-de-la-chair-5400987.html
ou comme André Gorz et sa femme, ou comme cet anonyme couple du Nord, dont on a parlé sur La Voix du Nord une fois, ans les années 60, dont l'un d'eux avait une maladie mortelle et incurable, ils se sont tous les deux rendu en bordure d'un canal et ont précipité la voiture dans la canal. Ou tous ces couples de vieillards, ou ces chiens après la mort de leur maître, dont l'un suit la mort de l'autre par abattement  et par chagrin.
Ça oui on peut appeler ça accompagner un mourant, mais autrement non, c'est l'égoïsme de la « société lisse » dont parle Zygmunt Bauman, maquillé en idéologie elle-même maquillée en phraséologie (Comme tout, d'ailleurs ! dans la puante et faisandée société Libéral-fasciste actuelle).

 

deux autre liens sur des sujets ayant queuque rapport : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2015/06/10/a-propos-de-vincent-lambert-5637612.html

http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/12/31/vis...



18/02/2016

un journaliste qui dénonce un mensonge du gouvernement on le traite de complotiste, etc !

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14/02/2016

hallucinant - installation du totalitarisme en France

Hallucinant ! horrifiant, glaçant, dans quelle société vivons-nous ?! lisez les termes de cette information journalistique :

"Fin de l'alerte enlèvement : M** et sa mère retrouvées saines et sauves
La fillette de 4 mois et demi et sa mère qui l'avait enlevée jeudi ont été retrouvées saines et sauves samedi vers 1 heure 15 à Ph*******, en Moselle.
avec AFP.
Publié le 19/04/2014 | 07:41, mis à jour le 19/04/2014 | 12:53"
l' « enlèvement » (un enfant avec sa mère !!!!! le choix de ce mot est hautement révèlateur, l'Etat est devenu le SEUL et UNIQUE PROPRIETAIRE des enfants, leurs parents n'existent plus, les familles, leur propre liberté:  NEANT !
l'ETAT !!! l'ETAT !!! Dieu; PCUS totalitaire (représenté concrètement par des apparatchiks(-esses) et personnes physiques avec leurs réactions épidermiques et idéologiques)

"La mère, le père, le bébé, ainsi qu’un autre enfant du couple âgé de 15 ans ont été interpellés (!) alors qu’ils circulaient à bord d’un véhicule, samedi 19 avril 2014 vers 1 heure 15. Le bébé est manifestement en forme." (et pourquoi il ne le serait pas ? sales cons de "curés" à la mode de maintenant qui se croient les seuls êtres pensants de la terre !),
La Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) avait annoncé auparavant dans un communiqué que l’enfant avait été retrouvée saine et sauve (sic) et que l’alerte enlèvement (resic) avait été levée, sans plus de précision. "A priori, le véhicule redescendait vers Nancy. Ils ont été interceptés par un barrage routier. L’interpellation s’est déroulée de manière très tranquille", a expliqué le directeur du service régional de police judiciaire de Nancy, Alain Couic. La mère et le père, également déficient mental, ont été emmenés dans les locaux de la gendarmerie de Phalsbourg pour être entendus, a-t-il ajouté.

Mia retrouvée saine et sauve, ses parents arrêtés ( !!!!! ce qui veut dire qu'on lui a enlevé ses parents !)

La justice avait déclenché
vendredi 18 avril en début d’après-midi une alerte enlèvement après la disparition de la fillette de 4 mois et demi, enlevée jeudi soir par sa mère dans un "centre maternel" de Nancy où elles résidaient toutes les deux. Les enquêteurs avaient fait part de "moyens très importants", d’un "dispositif très lourd" et de "recherches tous azimuts" pour retrouver la mère et son enfant, dont la santé est fragile.

La mère, une jeune femme de 36 ans prénommée B******, était montée avec son bébé dans une voiture vers 23 heures, jeudi, à la sortie du centre, et n’avait plus été revue. "Elle a pris la décision de partir dans la nuit, sans rien dire
", (comme tout citoyen d’un pays libre) avait indiqué le procureur, alors que les enquêteurs s’interrogeaient sur le rôle joué par le père de l’enfant (le rôle d'un père peut-être tout bonnement ?).

Le nourrisson, né le 23 novembre, avait été placé quelques semaines plus tard
sur la décision d’un juge des enfants de B**** (Meurthe-et-Moselle). "La mère n’en avait donc pas juridiquement la garde", avait souligné le procureur, en précisant que cette femme a quatre autres enfants, trois placés et un quatrième résidant chez un oncle.

Les services de la police judiciaire de Nancy, de la sécurité publique et de la sûreté départementale avaient été mobilisés dès que l’alerte avait été donnée par le centre maternel, jeudi vers 23 heures 45, ainsi que la direction centrale de la police judiciaire et l’office central de la répression des violences faites aux personnes, chargé de synthétiser les renseignements collectés grâce à l’alerte enlèvement.

Les polices judiciaires belge et luxembourgeoise avaient également été mobilisées, alors que les enquêteurs avaient fait part de leurs craintes la mère ne parte à l’étranger avec l’enfant.

Le Conseil général de Meurthe-et-Moselle, qui gère le centre maternel A***-L***** de Nancy où l’enlèvement (sic !) a eu lieu, a indiqué que cette structure permettait l’accueil
"permettre l'accueil" (sic!) pas l'acceuil l'enfermement, la preuve !!
des femmes enceintes et des mères isolées avec enfants de moins de 3 ans, "qui ont besoin d’un soutien matériel et psychologique, en chambre individuelle ou appartement".

"Il s’agit d’un dispositif d’accompagnement, sans restriction de sorties ou d’entrées", a-t-il précisé dans un communiqué. Bien que la mère n’ait plus la garde de son bébé, le juge des enfants qui avait pris cette décision avait estimé opportun de conserver le lien physique entre la maman et le bambin au sein de cette structure.

C’est la treizième fois que le plan "Alerte enlèvement" est déclenché en France. Ce dispositif d’alerte massive et immédiate déployé pour aider à la recherche d’un enfant présumé enlevé avait été déclenché pour la dernière fois en décembre 2012 quand un bébé de 2 jours, enlevé (vraiment enlevé ou parti en vacances avec ses parents ?) également à Nancy, avait été retrouvé moins de 24 heures plus tard"

 

(ceci dit envers les pères c'est encore pire - et l'égalité de tous devant la loi elle est ou ?! -un père qui part avec son enfant les jurnalopes appellent ça tout de suite "enlevé". Oui, c'est cela, c'est cela  ....)

INSTALLATION DU TOTALITARISME EN FRANCE

"Il y a quatre ans les pouvoirs publics tentaient de désigner, dès la crèche et l’école maternelle, les bébés supposés devenir délinquants. 

Aujourd’hui encore, face aux difficultés des enfants et des familles, les réponses stigmatisantes et coercitives sont privilégiées:

• Les mesures de contrôle et de surveillance des parents en difficulté sont renforcées.

• Le secret professionnel dans le cadre de la prise en charge des familles est mis à bas au titre de la loi de prévention de la délinquance de 2007.

• Les mineurs sont fichés : avec le fichier base-élèves, le parcours scolaire de tous les enfants sera conservé pendant 35 ans ; et dès 13 ans les mineurs qui seront a priori soupçonnés de vouloir commettre un acte répréhensible seront inscrits dans le nouveau fichier Edvige.

• La suppression du Défenseur des enfants est annoncée, au moment des célébrations du 20ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant.

Cette volonté de contrôle de l’enfance se manifeste également dans la mise en place de certaines pratiques professionnelles. Le projecteur n’est plus braqué seulement sur le dépistage prédictif des jeunes enfants turbulents (bref être un enfant turbulent est devenu un crime !!). La focale s’est élargie à tous les enfants à travers des programmes dits de "promotion de la santé mentale" dès 24 mois.
"

13/02/2016

"centres d'affaires"

13/2/2013 On ne crée plus partout que des « Centres d'Affaires » ! faire des affaires à vendre des biens ou des services; mais les biens, qui les fabrique ?? les services qui les effectue ?? et où ?
Ils prétendent faire vivre leur ville, leurs gens, comme des
parasites s'engraissant sur le travail des autres !! Ils oublient que les débouchés en qualité d'animal prédateur et/ou parasitaire ça reste limité !

09/02/2016

les aberrations des calotins actuels !

 

http://www.sudouest.fr/2016/02/08/sablonceaux-17-l-agricu...

08/02/2016

que plusieurs députés bavardent ou jouent sur leur téléphone, pendant que la question du référendum est posée en séance plénière, témoigne de l’IMPUDENCE et du MEPRIS de ces élus. Ils n’ont plus aucune réflexion personnelle ni conscience démocratique

Il n'y aura pas de référendum en Autriche; coup de pied méprisant de la classe politique autrichienne à son peuple

== UNE VIDÉO À PARTAGER EN MASSE == LE PARLEMENT AUTRICHIEN REFUSE D’ORGANISER LE RÉFÉRENDUM SUR LA SORTIE DE L’AUTRICHE DE L’UNION EUROPÉENNE QUI AVAIT ÉTÉ DEMANDÉ PAR UNE PÉTITION SIGNÉE PAR PLUS DE 260 000 CITOYENS.

(vu la population de l'Autriche, c'est comme si en France plus d'1 millions de personnes avaient signé)


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Le 3 juillet dernier, j’avais relayé une information très intéressante, complètement passée sous silence par les grands médias français, concernant l’Autriche. À savoir que, suite à une initiative lancée par des citoyens autrichiens hors parti, une pétition avait réuni les signatures – dûment enregistrées en mairie – de 261 159 citoyens autrichiens (soit 4,12% de l’électorat du pays) pour demander la sortie de l’Union européenne et l’organisation d’un référendum sur la question. (cf. http://www.upr.fr/…/referendum-sur-la-sortie-de-leuro-apres… )
À la différence de la Suisse - où une pétition recueillant le quota requis entraîne obligatoirement l’organisation d’un référendum -, le parlement conserve, en Autriche, le pouvoir souverain de donner suite ou pas à la demande de référendum d’une pétition citoyenne. Comme je l’avais alors précisé, le parlement de Vienne se voyait donc désormais contraint par la Constitution autrichienne d’étudier officiellement cette demande, afin de décider si cette pétition justifiait ou non l’organisation d’un référendum.
Les grands médias français, qui avaient gardé le silence le plus total sur cette demande, ont aussi gardé le silence complet sur la façon dont la procédure s’est ensuite déroulée et sur la décision, prise il y a quelques jours par le parlement autrichien, d’enterrer purement et simplement la demande de référendum.
C'est la raison pour laquelle je crois utile que l’UPR relaye cette information et les détails qui l’accompagnent.
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UNE VIDÉO À REGARDER ET À PARTAGER EN MASSE
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Pour cela, je ne peux pas mieux faire que renvoyer les lecteurs au visionnage du site Internet autrichien qui relaie régulièrement et de manière synthétique les faits et gestes de l’Initiative citoyenne de demande de referendum sur la sortie de l´UE de l´Autriche.
Une vidéo du 29 janvier dernier vient tout juste d’y être publiée – AVEC TRADUCTION EN LANGUE FRANÇAISE - et je conseille très vivement à mes lecteurs de la regarder (elle ne dure que 12’28’’). En voici le lien : https://www.klagemauer.tv/index.php?a=showportal&keyw...
(J’en profite pour remercier notre jeune adhérent, Maximilien, qui a vécu une dizaine d’années à Vienne (Wien), né de père français et de mère autrichienne et qui parle un allemand parfait, car c’est lui qui m’a signalé ce lien.)
Le visionnage de cette vidéo révèle plusieurs choses très intéressantes :
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a)- on y voit Mme Inge Rauscher, porte-parole de l'Initiative populaire autrichienne pour la sortie de l'Europe, lancer un appel aux 183 députés du Conseil national devant lesquels elle avait été autorisée à s’exprimer. Elle leur a lancé les fortes paroles suivantes : « Saisissez la séance plénière de demain pour le renouvellement d'une Autriche libre, neutre et indépendante de Bruxelles et de Washington ! Renoncez à vous soumettre au club et ayez le courage de décider d'un référendum sur une sortie de l'UE ! ».
Ces propos permettent de voir que la soumission complète de l’Union européenne à Washington est parfaitement perçue par les citoyens autrichiens qui ont signé la pétition.
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b)- on mesure aussi, à plusieurs interventions, à quel point le souhait des Autrichiens favorables à la sortie de l’UE est corrélé à leur soif de liberté et d’indépendance nationale, mais aussi à leur volonté de rester dans un pays neutre, non assujetti à l’OTAN.
Je rappelle en effet que l’Autriche a proclamé sa neutralité par un Traité d'État du 15 mai 1955 et qu’elle entend officiellement rester depuis lors à l’écart de tout bloc militaire, et notamment de l’OTAN. Or, comme le savent les lecteurs des analyses de l’UPR, l’article 42 du TUE entraîne l’Autriche, au corps défendant de ses citoyens, dans des alliances qui nous conduisent tout droit à la guerre.
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c)- la remarque précédente permet de réaliser aussi que les motivations des Autrichiens qui souhaitent quitter l’UE, si elles recoupent les nôtres pour une très large part, ne les recoupent pas totalement.
Ni l’UPR ni la très grande majorité des Français ne souhaitent que la France proclame officiellement sa neutralité dans toute action militaire que ce soit. Ce serait d'une part incompatible avec notre statut de grande puissance afférent à notre siège permanent au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Ce serait d'autre part faire de la France une pièce de musée et non plus un acteur de l’histoire. Ce serait enfin risquer de désarmer la France face aux menaces extérieures, qui sont beaucoup plus présentes et fortes que sur la petite Autriche enclavée et sans responsabilité mondiale.
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d)- la vidéo nous révèle également à quel point les députés des grands partis autrichiens sont aussi méprisants et déconnectés de l’opinion de leur peuple que le sont les députés de LR, du MODEM ou du PS.
Le fait que plusieurs députés bavardent entre eux ou jouent sur leur téléphone portable, pendant que la question de l’organisation du référendum est posée en séance plénière dans l’hémicycle, témoigne à la fois de l’impudence et du mépris de ces élus. Ils n’ont plus aucune réflexion personnelle ni conscience démocratique, ils ne font qu’appliquer à la sauvette les instructions de vote des appareils politiques européistes auxquels ils appartiennent.
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e) enfin, il est très intéressant de noter à quel point les grands médias autrichiens sont aussi verrouillés que les grands médias français.
Cette vidéo nous informe en effet que la pétition citoyenne pour la sortie de l’UE est parvenue à atteindre plus de 260 000 signatures représentant plus de 4% des électeurs autrichiens, et cela sans que les grands médias du pays n’en parlent à peu près jamais.
Cette dernière remarque constitue une nouvelle preuve que le verrouillage médiatique qui est opposé à l’UPR en France n’est pas de notre faute.
Contrairement à ce qu’affirment certains critiques, notre absence des grands médias ne résulte pas du fait que nous ne « saurions pas comment nous y prendre avec les journalistes ». Car les citoyens autrichiens qui veulent faire sortir leur pays de l’UE ont été confrontés au même verrouillage. De même que nos partenaires de l’EPAM en Grèce ou de l’IPU en Finlande, qui se heurtent, eux aussi, au silence quasiment total des médias.
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CONCLUSION
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L’exemple autrichien nous prouve, hélas, que la chape de plomb des médias contre tout mouvement qui essaye de faire sortir un pays de l’Union européenne n’est pas une spécificité française : cette chape de plomb et d’intimidation s’est abattue sur tout le continent, Royaume-Uni excepté.
Toutes ces informations venues d’Autriche nous confirment que ce n’est pas seulement la France mais tous les peuples d’Europe qui sont concernés. L’Union européenne est bel et bien une entreprise totalitaire, liberticide et belliciste, qui a transformé le continent européen en une prison des peuples.
Toute l’Histoire de l’Europe est là pour nous apprendre que cette prise de conscience est le prélude à l’effondrement de cette entreprise dictatoriale et inhumaine.
François ASSELINEAU
7 février 2016

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