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14/02/2016

hallucinant - installation du totalitarisme en France

Hallucinant ! horrifiant, glaçant, dans quelle société vivons-nous ?! lisez les termes de cette information journalistique :

"Fin de l'alerte enlèvement : M** et sa mère retrouvées saines et sauves
La fillette de 4 mois et demi et sa mère qui l'avait enlevée jeudi ont été retrouvées saines et sauves samedi vers 1 heure 15 à Ph*******, en Moselle.
avec AFP.
Publié le 19/04/2014 | 07:41, mis à jour le 19/04/2014 | 12:53"
l' « enlèvement » (un enfant avec sa mère !!!!! le choix de ce mot est hautement révèlateur, l'Etat est devenu le SEUL et UNIQUE PROPRIETAIRE des enfants, leurs parents n'existent plus, les familles, leur propre liberté:  NEANT !
l'ETAT !!! l'ETAT !!! Dieu; PCUS totalitaire (représenté concrètement par des apparatchiks(-esses) et personnes physiques avec leurs réactions épidermiques et idéologiques)

"La mère, le père, le bébé, ainsi qu’un autre enfant du couple âgé de 15 ans ont été interpellés (!) alors qu’ils circulaient à bord d’un véhicule, samedi 19 avril 2014 vers 1 heure 15. Le bébé est manifestement en forme." (et pourquoi il ne le serait pas ? sales cons de "curés" à la mode de maintenant qui se croient les seuls êtres pensants de la terre !),
La Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) avait annoncé auparavant dans un communiqué que l’enfant avait été retrouvée saine et sauve (sic) et que l’alerte enlèvement (resic) avait été levée, sans plus de précision. "A priori, le véhicule redescendait vers Nancy. Ils ont été interceptés par un barrage routier. L’interpellation s’est déroulée de manière très tranquille", a expliqué le directeur du service régional de police judiciaire de Nancy, Alain Couic. La mère et le père, également déficient mental, ont été emmenés dans les locaux de la gendarmerie de Phalsbourg pour être entendus, a-t-il ajouté.

Mia retrouvée saine et sauve, ses parents arrêtés ( !!!!! ce qui veut dire qu'on lui a enlevé ses parents !)

La justice avait déclenché
vendredi 18 avril en début d’après-midi une alerte enlèvement après la disparition de la fillette de 4 mois et demi, enlevée jeudi soir par sa mère dans un "centre maternel" de Nancy où elles résidaient toutes les deux. Les enquêteurs avaient fait part de "moyens très importants", d’un "dispositif très lourd" et de "recherches tous azimuts" pour retrouver la mère et son enfant, dont la santé est fragile.

La mère, une jeune femme de 36 ans prénommée B******, était montée avec son bébé dans une voiture vers 23 heures, jeudi, à la sortie du centre, et n’avait plus été revue. "Elle a pris la décision de partir dans la nuit, sans rien dire
", (comme tout citoyen d’un pays libre) avait indiqué le procureur, alors que les enquêteurs s’interrogeaient sur le rôle joué par le père de l’enfant (le rôle d'un père peut-être tout bonnement ?).

Le nourrisson, né le 23 novembre, avait été placé quelques semaines plus tard
sur la décision d’un juge des enfants de B**** (Meurthe-et-Moselle). "La mère n’en avait donc pas juridiquement la garde", avait souligné le procureur, en précisant que cette femme a quatre autres enfants, trois placés et un quatrième résidant chez un oncle.

Les services de la police judiciaire de Nancy, de la sécurité publique et de la sûreté départementale avaient été mobilisés dès que l’alerte avait été donnée par le centre maternel, jeudi vers 23 heures 45, ainsi que la direction centrale de la police judiciaire et l’office central de la répression des violences faites aux personnes, chargé de synthétiser les renseignements collectés grâce à l’alerte enlèvement.

Les polices judiciaires belge et luxembourgeoise avaient également été mobilisées, alors que les enquêteurs avaient fait part de leurs craintes la mère ne parte à l’étranger avec l’enfant.

Le Conseil général de Meurthe-et-Moselle, qui gère le centre maternel A***-L***** de Nancy où l’enlèvement (sic !) a eu lieu, a indiqué que cette structure permettait l’accueil
"permettre l'accueil" (sic!) pas l'acceuil l'enfermement, la preuve !!
des femmes enceintes et des mères isolées avec enfants de moins de 3 ans, "qui ont besoin d’un soutien matériel et psychologique, en chambre individuelle ou appartement".

"Il s’agit d’un dispositif d’accompagnement, sans restriction de sorties ou d’entrées", a-t-il précisé dans un communiqué. Bien que la mère n’ait plus la garde de son bébé, le juge des enfants qui avait pris cette décision avait estimé opportun de conserver le lien physique entre la maman et le bambin au sein de cette structure.

C’est la treizième fois que le plan "Alerte enlèvement" est déclenché en France. Ce dispositif d’alerte massive et immédiate déployé pour aider à la recherche d’un enfant présumé enlevé avait été déclenché pour la dernière fois en décembre 2012 quand un bébé de 2 jours, enlevé (vraiment enlevé ou parti en vacances avec ses parents ?) également à Nancy, avait été retrouvé moins de 24 heures plus tard"

 

(ceci dit envers les pères c'est encore pire - et l'égalité de tous devant la loi elle est ou ?! -un père qui part avec son enfant les jurnalopes appellent ça tout de suite "enlevé". Oui, c'est cela, c'est cela  ....)

INSTALLATION DU TOTALITARISME EN FRANCE

"Il y a quatre ans les pouvoirs publics tentaient de désigner, dès la crèche et l’école maternelle, les bébés supposés devenir délinquants. 

Aujourd’hui encore, face aux difficultés des enfants et des familles, les réponses stigmatisantes et coercitives sont privilégiées:

• Les mesures de contrôle et de surveillance des parents en difficulté sont renforcées.

• Le secret professionnel dans le cadre de la prise en charge des familles est mis à bas au titre de la loi de prévention de la délinquance de 2007.

• Les mineurs sont fichés : avec le fichier base-élèves, le parcours scolaire de tous les enfants sera conservé pendant 35 ans ; et dès 13 ans les mineurs qui seront a priori soupçonnés de vouloir commettre un acte répréhensible seront inscrits dans le nouveau fichier Edvige.

• La suppression du Défenseur des enfants est annoncée, au moment des célébrations du 20ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant.

Cette volonté de contrôle de l’enfance se manifeste également dans la mise en place de certaines pratiques professionnelles. Le projecteur n’est plus braqué seulement sur le dépistage prédictif des jeunes enfants turbulents (bref être un enfant turbulent est devenu un crime !!). La focale s’est élargie à tous les enfants à travers des programmes dits de "promotion de la santé mentale" dès 24 mois.
"

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