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04/05/2015

le formidable accroissement de cas d'autisme depuis 20 ans est du aux vaccins. L'industrie pharmaceutique essaye de censurer les études qui le montrent, et imposent aux parents l'obligation de vacciner !!!

Le 12 avril dernier, le Premier ministre australien conservateur Tony Abbott a menacé de supprimer les allocations familiales aux parents qui refuseraient de faire vacciner leurs enfants. Une proposition qui devrait être adoptée par le Parlement en 2016, d’autant plus que l’opposition travailliste y apporte pleinement son soutien.

Actuellement, les parents australiens refusant la vaccination peuvent opposer une objection de conscience tout en continuant à percevoir leurs allocations familiales. Mais dans un communiqué, signé avec Scott Morrison, ministre des Services sociaux, le Premier ministre a annoncé :

« Pas de piqûre, pas d’argent. C’est une importante mesure de santé publique. Il est très important que nos familles et nos enfants soient le plus en sécurité possible. Ce choix de ne pas immuniser ses enfants n’a aucun fondement médical et ne devrait pas être soutenu par les contribuables. »

Les parents en question craignent que la vaccination ROR (rougeole, oreillons et rubéole) ne provoque l’autisme. En effet, une étude du gastroentérologue britannique Andrew Wakefield, publiée en 1998 dans la prestigieuse revue internationale de médecine générale The Lancet, avait établi un lien entre la généralisation de la vaccination et l’explosion de l’autisme. Après une levée de bouclier de l’industrie pharmaceutique, dont 20 % du chiffre d’affaire est réalisé par la vente de vaccins, l’étude a finalement été retirée des archive de The Lancet en février 2010, un fait rarissime.

Dans un silence général, une trentaine d’études ont depuis validé les travaux d’Andrew Wakefield. Mais le sujet reste un tabou dans les milieux scientifiques. Pour avoir évoqué ne serait-ce que « l’existence d’une coïncidence temporelle entre le déclenchement d’un autisme chez l’enfant et l’injection d’un vaccin » (Libération, 8 octobre 2012), le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine 2008, s’était vu refuser la présidence d’un laboratoire au Cameroun en 2012.

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