Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/06/2014

super Rougeyron !



il ne lui manque qu'une chose, c'est les méthodes d'analyse marxiste - c'est à dire le bon sens même ! - les intérêts de classe et les idéologies et plans qu'elles suscitent, à l'origine, de toute la dérive néo-libérale qu'il décrit et dénonce avec pertinence. Il refuse (quoique l'on sent qu'an fond de lui c'est ce qui le motive, mais il ne veut pas le dire !) la perspective morale; ce qui pourtant doit être l'essentiel pour choisir quels doivent les bons principes pour guider une économie politique.
et pourtant par exemple ce que montre le graphique de la dette, la conclusion est simple : c'est un racket mafieux ! tout simplement. Les financiers sont de voleurs de grand chemins. Ils l'ont toujours été; et la dette est, comme elle l'était déjà entre les peons et padrones méxicains, un instrument intentionnel, de mise en esclavage, tel est le but.
Sans ça, et les ressorts psychologiques des possédants, des prédateurs viscéraux, et des impérialistes, on se demande pourquoi ils ont bien inventé toute cette idéologie néo-libérale et leur rage revancharde contre le peuple et contre l'intérêt général !
Bon, ceci dit, c'est vrai qu'avec Rougeyron on comprend les mécanismes de notre asservissement, et quels sont les principes à rétablir, d'URGENCE ! (d'ailleurs il y a un extrait de François Asselineau, ce qui montre que Rougeyron a compris quel est le chemin, qui peut seul nous sauver)

 

*

Les commentaires sont fermés.