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le vrai fossé entre civilisations c'est celui-là

24/2/2010 On dirait que la bourgeoisie dans tous les pays c’est partout pareil. Ca donne raison à Karl Marx : les mentalités de classe, et les conditions matérielles de vie (qui sont déterminées AUSSI par l’ambiance créée par une certaine civilisation et les modes de vies entraînés, comme le mode de vie bourgeois moderne actuel par exemple) déterminent les idées, les sentiments, les réactions, les discours même et les modes d’être et de pensée des gens.
Je viens de voir un film iranien – La fête du feu de Asghar Fahad - (Dieu sait si les ethnocentriques fanatisés par les médias et bornés occidentaux s’imaginent les iraniens différents !! ) qui se déroule parmi des bourgeois iraniens de Téhéran, qui vivent des déchirements « de couple » : c’est fou, non seulement à quel point comme me l’avait déjà dit la personne avec qui j’avais fait le voyage en Ouzbékistan, l’Iran c’est moderne, plein de bagnoles, tout le monde habillé à l’occidentale (à part le tchador que les femmes doivent enfiler pour sortir dans la rue, c’est la seule différence) les immeubles des buildings ultra-modernes, etc, (pas du tout comme l’Ouzbékistan qui est resté encore très traditionnel, lui), mais à quel point c’est exactement comme en France; à part quelques détails « iraniens », mais c’est marginal, pour 98% le décor, le mode de vie, le mode de réactions, tout est exactement comme chez les "bourges" français, et ils sont devenus (contrairement aux villageois ouzbeks ! ou aux villageois français, ou au peuple français, celui que Gilbert Ganne rencontrait dans les wagons de 3èmeclasse, le VRAI conflit de civilisation il est là ! le fossé c’est un fossé de CLASSE, et des mentalités entraînées par un certain niveau « technique » de vie, et les dégradations de rapports sociaux qu’ils entraînent,) paranos, claquemurés derrière des digicodes, des interphones, des immeubles d’appartements en copropriété, et ascenseurs, des parkings privés, qui comme à Malaga (Calle Amfora) ferment impitoyablement passé une certaine heure. Pas du tout le monde de Boule et Bill ! Et là on voit que comme en France la différence de mentalité elle est entre le petit peuple simple et décontracté et ces "bourges" (et non pas du tout entre les "bourges" iraniens et les "bourges" français qui sont complètement identiques) et comme tous les français qui habitent en appartement ils ne pensent qu’à porter plainte contre leurs voisins de copropriété tout à fait comme les membres français d’attac (c’est à dire ces enseignants pleins de fric, qui, comme tous les enseignants, sont des merdeux, intolérants et procéduriers,)

 

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27/04/2016 | Lien permanent

la VRAIE raison du programme Linky est .....

ça !

 

Les « justifications » du programme Linky ne sont en réalité que des prétextes qui ne tiennent absolument pas debout : aucune économie d'énergie (au contraire, des abonnements plus chers), aucun besoin pour les énergies renouvelables (l'Allemagne qui les développe bien plus que la France a annulé son programme de compteurs communicants), etc.

Mais alors, quelle est la véritable explication de la mise en place de ce programme ? Elle est illustrée de façon édifiante par une récente interview de Philippe Monloubou, le grand chef d’Enedis. Tout est pratiquement dit dès le titre, qui n’est autre qu’une citation de M. Monloubou :

Pour ce genre de personnages, la comptabilisation de nos consommations n’est plus qu’une activité parfaitement subalterne (qu’ils continueront bien sûr à assurer car elle leur rapporte pas mal d’argent : notre argent). Ce qui les fait vibrer, c’est tout autre chose, c’est la nouvelle guerre mondiale du numérique, celle des données : celle du Big data.

Il s’agit en particulier de créer de gigantesques bases de données dans lesquels nous (anciennement usagers, d’abord rabaissés au rang de clients, et désormais réduits au statut de produits) figurons tous, et qui contiennent d’innombrables données sur nos vie, nos habitudes, nos modes de consommation, nos capacités financières, etc.

Et, précisément, les compteurs communicants vont être les « parfaits » outils d’élaboration de ces bases de données. D’ailleurs, relisez bien la citation de M. Monloubou : est-ce que quelque chose ne vous choque pas ? Regardez bien, ce monsieur ne parle pas de compteurs mais de capteurs.

Tout est dit : pour Enedis, les 35 millions de Linky qui doivent nous êtres imposés (si nous nous laissons faire) ne sont plus des compteurs mais des capteurs : leur véritable justification est bel et bien de capter toutes les informations possibles et imaginables sur nous.

Dès 1948, dans son roman 1984, Orwell prévoyait une société totalitaire capable de surveiller les gens chez eux par l’intermédiaire d’un système vidéo présent dans tous les logements, avec un slogan en forme d’avertissement et de menace : « Big brother is watching you ».

Nous y voilà même si, contrairement à ce qui est prétendu dans une vidéo truquée, le compteur Linky ne possède pas de caméra : il n’en a en réalité pas besoin pour tout savoir sur nous. Orwell avait tout prévu, à un détail près : aujourd’hui, avec Linky, « BIG DATA is watching you ».

 

linky-trahison-energetique.jpg

 

 

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14/11/2016 | Lien permanent

LA detalo

une vidéo d'une conférence de Tobie Nathan (https://ru-clip.net/video/K9eDW5XV_cA/tobie-nathan-migran...) m'a fait repenser à ce détail :

LA detalo

Dum legado de romano de István Nemere  venas, kiel nature preterdire, frazo, sed tiu en la romano banala detalo, nuntempe saltas al vi en la okulon, kiel vido de NIFO ! :

"Malantaŭ lia dorso haltas iu aŭtomobilo. Aliflanke de la vojo. Ne la unuan fojon okazas, ke iu proponas lin veturigi kelkdistance. Kelkiuj ŝatas interparoli dumvoje.  Peter ĉiam rifuzas."     (la Alta akvo, p. 72)

Vi ja legis : "ne la unuan fojon okazas,  ke iu proponas lin veturigi", en tiu ja proksima epoko (la romano estas de 1985) estis ankoraŭ banala, natura, normala, kutima tiu reago. Ne nur la petveturantoj trovis ŝoforojn ilin akceptantajn, sed eĉ okazis ke ŝoforoj memvole proponis helpon al piedirantoj enkamparaj; Do komparu kun NUN
Kiam (pli kaj pli malofte, ankaŭ ili ekpensas same kiel la aŭtomobilistoj ! kaj eĉ ne pensas ke estus ebla, oni nun (verkita jam en 2007, sed estas pli kaj pli malbone) tute ne plu vidas petveturantojn). Se okaze iu metas sin surrande de vojo por peti veturon, vi ja scias, ke centoj (centoj !) da aŭtomobiloj povas preterpasi ne haltante.
Ĉu tio ne malserenigas vin? unu fojon pli legado (aŭ spekto de filmo, ktp)  romanon disvolviĝantan en iom pasinta tempo rolas kiel ekspegulanto, malkovriganto, rivelanto de kiom ni ja perdis, kiom ŝanĝiĝis veinde nia socio .....



Vous avez bien lu !  (non ? apprenez l'Espéranto ! c'est facile)
Des gens, simplement en le voyant marcher à pied le long de la route lui proposaient  de le prendre en voiture, sans même qu'il le demande (même que là c'est lui qui se payait le luxe de refuser !), on trouvait alors tout à fait normal, naturel, banal, que des gens non seulement fassent de l'auto-stop, et soient acceptés, mais même on le voit là que des automobilistes s'avancent pour proposer un bout de conduite à des marcheurs isolés dans la campagne - Je regrette, une société normale c'est ça! - ; alors quand on voit de nos jours ( De nos jours )  comment ça se passe quand quelqu'un fait de l'auto-stop (je constate même en fait qu'à la longue, et cette mentalité mortifère ayant de plus en plus largement imprégné la société, que plus personne n'essaye même de le faire, déjà il y a 15 ans, c'est de là que viennent mes observations, c'était déjà devenu très rare)  !! .... les centaines (centaines !)  de voitures qui passent sous le nez du gars sans s'arrêter, et les réactions des gens entre eux ....
on se dit qu'il y a une évolution perverse dans la société actuelle

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04/07/2020 | Lien permanent

il faut que tout le monde sache se qui se passe actuellement dans ce pays qui tait autrefois la République Française !!

hallucinante persécution du Pr Fourtillan

plainte du Pr Fourtillan Contre le Docteur Olivier SCHWARTZ, directeur scientifique de lInstitut Pasteur (et donc contre lInstitut Pasteur) pour mensonges et déformation de la vérité, préjudiciables pour ma notoriété scientifique et pour les peuples du monde que je veux protéger, à propos du reportage du 20 h de France 2, du Dimanche 15 novembre 2020 ; reportage sur le Film Hold up réalisé par Pierre BARNERIAS.  

Dans le Film Hold up, le passage qui me concerne dure 3 min 25 sec (voir Pièce 1) au cours desquelles :  

1- Je parle des 3 brevets déposés par lInstitut Pasteur en 2003 et 2011 : 

- 2 brevets déposés en Europe et aux Etats Unis dAmérique, avec les mêmes dates de priorité au 2 décembre 2003 : un brevet européen  EP 1694 829 B1  (Pièce 2) et un brevet américain US 012.8224 A1   (Pièce 3 

- 1 brevet déposé, en 2011, aux Etats Unis dAmérique : brevet américain US 8,243,718 B2  (Pièce 4), qui est une continuation des 2 brevets de 2003, avec la même date de priorité au 2 décembre 2003. Ce brevet décrit donc le même virus que les 2 brevets de 2003 ; cest à dire le coronavirus artificiel Sars-CoV1, inventé par lInstitut Pasteur avant 2003, que lInstitut Pasteur a changé de nom en l'appelant Sars-CoV-2.  

2- Et jexplique, avec tous les détails nécessaires, les dates et les procédés de fabrication du Covid-19 à partir de 2011. 

Le Covid-19 est le résultat de linsertion de 4 séquences dARN du VIH1, le virus du SIDA, dans le génome du Coronavirus Sars-CoV2. À ce sujet, l'Institut Pasteur soutient que le virus Covid-19 est identique à Sars-CoV2, car ils veulent cacher la présence du virus du SIDA dans le Covid-19, qui fait de ce virus artificiel un virus tueur.  

Le reportage de France 2, sur le Film Hold up, dure 3 min 26 sec. (Pièce 5 

Ma plainte porte sur une période de 43 secondes, entre les temps 1 min. 14 sec. et 1 min. 57 sec., avec les évènements suivants :  

1- Entre 1 min. 14 sec. et 1 min. 35 sec., soit pendant 21 secondes, la chaîne France 2 a fait un résumé fallacieux, dans lequel sont absents tous les détails techniques sur les brevets et les preuves de la fabrication du virus artificiel Covid-19 par linstitut Pasteur, que javais donné pendant 3 min. 25 sec. dans le film Hold- up  

2- Entre 1 min. 35 sec. et 1 min. 40 sec., soit pendant 5 secondes, apparait à l’écran un seul brevet, le brevet américain US 012.8224 A1  (Pièce 3), alors que javais montré 3 brevets dans le film Hold up, et un commentateur non identifié déclare : « Mais, là encore, cest faux, le brevet ne concerne pas le virus Covid-19, mais un autre coronavirus ». Les responsables de lInstitut Pasteur mentent, quand ils soutiennent que Covid-19 est Sars-CoV2. Et le brevet quils disent ne pas être un brevet de Covid-19 est en fait un brevet américain de Sars-CoV2, identique en tous points à Sars-CoV1. En effet, ils nont pas pu breveter le Covid-19 obtenu comme je lai dit plus haut par insertion du VIH1 dans Sars-CoV2 (identique à Sars-CoV-1), car, dune part, les examinateurs de brevet nauraient jamais accepté une telle invention, et, dautre part, ils ont évidemment voulu cacher la présence du virus du SIDA dans le virus artificiel Covid-19, qui va rendre le vaccin mortel.    

3- Entre 1 min. 40 sec. et 1 min. 57 sec., soit pendant 17 secondes, le Docteur Olivier SCHWARTZ, directeur scientifique de lInstitut Pasteur, dit : « Et, surtout, lInstitut ninvente pas de nouveau virus. Le brevet dinvention, cest un terme technique, cest donc protéger un procédé, une façon de faire un test diagnostic, un traitement ; ça ne veut pas dire quon a inventé le virus »  

Le Docteur Olivier SCHWARTZ ment quand il dit que lInstitut Pasteur na jamais inventé de Virus, puisque les 3 brevets de lInstitut Pasteur sont des brevets dinvention qui protègent un nouveau virus comme indiqué : 

Dans les titres 

-du brevet Européen de 2003 EP 16

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16/12/2021 | Lien permanent

prénoms

Je ne vois aucune raison admissible et rationnelle pour justifier l'astrologie, et pourtant je me suis apperçu, du moins concernant les "portraits astrologiques" en fonction de sa date de naissance que ça marche ! et avec précision même (j'ai comparé et pour moi-même et pour une bonne dizaine de personnes que je connais suffisamment bien pour comparer). je reviendrai un jour là-dessus. cette fois je ne mets que http://www.astrotheme.fr/portraits/Z.htm (je vous conseille de chercher pour Zamenhof et pour Jean Ziegler).
En astrologie il est dit des "saturniens" comme moi : Votre vulnérabilité réside dans ce côté justement trop sérieŭ et sévère, qui peut parfois vous pousser à une solitude non voulue et un sentiment d'isolement et de frustration affective. En général, cela ne durera pas longtemps, car le Saturnien a souvent à l'intérieur de lui-même... un cœur d'or, qui finit par se voir.
Encore moins justifiable en raison sont les portraits selon votre prénom. Je ne sais pas encore si on peut dire que ça marche ou pas.
Mais je me suis simplement amusé à chercher:


ainsi de moi on dit :

Charmeurs, les Roland plaisent tout autant de par l'assurance et l'originalité qu'ils dégagent que par la qualité de leurs aptitudes intellectuelles. D'apparence enjouée et communicatifs, volontiers moqueurs, ils n'aiment pas parler d'eŭ et préservent leur jardin secret. Dynamiques et volontaires, ils possèdent un précieŭ atout, leur force de persuasion, qui les rend aptes à commander et à prendre la première place. Ils possèdent des capacités d'organisation et n'apprécient guère de n'être que de simples exécutants. Ils ont une intelligence pratique doublée d'un esprit analytique et ils ont souvent tendance au scepticisme, voire à l'ironie. Mais le 7 peut aussi leur donner un intérêt pour les domaines de la technique, ou les conduire sur les routes de l'irrationnel, voie qui leur permettra d'utiliser leur intuition. Ce même nombre, mal vécu, pourrait être à l'origine d'anxiété ou d'angoisses. Enfants, ils sont indépendants et peuvent avoir tendance à se replier sur eŭ-mêmes, ou à se passionner pour des ouvrages de science-fiction. Ils préfèrent la solitude à une compagnie insatisfaisante. Il serait judicieŭ de développer chez eŭ un certain sens de la mesure, la coopération et le partage n'étant pas leurs qualités premières.

Qu'aiment-ils ?Tout en étant sociables et en apparence ouverts, les Roland recherchent avant tout le calme et la tranquillité, l'étude, la réflexion, l'analyse, parfois même la méditation. Ils sont susceptibles de s'intéresser aŭ sciences d'avant-garde (informatique), parfois à la religion ou à l'irrationnel. Sentimentalement, ils sont réservés et cachent leur forte sensibilité derrière une façade de froideur qui peut les faire passer pour insensibles. A moins que, d'une pirouette, ils ne dissimulent cette inquiétude derrière un comportement superficiel. Fondamentalement, ils possèdent de solides valeurs morales, aiment donner l'exemple et s'attachent à la parole donnée. les Roland sont sans doute autoritaires et directifs, c'est en quelque sorte la rançon à leur caractère droit et entier.

Que font-ils ?Les activités susceptibles de leur convenir sont les professions libérales, des spécialités scientifiques ou techniques, celles en rapport avec la mode ou la création, celles où leur facilité de communication sera un atout, les activités en rapport avec l'expression orale ou écrite.


déroutant parfois ! mais après tout sait-on jamais dès fois la vie ne permet guère à votre vraie nature de se manifester, au contraire. Bref est-ce assez proche pour être dit ressemblant ? pi-t-ête bien ! Il faudrait demander à ceŭ qui me connaissent (mais y en a t-il ? )


Essayons mon père:

Qui sont ils ? Réservés, méfiants et prudents, les Albert ne sont pas très à l'aise dans les rapports humains. Derrière leur abord froid et distant, se cache une sensibilité douloureuse car difficile à exprimer, aussi gagnent-ils à être connus... Ils ont peu confiance en eŭ-mêmes et sont des inquiets, doutant sans cesse, en proie au scepticisme, voire au pessimisme. Peu instinctifs, ces hommes préfèrent s'appuyer sur les démarches sensées de leur jugement (ils sont souvent intellectuels ou cérébraŭ) et croient davantage en leurs efforts personnels, leur capacité de travail, leur discipline, qu'en la chance pure. Ils ont des principes, une moralité un peu stricte, des scrupules plus ou moins étouffants. Ils manquent souvent de souplesse et d'adaptabilité et tendent à être obstinés. Ils détestent ce qui est artificiel ou léger et, en hommes stables, recherchent la sécurité, notamment sur un plan financier, d'où une nette tendance à l'économie. Ils avancent lentement mais sûrement et ne sont pas ennemis d'une certaine routine, la fantaisie leur faisant parfois défaut. Écologistes dans l'âme, ils sont proches de la nature, ont également horreur du bruit, de la foule, et recherchent un certain isolement. Ils sont tout à fait favorables au dicton : « Pour vivre heureŭ, vivons cachés. » Plutôt cartésiens,

leur esprit est rationnel et analytique : ils ont le sens des détails et une lucidité à toute épreuve car ils aiment garder la tête froide. Pourtant, les Albert peuvent parfois être tentés par l'irrationnel, la spiritualité et le monde de l'étrange... Il est vrai qu'ils donnent souvent l'impression d'être des personnages quelque peu énigmatiques. Enfants, ils sont vulnérables car facilement inquiets et complexés. Aussi auront-ils besoin de sécurité et d'encouragements. Il ne faut jamais les brusquer : ce sont des hypernerveŭ dont le rythme est lent. Ils préféreront jouer derrière leur ordinateur (dans les années 60 il n'y avait pas d'ordinateurs, mais il y avait des championnats de mots-croisés) plutôt que de participer à un match de foot, appréciant plus les jeŭ solitaires que collectifs. Seront à encourager : la sociabilité et la communication.

Qu'aiment-ils ?
les Albert apprécient la tranquillité, la paix et la douce sécurité de leur foyer. Ils recherchent la perfection en tout, d'où un excès d'ordre et une certaine maniaquerie. Ils sont aussi sensibles à l'esthétique et à la beauté, et inclinent vers un certain raffinement. La vie affective est importante ainsi que la création d'un havre de paix, et ils seront prêts à donner beaucoup d'eŭ-mêmes pour que l'harmonie règne. Néanmoins, ce ne sera pas toujours simple, car la recherche de la perle rare ne sera pas toujours couronnée de succès, d'où certaines désillusions. Pourtant, ce sont des hommes bons, tranquilles, serviables qui n'hésitent pas à partager les tâches ménagères.

Que font-ils ?
Ils reprendront souvent une activité familiale (commerce, restauration, agriculture...). Sinon, ils seront attirés par les professions à caractère esthétique, artistique (ébénisterie, architecture, décoration, antiquités, commerce d'art...), ou en rapport avec la mode, celles en rapport avec la justice ou la médecine, celles en rapport avec la nature, les animaŭ, les sciences exactes, enfin, celles liées à la comptabilité, la gestion, la banque, le notariat, l'administration.

c'est quand-même assez ressemblant. On dirait qu'ils l'ont vu vivre !

 

un autre essai www.ipernity.com/doc/r.platteau/2384039 :

Fête : 8 février

Qui est elle ? Jacqueline a une forte personnalité, bien que secrète et relativement complexe, mélange de spontanéité et de réflexion. Son comportement n'est pas toujours en adéquation avec ses paroles et ses promesses. (c'est fréquent chez les femmes !) Tout d'abord, elle déborde de vitalité, est hyperémotive, susceptible et spontanée. Elle est mobile et nerveuse, cultive le secret, entretient le mystère. Il est vrai qu'elle est parfois gênée par un sentiment d'infériorité et qu'elle préfère se taire plutôt que d'énoncer une bêtise. Jacqueline est une femme parfois étrange, peu ordinaire, qui suit difficilement les voies traditionnelles, encline à se poser des questions, l'esprit toujours préoccupé. Elle s'intéresse au mysticisme, à la psychologie, à la graphologie, aŭ sciences humaines ou à la parapsychologie. C'est une inquiète qui pense très tôt que la vie n'est pas forcément aussi belle et simple qu'elle le paraît, mais il est vrai qu'elle a une tendance certaine à la compliquer. Elle est à part et se sent différente des autres. Sa pensée est analytique et elle a le sens des détails. C'est ainsi qu'elle saura prendre quiconque en flagrant délit de mensonge, aidée en cela par son intuition et une grande finesse psychologique. Spirituelle, elle pourra néanmoins se montrer mordante, critique, ou s'emportera violemment et sans crier gare ! Forte nature, rarement malade, elle fait preuve de beaucoup de tonus, mais le système nerveŭ est son point faible. Très travailleuse lorsqu'elle est motivée, elle est autoritaire et ambitieuse. Si elle n'atteint

pas les buts qu'elle s'est fixés, elle le fera par procuration, par l'intermédiaire de son compagnon. Enfant, Jacqueline est un petit tyran : peu facile à manipuler, capricieuse, avec une curiosité toujours en éveil, une mobilité excessive. Elle ne tient pas en place et se montrerait volontiers capricieuse. Parents, apprenez-lui la pondération, la modération en toute chose, ne relâchez pas votre pression, car vous seriez vite dépassés, et l'aventure ou les aventures pour ­raient surgir trop tôt à votre goût.

Qu'aime-t-elle ?
Sociable, Jacqueline aime les contacts et recherche l'union, même si c'est son problème majeur. En effet, particulièrement exigeante, elle a du mal à trouver le partenaire idéal, d'où parfois un célibat qui est loin d'être une vocation... Sentimentalement, son mélange d'exaltation, de passion ainsi que de réserve et d'inhibition déconcerte, car elle se montre tout à la fois charmante, séduisante, capable de faire un grand pas dans votre direction puis d'effectuer tout à coup un demi-tour stratégique en se repliant sur elle-même, sans explication. Elle est énigmatique, et c'est son charme... Mais elle se révélera une bonne mère et une hôtesse remarquable.

 

Et pour finir je mets ceci, car j'ai toujours pensé que si j'avais un enfant, et si c'était une fille je l'aurais appelée Caroline

Caroline :

Fête : 17 juillet

Qui est elle ? C'est un véritable vif-argent que Caroline qui possède l'art et la manière de passer d'un état émotionnel à un autre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! Hypersensible et particulièrement féminine, elle est un mélange de femme-enfant, charmante, sensible, douce et féminine, et de maîtresse femme, conquérante, séductrice et entreprenante... une sacrée personnalité qui oscille entre timidité, effacement, dépendance, soumission et leur contraire. Il est vrai que bien-être et équilibre affectif lui sont nécessaires pour que se développe son assurance. Ainsi pourra-t-on la voir tour à tour réservée et timide, intériorisée, ravie de passer inaperçue, puis pétillante, espiègle, enchantée d'être sur le devant de la scène et même plutôt effrontée, selon que l'ambiance dans laquelle elle se trouve est affective ou non... Elle oscille entre des phases d'hésitation et d'autres où elle est capable de tenter le tout pour le tout. C'est une affective qui a un grand sens de l'amitié, et montre des qualités d'écoute, de finesse et de psychologie certaines, ayant à la fois un sens aigu des détails et un intérêt pour ce qui est intimiste. L'humour est une de ses caractéristiques, et elle s'en sert souvent, tout autant pour sauver la face lorsqu'elle est dans ses phases de haute tension nerveuse que pour plaire ou encore pour le plaisir de faire un bon jeu de mots. Enfant, il serait souhaitable de lui apporter sécurité et affection, d'encourager sa créativité, de cultiver ses dons pour les langues, de lui conférer le sens de l'ordre et de la discipline qui ne sont pas son fort, mais aussi de ne pas trop entretenir son instabilité qui pourrait lui jouer des tours. Curieuse et insatiable, Caroline aimera la lecture, mais son bavardage incessant devra être surveillé de près si vous ne voulez pas avoir une note de téléphone astronomique !

Qu'aime-t-elle ?
Extravertie, elle aime communiquer, plaire, séduire et possède un charme fou. Elle rêve d'être le point de mire d'une assemblée ou d'un public qu'elle sait animer par sa présence et ses facultés d'expression. Tout en ayant besoin d'une sécurisation affective, elle déteste la monotonie et apprécie l'aventure et les nouveautés. Enfin, la vie est un peu un jeu pour elle, aussi possède-t-elle un côté ludique. Sentimentalement, c'est une femme agréable et de bonne humeur qui met de l'animation dans la maison, une hôtesse remarquable et remarquée et une excellente mère de famille. Certes, elle est séduisante, mais ne vous fiez pas, messieurs, à son sourire angélique : au fond, c'est une insoumise qui ne se laisse pas si facilement séduire.


hélas ! je n'aurai pas eu cette Caroline comme enfant, ni personne d'autre ....

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19/02/2017 | Lien permanent

Kafka

(Un autre livre qui mériterait de figurer parmi
les grands classiques de la littérature, c'est
La Course au mouton sauvage de Haruki Murakami)

Avez-vous lu « Le Château » ? Ce roman, le plus étrange, et en même temps le plus typique et le plus profond de Kafka qui commence par ce paragraphe inoubliable :
« Il était tard lorsque K. arriva. Une neige épaisse couvrait le village. La colline était cachée par la brume et par la nuit, nul rayon de lumière n’indiquait le grand Château. K. resta longtemps sur le pont de bois qui menait de la grand-route au village, les yeux levés vers ces hauteurs qui semblaient vides.»
Ce roman de 500 pages qui raconte les vains efforts d’un arpenteur, dont on ne sait rien qu’une initiale, K., pour obtenir un permis de séjour dans un village dominé par un mystérieux Château, est resté inachevé, par la mort de l’auteur (encore un symbole, même s’il est involontaire !) mais on sait comment il avait l’intention que finisse son roman :
L’« arpenteur » obtient finalement satisfaction, mais au moment où il meurt d épuisement. Autour de son lit de mort la commune se rassemble, et c’est à ce moment qu’arrive su Château une décision déclarant que K. n’a pas réellement droit de cité au village mais qu’on l’autorise tout de même à y vivre et y travailler par égard pour certaines circonstances accessoires.
Comme dit le procès-verbal de Momus :
« L’arpenteur K. devait d’abord chercher à se fixer au village. Ce n’était pas aisé, car personne n’avait besoin de ses travaux, personne ne voulait le recevoir, hormis l’aubergiste du Pont dont il avait surpris la bonne volonté, personne ne se souciait de lui. »
Si vous n’avez pas encore compris l’ami de Kafka, qui l’a édité, dit dans sa postface :
« on peut dire que ce « Château » où K. n’obtient pas le droit d’entrer et dont il ne peut même pas approcher comme il faut, est exactement la « Grâce » au sens des théologiens, le gouvernement de Dieu qui dirige les destinées humaines (le « village »), la vertu des hasards et des délibérations mystérieuses qui planent au-dessus de nous.
….
et comme l’homme épie, perplexe, tendant l’oreille aux bruits du monde qui ne répond que par le silence ou par les oracles les plus divers à son éternelle question concernant le bien et le mal, et comme pourtant l’espoir reste indéracinable au fond de son âme sur la seule voie  qui lui soit destinée ! Jeux de cache-cache de l’intuition, retards, obscurités, donquichotteries, difficultés, impossibilités de la condition humaine, … et ce pressentiment qui transparaît quand même à travers toutes nos erreurs, d’un ordre qui doit nécessairement régner dans des sphères plus hautes.
Il évoque aussi le rôle que jouent les femmes dans tout ça :  
Un passage du manuscrit, biffé (et c’est encore là une singularité de l’auteur : les passages supprimés paraissent aussi beaux que le reste, aussi essentiels), dit donc : «  Il était obligé de s’avouer que, s’il eût trouvé ici Pepi au lieu de Frieda et qu’il lui eût supposé la moindre relation avec le « Château », il eût cherché à presser le mystère sur son sein du même cœur qu’il avait pressé Frieda. »

Et conclut par :

Cet «à faux » des efforts que l’homme entreprend pour comprendre Dieu, cette impossibilité où se trouve sa raison de lancer un pont sur l’abîme, ne pouvaient se trouver mieux rendus
Kafka – pour m’exprimer avec sa discrétion – a « beaucoup vu », il a vu beaucoup de choses qu’on ne soupçonnait pas avant lui.
(Max Brod)

Quand à Camus, dont les personnages semblent dans la même situation que K. il dit dans « Le Mythe de Sisyphe » :
« Lorsque K… téléphone au château, ce sont des voix confuses et mêlées, des rires vagues, des appels lointains qu’il perçoit. Cela suffit à nourrir son espoir, comme ces quelques signes qui paressent dans les ciels d’été ou ces promesses du soir qui font notre raison de vivre. »

Voici un passage du roman :

Olga :
« Il se tuait en pèlerinages et ces démarches qui, sans l’argent, eussent pris rapidement la fin qu’elles méritaient, traînaient en longueur grâce à nous. Comme on ne pouvait vraiment rien faire d’extraordinaire pour les suppléments qu’il payait, un secrétaire essayait quelquefois de lui donner un semblant de satisfaction en lui promettant une enquête et en laissant percer une allusion à certaines traces qu’on aurait déjà trouvées et qu’on suivait, non par devoir, mais par sympathie pour le père ; et le père, au lieu de se défier un peu plus, devenait un peu plus crédule. Quand il avait reçu ces promesses sans valeur, il revenait à la maison comme s’il nous eût apporté la bénédiction du Bon Dieu, et c’était supplice que de le voir grimacer derrière Amalia en ouvrant de grands yeux, en souriant d’un air fin et en nous la montrant du doigt pour nous donner à entendre que la réhabilitation de sa fille était sur le point de s’accomplir grâce aux efforts qu’il avait faits.
….
Il avait formé le dessein de se poster près du Château sur la grand-route à l’endroit où passaient les voitures des fonctionnaires et si l’occasion s’en offrait, de présenter sa demande de pardon. A parler franc, c’était un projet dénué de toute raison, même si l’impossible s’était produit et que sa prière fut parvenue jusqu’à l’oreille d’un fonctionnaire. ….. on peut passer des heures à la leur expliquer, ils remuent la tête poliment mais ils ne comprennent pas un mot. Et c’est bien naturel ; vous n’avez qu’à chercher à comprendre les petites questions administratives qui vous concernent personnellement, des affaires de rien du tout qu’un fonctionnaire règle d’un haussement d ‘épaule, cherchez à les comprendre à fond, vous aurez trouvé du travail pour toute votre vie et vous n’en viendrez pas à bout.
Les moindres détails extérieurs hurlaient l’impossibilité de l’entreprise.
….
Le récit d’Olga lui découvrait la perspective d’un monde si grand, d’un univers si invraisemblable qu’il ne pouvait s’empêcher de la confronter un peu avec ses petites expériences pour se convaincre plus nettement de l’existence de ce monde aussi bien que du sien.
-                     C’est possible, dit Olga, mais … en tout cas aucun d’entre eux n’a de temps à perdre avec le père. Et puis le Château a plusieurs entrées : une fois c’est l’une qui est à la mode et tout le monde passe par-là, une autre fois c’est une autre et les voitures y affluent. D’après quelles règles ces changements s’opèrent-ils ? On n’a pas encore pu le trouver. D’ailleurs, comme le lieu des sorties, le nombres des voitures varie constamment lui aussi suivant des lois impénétrables. Il se passe souvent un jour entier sans qu’on en aperçoive une seule, puis elles processionnent sans arrêt. Et maintenant, en face de ce défilé, représentes-toi notre père. Vêtu de son plus bel habit qui sera bientôt le seul qui lui reste, il quitte la maison chaque matin, escorté de nos bénédictions.  Il emporte un petit insigne de pompier – auquel, au fond, il n’a plus droit – pour l’arborer hors du village ; au village même il a peur de le montrer bien que cet insigne soit si minuscule qu’on ne le voit pas à deux pas ; mais le père s’imagine que ce brimborion va attirer sur lui l’attention des fonctionnaires qui passent au fond de leurs voitures ! Non loin de l’entrée du Château sont les jardins d’un maraîcher, un certain Bertuch, ce fut là, sur le rebord du mur étroit qui supporte la grille du jardin, que le père choisit une place.

Le père restait  donc assis là tous les jours ; l’automne était morne et pluvieux.

Par la suite il cessa de raconter ces détails, il n’espérait sans doute plus rien, ce n’était plus que par devoir, pour faire son aride métier, qu’il allait à-bas passer sa journée. Ce fut à cette époque que commencèrent ses douleurs rhumatismales.

Jusqu’à ce qu’un beau matin le père ne put plus tirer hors du lit ses jambes raides ; il était désespéré ; il croyait voir dans son délire une voiture qui s’arrêtait justement devant chez Bertuch, un fonctionnaire qui descendait, le cherchait le long de la grille, et, dépité, remontait en hochant la tête dans sa voiture ;L père poussait alors de tels cris qu’on eût cru qu’il cherchait à se faire entendre du fonctionnaire de si loin et à lui expliquer combien il était peu coupable de son absence.
….
Et c’est fut alors que commença ce semblant de service dont je t’ai parlé. Barnabé pénétra pour la première fois au Château, ou , plus exactement dans le bureau qui est devenu pour ainsi dire le centre de ses opérations avec une facilité faite pour surprendre tout le monde.
….
Mais si moi, K., j’ai parfois dénigré ce service de messager, ce n’était pas dans l’intention de te tromper, c’était par peur. Ces deux lettres qui sont passées par les mains de Barnabé constituent depuis trois ans le premier signe de clémence qui ait jamais été adressé à notre famille. Ce revirement, si c’en est un et non une illusion – car ici les illusions sont plus fréquentes que les revirements – est en rapport avec ta venue.
….
- Pourtant, dit K., toi et Amalia, vous cherchez toutes deux à m'oter de plus en plus confiance dans les messages.
- Oui, dit Olga, c'est ce qu fait Amalia; et je l'imite. C'est l'effet de ce manque d'espoir qui nous accable. Nous croyons que l'absence d'intérêt des messages est une chose tellement évidente que nous ne risqons  de faire aucun mal en en parlant, et qu'au contraire nous nous rendons par là plus dignes de ta confiance et de ta pitié, les seules choses dans lesquelles nous espérions au fond; Me comprends-tu? Voilà comment nous raisonnons. Les messages sont sans intérêt, on ne saurait y puiser directemen nulle force, tu es trop intelligent pour t'y laisser tromper, et, si nous pouvions te tromper, Barnabé ne serait qu'un porteur de mensonges.

......
- Non, dit Olga, tu t'y trompes et peut-être s'y laisset-il prendre lui aussi; à quoi est-il donc arrivé? Il a le droit d'entrer dans un bureau, et encore cette salle où il entre n'a même pas l'air d'être un bureau, c'est peut-être tout simplement l'antichambre des vrais bureaux, et peut-être même pas, c'est peut-être une pièce où l'on retient tous ceux qui n'ont pas le droit d'entrer dans les vrais bureaux; Il parle avec Klamm, .. mais est-ce Klamm, N'est-ce pas plutôt quelqu'un qui ressemble un peu à Klamm? un secrétaire peut-être, en mettant les choses au mieux, qui ressemble  un peu à Klamm et qui travaille à lui ressembler encore plus, qui prend le genre endormi de Klamm et son air de rêver toujours; c'est par ce côté qu'il est le plus facile à imiter, aussi bien des gens s'essaient-ils de le copier en cela, laissant prudemment de côté le reste de l'original. Un homme aussi souvent recherché et aussi rarement atteint que Klamm prend facilement dans l'imagination des gens des sillouhettes différentes."


Quelques interprétations des symboles qu’on peut déduire du récit (la lecture de ce roman, comme vous vous êtes peut-être rendu compte, stimule l'intellect et l'intuition, et les met en recherche de significations symboliques cachées) :
l’Arpenteur = l’homme et sa raison
Barnabé : l’Église, les « Prophètes »
Les aides = les instincts
Klamm = Dieu
Sortini ? Le Christ ?
Momus  = le Pape
Erlanger = Vishnou endormi.

C'est un livre que certains jugeront sans doute ennuyeux et  plein de détails et de propos oiseux (c'est voulu !) mais que beaucoup d'autres liront avec passion, enchantés et retenus par le mystérieux "je ne sais quoi" qui s'en dégage, et  année après année toujours il éprouveront le désir de replonger dedans !

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le saker appelle un chat un chat

Dans l'article qu'il consacre à toute l'opération visant à faire disparaître le gouvernement de gauche antiimpérialiste au Brésil, le chroniquer connu sous le nom de "The Saker" rappelle que la mort d'Eduardo Campos, le candidat originel du Parti "socialiste" brésilien fut un assassinat :
ancienne du Parti vert, devenue candidate du Parti socialiste brésilien après l’assassinat d’Eduardo Campos, le candidat d’origine, opération exécutée dans les airs selon les règles de l’art du manuel de la CIA
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/22/bresil-soros-cia-m...

Maintenant l'opération Marina ayant échoué, ils se rabattent sur Neves, ouvertement de droite.

Je rappelle quelle était la situation durant le premier tour de ces élections à ebondissements :

Marina Silva risque de battre Dilma Roussef à la présidentielle brésilienne.
Oui, une écologiste à la tête du Brésil, dans un premier temps on a envie de sauter de joie, et puis quand on découvre son programme ...

La politique économique de Marina Silva ? Totalement libre-échangiste. http://www.legrandsoir.info/bresil-marina-silva-ne-laisse... Elle souhaite signer des accords de libre-échange avec l’Europe et les Etats-Unis. Elle se détacherait de la politique Mercosur pour pouvoir se rapprocher de Washington. (tiens tiens !)
La montée de Marina Silva est très bien perçue par le monde financier et la bourse répond de manière positive. Mauvais signe ! D’ailleurs, Neca Setubal, héritier de la banque Itau, avait financé le parti de Marina pour 1 million de real, soit 83% des ressources du parti de Marina Silva... (pour des "socialistes" ça laisse rêveur)
Je crois qu'on a compris là.


Et des gens commencent à se poser des questions sur se qui est en train de se passer au Brésil.

Trop bien rodé pour être vrai. en effet comme le résume un commentateur du web :

"Il y a quelque chose qui m’effraie dans la chronologie des évènements qui se passent au Brésil ces derniers mois. En me basant sur plusieurs sources (latinoaméricaines et européenes) mais sans entrer dans tous les détails, je résume la situation du pays comme ceci :

* Année électorale pour le Brésil, deux candidats en tête : Dilma Roussef (Parti des Travailleurs) pour sa réelection avec environ 30% des voix et Neves (Social-Democrate) avec environ 20%. 3e vient E.Campos (Parti Socialiste) avec seulement 7%

* Aout 2014, Eduardo Campos meurt dans un mystérieux accident d’avion, où l’avion contenait apparemment de fausses boîtes noires qui ont étés retrouvées http://www.rts.ch/info/monde/6068724-de-fausses-boites-no...

* Le candidat du PSB devient donc Marina Silva, "écologiste", mais est-elle vraiment si écologiste que ça ? (et puis quand on pense à Cohn-Bendit ! lui aussi il est censé être "écologiste") et qui aspirait à la Vice-Présidence avec Campos

* Marina Silva est maintenant favorite à l’élection et partage le duel avec Dilma laquelle enchaîne les mauvaises nouvelles

 

Un sale coup pour l'Amérique Latine, qui était l'espoir de notre planète, dans ce monde capitalistoimpérialiste désespérant !
Il y a déjà eu la mort d'Hugo Chavez
(mort suspecte d'ailleurs : http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/09/01/ass... , remarquez Nestor Kirchner aussi avait reçu des menaces et on se pose des questions sur sa mort, et sa veuve qui a le courage de "l'ouvrir" à la tribune des Nations-Unies, a vu la fin de son discours tout à coup coupé du direct et privé de traduction, un discours qui disait trop de vérités sans doute
http://www.youtube.com/watch?v=rjlV2ihCUow)
Si le bloc des pays anti-impérialistes se démantèle sous les coups de Washington ....

alerte !

 

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01/10/2014 | Lien permanent

chacune de ces émissions est une perle à enregistrer et à réécouter soigneusement


https://admin.over-blog.com/555762/write/106509680

enregistrez,et stockez les toutes pour les re-regarder tranquillement, il faut que les français se refassent une culture de la théorie politique, économique, médiatique.

si vous préférez les livres : https://www.amazon.fr/Notre-Cause-Commune-Instituer-nous-...

(c'est pour l'info et lire les commentaires, mais ne les achetez pas chez amazon ! cette affreuse firme capitaliste exploiteuse !!!!  commandez-les chez la librairie quilombo par exemple)

 

PS accessoire, tout à fait accessoire : les chambres à gaz ont bien existé (celles qu'on montre aux touristes sont des reconstitutions ! les nazis les avaient démontées en fuyant vous pensez bien !) Les Soviétiques ont retrouvé et emporté toutes les archives d'Auschwitz. Mais, fidèles à leurs habitudes, les avaient planquées au secret. Ce n'est que suite à la chute de l'URSS (donc bien après la rédaction des oeuvres de Faurisson, qui se croyait malin) que les historiens ont pu mettre le nez dedans.
Et là il y a tout ! les devis, les factures, les plans des "équipement", et même les correspondances sur les pannes les réparations, les réclamations, la concurrence entre la firmes qui s'enrichissaient avec ça.... Tout le détail administratif. Donc pas de doute sur le sujet, ni sur le génocide, concomitant et par les mêmes méthodes, des tziganes, ni celui, antérieur, ce fut le premier, des fous et des handicapés, ni celui des communistes, et des slaves, sans parler des résistants, des homosexuels, des Témoins de Jéhovah, et autres catégories de personnes qui ne plaisaient pas aux nazis.

Mais cette question d'histoire n'a strictement rien à voir avec les idées de Chouard qui sont : La théorie de la démocratie ! le vol de celle-ci par les milliardaires et leur mafia de Séides, les "journaputes" et les "clébards" à leur service, bref la lutte des classes, tout ça. Là ! on a le sujet de discussion de Chouard, celui qu'il (de même que Bernard Friot sur le plan économique) traite avec humanité, bon sens, et une rigueur intellectuelle imparable. (c'est peut-être pour ça que l'Establishment se sent menacé et vaut le faire taire à n'importe quel prix (il ne fait pas de moto Chouard ? ç'est pas conseillé dans son cas ! ni de faire du vélo dans les rues désertes, on ne sait jamais une crise cardiaque est vite arrivée).

"En tout cas tous les français un peu honnêtes sont extrêmement en colère, en constatant que par des détours abjects, les puissants peuvent s'efforcer de le faire taire ainsi parce qu'il dérange leurs pouvoirs et représente une opposition des plus sérieuses, il est un danger pour eux, qu’il faut écraser dans l’oeuf…
Il fait partie de ceux que l’on affuble de qualificatifs les plus aux antipodes de ce qu'il est vraiment, et malheureusement les chiens de garde bourgeois relaient ces diffamations pour le discréditer. Mais qui peut les croire ? Comme vous dites si bien, ils ne peuvent pas contrer le message, qui est vraiment imparable, et fait réfléchir les français, alors ils s'en prennent au message, ruse malhonnête bien connue !
Mais les français ont appris à le connaître. Et on sait qu’il n’y a pas plus humaniste et altruiste que Monsieur CHOUARD"

CHOUARD A OUVERT LES  YEUX ET LES COEURS DE TELLEMENT DE PERSONNES

En dépit des manoeuvres malhonnêtes de la caste bourgeoise pour faire taire ses théoriciens l'idée de tirage au sort progresse petit à petit, en témoigne la vidéo ci-dessous

https://ru-clip.net/video/gN0sL-0Jy8w/paul-le-f-egrave-vre-le-tirage-au-sort-agrave-la-rescousse-de-la-vie-politique.html

Petit rappel sur notre condition dans le système capitaliste actuel (et donc sur les intérêts en jeu) :

vous-vous-croyez-libre-300x292.jpg

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02/09/2019 | Lien permanent

« Terroristes ! »



When have we heard these excuses lately ?
Par exemple il y a ça :

« By the most brutal methods of terrorism, a regime sought to maintain an existence that was condemned by the overwhelming majority of it people … I have tried to persuade the responsible authorities that it is ipossible for a great nation, because it is unworthy of it, to stand by and watch millions belongings to a great,an ancient civilized people be denied rights by their government … I haveendavoured to find some way to alleviate a tragic fate. One agreement was signed only to be broken. I then tried a second time to bring about an understanding. A few weeks later, we were forced to the conclusion that the government [of Austria] had no intention of carrying out this agreement in the spirit that had inspired it, but in order to create an excuse. I have determined, therefore, to place the help of our country at the service of these millions. Since this morning,our soldiers are on the march acrossall ofAustria’s frontiers. »
(Adolf Hitler, March12,1938, proclamation to the german Geople justifying the german invasion of Austria.)

« We have no interest in oppressing other people. We are not moved by hatred against any other nation. We bear no grudge. I know how grave a thing war is. I wanted to spare ourpeople suchan evil. It is nt so muchthe country [of Czechoslovakia ; it is rather its leader [Edward Benes]. He has led a reign of terror. He has hurled countless people into the profoundest misery. Through his continuous terrorism, he has succeded in reducing millions of his people to silence. The Czech maintenance of a tremendous military arsenal can only be regarded as a focus of danger. We have displayed a truly unexampled patience, but I am no longerwilling to remain inactive while this mad madman ill-treats millions of human beings . »
(AdolfHitler,April 14,1939, justifying the german invasion of Czechoslovakia. Speech at the Sportpalast in Berlin.)

« The wave of appalling terrorism against the [minorities] inhabitants of Poland, and the atrocities that have been taking place in that country are terrible for the victims,but intolerable for a Great Power which expected to remain a passive onlooker. We will not continue to tolerate the persecution of the minority, the killing of many, and their forcible removal under the most cruel conditions.. I see no way which I can induce the government of Poland to adopt a peaceful solution. But I should despair of any honourable tfuture for my people if we were not, in one way or anoter, to solve the question. »
(Adof Hitler, August 23, 1939, justifying the German invasion of Poland, in letter sent to the UK and French governments in response to their communications condemning the invasion of Poland.)

 

Hein ? C’est fou ce que ça rappelle très fort, jusque dans le détail des arguments et des formulations, des discours qu’on a entendus il y a pas longtemps, ou qu’on entend en ce moment même sur ces dernières « guerres abjectes » - comme dit François Asselineau – qui ont rempli nos médias !
Et puis remarquez déjà à cette époque on utilisait à profusion le terme « terroriste » pour diaboliser l’ennemi ! Le gag ! Vous voyez ce que ça vaut cette terminologie, hein ? j’espère qu’à l’avenir vous ne vous laisserez plus impressionner ni par cette terminologie (et « régime » ) ni par ces belles phrases apparemment si raisonnables dans la manière dont elles sont arrangées. Comparez-les avec la réalité matérielle des faits qu’elles ont servi à « justifier »...
Ne vous laissez plus berner (par les méthodes à Edward Bernays !)

Vous voyez ! Quand vous entendez un discours de « guerre humanitaire », de « devoir d’ingérence » d’ « aide fraternelle » dressez l’oreille ! Soyez tout de suite méfiants !

Une autre constatation, la propagande hitlérienne était très habile, beaucoup plus habile que ne le fut la propagande soviétique, qui était assez grossière et maladroite, presque aussi habile que la propagande OTANesque et libéral-fasciste actuelle.

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24/08/2018 | Lien permanent

extension du totalitarisme et de la théocratie - sous sa version moderne - la pensée de Bonald quoi !

octobre 2017

L’extension du domaine de la censure croît sans cesse. La BBC demande excuse à ses auditeurs d’avoir laissé parler à l’antenne Lord Lawson, ancien ministre climato-sceptique, sans le contredire. Après la race et le genre, la tyrannie morale s’étend maintenant au climat.
 
On sait que la liberté de parole est surveillée à la radio. Les journalistes ont la consigne, qu’encadrent en France les lois Pleven et Gayssot, de ne pas laisser passer une parole prononcée par un invité lors d’une interview qui pourrait passer pour antisémite, raciste, ou discriminatoire à l’égard d’une religion, d’une orientation sexuelle, d’une nationalité, sans la relever avec réprobation et la contredire. Ainsi le veut le code moral imposé par les lobbyistes aux législateurs, aux médias par la loi, au public par les médias.
 

Obligation de contredire tout climato-sceptique qui veut parler  

 
L’affaire de Lord Lawson vient de démontrer l’extension de cette surveillance morale au domaine de l’environnement. L’homme n’est pas n’importe qui. Il fut deux ans ministre de l’énergie, puis six ans ministre des finances de Margaret Thatcher, comme tel chargé d’appliquer la privatisation et la réforme fiscale radicale qu’elle a menée. Toujours député conservateur, il était interrogé sur le programme Today de Radio 4, qui fait partie de la BBC. Il y a tenu des propos inacceptables au regard des normes actuelles, sans personne pour le contredire. Il a en effet affirmé que le corpus de données publiées par l’ONU « confirmait qu’il n’y a pas eu d’augmentation des événements climatiques extrêmes ». En ajoutant que « si l’on relève une tendance ces dix dernières années, c’est que la température moyenne du globe a légèrement régressé ».
 

La BBC s’excuse : extension du domaine de la tyrannie

 
Aussitôt de nombreux auditeurs se sont plaints à la BBC de cette déclaration climato-sceptique. Today a d’abord paru ne pas leur donner satisfaction, puis s’est rétracté en reconnaissant que l’interview de Lord Lawson constitue une « brèche dans la ligne éditoriale », et le directeur du bureau des plaintes de la BBC a présenté « ses excuses ».
 
Le lecteur attentif aura noté que Philippe Verdier, le monsieur météo de France 2, avait été licencié à l’automne 2015 pour avoir publié un livre timidement climato-sceptique, et qu’il a perdu son procès contre la chaîne aux prud’hommes en avril 2017. L’extension de la tyrannie morale au domaine du climat n’est donc pas neuve. Mais cette fois cela touche la BBC, qui a la réputation (qui fut longtemps justifiée mais qui ne l’est plus) de laisser la parole libre. Et cela concerne non pas un journaliste quasiment fonctionnaire, mais un invité : il ne faut plus, en aucun cas, qu’une personne de quelque poids puisse énoncer des faits contraires au dogme de la religion dominante sans subir l’assaut des picadors de l’antenne.
 
Une dernière remarque : le dogme de cette religion dominante s’accroit chaque jour de nouveaux canons, la tyrannie s’étend aussi bien au domaine de l’intime qu’au climat, elle pourra s’étendre demain à n’importe quel us, conviction ou science : le totalitarisme sans frontière, sans limite, c’est-à-dire le totalitarisme au sens strict, est en marche." "

Pauline Mille

rappelez-vous ce que j'ai écrit sur les ""vêtements liturgiques (http://miiraslimake.unblog.fr/2017/05/19/vetements-liturg.../) , sur les "calotins" de notre époque, la permanence de l'inquisition, des détails du régime nazi, etc.

 

 

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21/08/2018 | Lien permanent

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