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14/10/2021

la grande déchéance des lycées ( et des post-lycée, les fameux "diplômés du supérieur", cette racaille)

lu "la memvola servuteco" (la servitude volontaire) de La Boétie, le David Icke du XVIè siècle, un ouvrage d'actualité ! vu le "grand remplacement  "des français par les collabos !

Dans la préface de Leo kaj Gaïta Robert on dit que "li transdonis al siaj lernantoj penso-filozofion bazitan sur malakcepto de ŝablonaj ideoj, sur kritikemo, sur toleremo kaj respekto al aliuloj" il transmis à ses élèves une philosophie de pensée basée sur le refus des clichés (les petits cucubes à la momode par exemple !) sur l'esprit critique et sur la tolérance et le respect envers les autres"
Choses en effet que TOUT LE MONDE, tous les enseignants du secondaire, jusque dans les années 70, enseignaient, qui faisaient la substance et des cours de français et bien sûr de philosophie, mais aussi d'histoire, où systématiquement était valorisée la pensée critique et les libre-penseurs et l'intégrité intellectuelle (comme celle d'Etienne Chouard par exemple), et la richesse de la documentation, le sens de la nuance, des thèses et des antithèses, de la diversité des pensées, etc, de sorte qu'on était persuadé que les universitaires, devraient manifester encore plus ces caractères.
Aussi, je l'ai expliqué dans un de mes articles en espéranto sur Sennaciulo, on comprend le malaise, puis l'agacement, jusqu'à ce qu'au bout de dix ans de lecture assidue du journal "Le Monde" et diverses autres expériences, j'ai fini par m'apercevoir que c'est le contraire !!
Et de nos jours ses vertus ne sont pas seulement disparues des milieux de "ceusses qui sont payés pour penser" mais sont devenue interdites, taboues et diabolisée, les rares qui s'essayent encore à les pratiqués sont tout aussitôt diabolisés comme "populistes" (ach ! le peuple, la source de tout mal, seuls les riches bourgeois et sont détenteurs du vrai du beau et du bien ! ça redevient la vulgate !) "conspirationistes" "pseudo-sciences", "homophobes antisémites d'extrème-droite", quoi encore ? j'en ai oublié ? Bref de nos jours essayer de pratiquer ce qui jusque dans les années 70 étaient enseigné comme le BA ba de la discipline de la pensée, et de l'approche des idées et des penseurs divers de la culture, et des rapports a priori méfiants envers toute "pensée" officielle venant d'en-haut, est devenu un crime qui voue voue à la censure, voire à pire.
Le scrupule intellectuel est devenu un vice, voire un crime.
La tolérance, il n'en est plus question !

Quelle dérive hallucinante !
Et je suppose qu'on n'a plus le droit non plus de dire, comme autrefois le moindre inspecteur commençant une enquête ; "voyons, à qui profite le crime ?". Ce qui pourtant expliquerait bien des chose, ne fusse que ce phénomène lui-même !

* l'article en question

Ludi kun belaj buntaj kubĉjoj (sed nur la furorĉjaj)

Dum la du jardekoj (ni diros 1980aj kaj 1990aj) kiam mi asidue legadis la paperan gazetaron, mi iom post iom malkovris, unue konsterniĝe, nekomprene, poste pli kaj pli afliktite kaj kolere, ke la intektuloj, la « diplomitoj de superaj studoj », kaj la gazetistoj, la « kortbirdaro kiu diktas l’publikopinion », male al tio kion oni naive, rekte, racie, povus pensi, kiam oni kommence lernis folozofii, verki disertaciojn, studi, malkovri ĉies, ĉiepokajn, ĉiulandajn, ĉiudoktrinajn, ĉiuverkistajn pensojn, sentojn kaj hipotezojn, ne havas pli da profundeco, nek pli da senco de la nuancoj, kaj de la multfaceteco de la realo, nek da penslibero, nek da kritika spirito, kaj ke fakte la popolo estas, male al tio kion oni apriore povus pensi, PLI penslibera, sentabua, senantaŭjuĝa, konkreta kaj sane prudenta, ol la klaso « kiu estas pagata por pensi » ! Mi malkovris ke la klaso de la universitatanoj « pagataj por pensi » kaj la gazetistoj estas ege, multe pli ol la popolanoj, submetitaj al la konformismo, al ŝafeca sekvismo, al la intelekta terorismo, (kaj al la kariero ! …).

Plus loin :  "li senlace defendadis favore al la ekspluatatoj, la flankensasitoj, la marĝenuloj" (il prit sans relâche la défense des EXPOITES, des personnes laissées de côté, des marginau)  il n'y a plus un seul parti qui fait ça ! (surtout pas ceux qui se prétendent "de gauche" (et qui sont devenus des bourgeois européistes hyper-réactionnaires) ce sont des notions que les partisans, au pouvoir, du transhumanisme, méprisent souverainement, et parler d' "exploités" vous ferait aujourd'hui aussitôt taxer de "dépassés" "rouge-brun" "antisémite" !

C'est le résultat d'une opération bien pensée et intentionnelle, de la part de ceux qui y ont intérêt.....

"Comprenez bien que ça nous concerne tous !" 

13/10/2021

qu'est-ce que la révolution a changé à

* On devrait sur le modèle de la célèbre blague soviétique « Qu’est-ce que la Révolution a changé aux boucheries ?(1)» faire une série de textes sur « Qu’est-ce que l’époque actuelle a changé à -- ? »

Par exemple : Qu’est-ce que l’époque moderne a changé à la manière dont les enfants achètent des bombons ?

- Eh bien, avant les enfants allaient avec leur pièce dans une épicerie, et l’épicière, en souriant puisait les bombons dans un grand bocal de verre et les leurs remettait comme ça, ou tout juste dans un cornet de papier si c’était des bonbons collants.

- Maintenant (1990...maintenant c'est encore pire) ils vont dans un Supermarché, là ils trouvent des paquets de plastique, enveloppés dans du plastique, et contenant des enveloppes en plastique, au fond desquels se trouvent quelques bombons. Et ils n’ont pas le temps d’arriver à la caisse qu’ils se fond agresser par des vigiles privés qui leurs disent que les enfants n’ont pas à faire des achats eux-mêmes ni à pénétrer dans un Supermarché tout seuls, qui les menacent de la police et de la prison et qui vont les rendre traumatisés à vie, sans risquer pour autant de prendre 20 ans de prison pour ça...

 

- Le monde, les mœurs changent.

Autrefois on s'adressait la parole, même entre inconnus, maintenant si jamais vous adressez la parole à quelqu'un on fait semblent de n'avoir rien entendu ou bien on appelle la police ! Autrefois la vie privée était respectée (sauf par les voisins et par les curés), maintenant tout le monde est sous surveillance de la DDASS et autres. Autrefois on se déplaçait en train ou en car, ( et il y en avait PARTOUT de disponibles, et des hotels !) maintenant en voiture. Autrefois on mangeait principalement des tartines de pain, maintenant on ne consomme presque plus de pain, et en Belgique plus du tout. Autrefois les enfants jouaient sur la chaussée, maintenant ce n'est plus possible, et si jamais ils le font sur les parkings ils sont catalogué "loubards". Autrefois les animaux menaient souvent une "vie de chien", maintenant on les euthanasie, les humains aussi. Autrefois il y avait le clair de lune et les étoiles, maintenant l'éclairage urbain. Autrefois les pannes d'électricité, les bougies, la radio, aujourd'hui la télé. Etc.

 

 

-  Autrefois - plus loin ! - disons au XVII ème siècle, les grands drames d'amour venaient des amoureux qu'on empêchait de s'aimer et de s'épouser à cause des préjugés sociaux ou de l'autorité toute-puissante que les parents avaient sur leurs enfants (mêmes grands). C'était le principal sujet de la littérature.

De nos jours ce genre de drames n'existe plus (sauf dans les pays islamiques). de nos jours les drames d'amour viennent des enfants qu'on arrache à leurs parents ou au parent (généralement les hommes) auquel l'autre parent (flanqué là aussi de l'autorité des juges et de la police !) empêche de voir ses enfants; c'est l'équivalent XX ème siècle de la "plaie" et des drames de la société du XVI ème siècle, et c'est là que la littérature pourrait puiser des drames et de pitoyables tragédies ( et le cinéma commence en effet à l'aborder avec "Ladybird" de Ken Loach ou (en version comédie) "Mrs Doubtfire".

(par contre il y a des choses qui reviennent, français vous vous souvenez de l'ordonnance du 8 juillet 1942....
En Italie, citation du plus grand philosophe italien vivan :  "comment peut-on accepter que, pour la première fois dans l'histoire de l'Italie, après les lois fascistes de 1938 sur les non-aryens, on crée des citoyens de seconde zone soumis à des restrictions identiques à celles subies par les non-aryens")

 

27/09/2021

les experts de l'ONU sont corrompus !

Ainsi un rapport récent a conclu que des fondations privées financent directement des experts de l’ONU pour que ceux-ci rédigent des rapports allant dans le sens voulu par ces fondations privées. Ces rapports sont ensuite promus comme des recommandations indépendantes émanant de l’ONU (ou de ses agences ! l'OMS par exemple), et repris par des gouvernements et des juridictions internationales pour soutenir ou justifier leurs décisions. Ceci est en contraction flagrante avec le code de conduite des experts et les résolutions du Conseil des droits de l’homme. Les experts devraient être indépendants, non seulement vis-à-vis des États mais aussi vis-à-vis des fondations privées qui veulent aligner l’agenda des experts sur le leur.

Un exemple parmi d’autres tiré de notre rapport : Juan Méndez, Rapporteur spécial sur la torture entre 2010 et 2016 a été en même temps membre du conseil d’administration de l’Open Society Justice Initiative[2]. L’Open Society Foundations lui a fourni un financement sur deux ans de 200 000 USD pour financer son centre de recherche l’Anti-Torture Initiative qui l’assiste dans la rédaction de ses rapports[3]. En 2015, Monsieur Méndez a reçu 90 000 USD de la Fondation Ford, pour organiser une consultation d’experts sur le thème du "genre" et de la torture[4], puis pour engager un assistant de recherche en vue de la rédaction d’un rapport sur le gender et la torture et pour en faire la promotion[5]. Le rapport officiel de l’expert sur le genre et la torture fut publié par l’ONU le 5 janvier 2016 et promeut l’avortement dans les mêmes termes que les fondations qui l’ont financé[6]. À aucun moment le Rapporteur ne fait référence à la générosité de la Fondation Ford ou de l’Open Society Foundations.

On observe à nouveau que l’Open Society et ses fondations affiliées figurent parmi les plus généreux pourvoyeurs de fonds auprès des experts du Conseil des droits de l’homme, aux côtés de la Fondation Ford.

Il ressort également de notre enquête que la situation des experts varie grandement. Certains ne sont pas financés, d’autres résistent aux propositions ou démissionnent et sont donc très heureux que le travail d’enquête de l’ECLJ voit le jour. D’autres encore semblent accepter les financements privés sans réellement comprendre en quoi cela serait problématique et d’autres enfin acceptent avec plaisir les centaines de milliers de dollars pour promouvoir des causes qu’ils partagent avec les fondations, quand bien même ces combats idéologiques iraient au-delà de leur mandat.

Dans son rapport, l’ECLJ s’attache à expliquer les causes de cette faille dans la protection de l’indépendance des experts ; pourquoi des fondations privées investissent massivement dans les Procédures spéciales de l’ONU ; pourquoi ce sont bien souvent les mêmes qui agissent auprès de la CEDH et quelles solutions seraient envisageables pour éviter cette « capture » des experts onusiens ?

alors forcèment quand il y a des milliards de profits capitalistes en jeu, comme dans l'affaire des vaccins, c'est encore pire, c'est le bon sens même.

"nous vivons des temps historiques" eh oui comme en 1933-1944, mais on s'en serait bien passé ...

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Injections-Tout-doit-partir-!:8

23/09/2021

25,3% de pétainistes en France !

72,7% des français refusent le passeport vaccinal

(une fois de plus : si nous avion le TIRAGE AU SORT, promus par Etienne Chouard, David Van reybrouck, Paul Le Fèvre et Dupuis-Déri, jamais une telle chose ne passerait, car à peu près 73% des députés tirés au sort voteraient contre)

 

On est comme en 40-44, entre les êtres humains et les âmes d'esclaves nazis il ne peut plus y avoir que le mépris et la haine.

 

la Résistance :

le vrai lien pour la vraie émisioncomplète 2 HEURES :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

pour une partie seulement de l'épission 40 minutes , sur cette saleté de totalitarisme capitaliste anglophone de Youtube

 

maintenant, cerise sur la gâteau, et c'est une sacré "cerise" je vous assure, regardez ce témoignage de quelqu'un de bien placé pour avoir une vue concrète et chiffrée (et pas trafiquable, elle !)des choses : un entrepreneur de pompes funèbres, préparez-vous, vous allez apprendre ce qu'il a constaté", et comme on dit "ça déménage" ! accrochez-vous bien :

https://odysee.com/@Pigeon_Pige-TouT_Traduction:6/pompe-f...

21/09/2021

pour moi ce fut moins dramatique dans la mesure où ça l'est depuis longtemps

14/9/2021 Le fait que justement j’ai décelé, et me suis insurgé contre la dérive fascisante et totalitaire que connaît notre civilisation depuis plusieurs décennies (Valérie Bugault est une des rares je l’ai entendu à dire que c’est le continuation d’une évolution qui dure depuis des années), que déjà depuis des années on a perdu successivement les trains, les gares, les autocars, les hôtels, les consignes à bagages des gares, les églises (toutes fermées à double tour), qu’on a vu les villes envahies de vidéosurveillance, les cartes de crédit, la privatisation de tout, les cafés, l’intrusion de plus en plus calotinesque dans nos vies, etc. Et que donc depuis longtemps déjà maintenant je ne voyage plus, je ne prend plus l’avion pour ne pas passer dans les scanner rayons X et cette ambiance, qui était déjà angoissante en 1996, que je boycotte les supermarchés, et puis les centre-villes, les magasins et les restaurants à vidéosurveillance et toute cette merde immonde à vomir, tout ce que les gens à âmes de pétainistes collabos, ce n’est que maintenant qu’on se rend compte de la filiation, acceptaient de gaîté de cœur devant mes yeux de plus en plus désapprobateurs et de plus en plus révulsés, et l’euthanasie, l’avortement jusqu’à 9 mois, et toutes les saloperies actuelles, Bref que j’ai du prendre l’habitude de renoncer, dégoutté et ulcéré, à de plus en plus de choses et de lieux, et que ça fait déjà des années que je me fais livrer presque toutes mes courses surtout depuis que la rue Méaulens qui était la seule et unique rue d’Arras qui était restée une vraie rue de ville, avec des épiceries, cafés-restaurants, un horloger, a cessé elle aussi de l’être et que ne n’y mets plus les pieds. Donc la transformation de la France pour les gens en camp de concentration, ou en France d’après le 8 juillet 1942 pour les juifs, a fait pour moi un moins grand abîme que pour les autres ; seulement accru mon mépris, ma haine, et mon désespoir envers l’avenir de la Civilisation, déjà bien développé !!

20/09/2021

analyse du Dr Badel, psychiatre

Voici le texte entier du Dr Badel – source Ici.

COVID 19 : l’imposture

Malgré les nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique, malgré des recherches mondiales tendant à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, le gouvernement maintient une pression quotidienne à grands renforts de spots alarmistes, pénétrant un peu plus chaque jour dans notre vie privée et nous préparant à une vaccination.

La peur s’est installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions.

Elle se pérennise par d’autres mécanismes qui se superposent à ceux-ci.

L’absence de sens

Dans nos démocraties, nous sommes habitués à avoir des explications qui nous permettent de donner un sens, de comprendre ce qui nous arrive, ce qui arrive aux autres, d’orienter le monde pour nous y mouvoir et nous y adapter. Pour résumer, nous pensons que les personnes que nous avons élues œuvrent pour le bien commun. C’est un monde idéal, voire idéalisé.

Actuellement, le sens a disparu car tout et son contraire est dit sur le virus, et même les chiffres, éléments objectifs, ne sont plus pris en compte.

L’annonce de la catastrophe imminente nous maintient dans la plus grande incertitude et notre horizon se restreint. Les mesures de protection sont prises sans discussion, de façon arbitraire, le peuple étant totalement exclu et n’ayant aucune remarque à formuler.

Le gouvernement décide seul, avec le conseil scientifique covid19, de ce qui est bon pour nous, ce qui doit nous protéger, quitte à nous bâillonner, nous enfermer, nous sanctionner, nous tracer, nous exclure de nos emplois. Certaines villes sont frappées de privation de vie sociale, leur vie économique est réduite, laissant de nombreuses personnes sans emploi, dans l’angoisse du lendemain. Marseille hier en est le triste exemple. Quel sens donner à des décisions iniques ?

Privés d’éléments factuels et pertinents pour donner du sens, nous sommes de plus en plus sous emprise. Or, une personne sous emprise vit dans une terreur permanente qu’elle essaie de maîtriser en s’ajustant perpétuellement à la personne qui la dirige, pensant qu’elle est responsable de la situation et que, si elle opère les ajustements corrects dans son comportement, la situation s’améliorera. N’y parvenant pas, elle se pense mauvaise, justifie les mauvais traitements et sanctions qui peuvent lui être imposés, se culpabilise et augmente ainsi l’emprise, ou reporte la faute sur le voisin qu’elle sera prompte à dénoncer. Sa faculté de penser, son identité, s’amenuisent jusqu’à disparaître. Il devient alors très difficile de revenir à l’état initial, celui d’avant la peur et l’emprise. Celui du monde d’avant.

Les études rassurantes sur l’épidémie ou celles rapportant le caractère inutile, voire nocif du confinement, sont mises en quarantaine (ex : Full lockdown policies in Western Europe have no evident impacts on the covid-19 epidemic– Thomas Meunier, 24 avril 2020. ResearchGate).

Sous emprise (orchestrée par la propagande incessante couplée à la répression), nous sommes donc prêts à agir de façon irrationnelle, à nous faire tester pour ne pas risquer d’être dangereux, pour pouvoir travailler. Si nous sommes positifs, si nous détectons dans notre appendice nasal le signe d’un contact avec le virus, nous nous mettons spontanément en quarantaine pour ne pas nuire, empêchant ainsi l’apparition classique d’une immunité collective qu’on pourrait attendre.

Les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical.

Des files d’attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatiques ; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle (Swiss Policy Research).

Ces nouvelles habitudes rentent dans les mœurs. Nous sommes les grenouilles de l’expérience de Friedrich Gold : Gold testait la rapidité du système nerveux des grenouilles en leur infligeant un stress, à savoir faire monter la température de l’eau dans laquelle elles étaient trempées. Si la température montait brutalement, la grenouille s’échappait. En chauffant l’eau très graduellement, la grenouille se laissait cuire sans bouger et on la retrouvait morte. Même prise sous l’angle de la fable, nous pouvons craindre que le feu soit doucement allumé depuis mars par un gouvernement peu soucieux de notre santé.

De nombreux médecins étant contaminés par cette peur, certains malades ne sont même plus examinés. Ils sont atteints de la monomanie covid et la défiance des patients à leur égard commence à être perceptible.

Notre monde devient inhumain : les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, pour leur bien évidemment, et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus.

Nous développons la société du sans contact. Après que le sans-contact se généralise pour les paiements, il s’immisce dans les relations, y compris familiales.

Le maintien des comportements de sécurité inadaptés permet la propagation de la peur, de l’emprise, de l’idée de la présence menaçante du virus.

Nous sommes sous emprise, ne parvenons plus à réfléchir, nous nous laissons manipuler au point de nous transformer en grenouille.

Restreindre nos libertés, sur quel fondement ?

Si les décisions de restrictions de nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques.

Après les premières erreurs d’évaluation, le tort de nos dirigeants est d’avoir persisté sciemment dans l’erreur. Pourquoi maintenir des mesures liberticides, populicides (carence de soins, retard de prises en charge, suicides…) et nous pousser vers un avenir déshumanisé dans lequel tout est considéré comme dangereux ? Pour notre bien ?

Du point de vue ontologique, ce monde vers lequel nous allons est une aberration. Nous restons mortels et ne pouvons nous protéger de notre environnement bactérien et viral qui nous fonde. Les hominidés ont toujours vécu entourés de virus ; certaines pandémies ont décimé une partie de la population mais n’ont pas éteint l’espèce. Le virus actuel est loin de posséder le caractère agressif de la peste noire de 1348.

Vivre est dangereux, vivre est mortel, l’histoire d’une vie se termine toujours de la même façon. Une question plus intéressante à débattre est de savoir comment nous comptons vivre cette vie.

Le ministre de la santé a asséné que nous devions apprendre à vivre avec le virus. M. le ministre, cela fait plus de trois millions d’années que nous faisons ainsi et en tant que médecin, vous ne l’ignorez pas. Jusqu’à aujourd’hui, cela s’est plutôt bien passé. Depuis que vous avez l’orgueil de prétendre pouvoir contrôler la propagation d’un virus, toute une population souffre.

Le port du masque est une tentative de muselage des populations : pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, à regarder l’usage qui en est fait le plus souvent, (il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche de jean), il serait rendu rapidement inopérant. Le masque est inefficace, et il est dangereux : les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines. Il est vrai que réaliser une journée dans des conditions de privation d’oxygène est risqué.

On permet ainsi à des élèves masqués d’en fréquenter 35 autres également masqués chaque jour pendant 8 heures mais on interdit les regroupements privés de plus de 10 personnes. Dans les restaurants, on permet aux clients assis d’enlever leur masque mais on impose à ceux qui sont debout ou se déplacent de le mettre etc. Il n’y a plus aucune cohérence visible dans cette accumulation anarchique de règles dites sanitaires, il n’y a plus que l’arbitraire.

Le port du masque rassurerait la population entend-on parfois. En quoi les comportements de sécurité ont-ils jamais permis d’éteindre un signal de danger ? Au contraire, ils effraient.

Un proche me disait qu’il avait été arrêté dans la rue car son masque n’était pas positionné correctement. Quelle est cette police des mœurs qui émerge, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans?

A quand la lapidation publique pour avoir invité chez soi plus de dix personnes ?

Nous sommes poussés à la délation par des instances qui ont perdu toute boussole et refusent de regarder les données scientifiques.

La manipulation des chiffres : L’automne et l’hiver sont les saisons propices aux infections ORL et pulmonaires. Nous aurons donc des malades et des morts comme chaque année. Leur décompte, couplé à la détection systématique du covid, risque de gonfler les chiffres des « morts du covid » en ne les différenciant pas des « morts avec le covid », comme cela a été fait semble-t-il en début d’année 2020. Or, « Depuis le 1er mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019, et un excédent minime par rapport à 2018 (+1%). » (cf Nombre de décès quotidiens, France, régions et départements, www.insee.fr, 18/09/2020).

Ce risque d’amalgame est du reste déjà réalisé, favorisé par l’emploi systématique du mot « cas », source de confusion. Les chiffres présentés par le gouvernement sont ainsi ceux des seuls cas positifs. Or, comme l’explique de façon simple et pédagogique le Pr. Raoult, pour interpréter un phénomène, il faut croiser différentes données. On peut parler de 16000 cas positifs sans qu’il n’y ait aucun caractère inquiétant si la létalité n’est pas supérieure à ce qu’elle est habituellement à la même période, ce que les données de l’Insee semblent attester. Quant aux 41 morts décomptés récemment comme si une catastrophe était survenue et pouvait justifier encore les restrictions qui suivaient, ils n’ont rien d’alarmant.

Alors pourquoi une telle manipulation alors même que le virus aurait connu des mutations importantes et perdu de son agressivité ? Pourquoi ne pas relayer cette information et, plutôt que d’attiser les peurs, calmer les esprits ?

Nos dirigeants ont complètement perdu le sens des réalités car ce sont pourtant ces chiffres répétés chaque jour qui permettent à Marseille de renouer avec l’époque des grandes épidémies, lorsque la ville était bouclée. Nous agissons comme au temps d’avant les lumières, d’avant la science, en plein obscurantisme moyen-âgeux.

La dictature sanitaire

Le projet est déjà bien engagé, la vaccination des professionnels de santé contre la grippe étant d’ores et déjà annoncée. En sera-t-il de même pour le Covid quand, demain, il faudra écouler le vaccin contre un virus alors qu’il a déjà disparu ? Car il faudra bien que les laboratoires aient un retour sur investissement. Le corps des soignants appartient-il au gouvernement, aux laboratoires ?

Pour la première fois de l’histoire, un vaccin va voir le jour en un an. On peut espérer que nombreux seront ceux qui douteront des conditions de sécurité de son élaboration (raccourcissement des durée des phases 1, 2 et 3), de sa tolérance et de son efficacité. Les laboratoires eux-mêmes ont du reste déjà prévenu que les premières versions ne seraient ni les mieux tolérées, ni les plus efficaces !

Osons une petite prospection, le gouvernement en fait bien depuis le début de cette crise en annonçant tous les 15 jours l’arrivée de la deuxième vague depuis avril : la pente idéologique nous conduit prochainement au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile (je vous laisse le choix de la couleur). Les applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide de votre smartphone et de votre carte vitale, la surveillance sera totale.

Ces gens qui nous gouvernent n’étant pas stupides et disposant des mêmes chiffres que nous, nous pouvons craindre le pire pour nos droits fondamentaux.

Conséquences psychiatriques à ce jour des mesures iniques et arbitraires :

Aujourd’hui en pratique clinique, je vois des patients anxieux qui auparavant allaient bien, des patients déprimés, que la perte de sens ou de travail conduit au suicide. Certains également culpabilisent de rendre visite à leurs parents, qu’ils craignent pour eux-mêmes ou pour les autres ; je vois aussi des anciens qui pleurent de ne plus avoir de contact avec leur descendance. La possibilité de se rencontrer, d’échanger, de se toucher, disparaît, les lieux festifs ferment etc.

Et je vois, comme chacun de nous, des conducteurs masqués, seuls au volant de leur voiture, des joggeurs masqués…

Le peuple se porte mal car il est maltraité. Le monde qui se dessine est un monde qu’il ne souhaite pas et d’où la vie, ou tout ce qui rend la vie passionnante, s’échappe.

Un premier pas de raison serait de mettre fin immédiatement à l’état d’urgence, de rouvrir les lieux de convivialité qui ont été fermés, de rendre facultatif le port du masque à l’extérieur, d’arrêter de tester les personnes asymptomatiques.

Dr BADEL Frédéric
Psychiatre

(Maintenant souvenez-vous de comment ça s'est passé en  Allemagne nazie en 1933 .. . il y a des comparaisons intéressantes à faire .......)

Relisez mon analyse (ou celle d'auteurs plus "côté" !  tels l'éditeur anarchiste Michael Paraire, ou le philosophe Michel Weber !) qui identifie une tendance historique "lourde" au fascisme, qui a connu sa génèse durant le XIXè sicle, et dont on a connu un premier accès virulent dans les années 30, "surfant" sur la grande peur des possédants, bourgeoisie, rentiers, konzerns, banques, devant une révolution bolchévique comme en Russie, mais dont l'essence est dans ce que Zygmunt Bauman a appelé "l'esprit de la modernité". et regardez cette discussion entre trois gars du show-biz qui ont bien compris (et le disent, et donc sont censurés ! forcément ! logique ! un enfant comprendrait !) :

https://odysee.com/@JimmyR:8/En-Direct-Des-artistes-d%C3%...

diffusez cette vidéo au maximum, (comme on faisait pour les samizdats en URSS, ou pour les numéros clandestins des journaux de la Résistance en 1942, tels France-Soir !), il faut que les gens sachent !

https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/Cobaye-gratuit-:8
Si certaines catégories n'ont pas leur carte du NSDAP à jour de cotisation ils perdent leur boulôt, oui, comme les juifs sous Hitler (et Pétain)

les confinement la "distanciation", les couches-culottes sur le visage, tout ça n'avait pour but que de mettre la population dans un état de psychose, pour obtenir leur acceptation de l'inacceptable :
https://odysee.com/@BobTremblay:6/8037.1:d

15/09/2021

Vive l'instruction en famille ! encore une date à retenir : la loi du Reich du 6 juillet 1938...

On n'est nul besoin d'être chrétien intégriste ni musulman, ni antirépublicain (!) pour trouver que le combat de Farida Belghoul pour la défense des ENFANTS, des INDIVIDUS CONCRETS? des ETRES HUMAINS VIVANTS AVEC UN CŒUR, UN DESTIN, UN FOYER, et LA PEUR CHEVILLEE AU VENTRE est absolument primordial !  à partir de 1 heure 45 elle explique le TRES TRES GRAVE problème maintenant qu'affrontent ceux qui veulent échapper à la jungle totalitaire de l'école et pratiquer l'école à la maison, ET C'EST CETTE ANNEE OU JAMAIS !!!! elle vous explique pourquoi :

et pour ceux qui veulent par solidarité avec les malheureux parents crevant de PEUR faire un don par chèque il y a sous la vidéo une adresse et elle vous donnera une adresse pour envoyer les chèques

 

(ET n'oubliez pas : un enfant qui n'a pas appris à lire par la méthode syllabique ne SAIT PAS LIRE ! d'où des problèmes sans fin (et tous ces adultes et ETUDIANTS qu'on voit partout maintenant sur Internet faire des fôtes enaurmes ! pas du Bernard Pivot !! des fautes d'enfants de classes primaires ! Farida se bat aussi sur ce terrain)

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https://laveritesansmasque.blogspot.com/

https://ru-clip.net/video/2kldCihC5-A/le-masque-pour-les-...

Vendredi 2 octobre Macron a prononcé un discours aux Mureaux (1) dans lequel il appelait au « réveil républicain » face au « séparatisme islamiste ». Fustigeant les « comportements de certains » et leur opposant les « valeurs de la République », il a entre autres rappelé l’importance de l’école comme « creuset républicain », « cœur de l’espace de la laïcité », et lieu où former « les consciences pour que les enfants deviennent des citoyens libres, rationnels, pouvant choisir leur vie ».

À ce titre, outre le renforcement de l’encadrement des écoles hors contrat et la suppression des “ELCO”, ces “Enseignements en langues et culture d’origine” faits par des ressortissants contractuels des pays concernés dépendant des ambassades (mais remplacés par des contrats de même type, simplement plus encadrés), l’instruction en famille se retrouve dans le collimateur du gouvernement qui souhaite l’interdire, sauf raisons médicales.

Cette mesure ne passe évidemment pas auprès des associations et des parents des quelque 50 000 enfants qui bénéficient de cette possibilité d’instruction en famille.

Cette annonce, faite du jour au lendemain et devant prendre effet, après le vote de la loi, dès la rentrée de 2021, est vécue extrêmement mal par des familles qui pour beaucoup n’ont pas d’autre choix. (2)

Cette possibilité est pourtant très encadrée par les inspecteurs de l’Éducation Nationale et par les mairies. Les contrôles sont réguliers, et les sanctions, avec retour des enfants dans le cadre scolaire, tombent si une suspicion de conditions de vie et d’apprentissage non conformes est soulevée. (3)

Quant à la menace de "radicalisation" (sous entendu radicalisation islamiste)  des enfants scolarisés à la maison, nombreux sont ceux qui font remarquer que les terroristes qui ont agi ces derniers temps, soient avaient usé leurs culottes sur les bancs de l’école publique, soit n’avaient pas fait leur scolarité en France !

Le premier rapport annuel publié en 2003 par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) a fait le constat que la « suspicion de dérive "sectaire" n’est apparue que très rarement lors [des] contrôles [pédagogiques] » menés par les inspecteurs d’académie. En 2006, l’agence gouvernementale rappelait à nouveau qu’« il faut se garder de considérer que les parents qui éduquent leurs enfants à domicile ou les établissements privés hors contrat relèvent de la sphère des activités de nature sectaire ». (4)

La mesure annoncée par Macron semble donc être soit un effet d’annonce, soit une utilisation d’un problème réel pour faire – enfin – passer une suppression que la majorité des politiques essaie d’imposer depuis longtemps déjà. On peut ressortir par exemple un projet de loi de 2013, « visant à limiter la possibilité d’instruction obligatoire donnée par la famille à domicile aux seuls cas d’incapacité » (5).

Qui sont donc les parents d’élèves non scolarisés à l’école ?
Pour quelle raison font-ils ce choix ?
Et pourquoi devrions-nous tous nous sentir concernés par cette perte de liberté, même si nous n’envisageons pas ce mode d’apprentissage pour nos propres enfants ?

 

L’instruction en famille ?

« L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix. » (6)

Traduite en ces termes dans le Code de l’Éducation, l’obligation d’instruction décidée par Jules Ferry en 1882 a toujours respecté, en France, la liberté de choix des parents. Si l’instruction est obligatoire, l’école ne l’est pas.

On retrouve la même liberté dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 : « Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. » (7) (article 26-3)

Si de nombreux pays interdisent l’instruction en famille, comme par exemple l’Allemagne depuis une loi du IIIe Reich du 6 juillet 1938 sur laquelle les Allemands ne sont pas revenus, cette liberté de choix n’avait pas été remise en cause en France jusqu’en 1998.

Depuis la loi du 18 Décembre 1998, sous le gouvernement Jospin avec le ministre Claude Allègre, le fameux « dégraisseur de mammouth », comme ministre de l’Éducation Nationale, les attaques contre cette liberté de choix se sont intensifiées.

En 1998 fut imposée la priorité à l’instruction à l’école et les contrôles des familles devinrent systématiques.

Puis, des mesures ont été introduites régulièrement pour renforcer les contrôles et imposer aux familles de suivre strictement le programme de l’Éducation nationale, ou dernièrement le « socle commun de connaissance et de culture ». La liberté pédagogique est diminuée au maximum, les enfants lors des contrôles sont soumis à des exercices écrits et oraux, dans un climat souvent très mal vécu par les familles.

La loi « pour une école de la confiance » votée l’année dernière, en plus d’étendre l’obligation d’instruction de 3 à 16 ans et d’imposer une obligation de formation de 16 à 18 ans, a achevé de donner un carcan à l’instruction en famille.

 

Pourquoi des familles choisissent-elles l’instruction en famille ?

Même s’il est en augmentation, ce choix reste peu utilisé en France. Il est en revanche en plein essor dans les pays anglo-saxons, où il a fait l’objet de bien plus d’études qu’en France. On peut les utiliser pour comprendre ce qui peut motiver les familles, même si le cadre sociologique français n’est pas le même.

Les motivations des familles, qui ressortent lors du recensement, en Amérique, et qui sont le plus avancées, sont :

  • la supériorité de l’éducation des parents à la maison (50,8 %)  ;
  • les motivations religieuses (33,0 %) ;
  • la mauvaise qualité de l’environnement scolaire (29,8 %) ;
  • l’objection au contenu des programmes scolaires (14,4 %) ;
  • le niveau insuffisant de l’enseignement scolaire (11,5 %).

On peut y ajouter les motivations liées à la santé et au handicap, au mode de vie familial (itinérance, éloignement géographique des établissements…), ou liées au vécu des parents de leur propre scolarité.

Dans « Instruction(s) en famille, Explorations sociologiques d’un phénomène émergent »(8)  Philippe Bongrand et Dominique Glasman expliquent que malheureusement en France ces motivations sont passées sous silence, et que les médias mettent surtout en avant soit des profils particuliers prônant l’épanouissement de l’enfant avant tout, soit des discours inquiets de la « radicalisation » à l’œuvre au sein de ménages non scolarisants.

            Ils regrettent que si ces profils, certes, existent, ils détournent l’attention du reste des familles qui ont fait ce choix, alors même que souvent de grandes souffrances se cachent derrière cette décision, vécue comme le recours de la dernière chance.

            Et pour détourner encore un peu l’opinion publique de cette liberté d’instruction chez soi, sont également mis en avant les problèmes de sociabilisation, qui ne pourrait se faire que dans le cadre scolaire, ce que réfutent les partisans de l’école à la maison. Des études anglo saxones montrent au contraire que les résultats de la scolarisation à la maison en terme de socialisation sont très positifs. (9)

Et le niveau scolaire ?

            Toutes les catégories socio-professionnelles utilisent l’instruction en famille, de nombreuses aides existant, depuis la scolarisation par le CNED (ex-CNTE) en France, ou les réseaux d’entraide entre parents. Cette possibilité n’est pas réservée, dans les faits, même si c’est une contrainte, aux classes les plus aisées. Il semblerait de plus que l’implication des parents dans l’instruction des enfants gomme les inégalités sociales et qu’elles n’aient pas d’impact négatif sur les résultats des enfants.

            Des études faites aux Etats Unis montrent que les enfants non scolarisés ayant passé des tests standardisés donnés habituellement aux enfants scolarisés ont des scores en général plus élevés. Et si globalement, le sentiment des parents pratiquant l’IEF est que leurs enfants s’en sortent mieux, également lors de leurs études supérieures ou une fois de retour dans un cadre scolaire, en tout cas les injonctions à retourner dans le système scolaire faites lors des contrôles sont rares, et rarement à cause du niveau.

            Une chose est sûre, si pour l’instant seulement 0,3% des enfants n’est pas sur les bancs de l’école, ce nombre augment de plus en plus en France ces dernières années (10) et le niveau de l’école publique est de plus en plus montré du doigt, inquiétant de plus en plus les familles.

            On peut se rendre compte de ce problème de niveau de notre système scolaire public simplement en étudiant le rapport de 2018 sur la journée défense et citoyenneté : près de 20% des jeunes ne maîtrisent pas des fondamentaux de la langue française et pour près de 10%, la lecture est non maîtrisée, au point de s’apparenter à un handicap pour 5% des jeunes ayant passé la journée d’appel. (11)

            Et si le classement PISA nous met toujours dans la moyenne des pays de l’OCDE, le niveau des élèves restant sable ces dernières années (mais peut-on s’en féliciter, quand notre système scolaire était envié, dans les décennies après guerre?), il est relevé que nous sommes champions… en inégalités, ainsi que sur un point très inquiétant pour l’avenir de notre pays : seuls 9% des élèves testés par PISA sont encore capables de faire la différence entre un fait et une opinion ! (12)

            Comment Macron peut il vanter l’école de la République, formant «  les consciences pour que les enfants deviennent des citoyens libres, rationnels, pouvant choisir leur vie », quand le résultat que l’on obtient c’est qu’une écrasante majorité ne peut distinguer fait et opinion, n’étant par là même plus capables de garder une pensée libre ?

            Comment ne peut on voir que ce n’est pas la « radicalisation » supposée des familles qui pousse à l’augmentation du nombre d’enfants instruits en famille, mais cette inquiétude pour nos enfants, liée au niveau de l’école, et aux difficultés rencontrées par certains, harcèlement, difficultés de scolarisation, désert scolaire dans certains lieux ?

            La première des solutions si l’on veut maintenir le maximum d’enfants à l’école, c’est de faire en sorte que ce ne soit pas un lieu qui renforce les inégalités, que ce ne soit pas un lieu qui nivelle le niveau des élèves par le bas et rogne leur capacité à penser, que ce ne soit pas un lieu qui maintienne les élèves dans un carcan où ils n’auront d’autre choix que de suivre la voie imposée même si leurs aspirations sont autres. Que ce ne soit pas un lieu situé trop loin de la maison, parce que l’on a décidé de faire des regroupements d’écoles trop petites et jugées non rentables. Ou que les choix de matières ne soient pas imposés par les restrictions budgétaires. (13)

            Il faut que l’école soit un réel lieu d’instruction, qui respecte l’envie d’apprendre des enfants, qui croit en leurs capacités et leur donne envie de réussir, qui leur donne des bases solides sur lesquelles ils pourront bâtir leur libre arbitre, et leur vie.

            Actuellement malgré les efforts et l’implication admirables des enseignants qui pour beaucoup se battent contre des moulins à vent, le « creuset républicain » ne forge plus l’élite de demain, mais la main d’oeuvre soumise qui créera la richesse des actionnaires de leurs futures entreprises.

            Dans ces conditions, l’instruction en famille devient une nécessité, un droit absolu pour tous ceux qui veulent une alternative autre qu’une école privée.

            C’est une liberté qui permet à de nombreux enfants de trouver un moyen de continuer à s’instruire.

            C’est un droit que chacun peut être amené à utiliser un jour, même pour une courte durée, pour passer un cap difficile.

            A l’UPR nous nous battrons toujours dans ce but, car comme l’écrivait Condorcet il y a plus de 200 ans,

L’inégalité d’instruction est une des principales sources de tyrannie (14)

 

(1) : https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/10/02/la-repub...

https://www.lefigaro.fr/politique/lutte-contre-les-separa...

(2) : https://www.liberation.fr/france/2020/10/04/ecole-obligat...

(3) : https://cache.media.eduscol.education.fr/file/Actualites/...

(4) : https://www.derives-sectes.gouv.fr/publications-de-la-miv...

https://www.derives-sectes.gouv.fr/publications-de-la-miv...

(5) : https://www.senat.fr/leg/ppl13-245.html

(6) : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI0...

(7) : https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/...

(8) : https://journals.openedition.org/rfp/8566

(9) : http://www.rama.1901.org/vens/jen/res-search.htm

(10) : https://laia-asso.fr/chiffres-etudes/

(11) : https://www.education.gouv.fr/journee-defense-et-citoyenn...

(12) : http://www.slate.fr/story/184872/classement-pisa-jeunes-1...

(13) : https://www.upr.fr/france/suppression-doptions-de-postes-...

 

Le "masque", parlons-en... Contre des virus, cela revient, en substance, à prétendre se protéger des piqûres de moustiques en s'enrobant d'un filet de pêche ! C'est donc uniquement un symbole : Le fait de le porter en public signe l'ignoble marque de notre SOUMISSION volontaire... (Comme le salut "Heil Hitler !" en d'autres temps) Nous sommes loin d'en sortir, du supermarché aux morts-vivants (zombies)... (au fait boycottez les Supermarchés et toutes les grandes surfaces !!!! achetez uniquement sur le marché ou dans le petit commerce !
En aparté: "domestication" est le terme et le concept adéquat, "vérifiables à chaque instant" !

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13/09/2021

Herr Wilhelm Frick ministre de l'intérieur du Reich vous connaissez ? - et son arrêté du 13 juillet 1933 ??

les gens qui ont accepté, bien "citoyens" , bien décents, bien "responsables et "solidaires" devant le danger du virus communiste de faire tous ce geste ridicule "Heil Hitler !", ceux qui acceptent de mettre une couche-culotte sur leur visage en entrant dans un magasin, sont de la même nature, pensez-y !!

Et aussi ceux qui depuis des années acceptent passivement que des entreprises capitalistes totalitaires (c'est un pléonasme !) INJECTENT des cookies à demeure DANS LEURS ORDINATEURS ! sont de la même nature et sont tous ceux qui comme disait Graham Greene dans Le Facteur Humain "sont ceux pavent l'Enfer"

Si vous avez un minimum de dignité et d'intelligence, pensez à tout ça !!!!

 

Les conséquences psychologiques vont être absolument dramatiques voir ineffaçables, déjà des milliers d’enfants doivent craindre de reprendre les cours avec la couche faciale (encore) … même Adolf Hitler n’aurait pas fait subir ça.

12/09/2021

leur gentille petite âme d'esclave .....

quand on pense à la spectaculaire transformation

 

qui s'est opéré en moins d'une décennie on reste pantoi, et effrayé, épouvanté, devant le degré de soumission, l'âme d'esclave, des français (ça a été beaucoup plus vite que pour les habituer à accepter le service militaire obligatoire : il y avait bien fallu une génération entière et des tonnes de gendarmes et de répression, plus des milliers de sermons des curés aux ordres - comme toujours ! - il y a eu énormément de refus et de révolte, pendant longtemps, j'ai lu un livre là-dessus) : quand je suis arrivé à l'IA par exemple on fumait partout, dans les cafés un non-fumeur n'aurait pas eu intérêt à rouspéter il se serait fait regarder de travers, le premier bureau où j'ai travaillé était un vrai fumoir, empesté comme on ne peut pas imaginer, et j'ai du choisir quand on a réorganisé les bureaux en 4 celui où personne ne fumait. Plus tard on a interdit de fumer dans les bureaux, alors tout le monde allait à la cafétéria. Ensuite, même les couloirs et la cafétéria ont été interdits, c'est à dire c'est là que le balancier est tombé du côté de la persécution et du refus de toute liberté et de toute vertu sociable ..... Puis même les cafés et les bureaux de tabac (mais par contre les trottoirs sont toujours aussi empestés par les émanations des voitures et les micro-particules diesel bien plus dangereuses que le tabac, et contrairement aux cafés, aller sur un trottoir ce n'est pas un choix, mais une obligation. Pareil pour la campagne qui est devenue un nid à cancers et à leucémies, avec tous les traitements de toxiques agricoles, j'ai connu trois personnes qui en sont mortes.) Maintenant, inutile de vous faire un dessin, les fumeurs sont réduit à l'état de parias comme les juifs sous les lois de Vichy, ils n'ont plus le droit de seulement entrer nulle part. Et les gens obéissent, tous, sans broncher !!!! (quand on se souvient de leurs comportement vingt ans avant c'est positivement incroyable, tout ça par la simple soumission devant le règlement ! ou le sentiment de culpabilisation entonné dans le crâne ?) sans rechigner spontanément, ils vont,comme les juifs avaient tous bien gentiment accepté de coudre de leurs propres petites mains une étoile jaune sur leurs vêtements, pour ne pas être en infraction avec la loi, parce qu'un citoyen bien discipliné doit faire comme ça, les fumeurs comme du bétail à la bétaillière vont fumer dans le froid sous la pluie (je ne vois pas le plaisir que ça peut encore avoir dans ces conditions) sous les regard méprisant des aryens, pardon, des non-fumeurs, haineux et bien-pensants.

Et ça degré par degré mais en pas plus de dix ans - en 1990 et quelques années encore après, malgré les tonnes de propagande déjà, c'était encore la pleine liberté, et de facto le règne (arrogant même !) des fumeurs partout – c'est fou !
Et affolant !
Très inquiétant. …..

Quelle va être la prochaine ????

Dont on sait déjà que les gens vont s'y plier, biens soumis, avec leur gentille petite âme d'esclave .....

 

ainsi maintenant les juifs à qui on demande de contrôler la validité de leur carte du NSDAP, non pardon ! des passeport vaccinaux des gens dont ils ont la charge disent "dura lex sed lex", c'est à dire exactement la même chose que leurs parents disaient quand on leur a obligé de porter l'étoile jaune et quand l'ordonnance du 8 juillet 1942 les a de la même manière que nos nouveaux "pas-aryens" interdit de tout lieu public et de toute vie sociale.....

incorrigibles !
Comme a dit Churchill dans un discours de 1948 "ceux qui refusent de tirer les leçons de l'histoire seront condamnés à la revivre"

26/08/2021

ce qu'on espère tous, c'est un second Tribunal de Nüremberg, et de nouvelles potences

Comme il y a 80 ans ça a commencé par un génocide, celui des vieux au rivotril, (après celui des trisomiques grâce au "test non invasif" (lisez Jean-Marie Le Mené -  et la mise à mort planifée de Vincent Lambert, notre Aktion T4 . Comme il y a 80 c'était un "business-plan" du grand capital (relisez le premier chapitre du prix Goncourt 2017 "l'ordre du jour") -

mais la guerre de 40-44 a été gagnée grâce au sacrifice de 19 millions de soviétique, et à Stalingrad. Ici l'entreprise fasciste est mondiale, Klaus Schwab, OMS, l'hyper-classe du NWO.

En face aucune grande puissance ! elles sont toutes du côté de la folie totalitaire et esclavagiste; alors ? Louis Fouché ? Reiner Fuellmich ? "Combien de divisions ?" dirait Staline !

Si vous savez l'Espéranto lisez mon article sur Sennaciulo "Longdaŭra historia tendenco aŭ la faŝismo 2.0"

 

et on s'apperçoit, une fois de plus trop tard, que Georges Bernanos, dans son dernier livre, était prophète, Georges Bernanos dans « La France contre les robots » :

« Je pense depuis longtemps que, si un jour, les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. "