15/07/2018
"ça, c'est du pain d'alouette !" vous connaissez ? vous en avez déjà mangé ?
Tout le monde sait, j’espère, ce que c’est que du « pain d’alouette » ? C’est du pain, plus vraisemblablement des tartines ! qu’on a emporté au matin pour aller travailler dans les champs, et qui n’a pas été mangé durant la sortie, et qu’on mange après être rentré à la maison, et donc du pain qui a passé la journée dans les champs, et qui a été, en quelque sorte baptisé par les alouettes.
(Car, à l‘époque dans le Nord quand on était dans les champs, ce qu’on entendait c’était les alouettes, et non pas les voitures ronflant sur la Voie Rapide d’à côté !!!!)
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10/07/2018
si ça dérancge le régime c'est que ça doit être bien !
lisons cet article, mais pas passivement et obéément, comme ils voudraient, lisons-le de manière critique, en réfléchissant ! et en se posant des questions
Qui sont les "Hikikomoris", ces jeunes Japonais qui vivent reclus dans leur chambre ? ULTRA-MODERNE SOLITUDE - Une jeune personne qui reste cloîtrée chez elle pendant plus de six mois sans aller à l'école ou au travail et avec pour tout contact humain les relations avec des membres de sa famille. (ben !!! on n’en demande pas plus !! Quel est le problème ??
Bandes de capitalistes étatiques!!) Ce phénomène a un nom : les "hikikomoris". Il a émergé au Japon à la fin des années 90 et se répand désormais partout dans le monde, y compris en France. Kezako "Hikikomori" ? Ce terme, qui signifie "se retrancher" en japonais, est utilisé pour désigner un "mal contemporain", un "trouble de conduite" (ça y est ! Encore la normalisation à outrance ! Le totalitarisme!!) qui frappe les adolescents comme les jeunes adultes. Que font-ils pour susciter une telle appellation ? Ils se retirent, ils se cloîtrent, le plus souvent dans leur chambre, pendant plusieurs mois ou plusieurs années, et n'en sortent pas, ou si peu. Dans cet espace solitaire, ils s'exilent sur Internet, (Internet ce n’est pas un exil !! c’est au contraire une ouverture sur le monde!!! que les autres n’ont pas ! Ce sont ceux au contraire qui n’explorent pas Internet qui sont coupés du monde ! ) jouent à des jeux vidéo, rompent leurs liens avec les autres, avec l'école, avec le monde du travail (c’est à dire de l’exploitation capitaliste ! Tu parles!!!) . Pour faire quoi ? Pour ne rien faire. Un phénomène déconcertant de "néantisation existentielle" manifestant un désintérêt total pour le monde « réel », ayant émergé dans les années 90 au Japon, touchant près d’un adolescent sur cent et prenant aujourd'hui une nouvelle dimension avec le vieillissement de ces centaines de milliers de reclus. Ainsi, dans une étude parue en 2016, plus d'un tiers des personnes "hikikomori" interrogées disaient s'être mises en retrait de la société depuis plus de sept ans, contre 16,9 % en 2009.
Comment devient-on "hikikomori" ?
Si l'on en parle de plus en plus ouvertement, si même des filmsl'ont mis en lumière, le phénomène "hikikomori" reste mal compris, souvent lié à des "relations difficiles à l'école" (soit ce que l'on appelle au japno "l’ijime", le harcèlement scolaire – (preuve que l’éducation collective c’est pas sain !), à la peur du "monde professionnel"(pas étonnant, vu que c’est celui de l’arbitraire patronal cynique !) , ou à une difficulté à trouver sa place dans le « monde » (euh .. le monde c’est d’abord le monde naturel je te signale !) Pourtant, il s'avère bien plus complexe qu'une simple « dépression », prenant les atours d'un rejet radical des normes sociales, s'exprimant en réaction à la figure de l'individu autonome et « performant » (je vois …) dans une société japonaise vieillissante ayant brutalement évolué d’une société traditionnelle à une société occidentalisée : "Les Hikikomoris ne sont pas armés pour le passage entre l’enfance et l’âge adulte, ils s’enferment pour se détacher des modes et des injonctions de la société", affirme Kayo Ikeda, psychologue clinicienne. "Ils ne pensent à rien, (ah oui ? Ça ne serait pas plutôt qu’ils pensent tout le temps, au contraire et enfin librement ?) n’ont aucune ambition, aucune préoccupation vis-à-vis de l’ « avenir » (...) et s’affirment par une absence totale d’idéal de vie (vu que le vie mène invariablement à la mort, quel « idéal de vie » peut-on avoir ? Réfléchis un peu !! conditionné de mes deux ! Lis Blaise Pascal ! etc). Ils questionnent notre rapport à la reconnaissance sociale (très bonne initiative). Ils interrogent les fondements même de notre société moderne." Un ouvrage publié par le psychiatre Tamaki Saito en 1998 en a alors fait un véritable sujet de société. Une interprétation socio-économique a assimilé cette mouvance comme un effet de la "décennie perdue" des années 90, c'est-à-dire la crise ayant vu le Japon sombrer dans une période de déflation et de montée du chômage. Et donc comme à une forme de résistance à la normativité de la compétition qui touche 70 à 80% des hommes, la plupart âgés de 15 à 35 ans (le pendant féminin du "hikikomori" serait, selon la psychologue, l'anorexie). Ce qui tient ces otakus en éveil ? Les jeux vidéo, les forums ou des jeux en ligne, la démocratisation de l’Internet...
Loin d'être cool, le "hikikomori" constitue un coût comme un joug pour les familles, isolées à leur tour tant elles sont incapables de demander de l'aide. Une position très difficile, à la fois financièrement et émotionnellement.
En France, le phénomène et la catégorie elle-même restent peu connus Au gré des années, cette expression très radicale de l'ultra-solitude venue du Japon tend à s’étendre dans toutes nos sociétés modernes, aux États-Unis et en Europe à travers le nombre grandissant de NEET, ces jeunes de 16 à 18 ans qui préfèrent devenir SDF plutôt que de s’insérer socialement et qui veulent se prémunir de ce qu’on appelle le "burn-out" en Europe et "kiroshi" (mort par excès de travail qui concerne un actif sur cinq) au Japon. Le pays du Soleil-Levant a été précurseur dans la reconnaissance de ces jeunes adultes et dans la prise de conscience. Aux Etats-Unis, c’est encore tabou. En France, il n’y a pas de mot spécifique pour les désigner. Dans le livre Hikikomori, ces adolescents en retrait (Maïa Fansten, Cristina Figueiredo, Nancy Pionnié-Dax, Natacha Vellut, 2014), on nous explique pourquoi, en Occident, les conditions sont réunies pour qu'émerge une mouvance comparable aux Hikikomoris ailleurs qu'au Japon : "En France, le phénomène restent peu connus (bien moins repris par les médias qu'en Italie, par exemple). Il est principalement perçu à travers d'autres catégories existantes : sous l'angle de la déscolarisation, du décrochage scolaire ou, en termes psychopathologiques, à partir des catégories de phobie scolaire ou de refus scolaire, ou plus généralement de phobie sociale." Au Japon, le phénomène se révèle pris très au sérieux. À tel point que le ministre de la Santé a, pour l’année 2018, demandé l’équivalent de 20 millions d’euros de crédits pour aider les hikikomoris à retourner dans "le droit chemin" ( "le droit chemin" ! je vois ….) . La plupart finissent en effet par sortir de cette forme de solitude, au bout de quelques mois ou de quelques années (le record est de près de 20 ans !). Si la situation dure trop longtemps, ces derniers pourraient se retrouver face à une autre peur, celle de mourir seul. Une phobie qui a également un nom au Japon - "kodokushi" - et très répandue dans un pays vieillissant, en manque d'enfants. (en France aussi)
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01/07/2018
Burkini
1902 - femmes en burkinis sur la plage de Sainte-Adresse :
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28/06/2018
un peu d'bon sens s'y'ou plait ! (et d'humanisme, mais ça ça serait trop vous demander j'en suis persuadé)
Alors comme ça je suis un "homme voilé" ?
Ben oui ! c'est logique il paraît que maintenant on appelle "femme voilée" une femme qui porte un fichu sur la tête, ce qui avant 1960 était le cas de toutes les femmes, surtout en URSS, mais en France aussi, je suis bien placé pour le savoir, (celles qui n'en portaient pas c'est parce qu'elles portaient un chapeau !! Bref les bonnes-femmes sur lesquelles Jean Bellus ou Jacques Faizan plaisantait sur leur "dernier petit bibi ravissant" maintenant on dirait que ce sont des "femmes voilées" !!
Par conséquent si une femme qui porte quelque chose sur la tête est une "feme voilée donc logiquement un homme qui porte un chapeau sur la tête est un "homme voilé", logique !!
Il faut quand-même revenir à la pratique du BON SENS le plus élémentaire, on n'y coupe pas, on est censé lutter pour l'égalité hommes/femmes non ? donc ce qui est valable pour les femmes est tout aussi valable pour un homme, sinon c'est du "sexisme", y'a pas photo, n'essayez pas de dire le contraire, les féministes !
donc, je continue
les arsouilles qui portaient crânement une casquette c'étaient des "hommes voilés ! les policiers qui portent une casquette ou les militaires qui portent un képi, aussi par conséquent, et les skieurs n'ont plus le droit de porter un bonnet sur la tête , c'est "un enfermement du mâle" ce sont des "islamistes" des "hommes soumis" .... ben !
Je reviens à ma conclusion, alors comme ça il faut désormais m'appeler un "homme soumis" victime de "l'enfermement du mâle", un "islamiste" portant un "voile" de feutre noir, ben si j'avais su !
mon cœur se réchauffe chaque fois que je vois des femmes musulmanes en robes et fichu sur la tête.
Car je pense que ce seront elles qui sauveront la France.
En effet,
d’abord elles croient encore en Dieu, de nos jours il n’y a, hélas, plus que dans ces milieux qu’il y en a. (1)
ensuite elles sont également les seules à encore s’habiller avec élégance, et à être esthétiques (tandis que le blue-jeans = "étouffoir de l'altérité", et laideur garantie, et uniforme casernicole),
enfin, last but not least comme on dit en "européen" !, krome kaj krone comme on dit en espéranto, la persécution et la haine qu’elles et leurs filles rencontrent de la part des institutions françaises et de nos nouveaux « calotins », les amène à un esprit de résistance, et de revendication de leurs droits individuels (lisez le livre récemment paru : http://lmsi.net/spip.php?article732 ) sauvant ainsi, les traditions, autrefois considérées comme constituant l’identité des français ! sensés – autrefois ! – être rebelles et « frondeurs »
En tous cas les témoignages de ce livre montre bien la maturation que l’hostillité et les persécutions qu’elles rencontrent amène en elles.
et pour apporter un peu de maïeutique, regardez ces femmes portant un, comment on apelles ça maintenant ? ah oui ! "voile islamique" en train de danser :
http://www.ipernity.com/doc/80979/10703072
(1) Les catholiques défendaient les mêmes principes, AVANT (et aussi l'interdiction du prêt à interêt, encore avant!) Comme le dit fort justement Pierre Hillard, les catholiques ne sont plus catholiques, et la pensée unique est antireligieuse, seul le Bouddhisme est toléré, mais parce que justement il est athée ! et ne croit qu'au néant le fameux "vide", qui plait tant à l'actuelle Secte des Adorateurs de la Mort qui sont les maîtres à penser de la société (bon moi non plus je ne crois pas, mais à la manière de Unamuno ou de Camus : eux refusaient de pactiser avec la mort, qui leur faisait horreur)
(Cela vous amène tout naturellement à prendre la défense des religions dont on sent bien que les élites dominantes souhaitent la diabolisation, après avoir eu la peau du catholicisme)
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24/06/2018
les flamands : catholiques un jour, bigots toujours !
Voyage à Malines
Quand Guillaume de Rubroeck était à la cour du grand Khan il y a vu une (une femme !) orfèvre originaire de Cambrai (!!) , qui avait fait la route jusque là pour y travailler.
Malines n'est qu'un kyste, une oasis, comme sont les réserves naturelles au milieu de l'immensité de l'espace où la nature a été détruite et polluée, une oasis de ville NORMALE, de ville, belle et à visage humain, au milieu d'un immense océan d'autoroutes, macadam, bagnoles, camions filant à 120, usines, ou plutot entreprises, par centaines, béton, pub, etc, un univers complètement bouché ultra-dense, où il n'y a plus de place ni pour la nature, ni pour la campagne, ni pour l'agriculture, ni pour les villages, ni pour un habitat normal et serein, ni pour une circulation normale à vitesse normale (ces sempiternelles autoroutes - que ça ! - sont bourrées de bouchons et de ralentissements). La Flandre apparemment est en train de se transformer, est presque entièrement transformée en un océan industriel (plus exactement commercial) hyper-moderne et hyper-dense comme ça, les villes anciennes n'étant plus que des « réserves » des petits enkystements au milieu de tout ça (et éventuellement les derniers bouts de campagne, s'il en reste ! À vérifier. La Flandre, fière de sa prospérité entrepreneuriale, va être tuée par elle (bien fait !) et complètement phagocytée.
À Malines à un moment est passée une classe d'enfants qu'on faisait promener, on les a tous revêtus de gilets jaunes à bandes fluo ! C'est formaliste (et idiot ! Si les rues hyper-lentes, hyper controlées et hyper-sécurisées où passent des piétons et quelques rares automobilistes flamands hyper-disciplinés étaient si dangereuses (et si le fait de s'habiller en jaune pouvait y faire quelque chose !) les piétons adultes (bientôt on va les forcer à ne sortir de chez eux qu'habillés comme ça ? peut-être, et avec des casques et des genouillères, et dieu sait quoi ! Et bien sûr ! Une laisse GPS-ée pour que la POLICE puise bien les avoir sous la main en permanence ! Après on leur mettra des caméras de surveillance jusque dans leur domicile « pour des raisons de sécurité » bien sûr, on parie ?) les piétons adultes donc seraient tous morts ou blessés à l'heure qu'il est ). Donc je reprends : C'est formaliste, bebête, irrationnel et flicard : c'est là la définition même de la bigoterie !
Comme je dis toujours maintenant concernant les flamands : catholiques un jour, bigots toujours (je ne sais pas si la flamands sont encore ultra-cathos et bigots comme ils n'étaient jusque dans les années 60, qui le sait et pourrait me le dire ? Mais je pense que là comme ailleurs le christianisme est mort maintenant); Mais la mentalité, elle, reste bien sûr ! Elle change d'Avatar en fonction du contexte et de l'époque, c'est tout, on a changé de religion, mais l'essence sociale et psychologique de la religion reste, en particulier chez les flamands, qui étaient tellement bigots, ce qui les ont connus en savent quelques chose, ou alors écoutez Jacques Brel ou lisez Hugo Claus à défaut)
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22/06/2018
j'espère que vous comprenez bien le sens de ces formations
18/06/2018
VOUS pouvez changer le monde ! "qui paie commande"
Jamais autant qu’aujourd’hui le refus de l’acte d’achat n’aura revêtu une telle portée politique
OUI, Il ne faut pas oublier que les commerçants ne vivent que du bon vouloir de leurs clients !
Aussi les consommateurs, si ils le voulaient bien!! (..... ) , pourraient avoir une puissance extraordinaire pour changer la société !
Il faudrait peut-être s'en servir non?
Par exemple si on boycottait les produits issus de l'agriculture intensive et polluante, tous les agriculteurs seraient bientôt obligés de se mettre à l'agriculture biologique (dont on sait maintenant qu'elle est parfaitement capable de nourrir la planète). Et vous savez ça ?
Pareil pour l'exploitation des enfants (et des adultes !) des "zones économiques spéciales". Et savez-vous quel est le salaire minimum dans l'industrie du vêtement au Cambodge ? on ouvre les paris ! le salaire minimum correspond à 36 € mensuels. On peut, paraphrasant Montesquieux, dire : "C'est à ce prix que vous avez des vêtements bon marché en Europe"
Autre chose, il faudrait, dès maintenant que tous les citoyens dignes décident de boycotter systématiquement les magasins qui mettent des caméras de vidéo-surveillance, c'est à dire non seulement les grandes surfaces mais aussi les petits magasin qui font comme ça - même les pharmacies !!! on aura tout vu ! quelle honte ! (il y en a de plus en plus, et même des vétérinaires !! et même des curés !!! Jésus se retournerait dans sa tombe). Ce serait marquant pour la défense de la Civilisation devant le processus de Stalinisation de la société auquel nous assistons actuellement. Et après tout, il est normal qu'un client ne remette pas les pieds dans la boutique d'un commerçant qui l'a insulté ! Or mettre des caméras de vidéo-surveillance dans son magasin c'est insulter ses clients. Les gens n'ont pas l'air de en rendre compte. Une fois qu'on en a pris conscience on ne peut plus y entrer de même coeur, ni regarder le commerçant avec les mêmes yeux.
Vous ne vous sentez pas insultés? vous devriez pourtant, car c'est tout à fait ça!
"Qu'on me comprenne bien: Il s'agit d'un engrenage fatal. Nous mettons les pieds, sans vraiment nous en rendre compte, dans un engrenage fatal. Il commence à l'aéroport, lorsque nous acceptons d'être visualisés dans notre intimité, pour prouver que nous ne sommes pas des terroristes. Lorsque, aussi, nous acceptons les caméras de surveillance partout, vidéo-surveillance fallacieusement rebaptisée vidéo-"protection", nous nous soumettons implicitement au dépouillement de tous les aspects de notre vie."
("Dans un monde où l'humiliation est devenue tellement familière que l'on ne la reconnaît plus")
En 1945 déjà, l’écrivain français Georges Bernanos dénonçait en ces termes l’accoutumance à la surveillance comme un recul des libertés face à la menace totalitaire du « Moloch technique » au service du contrôle social : « L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne. Le jour le processus de Stalinisation de la société auquel nous assistons actuellement. n’est pas loin peut-être où il nous semblera aussi naturel de laisser notre clef dans la serrure, afin que la police puisse entrer chez nous nuit et jour, que d’ouvrir notre portefeuille à toute réquisition. Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée (4). »
et il y a aussi ça maintenant : http://713705.net/2017/01/01/flicage-la-video-verbalisati...
allez, ils vont le sentir !
On s'y met ?
ça va faire des vagues!
"il faut vivre comme on pense sinon tôt ou tard on finit par penser comme on vit (1)"
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
((1)regardez ce quie est arrivé aux bourges "socialistes" )
pour ce qui est de "consommer BIO, local, artisanal" ça commence; "Local"
Il y a ça aussi :
*et ici (ICI !!!!!!!) IL Y A une VIDEO, une VIDEO qui normalement devrait se voir et FONCTIONNER
i
au fait (regardez quelles sortes de gens sont les "gorilles" de super-marchés http://www.francetvinfo.fr/monde/russie/mort-de-l-opposan... )
lisez cet article, lui aussi voit le pouvoir des consommateurs et appelle à ce qu'ils s'en servent : http://www.liberation.fr/futurs/2016/10/20/eric-sadin-l-a...
Eric Sadin : «L’anarcho-libéralisme numérique n’est plus tolérable»
Ecrivain et philosophe critique, Eric Sadin analyse depuis dix ans l’impact du numérique sur nos sociétés. Après la Vie algorithmique en 2015, il publie la Silicolonisation du monde - l’irrésistible expansion du libéralisme numérique (1). Une charge violente et argumentée contre les Google, Apple et autres Facebook, qui prennent subrepticement les commandes de nos vies pour en tirer profit comme aucune autre entreprise auparavant.
Ce nouvel âge des machines, caractérisé par la mise en données de tous et de toutes choses, serait donc le stade ultime du capitalisme ?
Le technolibéralisme entend opérer une pression continue sur la décision humaine par la suggestion continuellement renouvelée des «meilleures» actions à prendre. Cet «accompagnement» de nos vies par les algorithmes s’est institué lors de l’avènement des smartphones et des applications à partir de 2007. Et nous franchirons un nouveau seuil lorsque les assistants numériques tels Siri d’Apple ou Google Now, à l’efficacité encore balbutiante, en viendront à nous prodiguer des conseils pour tous nos faits et gestes du quotidien. Et plus encore. Ce sera notamment le cas avec la voiture autonome, qui ne se contentera pas de piloter le véhicule mais également notre emploi du temps, en nous proposant de faire une pause dans tel restaurant ou tel hôtel supposés adaptés à notre «profil». Mais en outre, cet accompagnement peut aussi prendre une forme coercitive pour servir comme jamais les objectifs de productivité et de compétitivité du projet technolibéral.
Quand le patron de Microsoft, Satya Nadella, dit que «le défi de l’homme est de reprendre le pouvoir sur les données», c’est un début de mea culpa ?
Il s’agit là typiquement du langage schizophrénique tenu par les gourous de la Silicon Valley, qui collectent systématiquement des données sur tous nos faits et gestes, et qui en retour cherchent à rassurer les consciences. Le «siliconisme» sait très bien générer des discours positifs qui sont partout repris en boucle sans distance critique. Concernant la question des données personnelles, nous sommes au cœur d’un des grands malentendus de l’époque. La question cruciale ne regarde pas notre «vie privée», à laquelle certes nous tenons tous, mais qui représente si peu en regard de ce qui se trame et qui devrait autrement nous mobiliser. Car ce n’est pas une question de société, c’est une question de civilisation. Le technolibéralisme entend à terme tout automatiser et orienter nos vies afin de satisfaire de seuls intérêts privés. Et ce modèle se déploiera surtout si les données sont parfaitement protégées, instaurant une «confiance dans l’économie numérique» apte à assurer son expansion. Avant de nous prétendre victimes du traçage sécuritaire et commercial, nous devrions à la base individuellement et collectivement nous demander si nous voulons de tous ces objets, capteurs et systèmes appelés, non pas tant à violer notre vie privée qu’à progressivement nous dessaisir de notre pouvoir de décision.
Vous assimilez l’esprit start-up à de la «sauvagerie entrepreneuriale» et l’irresponsabilité des cerveaux de la Silicon Valley à de la «criminalité en sweat-shirt». Carrément ?
Le technolibéralisme relève de la criminalité, non pas en col blanc, mais en hoodie [sweat-shirt à capuche, ndlr]. Et pourtant ce modèle est partout célébré. Mais comment un tel aveuglement est-il possible ?
Vous écrivez que le «technolibéralisme est désormais libre d’agir sans entrave». Alors, que faire ?
Nous sommes tous citoyens mais également consommateurs, et nous pouvons, par des décisions simples mais d’une redoutable efficacité, mettre en échec ce modèle. Pour ma part, j’en appelle au refus de l’achat d’objets connectés et de protocoles dits «intelligents» chargés de nous assister en continu. Ces compteurs Linky par exemple, appelés à mémoriser nos gestes de consommation électrique au sein de nos habitats. Jamais autant qu’aujourd’hui le refus de l’acte d’achat n’aura revêtu une telle portée politique.
Contre l’ambition démesurée du technolibéralisme à vouloir piloter le cours de nos vies, nous devons protéger la part inviolable de nous-mêmes, autant que notre autonomie de jugement et d’action.
Il est également temps de signifier aux responsables politiques que le soutien par des fonds publics à cet anarcho-libéralisme numérique n’est plus tolérable. En France, ce n’est pas à Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat au Numérique et ardente propagandiste du siliconisme, de décider abusivement des choses à notre place en vue de satisfaire les tenants de l’économie de la donnée. Ni non plus au Conseil national du numérique : les deux tiers de ses membres sont des responsables d’entreprises internet et de la donnée, ce qui constitue exactement un «conflit d’intérêt». C’est pourquoi, nous devons, à toutes les échelles de la société - citoyens, syndicats, associations - défendre le bien commun et notre droit à déterminer librement du cours de nos destins. Si nous ne reprenons pas la main, c’est le technolibéralisme qui va diriger nos vies individuelles et collectives, et cela est inacceptable.
(1) La Silicolonisation du monde l’irrésistible expansion du libéralisme numérique, d’Eric Sadin, éd. l’Echappée, 256 pp., 17 €.
boycott des vaccins obligatoires aussi :
Et si le 5 mai vous commencez tous à appliquer ce programme de résistance passive, de 8 minutes 8 à 11 minutes 8, ce sera la révolution pacifique qui mènera à la chute du pouvoir de nos maîtres et à notre libération :
(bon "ne pas voter" je ne suis pas d'accord, ce n'est en rien un acte de désobéissance civile car C'EST CE QU'ILS ESPERENT, que le peuple ne vote plus bien loin de les embêter ça les arrange ! (voir mon billet "la démocratie on en veut bien mais à condition que le peuple ne vote pas"), si vous vous abstenez, ça ne fera que renforcer le pouvoir de la classe dominante et denos maîtres autoproclamés !!
15/06/2018
coqs, rossignols, merles, enfants = nuisance
radio Voltaire communique !
Désormais dans cette France peuplée uniquement de "Taties-Danielles" (des 2 sexes !) et de technocrates libéral-fascistes, la présence des rossignols, oiseaux qui chantent la nuit, va être interdite; en effet leur tapage nocturne empêche les français barricadés derrières leurs volets roulants de bien entendre le bruit de la circulation routière. En conséquence de quoi les rossignols vont être condamnés à mort, « euthanasie», par les tribunaux. "Pour des raisons de sécurité", bien entendu !
En date du 25 mars il vient d'être annoncé que les merles et les grives devront subir le même sort, puisqu’ils s’obstinent, en dépit des arrêtés municipaux, à refuser d’attendre 9 heures pour commencer à chanter, et qu’ils s'époumonent dès 4 heures du matin.
d'ailleurs : http://www.cnews.fr/france/2016-12-21/les-vaches-faisaien...
Sylvie Simon : "Il n'y a plus de liberté, la liberté n'existe plus"
vive Serge Gainsbourg ! "j"ai redonné à la Marseillaise son sens initial" :
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30/05/2018
Vive la liberté, la démocratie, l e bonheur, la vie !
Libertés les plus élémentaires contre une société de plus en plus punitive.
"On savait depuis longtemps que ce qu’il est convenu de nommer « l’extrême droite » a toujours eu le sens de la fête et de la convivialité. Cela se vérifie une fois de plus en Autriche, là où le FPÖ « populiste » participe à la coalition gouvernementale et vient de faire appliquer l’une de ses principales promesses de campagne : pouvoir, dans des zones prévues à cet effet, à nouveau fumer dans les bars et les restaurants.
Le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, chef du parti en question, lui-même fumeur invétéré, affirme ainsi : « Il faut en revenir avec la liberté de choix pour tous. Les gens devraient décider eux-mêmes s’ils veulent s’asseoir dans la zone fumeurs ou non-fumeurs. » Et d’invoquer à ce propos le nécessaire « esprit de libre entreprise ». Aussitôt, le camp du bien et de la bonne santé fait bloc et part en guerre contre la « tschick » – soit la « cigarette », comme on dit en langue vernaculaire.
Le patron du FPÖ, connu pour ne pas donner dans le light et le sans-filtre, dénonce en retour les « fétichistes de la santé » et adopte, pour cri de ralliement : « Vive le Tschickistan libre ! » À entonner à pleins poumons, SVP. On notera encore que, là-bas comme ici, la délationnite se répand comme un cancer, avec une pétition déjà signée par 540.000 Autrichiens dénonçant cette mesure gouvernementale.
Si cette dernière atteignait les 900.000 signataires, Heinz-Christian Strache prévient toutefois que cette loi pourrait être « repensée », estimant que « la démocratie directe doit rester gagnante ». Non contente de prôner la jovialité, « l’extrême droite » est donc respectueuse de la voix du peuple ; cela, encore une fois, se savait un peu déjà. Ce qui n’est pas tout à fait le cas de ses opposants locaux qui, non contents de titrer leur pétition en anglais, « Don’t smoke! », utilisent de plus une forme impérative propre à dresser les uns contre les autres, pour reprendre la formule désormais consacrée.
De plus, on remarquera que la même « extrême droite » incarne ici une indéniable forme de résistance, tandis que la coalition du beau et du vrai se contente de lâchement baisser les bras, déplorant seulement que « l’Autriche s’entête à rester le dernier bastion fumeur dans une Europe presque entièrement dénicotinée », même s’agissant d’un antique fantasme hitlérien, le défunt chancelier étant aussi connu pour son anti-tabagisme militant. Comme quoi l’esprit munichois n’en finit plus de gravement nuire à la santé. À propos de santé, il va de soi que les experts en la matière se liguent en force contre les fumeux projets gouvernementaux ; logique, les experts ont toujours raison et campent immanquablement du bon côté de la barrière. Autrement, ce ne seraient pas des experts dignes de ce nom."
….
source : Nicolas Gauthier
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25/05/2018
DDASS and co
Les pays scandinaves pays totalitaires, comme l’Allemagne nazie.>(remarquez en France ça arrive aussi, voyez, par exemple…., Béatrice Berthelage.)Les décisions de l'administration norvégienne pour ce qui concerne la garde des enfants ont déjà par le passé fait l'objet de nombreuses plaintes et de procès notamment pour la période qui s'étend de 1945 à 1980. Ainsi, environ 4 000 anciens enfants pris en charge ont demandé une indemnisation pour la souffrance et la violence qu'ils ont subies alors qu'ils vivaient dans des orphelinats ou dans le cadre de la protection des enfants durant cette période. Parmi ceux-ci, 2 637 ont reçu une indemnisation, pour un montant total 220 millions de dollars (2010)Jan Simonsen souligne pour sa part les catastrophes humaines issues des décisions du Barnevernet, « des familles détruites, et, dans certains cas, les parents qui ont pris leurs propres vies (en français on dit « qui se sont suicidés »!!!) ou ont fini comme toxicomanes dans leur désespoir d'avoir perdu ce qui est le plus précieux pour eux ». Un rapport de l'Institut norvégien de recherche urbaine et régionale montre que les enfants placés en Norvège se suicident huit fois plus souvent que les autres enfants Le service de protection de l'enfance de Norvège fait face à une critique internationale intense pour deux raisons principales : la prise en charge d'enfants sans un processus légal transparent et pour son refus de coopérer avec les organismes de protection des enfants dans d'autres pays. Ces critiques sont relayées par le principal journal suédois dénonçant le fait que les parents suédois qui ont leurs enfants pris en charge par Barnevernet n'ont aucun moyen juridique pour transférer le dossier aux autorités de leur pays. La presse pointe également du doigt des décisions prises en méconnaissance complète des us et coutumes de parents étrangers.
De nombreux avocats et journalistes comparent le Barnevernet norvégien au Lebensborn de l'Allemagne nazie, qui enlevait aussi des enfants pour les placer dans des familles jugées « saines ».
Enlèvements Rutkowski
Dans deux cas très médiatisés, l'enquêteur privé polonais Krzysztof Rutkowski a aidé les enfants (un garçon né en Russie et une fille polonaise) à s'échapper de leur famille d'accueil norvégienne afin qu'ils puissent retrouver leurs parents[9]. Par la suite, la demande des autorités norvégiennes de restitution des enfants a été refusée par le tribunal polonais comme injustifiée.
Affaire Bodnariu
En novembre 2015, une nouvelle affaire impliquant des enfants de ressortissants étrangers a attiré l'attention du public. Les parents se sont vu retirer la garde de leurs enfants par Barnevernet. Marius et Ruth Bodnariu, un couple roumano-norvégien de foi pentecôtiste, ont été accusés de violence envers leurs enfants[17] ce qui peut, en Norvège, simplement signifier une tape sur la main ou une fessée. (être arraché à sa famille est une violence mille fois pire qu’une gifle !!!! et qui dure) Selon le journal Christian Today , le couple a été accusé de « radicalisme chrétien et d'endoctrinement ». Selon la loi norvégienne, les autorités sont tenues de respecter à la fois le droit à la vie privée des parents comme celle des enfants. Par conséquent, Barnevernet n'a pas donné de détails publics concernant cette affaire.
Le 16 novembre, Barnevernet a pris les deux enfants les plus âgés de l'école et les a placés en famille d'accueil. Puis, accompagné par des policiers a retiré deux autres enfants de la maison de leurs parents à Naustdal. La police a également arrêté et me Bodnariu mais les a libérés peu de temps après. Le lendemain, Barnevernet a obtenu la garde de l'enfant le plus jeune pour des raisons alléguées de sécurité[21].
Selon le Christian Post, les deux filles aînées ont dit aux enquêteurs qu'elles avaient été physiquement punies comme on leur a enseigné que « Dieu punit le péché ». Néanmoins les documents judiciaires n'ont identifié aucun signe de violence physique[22].
Le 30 novembre, un recours contre Barnevernet lancé par les parents a été rejeté par la Cour. Ils seront autorisés à rendre visite au plus jeune fils deux fois par semaine pendant deux heures et aux deux autres garçons une fois par semaine. Les filles ne recevront pas de visites des parents[22],[23].
Le sénateur roumain Titus Corlățean a publié une déclaration évoquant le cas Bodnariu et condamné l'action de Barnevernet[24]. Le , des centaines de Roumains ont protesté devant l'ambassade norvégienne à Bucarest[25]. Valeriu Zgonea, président de la Chambre des députés de Roumanie, a plaidé pour soutenir la restitution des enfants à la famille Bodnariu[26].
En 2016, après que le bébé du couple a été également enlevé aux parents, l'affaire continue de susciter une vaste campagne de protestation dans le monde entier, sur les réseaux sociaux et dans la rue[27].
La famille a fini par être réunie le 20 janv2017.
L'image de Barnevernet est passablement mauvaise à l'étranger. Ainsi, 4 000 Lituaniens avaient protesté contre l'institution norvégienne dans leur pays[7].
Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l'asile en pologne
Silje Garmo et sa fille Eira en Pologne, mardi 16 janvier
Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l’asile en Pologne. Réinformation TV est allée à sa rencontre dans la maison des environs de Varsovie où elle a trouvé refuge avec sa fille Eira, qui aura un an le 24 janvier. Le contact avec Mme Garmo a été rendu possible par l’organisation d’avocats et juristes polonais Ordo Iuris qui assiste la Norvégienne dans sa demande. Pour maître Jerzy Kwaśniewski, le président d’Ordo Iuris, les atteintes aux droits fondamentaux de cette mère norvégienne sont très bien documentés, de même que les abus commis par le Barnevernet et les autorités norvégiennes dans de nombreuses autres affaires d’enfants enlevés à leurs parents sur la base de décisions arbitraires (8 affaires de ce type concernant la Norvège sont en ce moment devant la CEDH). C’est ainsi que pour la première fois depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale, la Norvège si prompte à donner des leçons de droits de l’homme aux autres pourrait bientôt voir un de ses citoyens obtenir l’asile dans un autre pays européen.
Pourquoi avoir demandé l’asile en Pologne et pas ailleurs ?
Pourquoi avoir choisi la Pologne ? – « C’est la question que me posent la plupart des journalistes », répond Silje (« Cécile » en français) en souriant. « La première raison, c’est que j’avais de très bons amis polonais, en Norvège, mais aussi ici, en Pologne. » Rien d’étonnant à cela, la diaspora polonaise compte environ cent mille membres en Norvège et c’est pour cela que l’ONG polonaise Ordo Iuris a déjà eu maille à partir avec le Barnevernet. Mais une autre raison, explique encore Silje, c’est son expérience espagnole. En 2015, le Barnevernet avait réussi à obtenir, sur la base d’un ordre administratif, la coopération de la police espagnole pour rapatrier de force sa fille Frøya dont Silje avait pourtant légalement la garde mais à laquelle le Barnevernet s’intéressait déjà.
« Ils ont essayé de refaire le coup avec Eira en Pologne, mais la police polonaise a exigé pour coopérer que lui soient présentés des documents valides, prouvant que la garde d’Eira avait bien été retirée à sa mère. Bien entendu, les autorités norvégiennes n’ont pas pu produire de telles preuves, et à ce jour les autorités polonaises n’ont toujours pas reçu de documents démontrant que je n’ai pas la garde de ma fille cadette, Eira, qui a maintenant presque un an. »
Dernière raison invoquée par cette mère norvégienne, alors qu’il est à la mode d’accuser à la Pologne – et pas la Norvège – de ne pas respecter la démocratie et l’état de droit, Mme Garmo se dit confiante dans la justice polonaise, car « le respect pour la vie privée est très strict ici en Pologne » et « on ne peut pas rapatrier quelqu’un de Pologne sans une décision de justice ».
Comment la Norvège viole la Convention de la Haye sur la protection des enfants dont elle est pourtant signataire.
Du reste, depuis 2016, la Norvège est signataire de la Convention de la Haye sur la protection des enfants. Les avocats d’Ordo Iuris ont informé début septembre les autorités norvégiennes et polonaises que le lieu de résidence habituel de Mme Garmo et de sa fille Eira était en Pologne, et qu’en vertu de cette convention les deux Norvégiennes sont sous juridiction polonaise en ce qui concerne la question de la garde de l’enfant et des droits parentaux. Précisons ici que le Barnevernet n’agit pas pour le compte du père d’Eira qui n’est pas partie prenante dans le conflit entre Mme Garmo et le Barnevernet. Malgré son absence de juridiction, explique Mme Garmo, « [les autorités norvégiennes] ont invalidé mon passeport pour la seule raison qu’elles avaient une information du Barnevernet selon laquelle il faut me retirer ma fille Eira. »
Les accusations du Barnevernet contre la Norvégienne Silje Garmo infirmées par les experts médicaux polonais
Pour le Barnevernet, Silje Garmo abuserait de médicaments analgésiques et aurait un style de vie « chaotique », incompatible avec le rôle de mère. Les psychiatres et pédiatres dont les opinions ont été jointes à son dossier de demande d’asile en Pologne n’ont toutefois pas confirmé les reproches des Norvégiens à l’encontre de leur citoyenne. Du reste, à bientôt un an, Eira est une petite fille souriante et calme, qui commence à marcher et dit ses premiers mots, et l’on imagine mal, à voir la mère et sa fille, pour quelle raison il faudrait les séparer !
Le Barnevernet, une administration aux pouvoirs kafkaïens !
Les problèmes de Silje Garmo ont commencé en 2013, quand elle a relayé aux autorités les accusations de sa fille Frøya à l’égard de son père, les deux parents étant séparés, concernant des comportements relevant du harcèlement sexuel. Le père de Frøya a alors dénoncé Silje au Barnevernet. « Le père de Frøya a des relations bien placées et son avocat est un ancien « juge » de comité de comté, qui délivre les décisions administratives concernant la protection des enfants, et il connaît personnellement la responsable du Barnevernet pour mon quartier d’Oslo.
Notez que cette responsable, qui a menti à la police et a produit tous ces faux rapports me concernant, a aussi sa propre entreprise (sic, ça existe ? !!) de prestations de prise en charge d’enfants. Elle fait donc des affaires grâce aux décisions qu’elle prend en tant que fonctionnaire du Barnevernet ! Avec les révélations de la semaine dernière, ce type de conflits d’intérêts [des fonctionnaires du Barnevernet] fait maintenant la une des médias. »
La Norvège est-elle devenue un pays totalitaire ? « Le Barnevernet est une tragédie nationale cachée », répond Silje. « Oui, dans certains domaines, la Norvège est un pays totalitaire. Il y a un problème au niveau de la conception du système norvégien de protection des enfants. Ce système confère des pouvoirs énormes à des gens sans éducation, car il ne faut pas avoir des compétences particulières pour travailler pour le Barnevernet. Si vous regardez la loi, tout semble correct, mais le Barnevernet ne respecte pas la loi, et il n’a à faire face à aucune conséquence. »
Une fois qu’elle aura obtenu l’asile en Pologne, Silje Garmo veut attaquer la Norvège devant la Cour européenne des droits de l’homme
Silje Garmo espère aussi récupérer sa fille Frøya, placée chez son père contre sa volonté, en allant devant la Cour européenne des droits de l’homme grâce au dossier déjà préparé pour sa demande d’asile en Pologne. « Je pense que mon cas peut changer les choses », dit-elle avec espoir, « car je suis la première personne qui s’est échappée de Norvège non seulement avec son enfant mais aussi avec toutes ces preuves qui montrent comment ils agissent pour fabriquer des histoires quand ils veulent enlever un enfant à sa famille. Ils ont essayé de me faire rapatrier de Pologne mais ils n’ont pas réussi. Que peuvent-ils maintenant ? Ils ont probablement très peur, parce qu’ils n’ont aucun pouvoir sur ce que je dis et ils n’ont pas d’enfant en otage. Quand le Barnevernet enlève des enfants à leurs parents, ces derniers gardent le silence parce qu’on les menace de ne plus jamais revoir leurs enfants. C’est aussi ce qu’on m’a dit pour Frøya. Mais dans mon cas, ils ne peuvent plus faire pression sur moi depuis la Norvège. Et c’est pourquoi je me sens le devoir de me battre aussi pour tous les enfants victime de ce système cruel. »
autre témoignage, en Allemagne cette fois :
Ce 21 avril 2016 après 20 heures, vous êtes à table en train de souper avec votre enfant. Soudain ça hurle à votre porte et sonne de manière agitée. Vous entendez hurler des ordres, « ouvrez la porte ! Polizei ! ». Vous n’avez pas le temps de réagir que votre porte d’entrée est défoncée par la police qui est accompagnée d’agents du Jugendamt. Voilà ce que la population allemande subit 24 h sur 24 dans l’indifférence totale des média et des élites européennes. Nous avons reçu un nouveau témoignage d’une mère allemande dont son fils, Tobias Kucharz, âgé de 12 ans, a été hier enlevé à Kaiserslautern par la police et les agents du Jugendamt dans une violence digne des films sur la Gestapo ou sur la Stasi.
Un peuple sous la répression totale. Cela fait plus de 15 ans maintenant que j’observe les vols des enfants en Allemagne. Rien ne change depuis le début de mes recherches où j’avais rencontré en 2000 un groupe de parents silencieux en train de faire une manifestation à Berlin tenant dans leurs mains des photos de leurs enfants disparus-volés par la police et le Jugendamt-avec le nombre de jours inscrits sous la photo. Ces parents étaint silencieux. Leur silence je ne le comprenais pas. La police cherchait une excuse pour les arrêter… Alors le silence était leur seule arme. Les personnes, qui ne connaissent pas encore ce sujet, ont du mal à y croire. Là, on s’imagine tout de suite que si la police intervient dans une famille, c’est q’il y a une raison très grave qui le justifie. Mais cela est très souvent faux en Allemagne. Les arrestations et les vols des enfants répondent à un mécanisme idéologique et commerciale voulue par la politique de ce pays. Le Jugendamt, machine à sous et à contrôler les familles fondée avec l’arrivée de l’industrialisation (pour voler les enfants des pauvres et des ouvriers polonais ou russes), utilisé sous le 3ème Reich pour voler et germaniser des milliers d’enfants avec le Lebensborn, intensifie aujourd’hui les vols des enfants sous les ordres de la politique allemande et des experts de la petite enfance. Les médecins, les psychologues, les psychiatres, les sages-femmes, les assistantes sociales, les enseignants, les directeurs et directrices d’école, le personnel des maternelles, travaillent avec la police pour effectuer les signalements et dénoncer ! La justice allemande ne reconnaît pas les décisions de justice des autres pays et changent sans décision de justice les actes de naissance des enfants nés dans un autre pays. Les élites françaises sont informés de cette situation mais elles ne font rien. Plus de 400 enfants sont retirés par jour en Allemagne à leurs parents dans la violence par la police et le Jugendamt ! Le Jugendamt avec la police écrase des milliers de vies, détruisent des familles, tuent des enfants et des parents ! C’est Tobias, il a 12 ans et il vit avec sa mère dans une maison à Kaiserslautern. Il est un peu différent des autres enfants dans sa manière de penser mais il est normal. « Tobias est plus sensible que les enfants englués dans la masse », dit sa mère. Tobias a manqué à plusieurs reprises l’école. Tobias se sent mal traité par les autres enfants à l’école et préfère apprendre à la maison. Les psychologues et les enseignants ont déclaré Tobias atteint d’une maladie nommé ADS (maladie imaginaire). Son enseignante a « signalé » le comportement de la famille au Jugendamt. Tobias serait un enfant agité qui n’arriverait pas à se concentrer en cours. (cf le poème de Prévert …) Voilà la raison de l’intervention de la Polizei et du Jugendamt ce 21 avril 2016 vers 20 heures chez lui. Des milliers d’enfants sont catalogués ADS en Allemagne sans raison valable. L’objectif est de trouver une raison pour les voler à leurs parents et les placer dans un centre pour enfants. Derrière cette idée se trouve un modèle économique géant et aussi l’idée de détruire les familles. L’objectif est de rééduquer les enfants et de faire de l’argent avec. Les enseignants collaborent avec la police et le Jugendamt et dénoncent les familles ! Ceux qui critiquent la politique officielle ou les chômeurs sont touchés. Les lecteurs, qui ne connaissent pas le sujet, pensent à un récit digne de la science-fiction. En 2000, au début de mes recherches, je pensais que les parents, qui manifestaient, étaient des fous ! Comment imaginer qu’une telle situation puisse exister aujourd’hui dans un pays en Europe ?
Vidéos prises par la tante de Tobias le 21 avril 2016 vers 20 heures quand la police est rentrée dans la maison
Dans cette première vidéo nous voyons la police rentrer dans la maison. Les policiers ont une allure martiale et une voix de Gestapistes. La police (on voit aussi un jeune policier qui a peine 24 ans) donne des ordres à la famille dans sa maison, “où est notre ami ?”. La tante doit dire “en haut”. La police monte l’escalier. Dans la chambre de l’enfant se trouve la maman. La police la pousse et lui hurle, “quittez le terrain ! sinon nous vous amenons en prison !”. La mère est obligée de partir sous la menance. Le policier hurle “Platzverweis” qui veut dire “ordre de quitter l’endroit sinon c’est l’arrestation immédiate”. On entend Tobias hurler de peur qui hurle, “laissez moi, je ne veux pas partir …”
Dans cette vidéo violente nous voyons la police allemande menotter Tobias aux mains et aux pieds en l’écrasant de leur corps et l’empêchant de hurler. Tobias hurle, appelle à l’aide sa maman. « Maman ! Aide moi »…. mais sa maman lui dit, « je ne peux rien faire mon chéri ! ». Si la mère l’aide la police va aussi mettre les menottes à la mère et elle risque d’être internée d’office en psychiatrie. Je connais de nombreux cas similaires. Cette vidéo enregistrée par la sœur de la maman permet d’apporter un témoignage sur la violence qui a lieu au quotidien en Allemagne.
L’Allemagne, qui vante le bien-être (Kindeswohl) de l’enfant et le respect de sa volonté (Kindeswille), ne respecte en rien le bien être de l’enfant et surtout pas sa volonté. Dans cette vidéo Tobias hurle et dit « je ne veux pas quitter ma maman ». La police et le Jugendamt ne respectent pas son souhait ! Pourtant la justice allemande use des mots Kindeswohl et Kindeswille pour voler les enfants aux parents.Olivier RenaultParmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et pourtant ce furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il se passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien-pensants aimassent à s'identifier ..... Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux qui s'occupaient de ça, la DDASS allemande, ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or "En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents" "Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ...) et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc
Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.
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