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27/09/2020

c'est ça que vous voulez pour vos enfants ? dites ! répondez ! c'est ça ?

déposez plainte contre les électeurs de droite et extrême droite qui veulent un régime autoritaire depuis le début du siècle !
Maintenant ils l’ont (à défaut de gagner plus en travaillant plus ! Lol) pour le plus grand Malheur des enfants…

https://reseauinternational.net/vers-le-port-permanent-du...

https://fr.sott.net/article/36014-Regardez-et-pleurez-Ils...

et vous n'avez jamais pensé quels adultes ça va donner ?

d'autres y pensent pour vous .....

 

26/09/2020

autrefois à Arras

autrefois à Arras il y avait plein de magasins, tous les magasins qu’on pouvait attendre dans une ville. Il y avait des drogueries (Ragons, où êtes vous ?) des marchands de meubles, des marchands de plantes et articles pour jardins, des épiceries, des cafés, des cafés où on pouvait trouver des croissants ! des croissants en forme de croissants, et où il était possible de se rendre et de prendre un petit déjeuner (et où les gens avaient le droit de fumer, maintenant auront-ils seulement le droit de respirer ? après tout ils exhalent du gaz carbonique, gaz à effet de serre !) et lire son journal, il y avait des marchands de matelas, de rideaux, de vêtements, des quincailliers, des églises (ouvertes), des administrations, parfois ouvertes le samedi matin (l’ONIC), et un bureau de poste ouvert jusqu’à 7 heures du soir, DES librairies, des vraies, et non des filiales d’empires financiers, où de toute façons il est impossible de se rendre sous leurs caméras de vidéo-surveillance, puisqu’il est maintenant impossible de se rendre en voiture dans Arras, et d’y stationner, et même d’y circuler, et des marchands de journaux, des hôtels, à tous les prix, et en particulier des hôtels abordables aux français moyens et modestes et pas seulement aux cadres sup’. Maintenant les magasins ont tous disparus, fermés, les commerces restants vont disparaître les uns après les autres, à part les cafés de luxe et les boutiques de souvenirs pour touristes, puisque ce qui était la ville d’Arras n’est plus qu’un ghetto, un ghetto interdit, à part aux rares bourgeois qui trouvent bien de louer à prix d’or les Fleury-Mérogis d’habitation, blindés et digicodés, qui leur sont vendus à prix d’or, une fois qu’on a éjecté la population normale des citoyens français qui y habitaient avant, un décor pour touristes en car (les touristes en voiture n’ayant aucune possibilité d’y passer, il leur est pour toujours interdit) qui y défilent rituellement sous les regards des caméras de surveillance comme dans l’URSS du temps de Staline.

Il y avait même parfois (quoique c’était déjà en voie de disparition) des enfants, et en tous cas des écoles, des gens, des chiens, une gare (sans caméras de surveillance, mais avec des trains, des bancs, une consigne à bagage ! des agents derrière leurs guichets, des renseignements, des contrôleurs (, mais aucun flic)).

Maintenant il n’y a plus rien.


"je pense qu'ils veulent nous tuer"

OUI, moi je le pense aussi.

ça fait partie de la lutte du Grand Capital contre le petit commerce, pour un monpole total sur le monde. Et la destruction de la vie sociale et du lien social entre le "pékins" du troupeau ça fait partie aussi des buts du Libéral-Fascisme

 

comme dit qq sur le net :

    • ce qu’à été la France de cette époque, je l’ai connue, j’y ai grandi, jusqu’à son basculement terrible, et j’y vis encore hélas aujourd’hui.
      Le pire n’est pas même qu’elle ait disparu à jamais et que ce soit une perte immense que l’on ne peut que pleurer, mais que tous les jours il faille encaisser, à coups de marteau continu, le flot d’ignominie, de mensonges, vous connaissez.

      Dans ce pays où les clefs étaient sous les paillassons, où les gosses traînaient dans les rues, où les classes sociales, contrairement à aujourd’hui, n’étaient pas cloisonnées à un point tel que Paris est devenu une zone quasi interdite à qui n’a pas réussi sa vie selon Séguéla,  j’ai grandi sans fortune, mais dans la probité, la décence et l’honnêteté, et surtout dans la simplicité, le bonheur et la joie : aujourd’hui, c’est la misère, l’envie, la tristesse et la jalousie qui président à l’individualisme fou qu’on y a fait germer, au milieu d’une inculture crasse.

      La France, et particulièrement Paris, étaient une fête, même pour ceux qui n’avaient pas de moyens, tout était à portée de main

    • très juste ce qu'il dit là ! et émouvant. Il a vachement raison, et peu de gens encore maintenant le savent, s'en souviennent, et en sont conscients.

25/09/2020

notre avenir est en jeu

Un n-ième plan (toujours plus c’est la logique du conatus nous apprend Spinoza, surtout celui des processus morbides) est lancé. Y'a-t-il des voix - autres que celles des buralistes et des fabricants de cigarettes - pour se dresser contre un programme de santé et d'économie publiques ? Les chiffres sont éloquents : 28% de la population « accro », 73 000 décès par an.

(Manipulation ! Avec de tels raccourcis c’est ouvrir la porte à tous les sophismes et à toutes les manipulations, on dirait le discours des nazis !)

Machiavélisme de nos ayatollahs

Désormais, comme en Australie, pays pilote en la matière, les paquets de cigarettes seront débarrassés des marques - ramenées aux proportions minimum - et afficheront ostensiblement les images choc de gangrène ou de mutilation. Fumer en voiture en présence d'enfants de moins de 12 ans ou dans les aires de jeux sera interdit, fumer dans les écoles, les espaces de travail et tous les lieux publics sera criminalisét. Le gouvernement veut suivre la voie de la Grande-Bretagne, qui est parvenue à ramener à 20 % la part de sa population fumeuse.

Si on veut interdire tout ce qui ligote et tout ce qui est machiavélique, il faut commencer par interdire le salariat capitaliste. (sans compter que la sommes des accidents de travail, maladies professionnelles, et suicides ça doit faire plus que le tabac) On y va ? voilà qui ne serait pas une mauvaise idée !

Idéologie du « bien »

Mais le périmètre de ce « presque » dépasse largement les irréductibles fumeurs attachés à exercer leur plaisir coûte que coûte,pareil que les amoureux, qui finissent des fois par en mourir, idem les drogués du jeu, du profit, du pouvoir, du sport, sans compter que normalement 100 % des hommes sont drogués à l’existence et ne peuvent s’en passer et ont peur de mourir – bien sûr nos ayatollahs font tout de nos jours pour faire disparaître cette addiction, et créer la secte des adorateurs de la mort …

parfois dans le mépris des non-fumeurs, de même que les automobilistes nous enfument dans le mépris des piétons, pour ne pas parler des usines !! et des agriculteurs avec les pesticides !!! En son sein sont réunis tous ceux qui sont viscéralement attachés à la liberté, y compris de prendre et d'assumer le risque de détruire leur santé, devenue le nouveau commandement de Dieu sacré et auquel il est interdit d’échapper sous peine du bûcher. Sauf que la théocratie catholique était plus logique, logique de prendre des mesures drastiques quand l’enjeu est une éternité de salut ou une éternité de perdition ! Par contre la fameuse « santé » au nom de laquelle nos ayatollahs sont prêts à nous pourrir totalement la vie, (et sans doute bientôt nous mettre en prison et nos la briser complètement), n’est en fait que la chance statistique (statistique ! Donc au niveau individuel il se peut que vous n’y gagniez rien du tout!) de vivre peut-être 5 ans de plus, avant de , de toutes façons, mourir quand-même, et pour toujours !! le gag !! il y aurait de quoi rigoler si ça n’était pas si triste !

nom du plaisir que suscite, plusieurs centaines de fois par jour, l'inhalation, même de particules hautement toxiques. Cette liberté d'arbitrer en toute connaissance de cause, cette liberté de défier l'imprimatur bien pensant, cette liberté dans le terreau de laquelle l'individu fertilise la réalisation de lui-même, sont en danger. Comme l'affirmait dans ces colonnes le sociologue Robert Castel (1933-2013), l'idéologie liberticide du « Bien », les ideologies du « Bien » ont toujours été liberticides, vous n’avez pas remarqué ? - qu'incarne la lutte contre le tabagisme, gagne régulièrement du terrain, au point de criminaliser ceux qui font le choix de s'en détourner.

Du risque à la peur

Le champ des régulations collectives comprime celui de la liberté individuelle, les délicats équilibres entre individualisme et solidarités collectives - garants de la santé de la société - sont malmenés, le risque n'est plus appréhendé dans sa substance essentielle - levier d'épanouissement, d'accomplissement, de responsabilisation - mais est considéré comme un danger, même un péril contre lesquels les représentants politiques ont le devoir de protéger les citoyens. Dégâts collatéraux du sacro-saint principe de précaution, la société des risques devient celle des peurs, évaluées sans discernement, endiguées indistinctement. Aujourd'hui la cigarette, et demain quoi d'autre ? - très bonne question !
qu’on ne se pose pas assez.
Et pourtant il n’y a pas d’exemple qu’une telle dérive commence et puis s’arrête, non ! Ça continue et encore et encore vers toujours plus d’aberration exacerbée. Toujours

Bientôt « Le vin tue » ? (bien sûr ! Ça commence déjà. Après on interdira les parfums féminins, les lits douillets, les viandes en sauce bien sûr y auront passé avant, les sucreries ! n’en parlons pas, et les pâtisseries, quoi d’autre ? La sexualité bien sûr ! trop dangereux)

Robert Castel redoute, dans le sillage symbolique de la tyrannie anti-tabac, l'apparition de nouvelles formes de totalitarisme, « portées par des technologies nouvelles terriblement efficaces qui permettront d'exercer un contrôle absolu sur les individus et de juguler toute intrusion d'éléments extérieurs aussitôt qualifiés de risques ». Brille alors le spectre de la standardisation, de l'uniformisation, du conformisme, rayonne le culte (t ne sais pas si bien dire …) de la « bonne santé », de la beauté, du corps, domine l'idéal d'une mort repoussée et sacralisée, bref toutes sortes de diktats dont les subversifs contempteurs prennent... le risque d'une marginalisation insidieuse, voire d'une stigmatisation au nom des mauvais arbitrages, des mauvaises décisions, des mauvaises attitudes exercés.

Simplement ils affichent une différence, à laquelle la doctrine omnipotente de la performance et de l'efficacité répugne (comme toute doctrine omnipotente). Certes, l'État a le devoir de porter la conscience des risques encourus auprès d'une population inégalement informée (ah oui ? c’est nouveau ça, ça n’a pas toujours été considéré comme évident, depuis le régime soviétique sans doute). Mais à quelles autres prohibitions la suprématie de l'« idéologie sanitaire complète » imposée par les « Ayatollahs de la santé » prépare-t-elle ? Pourquoi demain, au nom des 45 000 victimes de l'alcool, l'étiquette « Le vin tue » ne couvrirait-elle pas les bouteilles de Château Margaux ? - (bien sûr on y vient. Il y a 30 ans personne y compris les promoteurs de l’anti-tabac n’aurait imaginé qu’on en arriverait où on en est, provisoirement ...)

Logique de culpabilisation

Cette logique de la culpabilisation porte un autre germe, une autre manifestation totalitariste tout aussi mortifères pour la santé..., cette fois de la société : celui de désigner des cibles, (ça s’est beaucoup fait …), des groupes d'individus qui vont concentrer l'anathème d'une collectivité économiquement fragile, sous le joug d'une judiciarisation galopante - comme en témoignent les procès ubuesques intentés par les malades contre les manufacturiers -, et qui cherche puis traque des boucs-émissaires. Aujourd'hui les chômeurs, les pauvres, les fragiles, demain aussi ceux qui prendront le risque « irresponsable » et surtout coûteux non seulement de fumer et de boire, mais pourquoi pas de pratiquer les sports à sensation, (bien sûr!vous en faites pas ça viendra) de naviguer vers les pôles, de changer d'employeur... et même de vie. Bref, de combattre l'ennui, de lutter contre le fléau sécuritaire, de défier le dogme tentaculaire de la « modération », et de concevoir l'existence comme une aventure, ou tout bonnement un plaisir, idée qu’on a apparemment complètement perdu.

Coupable et comptable

Ce tableau innerve d'infinies ramifications, d'inquiétantes et insolubles interrogations : si l'individu est jugé « coupable » de transgresser ce que la société a estimé moralement, éthiquement, économiquement « bon » pour lui, appartient-il à ladite de société de financer les soins inhérents aux maladies ? Est-il de la responsabilité de la collectivité d'assumer les coûts des comportements individuels à risque ? « Le droit à la santé est une grande conquête sociale qui conditionne l'accès à la citoyenneté, - voilà ! Ce principe qui a toujours été ce lui de tous les régimes totalitaires, par exemple remplacez « droit à la santé » par « droit à la grâce divine qui nous apporte le salut », et vous avez les régimes sous lesquels l’Europe a vécu durant deux millénaires, si vous remplacez par « droit au socialisme » vous avez autre chose, etc, la patrie française (ou autre) la race aryenne, etc  ». rappelle robert Castel.

Surtout qu'après la cigarette, pourquoi là encore ne pas considérer les obèses coupables et donc comptables de leur état de santé, (c’est ce qu’on fait déjà!) les oisifs coupables et donc comptables de ne pas pratiquer de sport (ça c’est sûr ça nous pend au nez), les pauvres coupables et donc comptables de leur indigence, les chômeurs coupables et donc comptables de leur inactivité professionnelle ? Et last but not least – lisez la presse ! - les non diplômés de l’enseignement supérieur coupables et donc comptables de leur incapacité d’appartenir à l’élite universitaire de rigueur. Un jour peut-être, la liberté de choisir sa double manière de vivre et de mourir sera corsetée. Ce qui est d’autant plus ABSURDE que quelque soit la manière dont vous mourez le résultat est strictement le même ! Et comme votre vie est d’avance condamnée à mourir, donc à ce que vous vous retrouviez comme si vou n’éties jamais venus au monde (à moins de croire en une religion, mais ça aussi ça va bientôt ere interdit, ça commence déjà à l’être!) on revient à la phrase précédente, quelle que soit la manière, et la durée, dont vous avez vécu, le résultat est strictement le même ! Or, le droit de mourir au rythme des cigarettes consumées, (éventuellement à 97 ans comme Compay Segundo, ou 92 comme Bertrand Russel), des ascensions en haute montagne, ou des vols en parapente n'est-il pas inaliénable ?

 

dans ce domaine comme en d'autre Ras-le-bol de l'infantilisation et de l'instrumentalisation de la peur ! (comme dans "Knock", relisez cette pièce prophétique !)

pour une manifestation "ras-le bol", ici "je ne serai jamais seul, je travaillerai toujours avec d'autres" nous dit Florian, l'admirateur de Chavez et pourfendeur de l'Oligarchie capitaliste :  https://ru-clip.net/video/T3vG2Xw_s1s/florian-philippot-s... !

 

21/09/2020

Der Tod geht stolz

à Berlin le 21 septembre 2019 il y avait une manifestation de ceux qui refusent l'avortement - en avez-vous entendu parler ? censuré par les médias ! - ils ont manifesté sous les huées haineuses des partisans de la mort

la haine des membres de la secte des adorateurs le la mort contre ceux qui la refusent et manifestent contre l'avortement, et pour la tolérance de l'enfant  qui voudrait bien ne pas mourir, lesquels ne peuvent manifester à Berlin, que sous la protection de la police, (sinon on peut se demander ce qui leur arriverait !) fait penser à la formule de Joachim Ringelnatz : Der Tod geht stolz

 

 

https://ru-clip.net/video/kFiT4CizxhA/proteste-gegen-mars...
"des chrétiens ont manifesté" nous dit-on. Il n'est pas nécessaire  d'être chrétien pour ça !!
il suffit d'être athée et d'être conscient de ce que c'est que la mort pour l'avoir en horreur pour soi et pour les autres, et donc d'éprouver un refus épouvanté et une opposition inconditionnelle devant l'avortement !

20/09/2020

la "dette" - mais soyons concret, appelons les choses par leur nom

https://ru-clip.net/video/8YrjiRZEpv0/ils-veulent-r%C3%A9...

(Philippot demande comment faire, mais entre autres déjà rétablir l'échelle mobile des salaires)

115% du pib de dettes ? mais, attend un peu, théoriquement (théoriquement, selon le bon sens qui en fonde le concept) une dette c'est de l'argent que qulqu'un a - a ! - et qui nous a prêté, et qu'on doit donc lui rendre. Mais ! qui possède 115% du pib ? personne ! "il faudra rembourser cet argent"  - à qui ? il y a quelqu'un qui possédait cet argent avant ? Cet argent a été "emprunté" à des banques qui ne le possédaient pas ! nada ! pas plus que nous. Et qui se permettent de prétendre avoir  "prêté" quelque chose qui n'étaient pas à eux ! et qui n'éxistait même pas !  ET encore réclamer des "interêts" pour cet argent qui n'était pas à eux  !!

c'est du vol de grand chemin ! c'est du rackett, c'est du brigandage, c'est un hold-up pur et simple. Normalement ces "prêteurs" (ces gens qui se prétendent prêteurs) devraient être condamnés pour vol aggravé et finir leur vie au bagne, rien d'autre !

19/09/2020

l'échelle mobile des salaires vous avez déjà oublié ? - les gilets jaunes non !

DANS l'HISTORIQUE "cahier de doléance" des gilets jaunes https://citizenpost.fr/2018/11/smic-a-1300e-salaire-maxim... ils ont pensé à demander le rétablissement de l'indexation des salaires sur l'inflation, à savoir l'échelle mobile des salaires.

Etienne Chouard lui n'a pas oublié et il réclame le rétablissement de l'échele mobile des salaires, ici à la  58è minute : https://ru-clip.net/video/4nTNwe0EicM/crise-%C3%A9conomiq...

(eh oui ! on habitue les gens, petit à petit, comme dans la parabole de la grenouille ébouillantée, à croire que c'est normal des salaires aussi bas, que ce serait abuser que d'en vouloir de plus hauts ! or c'est faux ! par exemple tout ça c'est de la manipulation de l'opinion, et au départ simplement une question de rapport des forces, pareil que dans un hold-up, mais avec une habile manipulation des esprits pour faire considérer ça normal par les victimes, qu'elles se sentent honteuse de revendiquer, et faire taire ceux qui s'aviseraient de contester la propagande des maîtres !)

Ne pas indexer les salaires à la hausse des prix (ce qui se faisait jusque 1982 ! l'a-t-on déjà oublié ?) condamne les consommateurs à acheter des produits de plus en plus bon marché. Ces produits bon marché n'étant disponibles que parce qu'ils ont été créés en exploitant une main-d'oeuvre sous-payée ou grâce aux produits de remplacement mauvais pour la santé

Délocalisation de l'industrie française, d'où croissance énorme du chômage, vies et familles brisées, pression à la baisse sur les salaires et à la hausse sur la difficulté de se faire embaucher, rapport de force psalarié-patrons perverti à l'avantage du patronat. Exploitation éhontée de travailleurs chinois , philipins ou bengladeshi !

Donc en acceptant des salaires non ajustés au coût réel de la vie, on entretient ou crée de la pauvreté et de la précarité pour autrui, et on collabore à la détérioration de la santé de tous (je ne détaille pas, j'espère que vous êtes au courant, tout ça est chaque jour de plus en plus documenté)

En fait tout se tient ! comme l'a bien montré Pierre Rougeyron dans son livre "Enquête sur la loi du 3 janvier 1973"

une vidéo bien interessante aussi (ne vous laissez pas arrêter par les élucubrations bibliques de Jova ! c'est pas ça qui est important) :
https://www.youtube.com/watch?v=vhGhQbw2i98

entre autre on apprend pourquoi la guerre civile Libanaise a été provoquée par les USA en 1975.
Et ce qui s'est passé au Chili en 73 ?

pour nos ancêtres aussi : https://hdclips.top/hd-videos/8gLppVXkHCw/la-v%C3%89rit%C...

comme les gilets jaunes demandons le rétablissement de l'échelle mobile des salaires !

les chiffres à retenir : 23% et 49% lien

18/09/2020

impossible de s'en débarrasser, vous serez marqués à vie !!


cette vidéo est bizarrement victime de toutes sortes de maneuvres pour empêcher les gens de la télécharger, tiens ! pourquoi ? Qui a interêt à ce que les gens ne sachent pas, ni ne fassent circuler l'information ,

Un site de première importance censuré !  lien à noter, utiliser et conserver précieusement ! http://initiativecitoyenne.be/

17/09/2020

il y a un peu plus de liberté de la presse en Suisse qu'en France : corrélation 5G et mortalité covid est DEMONTREE !

15/09/2020

petits dialogues socratiques

Petits dialogues socratiques



J-P Petit

- J'ai vu que certains appellent à traduire en Espéranto les bandes dessinées scientifiques de Jean-Pierre Petit. C'est insensé! L'Espéranto, va se déconsidérer complètement si on fait ça !

- Pourquoi ? Elles sont très intéressantes ces BD, et elles ont déjà ...

- Mais enfin voyons! Jean-Pierre Petit est un antisémite!

- Où est-ce que vous avez vu ça ?!

- Bien sûr, puisqu'il nie les attentats du 11 septembre! Et en plus c'est un fou qui croit aux soucoupes volantes, c'est un terroriste!
Et en plus il critique le capitalisme, ce qui montre bien qu'il est antisémite.

- Mais elles sont amusantes, très bien conçues et très instructives ces bandes dessinées, si vous les aviez lues, vous ...

- Certainement pas! Quelle question! Quelqu'un qui perdrait son temps à lire les textes d'un négationiste antisémite et partisan des extra-terrestres – comme ceux de la secte du temple Solaire! - se déconsidérerait. Je n'ai pas envie, moi, de me déconsidérer! Je n'ouvrirais jamais une seule page de ses livres!

Et puis en plus sa pensée est une pensée non-officielle! Vous ne voulez quand-même pas que le mouvement espérantiste se déconsidère à traduire des pensées non-officielle ??



Terminologie

- Est-ce que le Brahmo Samadj est une religion ou une secte?

- Pourquoi est-ce si important de déterminer cette question de terminologie?! Et d'abord, je ne comprends pas votre interrogation. Il faudrait d'abord me dire ce que vous entendez par religion, et par secte, et surtout quelle différence vous mettez entre les deux, j'avouerais que ça ne me saute pas aux yeux!

- Voyons! Si c'est une religion alors c'est quelque chose de sacré, protégé par les dogmes de la politically correctness juridiquement humanitaire, et non seulement il est interdit de les critiquer, même rationnellement, ce qui serait une offense à la foi de ceux qui y adhèrent, et punissable en conséquence, et même on ne pourrait en parler qu'en respectant une terminologie soigneusement expurgée, comme quand dans un article sur la Wikipedia en anglais quelqu'un a rédigé un article sur « La Mythologie yoruba » il s'est fait taper sur les doigts, il fallait dire « La religion yoruba » car de la qualifier de « mythologie » ça semble supposer qu'elle n'est pas vraie, donc prendre parti de manière critique, ce qui est un relent de colonialisme, d'ethnocentrisme, de non-neutralité, et donc un comportement de vieux porc machiste
Par contre si c'est une secte, alors non seulement on peut les critiquer, mais il est même interdit d'avoir seulement l'air de prendre leur défense. C'est caca; c'est une entreprise diabolique, et leurs idées ne peuvent être que diaboliques; d'ailleurs il est même interdit de perdre son temps à lire leurs textes, qui ne peuvent que polluer et manipuler votre esprit, puisque qu'ils proviennent d'une secte ! CQFD.

- Alors, et le christianisme ?

- Quelle question ! Avez-vous jamais vu de nos jours un auteur chrétien croire réellement à ce que sa religion est censée enseigner? Non ! Donc c'est une religion.

Rolando Toro

Rolando Toro, né en 1924 au Chili, est l’inventeur de la « Biodanza ». (a-t-on encore le droit de la pratiquer dans le régime fasciste instauré par le grand capital Big-Pharma, propriétaire de l'OMS ? on n'arrête pas de se toucher ! c'est d'ailleurs fait pour !)

« L’enthousiasme, l’émerveillement, et l’allégresse. Ce sont les sentiments que m’inspirent la Biodanza depuis que je la pratique. » (Bruno Giuliani, philosophe)

« Rolando assume pleinement ses contradictions, ses élans, ses révoltes, sans peur, sans recherche de perfection ou d’idéal. » (Bruno Ribant, psychologue)

« c’est à partir d’observations que je me suis intéressé à créer un système pour stimuler la joie de vivre, pour améliorer l’intégration entre l’esprit et le corps et pour renforcer le lien entre les personnes.

J’ai fait beaucoup d’observations. » (Rolando Toro)

Extraits du livre d’entretiens avec Rolando Toro  « L’homme qui parle avec les roses »:

 

« je crois qu’en tout ce qui est bon, excellent, comme l’amour, l’amitié, la contemplation de la nature, l’art, il faut être excessif, extraordinairement excessif. » 

«  … ma mère me donnait généreusement son amour et son autorisation, elle a toujours eu confiance en moi, depuis que j’étais tout petit. »

« Mon père … lui vivait dans le monde du rêve ; rien à voir avec le réalisme de ma mère (la nourriture, l’école, les vêtements). Mon père jouait de la musique, de la mandoline.

(en hommage au père de Rolando Toro, voici :

comme disaient les prêtres de Ptah "puisse-t-il vivre éternellement !"

 

… il dépensait tout son argent en jouets pour nous, au lieu de se préoccuper des choses urgentes et du nécessaire. »
 

« La psychologue m’a présenté un tableau de plus de cent activités, et toutes me plaisaient ! La musique, les mathématiques, la gymnastique, la littérature, la poésie, les voyages … J’aimais tout !

… Je crois qu’en réalité, le monde nous offre tant de choses intéressantes et merveilleuses, que c’est une tentation d’entrer en elles. »

« en tant qu père, j’en suis arrivé à la conclusion que la paternité est une des potentialités les plus merveilleuses qu’un homme puisse développer, l’exercice de la paternité. »

« Je crois en la famille, en l’appartenance à un nid écologique, et j’aime beaucoup le mariage. »

« J’ai commencé à étudier les différentes psychothérapies existantes ….mais je voyais déjà qu’aucune ne parvenait à pénétrer l’âme du malade mental ; elles n’effleuraient que son comportement. Je ne crois pas en les thérapies comportementales. »

« A partir de là, je disposais pour ainsi dire d’une prescription : pour les malades mentaux, ce qui convenait, c’était les musiques euphorisantes. Mais il manquait quelque chose ; Parce que je voyais qu’ils étaient en grand besoin d’affection.

…        Il y avait un malade qui profitait de l’autorisation créée par cette situation et qui se tenait près d’une autre malade, schizophrène, les deux se tenant par la main. Et ils restaient plongés en extase pendant l’heure et demie que durait la séance, sans sortir de cet état, car ils étaient ailleurs : c’est à dire qu’ils vivaient l’amour infini »

« L’échec de la psychiatrie est pour moi l’incapacité du médecin à aimer le fou. »

«  la "critique constructive" n’a jamais permis à personne de s’améliorer ! Ce qu’il faut faire c’est travailler sur la partie saine, et stimuler les potentialités qui sont propres à la personne.

… cette éducation, basée sur la critique, sous-entendant que nous détenons tous les fils de la sagesse, me déplait profondément. »

« Freud est un grand homme, cependant sa méthodologie ne m’intéresse pas, parce que le corps n’y est pas présent. »

« La notion d’inconscient collectif me semble avoir été une grande découverte. Ce que je n’apprécie pas chez Jung est néanmoins la théorie de la recherche du Moi, qui est en fait un chemin d’autonomie qui vise à convertir l’homme en une sorte de roi autocratique, et non en un frère. »

« … Freud lui-même, qui pensait que si les conflits inconscients passaient à la conscience, l’état de la personne allait s’améliorer …

Jamais ! (il s’anime). Personne ne s’améliore jamais en prenant conscience de ses défauts ou de ses problèmes. »

 

 

« … Feldenkrais … me dit un jour qu’il se rendait compte que ce dont le corps avait besoin était de caresses et non de conscience. Et c’est alors que j’ai formulé ma phrase préférée : "Il faut agir deux fois avant de penser !"»

« De Reich, j’ai conservé l’importance de la sexualité sans peur, l’importance de la libération sexuelle. Parce que la libération sexuelle n’a pas encore commencé ! »

« La Biodanza … une sorte d’utopie qui pourrait se réaliser, et qui est en train de se réaliser, car elle grandit d’une manière telle qu’elle est en train de nous échapper. … La Biodanza  grandi partout, car elle est ce dont l’être humain a besoin. »

« Je crois ainsi que l’amour est essentiellement un sentiment d’appartenance. Il ne s’agit pas d’une conception machiste de l’appartenance, dans laquelle l’homme possèderait une femme en restant lui-même libre. Ni non plus d’une conception féministe, dans laquelle la femme serait libre, nourrissant de la haine pour l’homme.

L’appartenance dont je parle est la possibilité d’entrer dans une fusion infinie avec l’autre, par amour »

« Nous ne nous exprimons pas. Seuls les enfants parviennent encore à tout exprimer. »

« Pour moi la poésie est ma perception au quotidien du quotidien. Pour moi toute chose a une connotation poétique. »

« La vie provient d’une impulsion qui vient d’avant la vie, et qui pousse l’univers à évoluer vers la conscience, vers l’amour, vers l’empathie, et tout ce qui fait la grandeur de l’être humain »

« Les lois ne sont pas organisées sur la base du droit à la vie, du respect de la vie, du respect des relations humaines, mais sur le droit de propriété. »

« Aujourd’hui, la misère est universelle, alors que tout l’argent et tout le pouvoir sont entre les mains d’une élite minuscule. Cette élite défend au prix du sang ce pouvoir et cet argent »

« Il y a une décadence éthique dans cette culture. Et ceci ne peut changer qu’à partir de l’affectivité de l’enfant, de l’enchantement de se sentir vivant, de la joie de vivre, de la poétique de la rencontre, de la danse, du plaisir sexuel… »

« La religion bouddhiste … permet d’entrer dans une sérénité contemplative, de créer un vide intérieur, dans une absence de désir, anesthésiant les sens, et atteignant une parfaite solitude. Cette proposition m’horripile, je la trouve épouvantable ! … et pourtant elle jouit d’un très grand prestige !

Le solipsisme oriental qui t’empêche de sentir du désir pour l’autre, de sentir de l’enthousiasme pour l’autre. Parce que tes sens doivent être anesthésiés et tu dois te remplir d’un grand vide, pour entrer en extase avec l’univers. Mais l’extase avec les personnes, l’extase que tu vis quand tu as un enfant dans les bras, l’extase que tu ressent avec la femme que tu aimes, ça c’est l’extase ! »

« l’amour n’est rien d’autre que la joie d’être en relation avec l’autre et le désir de cultiver cette joie. »

« Ce lien avec la mère perdure par delà la mort de celle-ci, c’est un cordon ombilical qui ne se romp jamais, au grand désespoir des psychologues, qui prétendent qu’il faut couper le cordon. Il n’y a pas à couper le cordon, tout simplement parce qu’il ne peut pas être coupé.