18/06/2018
VOUS pouvez changer le monde ! "qui paie commande"
Jamais autant qu’aujourd’hui le refus de l’acte d’achat n’aura revêtu une telle portée politique
OUI, Il ne faut pas oublier que les commerçants ne vivent que du bon vouloir de leurs clients !
Aussi les consommateurs, si ils le voulaient bien!! (..... ) , pourraient avoir une puissance extraordinaire pour changer la société !
Il faudrait peut-être s'en servir non?
Par exemple si on boycottait les produits issus de l'agriculture intensive et polluante, tous les agriculteurs seraient bientôt obligés de se mettre à l'agriculture biologique (dont on sait maintenant qu'elle est parfaitement capable de nourrir la planète). Et vous savez ça ?
Pareil pour l'exploitation des enfants (et des adultes !) des "zones économiques spéciales". Et savez-vous quel est le salaire minimum dans l'industrie du vêtement au Cambodge ? on ouvre les paris ! le salaire minimum correspond à 36 € mensuels. On peut, paraphrasant Montesquieux, dire : "C'est à ce prix que vous avez des vêtements bon marché en Europe"
Autre chose, il faudrait, dès maintenant que tous les citoyens dignes décident de boycotter systématiquement les magasins qui mettent des caméras de vidéo-surveillance, c'est à dire non seulement les grandes surfaces mais aussi les petits magasin qui font comme ça - même les pharmacies !!! on aura tout vu ! quelle honte ! (il y en a de plus en plus, et même des vétérinaires !! et même des curés !!! Jésus se retournerait dans sa tombe). Ce serait marquant pour la défense de la Civilisation devant le processus de Stalinisation de la société auquel nous assistons actuellement. Et après tout, il est normal qu'un client ne remette pas les pieds dans la boutique d'un commerçant qui l'a insulté ! Or mettre des caméras de vidéo-surveillance dans son magasin c'est insulter ses clients. Les gens n'ont pas l'air de en rendre compte. Une fois qu'on en a pris conscience on ne peut plus y entrer de même coeur, ni regarder le commerçant avec les mêmes yeux.
Vous ne vous sentez pas insultés? vous devriez pourtant, car c'est tout à fait ça!
"Qu'on me comprenne bien: Il s'agit d'un engrenage fatal. Nous mettons les pieds, sans vraiment nous en rendre compte, dans un engrenage fatal. Il commence à l'aéroport, lorsque nous acceptons d'être visualisés dans notre intimité, pour prouver que nous ne sommes pas des terroristes. Lorsque, aussi, nous acceptons les caméras de surveillance partout, vidéo-surveillance fallacieusement rebaptisée vidéo-"protection", nous nous soumettons implicitement au dépouillement de tous les aspects de notre vie."
("Dans un monde où l'humiliation est devenue tellement familière que l'on ne la reconnaît plus")
En 1945 déjà, l’écrivain français Georges Bernanos dénonçait en ces termes l’accoutumance à la surveillance comme un recul des libertés face à la menace totalitaire du « Moloch technique » au service du contrôle social : « L’idée qu’un citoyen, qui n’a jamais eu affaire à la Justice de son pays, devrait rester parfaitement libre de dissimuler son identité à qui il lui plaît, pour des motifs dont il est seul juge, ou simplement pour son plaisir, que toute indiscrétion d’un policier sur ce chapitre ne saurait être tolérée sans les raisons les plus graves, cette idée ne vient plus à l’esprit de personne. Le jour le processus de Stalinisation de la société auquel nous assistons actuellement. n’est pas loin peut-être où il nous semblera aussi naturel de laisser notre clef dans la serrure, afin que la police puisse entrer chez nous nuit et jour, que d’ouvrir notre portefeuille à toute réquisition. Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée (4). »
et il y a aussi ça maintenant : http://713705.net/2017/01/01/flicage-la-video-verbalisati...
allez, ils vont le sentir !
On s'y met ?
ça va faire des vagues!
"il faut vivre comme on pense sinon tôt ou tard on finit par penser comme on vit (1)"
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
http://vimeo.com/3925987
((1)regardez ce quie est arrivé aux bourges "socialistes" )
pour ce qui est de "consommer BIO, local, artisanal" ça commence; "Local"
Il y a ça aussi :
*et ici (ICI !!!!!!!) IL Y A une VIDEO, une VIDEO qui normalement devrait se voir et FONCTIONNER
i
au fait (regardez quelles sortes de gens sont les "gorilles" de super-marchés http://www.francetvinfo.fr/monde/russie/mort-de-l-opposan... )
lisez cet article, lui aussi voit le pouvoir des consommateurs et appelle à ce qu'ils s'en servent : http://www.liberation.fr/futurs/2016/10/20/eric-sadin-l-a...
Eric Sadin : «L’anarcho-libéralisme numérique n’est plus tolérable»
Ecrivain et philosophe critique, Eric Sadin analyse depuis dix ans l’impact du numérique sur nos sociétés. Après la Vie algorithmique en 2015, il publie la Silicolonisation du monde - l’irrésistible expansion du libéralisme numérique (1). Une charge violente et argumentée contre les Google, Apple et autres Facebook, qui prennent subrepticement les commandes de nos vies pour en tirer profit comme aucune autre entreprise auparavant.
Ce nouvel âge des machines, caractérisé par la mise en données de tous et de toutes choses, serait donc le stade ultime du capitalisme ?
Le technolibéralisme entend opérer une pression continue sur la décision humaine par la suggestion continuellement renouvelée des «meilleures» actions à prendre. Cet «accompagnement» de nos vies par les algorithmes s’est institué lors de l’avènement des smartphones et des applications à partir de 2007. Et nous franchirons un nouveau seuil lorsque les assistants numériques tels Siri d’Apple ou Google Now, à l’efficacité encore balbutiante, en viendront à nous prodiguer des conseils pour tous nos faits et gestes du quotidien. Et plus encore. Ce sera notamment le cas avec la voiture autonome, qui ne se contentera pas de piloter le véhicule mais également notre emploi du temps, en nous proposant de faire une pause dans tel restaurant ou tel hôtel supposés adaptés à notre «profil». Mais en outre, cet accompagnement peut aussi prendre une forme coercitive pour servir comme jamais les objectifs de productivité et de compétitivité du projet technolibéral.
Quand le patron de Microsoft, Satya Nadella, dit que «le défi de l’homme est de reprendre le pouvoir sur les données», c’est un début de mea culpa ?
Il s’agit là typiquement du langage schizophrénique tenu par les gourous de la Silicon Valley, qui collectent systématiquement des données sur tous nos faits et gestes, et qui en retour cherchent à rassurer les consciences. Le «siliconisme» sait très bien générer des discours positifs qui sont partout repris en boucle sans distance critique. Concernant la question des données personnelles, nous sommes au cœur d’un des grands malentendus de l’époque. La question cruciale ne regarde pas notre «vie privée», à laquelle certes nous tenons tous, mais qui représente si peu en regard de ce qui se trame et qui devrait autrement nous mobiliser. Car ce n’est pas une question de société, c’est une question de civilisation. Le technolibéralisme entend à terme tout automatiser et orienter nos vies afin de satisfaire de seuls intérêts privés. Et ce modèle se déploiera surtout si les données sont parfaitement protégées, instaurant une «confiance dans l’économie numérique» apte à assurer son expansion. Avant de nous prétendre victimes du traçage sécuritaire et commercial, nous devrions à la base individuellement et collectivement nous demander si nous voulons de tous ces objets, capteurs et systèmes appelés, non pas tant à violer notre vie privée qu’à progressivement nous dessaisir de notre pouvoir de décision.
Vous assimilez l’esprit start-up à de la «sauvagerie entrepreneuriale» et l’irresponsabilité des cerveaux de la Silicon Valley à de la «criminalité en sweat-shirt». Carrément ?
Le technolibéralisme relève de la criminalité, non pas en col blanc, mais en hoodie [sweat-shirt à capuche, ndlr]. Et pourtant ce modèle est partout célébré. Mais comment un tel aveuglement est-il possible ?
Vous écrivez que le «technolibéralisme est désormais libre d’agir sans entrave». Alors, que faire ?
Nous sommes tous citoyens mais également consommateurs, et nous pouvons, par des décisions simples mais d’une redoutable efficacité, mettre en échec ce modèle. Pour ma part, j’en appelle au refus de l’achat d’objets connectés et de protocoles dits «intelligents» chargés de nous assister en continu. Ces compteurs Linky par exemple, appelés à mémoriser nos gestes de consommation électrique au sein de nos habitats. Jamais autant qu’aujourd’hui le refus de l’acte d’achat n’aura revêtu une telle portée politique.
Contre l’ambition démesurée du technolibéralisme à vouloir piloter le cours de nos vies, nous devons protéger la part inviolable de nous-mêmes, autant que notre autonomie de jugement et d’action.
Il est également temps de signifier aux responsables politiques que le soutien par des fonds publics à cet anarcho-libéralisme numérique n’est plus tolérable. En France, ce n’est pas à Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat au Numérique et ardente propagandiste du siliconisme, de décider abusivement des choses à notre place en vue de satisfaire les tenants de l’économie de la donnée. Ni non plus au Conseil national du numérique : les deux tiers de ses membres sont des responsables d’entreprises internet et de la donnée, ce qui constitue exactement un «conflit d’intérêt». C’est pourquoi, nous devons, à toutes les échelles de la société - citoyens, syndicats, associations - défendre le bien commun et notre droit à déterminer librement du cours de nos destins. Si nous ne reprenons pas la main, c’est le technolibéralisme qui va diriger nos vies individuelles et collectives, et cela est inacceptable.
(1) La Silicolonisation du monde l’irrésistible expansion du libéralisme numérique, d’Eric Sadin, éd. l’Echappée, 256 pp., 17 €.
boycott des vaccins obligatoires aussi :
Et si le 5 mai vous commencez tous à appliquer ce programme de résistance passive, de 8 minutes 8 à 11 minutes 8, ce sera la révolution pacifique qui mènera à la chute du pouvoir de nos maîtres et à notre libération :
(bon "ne pas voter" je ne suis pas d'accord, ce n'est en rien un acte de désobéissance civile car C'EST CE QU'ILS ESPERENT, que le peuple ne vote plus bien loin de les embêter ça les arrange ! (voir mon billet "la démocratie on en veut bien mais à condition que le peuple ne vote pas"), si vous vous abstenez, ça ne fera que renforcer le pouvoir de la classe dominante et denos maîtres autoproclamés !!
15/06/2018
coqs, rossignols, merles, enfants = nuisance
radio Voltaire communique !
Désormais dans cette France peuplée uniquement de "Taties-Danielles" (des 2 sexes !) et de technocrates libéral-fascistes, la présence des rossignols, oiseaux qui chantent la nuit, va être interdite; en effet leur tapage nocturne empêche les français barricadés derrières leurs volets roulants de bien entendre le bruit de la circulation routière. En conséquence de quoi les rossignols vont être condamnés à mort, « euthanasie», par les tribunaux. "Pour des raisons de sécurité", bien entendu !
En date du 25 mars il vient d'être annoncé que les merles et les grives devront subir le même sort, puisqu’ils s’obstinent, en dépit des arrêtés municipaux, à refuser d’attendre 9 heures pour commencer à chanter, et qu’ils s'époumonent dès 4 heures du matin.
d'ailleurs : http://www.cnews.fr/france/2016-12-21/les-vaches-faisaien...
Sylvie Simon : "Il n'y a plus de liberté, la liberté n'existe plus"
vive Serge Gainsbourg ! "j"ai redonné à la Marseillaise son sens initial" :
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13/06/2018
tiens ! cette maison
Tiens ! cette maison appartient certainement à quelqu’un de la génération des années 70-80. À cette époque, post 68, et post-hippies, les ex-révolutionnaires, ou les ex-hippies, bourgeois enrichis , avaient au moins conservé le goût du beau ! Et ils décoraient leurs maisons (dont les murs n’étaient pas blancs et vides ni les meubles disparus par manque de place et tout en gris anthracite ! et dont les fenêtres étaient encore en bois, et à vitrage normal) avec des bibelots originaux raffinés et de bon goût (et ils s’habillaient pareil, maintenant c’est fini les gens n’ont jamais été aussi uniformes, moches, noirs, et mal-fagotés que maintenant et la mode jamais aussi laide de toute l’histoire de France, y compris les gaulois et les paysans du temps de Louis XIV).
C'était le bon temps, libre et aimant la vie, de ce qu'on appelait la « post-modernité ».
11/06/2018
la femme des sables de Kobo Abé
les aides-soignantes et personnel de service du « home pour personnes agées » (mouroir) de Saméon, et les pensionnaires qui y étaient, vivent tout à fait comme les personnages de « La femme des sables » de Kobo Abé.
09/06/2018
une possible explication de la trahison de Tsipras et de SYRIZA
(source : commentaire dans https://ruptures-presse.fr/actu/tsipras-schulz-ue-grande-... )
Je me demande si derrière cette "révélation" du vrai Tsipras, il ne faut pas chercher du côté des fondations allemandes. Une thèse de doctorat d'une historienne polonaise, qui s'est penchée sur cette question, a montré comment l'Allemagne, via ses fondations politiques, créaient des partis satellites notamment dans l'Est de l'Europe - ceci financé par l'UE à hauteur de 500 millions d'€ avec les sous des contribuables européens ( oui, la "générosité" de l'UE qu'on nous vante tant, elle se fait sur notre dos), agissant comme des chevaux de Troie.
Même les partis de gauche ex-communistes ont envoyé leurs cadres dans des stages de formation organisés ad hoc par la maison-mère, et en sont revenus séduits et convertis à l'européisme béat et capitaliste.
Or Syriza n'a pas de fondement historique comme le KKE, glorieux. Il est un parti opportuniste, mais créé avec quels moyens ?
N'est-il pas un de ces partis satellites créatures du PGE ou de la Fondation Rosa Luxemburg, voire pire ?
ça expliquerait cette pseudo-radicalité, tous ces moyens pour émerger et contrecarrer, au moment de l'effondrement du PASOK, la popularité en force du KKE ?
08/06/2018
c'est bien joli mais les CAUSES ?
déc 2017 : sur France Culture toujours les discours « bien-pensants » sur l’acceuil des immigrés. Mais ce que les gens ne remarquent c’est qu’il y a une tâche noire dans ce discours,
une question qui n’est jamais posée, un point qui n’est curieusement jamais abordé,
comme une médecine qui ne s’occuperait que de prôner de l’aspirine mais ne parlerait jamais de chercher la cause de la maladie, en fait c’est bizarre, oui ces gens « humains comme toi, etc, etc » c’est sûr aimeraient bien ne pas être repoussés et pouvoir être accueillis, mais aussi l’immense majorité d’entre-eux auraient déjà préféré NE PAS AVOIR EU à QUITTER LEURS FOYERS ET LEUR PAYS !
Or, curieusement ce point-là on ne l’aborde pas, cette question : pourquoi ? On ne la pose pas !
Peut-être parce que derrière les beaux discours moraux il y a des intérêts financiers ? Peut-être parce que poser la question du pourquoi mènerait à trouver les responsables des causes, et que « on » ne veut surtout pas qu’on parle de ça …. Ni qu’on éclaircisse les tenants et aboutissants.
Or c’est comme en médecine la plus importante question ça ! (et la plus morale en fait) Certes les tracas immédiats et individuels des intéressés est important, mais si on veut réfléchir un peu plus profondément, et pas simplement se laisser manipuler, il y a la question des causes qui conduisent à cette situation, non ? (et peut-être les intérêts de ceux qui en profitent et veulent continuer à en profiter). Et si ceusses qui parlent si abondamment des symptômes s’abstiennent soigneusement de rappeler qu’il y a des causes, et d’en chercher les racines, et les profits, il y a peut-être une raison pour ça, une raison honteuse peut-être.
06/06/2018
tiens ça varie selon les intérêts de nos maîtres !!
11/7/2016 après la coupe d’Europe Sur france-culture les journalistes font l’éloge du patriotisme. Tiens ! Ça n’est plus raciste ? Xénophobe, fasciste, antisémite ! demeuré, « populiste » quoi ! (du latin populus = peuple) Nos maîtres se sont dit que ça aide à faire tenir tranquille le troupeau, les prisonniers de leur baraque du camp, comme ça pendant ce temps ils sont contents, ça leur sert d’opium du peuple et ils obéissent bien au grand capital, à la propagande médiatique, aux flics, aux patrons, aux vigiles privés, aux interdictions de fumer, à l’ « Europe », les bobos refont l’éloge de ce qu’ils ont tant diabolisé parce que pendant ce temps-là le « peuple » ne pense pas à réfléchir, et à mettre le pouvoir de leurs maîtres donneurs d’ordre en question.
04/06/2018
il faut être fier d'être "complotiste", car c'est refuser de prendre pour argent comptant la version officielle des faits
De tous temps et dans tous les pays la version officielle, celle des maîtres du moment, et de leurs intérêts, a été mensongère.
01/06/2018
vous savez l'importance que je donne aux DETAILS qui révèlent
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/06/15/la-...
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2015/05/15/le-...
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2016/09/16/le-...
eh bien, lisez cet article :
https://fr.sputniknews.com/international/2017092410331920...
vous n'avez rien remarqué ? non ?
dans cette nouvelle ville, en Egypte, mais elle n'est nullement une exception, on prévoit d'amener des quartiers d' "affaires" (c'est à dire de gestions commerciales spéculatives, ne consistant pas le moins du monde à produire de biens ni des services, mais à gérer des entreprises consistant à chercher à se faire un max de fric par l'achat ou la vente de ces biens et services .....)
et à part ça un "parc de loisirs" ! ...
bref, récapitulons
une civilisation nulle part consacrée à produire, (qui produit au fait ? où ? oui où donc alors ???? des esclaves sous-payés, dans des pays encore plus pauvres que l'Egypte ? avec des "salaires" encore plus bas, visiblement). Toute l'activité jugée "respectable" se réduit à des activités parasitaires (comme le rappelle si justement Bernard Friot à la télévision). Et comme ça rend, comme le disait Zbigniew Brzezinski, 80% des gens inutiles, il faut les occuper (et leur soutirer de l'argent, car il y a un empire financier, un "groupe", capitaliste derrière, bien sûr) à des loisirs payants (et rentables pour certains, l' "industrie" touristique, pas le tourisme spontané et libre ! pas des distractions individuelles ou familiales, non ! pas question de jouer aux cartes, ou au jacquet comme c'est la tradition justement en Egypte, ça n'est pas rentable comme loisir, et rêvasser encore moins) alors on crée des "parcs" de loisirs.
Voilà le type de société que nos maîtres nous font.....
vu ?