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16/04/2018

quand un singe découvre la mort

Dans son livre "Noâra mon amour" www.ipernity.com/blog/r.platteau/126267 Elian-J Finbert nous raconte comme sa guenon Noâra découvrit la mort :
"J’observais un jour Noâra qui venait d’apercevoir un pigeon mort, étendu sur l’une des marches du perron. Elle s’en approcha et le considéra avec curiosité et anxiété, à la fois attirée et repoussée. Cependant s’étant graduellement familiarisée avec la présence de l’oiseau, elle y revint et tout en évitant de toucher ses plumes, étendit sa main et effleura son bec. Puis quelques instants plus tard, résolument, elle le souleva mais le rejeta aussitôt, prise de peur. Soudain elle se pencha sur la cadavre, le front plissé, tout comme lorsqu’elle suivait attentivement ce que je faisais et, sans doute, ayant enfin pris conscience qu’il ne bougeait pas, elle le ramassa et le tint presque contre ses yeux pour mieux l’examiner et passa minutieusement en revue les plumes, les pattes, la queue, le petit crâne, tout en le serrant entre ses deux mains, son visage traversé par des mimiques à la fois graves et cocasses. Et puis, dans une sorte de tremblement de tout son corps, elle le lança soudain loin d’elle et, grimpant sur un arbre, elle s’y posta. De là-haut, elle se pencha sur lui en poussant de petits cris d’effroi. Elle venait de prendre conscience de la mort, elle en avait saisi la notion et en avait ressenti l’horreur…."
(ch. 21 pages 257-258)

11/04/2018

les dérives de la société actuelle


 

10/04/2018

ce que sont devenus les parcs publics de maintenant

19/3/2018 Dans le grand parc public qui est derrière chez moi ( et qui depuis quelques années est devenu dégueulasse et non entretenu, un changement spectaculaire !!), un employé vêtu en costume de flic, c’est à dire un survêtement orange fluo « liturgique » de rigueur se promène sur une « tondeuse » automobile sur la pelouse (l’ex-pelouse …) qu’on voit depuis mon jardin. Ça fait un bruit de tous les diables ! Bien sûr, comme les « instances » (pas la municipalité - les municipalités sont en train d’être annihilées! - une quelconque « communauté de communes » bien technocratique, bien non-démocratique, entre copains, technocrates et coquins, et règlements européistes, et lobbies capitalistes bien entendu!) à cause des politiques actuelles ultra-capitalistes/européistes, les dites « instances » responsables ont réduit drastiquement le nombre de jardiniers (les « coûts salariaux n’est-ce pas !), donc il n’y a plus personne pour les entretenir, et les ex-pelouses ne sont plus des pelouses mais des espaces de friches et de branches tombées ! Résultat en fait ce n’est plus de la tonte de pelouse mais carrément du défrichage ! Et d’ailleurs il doit y avoir, depuis 3 ou 4 ans qu’ils n’ont pas passé, les entrepreneurs sous-traitants dont il s’agit certainement, les gens doivent avoir laissé traîner des tas de bouteilles et de canettes de bière avec personne pour les ramasser, ça doit être ça qui fait un tel boucan dans la machine.

09/04/2018

les annexions indues qui sont à l'origine du problème qu'et l'Ukraine

Ukraine-Histoire.jpg

 

http://fracademic.com/dic.nsf/frwiki/1132974

les martyrs du Donbass

etc etc

02/04/2018

une société ne renonce pas sans conséquences à l'interdit de donner la mort, quand plus rien n'est sacré quand l'égoïsme se cache sous les faux semblants gare aux dérives !

Relisez l'importance du livre de Binder et Hoche paru en ALLEMAGNEen 1922 .... et intitulé "de la libéralisation (sic) du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue (resic)"
bon, l'histoire vous connaissez, non ?

Et maintenant lisez ce qui se passe maintenant en Belgique (Belgique flamande surtout je pense !)

http://reinformation.tv/euthanasie-involontaire-medecins-...

 

 

W a écrit le 30-01-2011

Aujourd'hui, on ne supporte plus aucune contrainte, surtout pas la misère,ni le handicap,ni la laideur ou tout au moins ce que l'on croit être la laideur. Pourtant, si on prenait le temps de regarder l'autre dans son coeur, nous y verrions peut-être toute la vraie beauté. Et surtout que l'on arrête de dire que l'euthanasie est là pour arrêter les souffrances du pauvre malade et acceptons au moins LA VERITE qui est que notre egoïsme nous donne envie de ne plus regarder ce pauvre malade qui souffre, la laideur de ses douleurs qui nous gênent NOUS et nous seuls. Que sait-on de la personne qui souffre? Pourquoi dit-on qu'il vaut mieux pour elle ne pas souffrir? Qui sommes-nous pour décider de l'avenir des autres et même du nôtre? Bravo à vous tous! Vous êtes admirables. Battons-nous justement POUR LA DIGNITE . Souffrir n'a jamais été indigne que je sache; en ce qui me concerne , je trouve que la souffrance, au contraire, révèle toute la dignité d'un être humain. Quelle belle leçon au contraire et quelle admiration pour toute souffrance supportée, quelle qu'elle soit.

d a écrit le 27-01-2011

Qui sommes nous pour prendre la vie de quelqu'un ???????

ils sont nos parents nos enfants nos amis....nous les avons aimés, ils nous ont aimés. Que savons nous réellement de se qu'ils pensent et veulent ?

ils ont le droit de vivre à nous de leur garantir la dignité et de leur porter l'amour nécessaire et des miracles s'opèrent...un sourire, une pression de mains....

l'humain devient de plus en plus égoïste et ne pense qu'à son bien être et son plaisir, il ne veut pas voir les difficultés, encore moins les assumer et préfère les éliminer en tuant sous prétexte que c'est trop dur de voir la souffrance , il se donne plein de soit-disant bonnes raisons.

 

Une société ne rompt pas avec l’interdit de donner la mort sans conséquences. Cet interdit fondamental, commun à toutes les civilisations, à toutes les cultures, ne peut faire l’objet d’aménagements sans repousser, mécaniquement, plus loin les limites de la transgression.

Aucun Homme n’est jamais indigne. Face à certaines fins de vie, il faut peut-être parfois s’en convaincre mais un principe n’est jamais facile à tenir. Toute action sur la fin de vie devrait être fondée sur ce principe et non sur cette concession scandaleuse et littéralement délétère que ferait la société en admettant que certaines vies seraient indignes au point que seule la mort viendrait les rétablir dans la dignité. On admire Mère Teresa : elle soignait les lépreux, elle ne les achevait pas.

On n’assure pas la dignité d’un Homme en lui donnant la mort. On doit garantir la dignité dans la vie et non par la mort. Au prétendu droit de "mourir dans la dignité", il faut opposer le droit de vivre dans la dignité. Il n’y a pas d’autre choix concevable que d’être aux côtés de ceux qui se battent chaque jour pour assurer la dignité d’une personne mourante, plutôt que de ceux qui, de loin, préconisent l’injection.

L’euthanasie est une démission collective. Elle est l’ultime option d’une société qui a abandonné l’ambition d’être une société, une communauté qui prend soin des siens, une société qui a abandonné l’ambition d’assurer la dignité de ses mourants. Par l’euthanasie, elle tend à effacer, à supprimer, le problème, elle ne le traite pas.

L’euthanasie est le choix d’une société matérialiste, égoïste et individualiste, qui n’accepte pas la faiblesse, la fragilité. Elle cultive la jeunesse, la beauté, la fête, le corps. Le handicap lui fait horreur : il est éliminé ou éloigné. La mort terrifie ? Elle est cachée, elle est hâtée.

01/04/2018

vérité de bon sens

« Salut ! Si le saint Dieu Jésus-Christ n'était pas ressuscité je ne serai pas chrétienne et je n'existerai pas. »

(Béatrice Danielle Hervé-Berthelage)