27/03/2018
il a une odeur de cadavre leur art de vivre freudiquement correct
« Les morts, les pauvres morts… »
Ne fusse que pour eux, il faut toujours et à jamais être contre la mort, et pour la vie, la vraie, et ne jamais pactiser avec la mort, contrairement à ce que font les bonnes-femmes, les psychanalystes et tous ces mortifères gens « raisonnables », et toujours respecter les vivants, y compris l’âme des bêtes, et toujours dénoncer les forces de mort et de cynisme à l’œuvre dans le monde à la bourse et au FMI.
«Youpie la vie est belle» - Ouais ! on en reparlera quand tu seras sur un lit de pompes funèbres, avec tout leur tralala, et dans un sac en plastique, et avec dessous une table réfrigérée comme disait Madame Delmotte. À moins qu’on ne te transforme en une poignée de cendres dans un de ces Auschwitz de salon qu’il est à la mode d’appeler Funérariums où on vous diffusera du Mickael Jackson! - pour donner aux bons français-moyens l’impression d’une «messe» - et après on leur fourguera dans les bras une urne et des cendres dedans, et la facture, très élevée bien sûr, c’est ça qui la chose importante! «Entreprise leader sur le marché» oblige, et le ou la récipiendaire, qui sera bien sûr dûment chapitré et psychanalysée, se dépêchera de les jeter par poignées sur le premier terrain vague venu, et de partir d’un pas léger vers leur propre euthanasie. Hé! on n’est pas psychanalysé pour rien!
C’est vraiment l’« inquiétante culture de la mort » comme disait
Jean-Paul II. Ils sont d’un cynisme répugnant. Et d’abord complètement
absurde ! et pour rien : ce n’est que reculer pour mieux sauter
leurs conneries. Et puis c’est profondément révoltant et immoral.
Ils prétendent parler au nom de la vie, mais au contraire ils la
piétinent et parlent pour la mort.
Refusons les psychanalystes et autres membres de la Secte des
Adorateurs de la Mort, qui possède le pouvoir intellectuel actuel
comme dans le "Meilleur des Mondes" d'Aldous Huxley.
oui comme il est dit dans la chanson (Alain Boeuf 2003) :
"Si les cons s’amusent toujours à glorifier le vide"
"rien ne nous oblige à les suivre"
Publié dans mi iras limake, mort, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
Les commentaires sont fermés.