14/07/2016
la solitude du coeur, à jamais
« mais avec qui pouvait-il en jouir, maintenant que son meilleur ami n'existait plus ? Malheur aux orphelins !
Les événements fortunés aussi bien que les peines leur font sentir la solitude du coeur.
Comment, en effet, remplacer jamais cette affection née avec nous, cette intelligence, cette sympathie du sang, cette amitié préparée par le ciel entre un enfant et son père ? On peut encore aimer ; mais confier toute son âme est un bonheur qu'on ne retrouvera plus. »
(C'est valable aussi en remplaçant « son père » par « sa mère »)
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