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Rechercher : tout ce noir est le symptome

épidémie de fièvre aphteuse - des fois on trouve par hasard des choses, des choses qui révèlent le pot au rose !

Ce document, en deŭ parties, cette image et la suivante,

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vient d'un livre, trouvé par hasard dans une foire au livre : "La Vérité (en gros caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle.
Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient !
Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça.
Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage en mars 2001 aŭ Pays-bas)

En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait d la soigner. Et on la trayait. C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout.
Et les gens n'en mourraient pas !
Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches !
Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'aueur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteŭ.

(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on ne peut pas vendre le lait, ça fait baisser la rentabilité de l'élevage
voilà voilà .... )

Ce document, en deux parties, cette image et la précédente (bon je ne met pas la seconde, la première suffira, on n'est pas dans Ipernity ! ) vient d'un livre : La Vérité (en grands caractères !) sur la législation française actuelle en matière de répression des fraudes du beurre et du lait" par Auguste Eloire, docteur vétérinaire, qui date du début du siècle.
Maintenant vous vous souvenez certainement de la campagne hystérique que les gouvernements ont mené il y a qq années (en 2001) parce qu'il y avait une épidémie de fièvre aphteuse, les dizaines de milliers de vaches qui ont été massacrées - on aurait dit Katyn ! - et brulées à cause de rares cas (des vaches saines dans leur presque totalité) simplement parce qu'on avait trouvé une vache atteinte dans la ferme où elles se trouvaient !
Comme s'il s'agissait d'une maladie mortelle et abominable, la peste noire ou qq choses comme ça.
Et les fermes barrées par des chaines interdisant le passage (je me souviens j'ai vu ça lors de notre voyage Jacqueline et moi en mars 2001 aŭ Pays-bas)

En fait, et là je me souviens très bien aussi, de ce que me racontait ma mère qui était fille d'agriculteur et a bien connu la vie de ferme d'avant 40, autrefois, non seulement on ne prenait pas de mesures prophylatiques aussi extrèmes, mais même la vache atteinte on ne la tuait pas, on essayait de la soigner. Et on la trayait ! C'est tout juste si on évitait de boire son lait, c'est tout.
Et les gens n'en mouraient pas !
Et c'est ici qu'intervient ce document : même on commercialisait le beurre fait avec le lait de ces vaches !
Et c'était considéré moins "problématique" que de frauder en "coupant" le beurre avec de la margarine. Lisez ce texte, l'auteur est tout de suite soulagé et l'agriculteur innocenté quand il s'avère que, "ah ! ce n'était que ça ! bon ! pas de quoi fouetter un chat" son beurre était fait avec du lait aphteux.

(en fait l'hystérie prétendument hygiéniste, des années actuelles, était d'origine ECONOMIQUE (.....) on peut soigner les vaches aphteuses, et même les guérir, mais ..... ça coûte cher ! et pendant ce temps là on n'encaisse pas de rentrées d'ARGENT, ça compromet la SACRO-SAINTE rentabilité ! Voilà le problème.

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14/04/2020 | Lien permanent

Racisme puant

lors de l'élection  de Trump les grands médias  ont tout fait pour le déconsidérer et ses électeurs(posez-vous la question de tout bon inspecteur de police "à qui profite le crime ?" puis "à qui appartiennent- les médias ?" et un peu d'analyse marxiste de base, vous avez compris pourquoi !!), et ils ont trouvé un argument qui démontrait que ces électeurs sont forcément des sous-hommes "qui ne sont point fait pour penser" :


"hommes blancs sans diplômes" tout est dit  aux yeux de ceux qui sont nos maîtres , et tout est dit sur leur mentalité et la valeur morale de ces gens. ET ça c'est très important :

on voit le racisme social des "zélites" au pouvoir ! "ils ne se cachent même plus, crachent sur les tombes des personnes qu'ils tuent" disait MC Solaar.
Les racismes à la mode actuellement :
* les hommes, cette race d'êtres pervers ravalés plus bas que terre par les féministes !
* le peuple, les pauvres, ("populisme" qu'on vous dit ! avant on disait démocratie, Révolution Française et citoyens, c'est fini, hou sales pauvres ! Spencer et Alexis Carrel l'avaient bien dit il faut qu'ils meurent)
* Et maintenant ceux qui n'ont pas de diplômes universitaires, ah mon cher ! pour eux en-dessous de la maîtrise tu es un "sous-homme" ..... (c'est que maintenant qu'on a abaissé dramatiquement le niveau du bac ! autrefois un bachelier était cultivé, et savait réfléchir, on le lui avait appris, et à avoir de l'esprit critique, et on ne faisait pas des "résumés de texte" ! par contre on apprenait plein de longs poèmes par coeur, et bien sûr la cosmologie et la botanique) sont considérés par ces dames et messieurs chics derrière leurs bureaux de "commerciaux" aux vitre teintées et blindées, comme n'ayant pas le droit à la parole.
Remarquez quand on lit certains livres d'éditions universitaires, très structurés dans les normes et avec d'immenses bibliographies, mais une fois qu'on les a refermés on se demande "au fait il a dit quelque chose l'auteur ?")

un commentaire sur internet résume bien le constat et les causes ! :

mounproject 5 months ago

Clair, le mec n' a vraiment rien compris ou comment l' université peut détruire votre esprit conceptuel et faire de vous un bon vendeur de salade. Malheureusement, faut bien gagner sa croute

 

 

 

http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2016/...

notre époque est en fait plus raciste que ne l'étaient les aristos de 1789, ou les racistes des années 20.

"Emmanuel Macron a ouvert les vannes de la haine de classe et du racisme de classe" :

 

En fait le racisme, nous dirons "ethnique", est en dernière analyse toujours un racisme SOCIAL, un racisme de classe, un racisme anti-pauvres Réfléchissez ! analysez tous les cas connus vous finirez par y conclure à chaque fois !

Exemple  est-ce que les Emirs fortunéés qui arivent avec leurs 4 femmes, sous hidjab, dnas les hotels 4 étoiles se font traiter de "bougnoules" ? non ! On reproche ses 4 femmes (non voilées) au petit boucher algérien immigré !

La bourgeoisie français, jusqu'à il n"y a pas longtemps très raciste, - du temps où lesalériens venaient touer nos chaussées au marteu-piqueur, où lesnoirs étaient ds "ndigènes  des colonies "tout nus"  - depuis peu se pique d'anti-racisme, histoire de stigmatiser le vil peuple français, "populiste" donc "mauvais" par définition ("cette canaille qui n'est point faite pour penser" disait voltaire), pourquoi , ben dans leurs tours en acier et verre blindé dans leurs bureaux ou  leurs récéptions chics entre deux petits fours ils ont maintenant l'habitude de fréquenter des hommesd'affaires noirs, costume cravatte chics, des universitaires "beurs", des Directrices ds Ressources Humaines femmes, despoliticiens "pédés" et fiers de l'être. Tus ça "ce sont des gens comme nous" - pardi ! Par contre cet anti-racisme ne prendpas encomptelesroms ! là on ale droit dde continuer de dire du mal d'eux, et de titrer "Le problème rom" comme en 1930 on titrait "Le problème juif" sans se faire stigmatiser, pas de problème !

Dans l'esEtats-Unis, un noir c'était automatiquement un esclave, donc les serfs, tout en bas de la société !

Parcontre quand les portugais au XVIè siècle sont arivé au royaume de Kongo, ils se sont dépêché d'ordonner prêtre et même évèques des rinces de la cour du roi de Kongo ! 

Ce thème mériteraitdesexemples plus nombreux etdesanamses plus détaillées, mais ii je n'ai pas la  place !

Mas commej'ai dit c'estpascompliqué, prenez chaque exemple de racisme ou d'absence de  racisme et vous arriverez tojoursà cette conclusion. Même quand ça ne saute pas aux yeux, il  sufit degratter un peu et ça se découvre !

 

 

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05/02/2019 | Lien permanent

les esclaves du grand capital - mais quand est-ce qu'ils vont le comprendre ? c'est pourtant clair comme le nez au milie

et en tirer les conséquences

le problème avec ce film, c'est que c'est encore de la "gauche" états-unienne (voir le livre de Théodore Kaczynski, le milieu étrange qu'il critique,existe c'est ce qu'est devenu la "gauche" aux USA : un club de BOURGEOIS, intellectuels, qui se battent pour les femmes et les noirs et les homosexuels ! et qui s'imaginent que c'est ça être "de gauche" !!           ) qui s'efforce de noyer les vrais problèmes, les vrais structures, les vrais rapports de force, sous de l'écologie, des petites obsessions féministes (se faire licencier par une "directrice des ressources humaines" femme, ça fait moins de mal que par un homme peut-être ?      , se faire tuer à coup de tasers par un flic homo ça fait moins mal que par un flic hétéro ?        un spéculateur boursier "beur" vous croyez que c'est moins cynique qu'un spéculateur boursier "de souche" ?     ), et après ils iront nous servir du "éveil de conscience spirituel" et le tour est joué, faites gaffe ! restez dans les faits concrets et de bon sens, retrouvez les lignes et les rapports logiques du fric, du bénef et du pouvoir, ce sont les mêmes qu'en 1849, sauf que leur pouvoir est encore plus fort, encore plus oppressif et encore plus rusé, qu'il a inventé le "libéral-fascisme" et marche vers le NWO.
Contrairement à ce que nous sert ce film à l'idéologie toujours aussi "amerloque" comme somnifère pour "bobos" regardant une belle revue en papier glacé dans sa cabine d'avion 1ère classe, c'est la lutte de classe qu'il nous faut maitriser, sans elle on est foutus. Il n'y a que le début de ce film qui est vraiment lucide. Après on repart encore une fois dans le même gloubi-boulga qui conforte justement le système qu'ils font semblant de dénoncer, puis qu'ils MASQUENT sous des émotions pour touristes, mais pas D'ANALYSE PRECISE ET CONCRETE !!!

 

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16/09/2015 | Lien permanent

tout finira pas arriver ...

vous avez compris


voilà LA SEULE occurence, parmi des dizaines, de "Clopin-clopant" par le pauvre Henri Salvador (qui a lui aussi fini par mourir) qui soit téléchargeable !!!! dans ce monde de firmes capitalos qui s'arrogent la propriétés des chansons. (Vivement que le Parti Pirate soit au pouvoir et réduise les copyright à 25 ans et uniquement aux profit des personnes physiques !)

Bon, comme je disais voici une des plus belles chansons d'Henri Salvador la plus profonde et "incontournable", un paradigme.

 

pour pouvoir les copier etc, voici les paroles:

 

Je suis né avec des yeux d'ange
Et des fossettes au creux des joues
J'ai perdu mes joues et mes langes
Et j'ai cassé tous mes joujoux.
Je m'suis regardé dans un' glace
Et j'ai vu que j'avais rêvé
Je m'suis dit : faudra bien qu'j'm'y fasse...
Tout finira par arriver...
(et effectivement d’ailleurs il a fini par mourir Henri Salvador)

Et je m'en vais clopin-clopant
Dans le soleil et dans le vent,
De temps en temps le coeur chancelle...
Y a des souv'nirs qui s'amoncellent...
Et je m'en vais clopin-clopant
En promenant mon coeur d'enfant...
Comme s'envole une hirondelle...
La vie s'enfuit à tire-d'aile...
Ça fait si mal au coeur d'enfant
Qui s'en va seul, clopin-clopant...

Tout l'amour que l'on a vu naître...
Tes lèvres douces, parfum de miel...
Nos deux fronts contre la fenêtre...
Nos regards perdus dans le ciel...
Le train noir hurlant dans la gare...
Le monstrueux désert des rues...
Tes mots d'adieu, tes mots bizarres...
Depuis dix mois, tu n'écris plus...

Et je m'en vais clopin-clopant
Dans le soleil et dans le vent,
De temps en temps le coeur chancelle...
Y a des souv'nirs qui s'amoncellent...
Et je m'en vais clopin-clopant
En promenant mon coeur d'enfant...
Comme s'envole une hirondelle...
La vie s'enfuit à tire-d'aile...
Ça fait si mal au coeur d'enfant
Qui s'en va seul, clopin-clopant...

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30/04/2017 | Lien permanent

un rêve

11/12/2016 ce matin j’ai fait un rêve (très agréable) très singulier : difficile à raconter, comme toujours, avant que ça ne disparaisse pour toujours dans la nuit noire du néant de l’oubli J’étais étudiant, dieu sait pourquoi ! Car en même temps j’étais moi maintenant, avec mon âge actuel, et j'y étais un peu « en touriste » là-dedans, ce qui donnait un certain détachement, mais quand-même j’essayais de jouer le jeu (tout en me disant, que au moment où je décrocherai », ça ne sera pas grave, je laisserai tomber et puis basta, on s’en fout). j’étais à une grande table au milieu des autres étudiants, des jeunes, forcément, mais on était dans la même galère, rapports tout à fait égalitaires et intégrés, et bien que j'aurais pu être leur grand-père, on se parlait tout naturellement comme de jeune à jeune. Et les étudiants faisant des parlotes, et des critiques et du « psychodrame permanent » sur des attitudes de politique au sein de groupuscules d’extrême-gauche, et moi je ne cachais pas que je trouvais ces attitudes comme de la connerie. Et à un moment on est arrivé au cours de philosophie (ce que j’ai suivi dans la réalité un certains temps à Lille III quand j’étais jeune). Il y a déjà beaucoup de détails que j’ai oublié, et les profs, qui donnaient leurs instructions, c’était le tout début de tout, et à un moment on a à tous prêté de petits ordinateurs, ce qu’on appelle des tablettes, qu’on devait prendre dans une grande boite qui passait, et plus tard un autre étudiant m’a appelé en me disant qu’il allait me mettre dessus deux applications utiles pour le cours de philo, alors j’ai répondu « mais il n’est pas à moi » et il a répondu que ce n’était pas grave, il n’y a qu’à faire semblant et le garder près de soi ! Plus tard il y a une fille (elles me parlaient à l’oreille très camaradesquement) qui m’a dit qu’à plusieurs ils avaient organisé une sortie au cirque et si je voulais en être, et j’ai dis que oui, et j’ai demandé si c’était le Cirque Zavatta qui était passé dans mon quartier l’an passé (voir sur ce blog, j’en ai parlé). Tout ça était vraiment très agréable. Malheureusement je me suis réveillé.

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15/01/2017 | Lien permanent

Francis Carco l'inégalable émotion

Autre Chanson

Tes yeux cernés, ta bouche avide
De baisers, ton corps svelte et droit
M’enchantent, mais j’ai l’esprit vide
Quand j’ai passé la nuit chez toi.

Aussi je m’en vais dans la rue
Où je traîne, rêvant, forgeant
Des vers, faisant le pied de grue
Devant des cafés, sans argent,

Et, lorsque après minuit je rentre
Dans ta chambre, tu sais très bien
Quel infernal et chaud lien
Nous r’accouplera ventre à ventre.



A BOHÊME ET MON CŒUR

Ah ! je t’aime ! Où donc es-tu
Ailleurs que dans mes poèmes ?
Voici l’hiver qui ramène
Mes chagrins noirs et têtus.


Les acacias frémissent
Quand le vent descend sur eux.
Tu te chauffais, sans chemise,
Toute nue au coin du feu.


La pluie battait la fenêtre ;
Le bois sifflait en brûlant…
… J’attends que le matin blanc
Se lève encor dans les vitres !

 

 

Français Carco (1913)

les Tilleuls, les Lilas d’Espagne…

à Michel Puy

Les tilleuls, les lilas d’Espagne et les sureaux
Sous l’averse chaude d’avril
S’épanouissent… Quand le soleil brillera-t-il ?
Ah ! quand chanteront les oiseaux ?…


L’herbe envahit le jardin tout entier…
Le chat s’endort dans le grenier
J’entends grincer la pluie en haut du toit
La girouette
Tourne sur elle trente-six fois
Et puis s’arrête…


Qui marche dans l’herbe mouillée,
Qui secoue l’arbre chargé d’eau,
Qui fait, sur ses vieux gonds rouillés,
Rouler la porte et qui touche au marteau ?..


Un volet bat. Du plâtre tombe dans les orties.
L’horloge sonne étourdiment,
Et, tout en écoutant le vent,
Je sens, contre les murs et les feuilles, la pluie
Continuer son rauque et doux crépitement…

 

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19/05/2020 | Lien permanent

mon journal intime depuis le congrès Boulogne 2005 juqu'à fin 2009

journal mars2005-fin 2009

fichier pdf : lien

 

11/4/2018 Les perspectives sont plus sinistres les unes que les autres. Mon chat (noir) est en train de mourir. Moi-même on sent maintenant que j‘entre dans les dernières années. Bientôt l’infarctus sans doute, ou l’hémiplégie. Ou mourir étouffé par son mucus comme mon père. Le monde marche tout droit vers la 3ème guerre mondiale, attisée cette fois-ci par les USA (fous de sentir la primauté leur échapper) et par le grand capital. De toutes manière les fascismes qui ont fait celle de 40-45 ont été mis en place par le grand capital. Marx n’a jamais eu tant raison de dire que toute l’histoire humaine n’est que l’histoire de la lutte des classes ; eh bien la lutte des classes causera, comme dans les citées grecques, la destruction carrément de l’humanité ! Les féministes complètement hystériques et délirantes instaurent un régime de terreur et le racisme anti-hommes sur tout l’Occident. Macron, après les autres est en train de démolir le droit du travail, la protection sociale, les Services Publics, et tous l’acquis de 1945-46. Les oiseaux vont disparaître de France, et les abeilles et les bourdons aussi. Les israéliens tirent sans vergogne comme à la foire sur des milliers de civils palestiniens qui manifestent pacifiquement. Et ils censurent partout nos médias. De toutes manières la Chine aussi va devenir un Etat totalitaire orwellien « libéral-fasciste » comme l’Occident.

Et le recueil des poèmes que j’ai traduit en espéranto ne paraîtra jamais. Et les poèmes d’Angel Arquillos non plus, il est trop négligent et passif, alors que si on n’en retient que les meilleurs on aurait une collection de poèmes de plus grande valeur que ceux de beaucoup d’auteurs célèbres !

 

"cahiers de doléances" dit le kapo au pouvoir de la baraque "france" 2018 a été 1788, ah ah ! 2019 sera-t-il 89 ? à suivre ! (et à espérer)

en attendant lisez Etienne Chouard, et Bernard Friot, et François Asselineau

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05/01/2019 | Lien permanent

avec de telles chansons, ce ”taquin” de Béranger fâchait très fort la cour et l'eglise, ils l'ont mis en prison.

eh oui à toute époque ça a été dangereux de déplaire aux lobbies puissants....

LA VERTU DE LISETTE

Air : Je loge au quatrième étage (Air noté )

Quoi ! de la vertu de Lisette
Vous plaisantez, dames de cour !
Eh bien ! d’accord : elle est grisette ;
C’est de la noblesse en amour. (bis.)
Le barreau, l’église et les armes,
De ses yeux noirs font très-grand cas.

Lise ne dit rien de vos charmes ;
De sa vertu ne parlons pas.

bis.

 

D’avoir fait de riches conquêtes
L’osez-vous bien railler encor,
Quand le peuple hébreu dans ses fêtes
Vous voit adorer son veau d’or ?
L’empire a, pour plus d’un service,
Long-temps soudoyé vos appas.
Lise est mal avec la police ;
De sa vertu ne parlons pas.

Point de cendre si bien éteinte
Qu’elle n’y retrouve du feu ;
Un marquis dont la vie est sainte
Veut à la cour la mettre en jeu.

Par elle illustrant son mérite,
Sur les ducs il aura le pas.
Lisette sera favorite ;
De sa vertu ne parlons pas.

Çà, mesdames les dénigrantes,
Si cet honneur vient la trouver,
Vous vous direz de ses parentes,
Vous ferez cercle à son lever.
Mais dût son triomphe et ses suites
De joie enfler tous les rabats,
Se confessât-elle aux jésuites,
De sa vertu ne parlons pas.

Croyez-moi, beautés monarchiques,
Le mot vertu, dans vos caquets,
Ressemble aux grands noms historiques
Que devant vous crie un laquais.
Les échasses de l’étiquette
Guindent bien haut des cœurs bien bas :
De la cour Dieu garde Lisette !
De sa vertu ne parlons pas.


Air noté dans Musique des chansons de Béranger :

LA VERTU DE LISETTE.

Air : Je loge au quatrième étage.
No 210.
relative c'' {  time 6/8  key c major  tempo "Allegro."  autoBeamOff  set Score.tempoHideNote = ##t    tempo 4 = 120  set Staff.midiInstrument = #"piccolo"partial 4. g8 g g  e'4 c8 appoggiatura d16 c8[ (b)] c  d4 d8 g, g ge'4 c8 appoggiatura d16 c8[ (b)] c  d4. d8 d d  e4 d8 d4 c8c4 b8 d d d  e4 d8 d4 c8  appoggiatura c16 b4 b8 a[ (b)] c  g4 g8 appoggiatura { a16[ b]} b4 a8g4. r4 g8  b b c d e d  c4 c8 c d cb4 b8 c4 e8  d4. g,8 fis g  e'4 c8 appoggiatura d16 c8[ (b)] cd4 d8 g, fis g  e'4 c8 appoggiatura d16 c8[ (b)] c  d4. d8 d df4 f8 e4 e8   d d d a[ (f')] d  c4 c8 appoggiatura { b16[ c]} e4 d8  c4. bar "||"}addlyrics {Quoi de la ver -- tu de Li -- set -- teVous plai -- san -- tez da -- mes de courEh bien d’ac -- cord elle est gri -- set -- teC’est de la no -- blesse en a -- mourC’est de la no -- blesse en a -- mourLe bar -- reau l’é -- glise et les ar -- mesDe ces yeux noirs font très grand casLi -- se ne dit rien de vos char -- mesDe sa ver -- tu ne par -- lons pasLi -- se ne dit rien de vos char -- mesDe sa ver -- tu ne par -- lons pas.}
 
 
 

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15/10/2019 | Lien permanent

Sur des affirmations « scientifiques » et rationalistes, qui sont en fait des actes de ”foi du charbonnier”  ressortant

L’une de ces conclusions (toutes deux - de même que l’analyse que fait Etienne Chouard de l’élection et du caractère « pourri » des politiciens, leur non-représentativité, et la dégénérescence profonde des anciens partis de gauche - sont du type de l’oeuf de Colomb, c.à d. que là aussi on se rend compte que "c’est simple, mais il fallait y penser", c’est, quand on y pense bie, en fait évident, mais on avait paresseusement passé à côté sans s’en rendre compte) l'une de ces conclusions, donc, dont j’ai découvert l’absurdité,.je l’ai découverte lors de la lecture d’un livre de Vincent Fleury « La Chose humaine » .

Ill est d’usage chez les scientifiques, en particulier pour « expliquer » l’apparition de la conscience dans un cerveau matériel d’invoquer « la complexité. Vincent Fleury montrait que cette fameuse "complexité" est une imposture et une erreur, que la nature fonctionne en fait vers le plus simple, simplicité qui peut nous paraître complexe à cause de la difficulté que souvent nous avons à en maîtriser la mise en forme mathématique, etc, mais qui sont au fond toujours des phénomènes ultra-simples et matériels (dans son cas la physique de la déformation des matériaux mous).

En effet si on y pense bien, pour une mystérieuse « complexité » (et qui commence OU ?! hein ? où on va mettre le début où ça devient "complexe" ? Cf le paradoxe du tas de sable ! En fait, la complexité, voilà un « concept » bien anthropocentrique !! - et bien vague en plus, si on veut faire preuve d’un peu de rigueur ! - Bref faire confiance (!) c-à-d mettre sa FOI, aveuglément dans une «complexité », qui permet, telle les impénétrables « voies de dieu » autrefois, d’expliquer, en fait de couvrir - puisque justement c’est RENONCER à expliquer !! - notre incapacité à comprendre comment ça peut se faire !

La deuxième c’est la croyance darwinienne que toute l’évolution s’est produite en termes de sélection naturelle du plus apte, alors que plein de faits (dont certains sont rapportés par Fleury), et que « le temps » très long, si long qu’il en devient magique ! Que comme la « complexité » son mystère se transforme en boite noire - ou chapeau de prestidigitateur ! - d’où on suppose, par là aussi une « Foi du charbonnier » que ça doit bien à la longue permettre d’obtenir ce que, en fait, on ne sait pas expliquer !

 

et surtout relisez ce billet du 2 déc 2020 http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2019/01/16/cha...

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26/12/2020 | Lien permanent

”Je préfère être condamné (…) plutôt que trahir ma conscience”

Le procès de Mgr Pican evêque de Bayeux, c'était en 2001

"Je vous félicite de n’avoir pas dénoncé un prêtre à l’administration civile. Vous avez bien agi, et je me réjouis d’avoir un tel confrère dans l’épiscopat, qui (…) aura préféré la prison plutôt que de dénoncer son fils prêtre." Ces mots, datés de 2001 et révélés jeudi par la revue catholique critique Golias, sont signés du cardinal Castrillon Hoyos. préfet de la Congrégation pour le clergé, chargé de tous les prêtres à travers le monde.

On lui (à Mgr Pican) a reproché d'être « psychorigide » et de refuser à se « remettre en cause », traduisez : à suivre les consignes du pouvoir, Jésus aussi a refusé de se remettre en cause, il a même été crucifié à cause de ça, et il a obstinément refusé de jeter la première pierre à la femme adultère (ce qui était dans la société où il vivait considéré comme une chose aussi criminelle que la pédophilie à l'époque actuelle), et il s'est attiré par là autant de désapprobation et de mépris que Mgr Pican.

le tribunal, le procureur, les journalistes unanimes (d'ailleurs si un journaliste aurait osé dire le contraire n'aurait-il pas été viré aussitôt ?) ont appelé à ce qu'il dénonce les agissements à lui avoués par l'abbé René Bissey, mais il n'y a pas que les enfants qui sont en danger de vivre un enfer, et la culture de la délation à tout prix c'est quand-même quelque chose qui a caractérisé ce type de société : http://tpe-staline.wifeo.com/terreur-et-delation.php et celui-ci : http://clio-cr.clionautes.org/la-delation-dans-la-france-... (à l'époque ce ne fut pas les prêtres mais plutôt les juges et juristes qui ont, massivement - l'obéissance à la légalité instituée c'est professionnel ! - su, eux ! "se remettre en cause" et approuver, par exemple, la délation des juifs).

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09/02/2023 | Lien permanent

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