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implications inquiétantes d’une société sans numéraire, et à l’assaut sur les libertés humaines qu’elle représente

combat vital ! défendre l'argent liquide c'est défendre la liberté, la démocratie, et la dignité des êtres humains - nous sommes menacés !

La question de la disparition programmé n'est à mon sens pas celle du terrorisme, loin s'en faut, ni de pour taxer l'epargne . Le but réel est pire que celui-ci . Outre le fait de renflouer les banque dans la difference gigantesque qu ils ont créé entre l argent virtuel et le liquide, fautes d interet suffisant sur les emprunts . La question majeur et la seule qui devrait etre discutée aujourd hui c'est celle du controle total de tout individu . On est a la limite du droit de vie ou de mort . C'est uniquement sur cet aspect que devrait se poser la question . Le reste est propagande .

 

maintenant en Corée du Sud ! htttps://fr.express.live/2016/12/02/coree-suppression-pie...

où l'on voit incidemment que la bancarisation, et encore plus l'argent électronique, qu'on veut nous imposer, sont une menace terrible pour les libertés individuelles et la pure et simple survie physique des gens !
http://fr.sputniknews.com/international/20160222/10219977...
lorsque votre argent est tout dans les banques, et si jamais ils arrivent à faire disparaître le liquide, dès que quelqu'un déplait (ou son  pays déplait) à un gouvernementil, il est fini ! Et voir aussi ce qui est arrivé au Vatican et au pape Benoîr XVI contraint à la démission.

http://reseauinternational.net/la-suppression-de-largent-...

ETATS-UNIS ONT DECLARE LA GUERRE A L'ARGENT LIQUIDE...
avril 2016 : J'ai vu l'information sur FoxNews dimanche soir. Une mamie américaine, propriétaire d'un petit restaurant sans prétention, qui avait 30.000 dollars sur le compte courant de sa société a vu l'argent de sa TPE saisi, sans l'intervention d'un juge ou même une sommation. Son crime? Déposer de l'argent liquide sur son compte bancaire, puisque ses plats sont à 5 ou 6 dollars. La majorité des clients déposent des billets de 10, maximum 20 dollars pour payer leur addition.

Mais les employés de la banque ont signalé au FBI qu'elle déposait plus de 10.000 dollars en liquide sur son compte, ce qui a déclenché automatiquement la saisie du dit compte par l'autorité fédérale pour... "blanchiement". Un autre couple de commerçants dans le même cas n'a pas pu récupérer ses 300.000 dollars saisis par l'Etat depuis 1 an!!!!

Et on voit cela de plus en plus souvent de l'autre côté de l'Atlantique.

Sans même l'intervention d'un juge. Dans ces cas là, ça s'appelle un Etat fasciste. Cette technique a pour finalité de terroriser les commerçants, et à terme de supprimer en effet l'usage de l'argent liquide.

 et maintenant regardez cette pub manipulatrice :

la manipulation de l'opinion, en vue de buts venimeux et pervers, aime toujours ces procédés !

C'est comme pour les chiens et chats, on avait joué sur la corde sensible des propriétaires de chiens et chats les persuadant que s'ils ne les faisaient pas tatouer, ils seraient enlevés par des traficants et vendus pour la vivisection ! et tout ça pour habituer les gens au puces implantés, et créer un goulag mondial d'humains transformés en esclaves à la vie à la mort.
Maintenant ils attaquent les parents : si vous ne faites pas pucer vos enfants on va les enlever ! brrr ! et vous serez de mauvais parents sivous ne faites pas ça.
Et puis les malades : grâce à une puce ça vous sauvera la vie.
Et   maintenant on lit des énormités comme les chèques, ces rares petits bouts de papier, font faire dispaaâître des forets entières (les pubs non !) alors il faut supprimer ces vilains chèques !
plus c'est melo ou caressant dans le sens du poil plus c'est pervers et dangereux en fait. Les salauds ne reculent jamais devant rien.

et regardez ce qu'on apprend !!!!! les participants à ce grand-rendez "musical" ont été contraints d'utiliser un bracelet connecté... à leur carte bancaire (ce qui veut dire qu'il fallait en avoir une ! premier stade de l'esclavage totalitaire si vous n'avez pas encore compris, moi j'ai toujours refusé d'en avoir). Une obligation qui les a poussé à dépenser plus que les années précédentes. http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/vieilles-charrues-100-000-festivaliers-prives-d-argent-liquide-902832.html
Personne n'a bronché ! Le test a réussi
Ils sont prêts à être puçés RFID et asservi  par la dictature électronique
Quelle Bande d'abrutis de moutons !

et maintenant lire l'article complet ici.

La phrase la plus intéressante est là: "dans la tête des tyrans économiques, interdire l'argent liquide est le Saint Graal écrit Michael Krieger. "Forcer la plèbe vers un système de transactions en monnaie digitale offre un contrôle total avec un suivi parfait de toutes les transactions de l'économie, et donne la capacité de bloquer les paiements si un citoyen mécontent ose sortir des rangs". 

Souvenez-vous du film de Kaurismati "l'Homme sans passé."

 

«...Toutes les transactions seront surveillées électroniquement. Le comportement, et même les pensées des détenteurs de comptes virtuels seront sous contrôle. En cas d’écarts, les comptes seront bloqués. En pratique, ce sera une condamnation à mort.

Ne laissez pas refermer sur vous, sur nous, sur le monde la porte du totalitarisme Libéral-fasciste !!

Dostoïevsky : l’argent c’est la liberté gravée dans le métal

camp de concentration bancaire

"Toutes les transactions seront surveillées électroniquement. Le comportement, et même les pensées des détenteurs de comptes virtuels seront sous contrôle. En cas d’écarts, les comptes seront bloqués. En pratique, ce sera une condamnation à mort. Le monde 100% sans argent se transformera en un camp de concentration dont les prisonniers seront envoyés dans l’autre monde sans chambres à gaz ni exécutions."

Par Valentin Katasonov – Le 2 juin 2015 – Source Strategic Culture

 

L’information dont je parle a été rapportée par les médias en mai. Pas grand chose, à première vue, certainement pas quelque chose susceptible d’alerter les écrans radar. Mais le diable est dans les détails. Quelques événements intéressants ont eu lieu en Scandinavie. Le gouvernement danois a proposé d’exempter certains magasins de l’obligation d’accepter les paiements en argent liquide dans un geste vu comme un pas de plus vers une économie cash-free [sans argent liquide].

Les commerces comme les vendeurs de vêtements, les stations services et les restaurants ne seront finalement plus obligés d’accepter le cash l’an prochain, a déclaré le gouvernement danois le 6 mai. Le mouvement s’inscrit dans le cadre d’un paquet pré-électoral de mesures favorables à la croissance économique, visant à réduire les coûts et à augmenter la productivité des entreprises. De nombreux magasins en Suède n’acceptent plus l’argent liquide mais seulement les cartes de débit ou de crédit. Maintenant, un client aux poches pleines de billets de banque peut quitter une boutique suédoise ou danoise les mains vides.

Les banques et les gouvernements favorisent le processus.

Ceux qui veulent que l’argent liquide devienne une chose du passé avancent les arguments suivants. Ils disent que le passage aux paiements sans argent physique fera disparaître de nombreux maux sociaux, par exemple le trafic de drogue, le terrorisme, l’esclavage, la corruption, etc. En effet, les paiements en liquide, ou l’argent sale, permettent aux criminels de dissimuler leur identité. C’est là dessus qu’est basée l’économie grise, ou l’évasion fiscale. La monnaie physique est compliquée à émettre, à faire circuler et à détruire. L’écologie souffre – de la dioxine toxique est produite lorsque les billets de banque sont brûlés. L’absence de paiements en liquide bénéficiera aux gens. Leurs mains ne touchent pas des billets infectés de microbes, il n’y a pas de risque de vol ou de cambriolage, les gens perdent moins de temps dans les magasins – la liste peut continuer…

Le gouvernement français dit qu’il projette de l’abaisser à 1 000 euros, comme en Italie. Tous les paiements en espèces sont régulés par le gouvernement. Un citoyen français ne peut pas dépenser plus de 3 000 euros en liquide au cours d’une semaine. On ne peut pas retirer plus de 10 000 euros de son compte bancaire sans attirer l’attention des organes d’application de la loi. Une somme dépassant 1 000 euros ne peut pas être convertie en une monnaie étrangère. De telles transactions sont strictement régulées par le gouvernement. C’est l’exemple de la démocratie monétaire dans le pays qui a proclamé en 1789 que la liberté était sacrée.

Les banques apportent leur contribution à ce processus. Certaines refusent tout simplement d’accepter de l’argent liquide. Par exemple, en avril, Chase, la plus grande banque des États-Unis et une filiale de JP Morgan Chase and Co., s’est ralliée à la guerre contre l’argent liquide. Chase va même jusqu’à interdire le stockage de l’argent dans ses coffres. Dans une lettre à ses clients datée du 1er avril 2015 traitant de la Mise à jour du contrat de location de coffres, l’un des éléments mis en évidence précise : «Vous acceptez de ne pas déposer des liquidités ou des pièces de monnaie autres que celles dotées d’une valeur de collection». Chase gardera votre arme à feu, mais pas d’argent, s’il vous plaît!

 

Le processus a englobé les transports publics. Une personne qui veut payer son ticket de bus en monnaie ne peut plus le faire. Elle a le choix entre acheter un abonnement ou payer une course unique par sms.

Des quantités de choses sont inventées de nos jours. La Suède n’est pas en reste. C’est le pays d’origine du système de paiement en scannant simplement la paume de sa main. Un étudiant ingénieur à l’Université de Lund en Suède l’a permis, donnant naissance à la première société – Quixter – connue dans le monde pour installer la technique de scannage des veines dans les boutiques et les cafés. Il ne voulait pas perdre son temps à faire la queue.

Les paiements en liquide deviennent rares dans pratiquement tous les pays. Quatre-vingts pour cent des transactions aux États-Unis se font sans espèces et le marché continue à se débarrasser des billets de banque et de la monnaie. Le Conseil des paiements du Royaume-Uni a récemment indiqué que le nombre de transactions virtuelles dépassera le nombre de paiements en espèces. Le Danemark, la Norvège et la Finlande mènent le processus. Au Danemark, un Danois sur trois utilise un système de paiement avec son mobile. En Suède, l’argent liquide est utilisé seulement dans 3% des transactions 2. En comparaison, cet indice est trois fois plus élevé en Europe. L’argent liquide intervient dans 7% des transactions aux États-Unis. Le champion est la Corée du Sud, avec 2% de transactions en liquide. 

Il y a lieu de croire, en effet, que les détenteurs de monnaie (les banquiers) prévoient des incitations pour accélérer le processus (tout en faisant de leur mieux pour dissimuler leurs activités). Que doivent-ils faire pour cela ? Eh bien, peut-être poursuivent-ils divers objectifs.

Premièrement, depuis les années 1970, les taux d’intérêt des actifs (les crédits) et des passifs (les dépôts) ont baissé progressivement. Des intérêts négatifs sont apparus après la crise de 2007-2009. La tendance n’incite pas les gens à garder leur argent dans les banques. Le cash devient préférable. Avec 100% de transactions virtuelles, les clients ne quitteront jamais les banques.

Deuxièmement, l’argent sans numéraires ne vient pas par magie. Les moyens de paiements proviennent de l’argent émis par les banques centrales. Les clients recourent à de la monnaie réelle pour les dépôts et les banquiers transcrivent quelques lignes en devise sur des comptes [c’est la monnaie scripturale, NdT]. C’est une contrefaçon à grande échelle qui s’est mise en place depuis le XIXe siècle. Cela ne se révèle que dans les moments de crise financière, lorsque les clients se précipitent en masse [bank run, NdT] pour exiger leur argent et les banques se retrouvent dans une impasse. Les manuels d’économie appellent cela des garanties bancaires incomplètes. Moins il y a d’argent liquide en circulation, plus elles ont d’occasions de faire des profits à partir de rien.

Troisièmement, les détenteurs de monnaie (les grandes banques mondiales, et en premier lieu tous les actionnaires du Système de la réserve fédérale des États-Unis) pensent que leur premier objectif est d’atteindre la puissance mondiale absolue. Le passage à des transactions sans numéraires signifie la construction d’un camp de concentration mondial supervisé par les banquier

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07/10/2017 | Lien permanent

le Poulet

La dinde qui était une viande de luxe est maintenant avec les élevages type Auschwuitz pour carnivores consuméristes, est devenue une viande industrielle de pauvres. Ce qui a aussi arrivé au poulet, autrefois viande de riches, maintenant type même de l'horreur du consumérisme et du cynisme moderne (l'esprit de la modernité comme dirait Zygmunt Bauman) :

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Avant  d'écrire ces livres de réflexion sur la biologie ou le pacifisme qui l'ont rendu célèbre, le jeune Jean Rostand, qui était né dans une famille riche et cultivée (Edmond Rostand était son père, Rosemonde Gérard sa mère), et qui connaisait bien pour l'avoir fréquenté le monde de la haute bourgeoisie, a écrit quelques ouvrages critiques sur ce milieux. L'un d'entre eux « Les Familiotes et autres essais de mystique bourgeoise », paru en 1925, est un petit bijou d'esprit mordant mais pince sans rire, à la manière de Voltaire, de Flaubert ou de La Bruyère. Un chef d'oeuvre malheureusement pas réédité, et trouvable seulement chez les brocanteurs (puisque de nos jours, n'est-ce pas? les bibliothèques municipales n'ont plus pour but de permettre que plus de gens aient un accès plus facile à plus de livres mais que moins de gens aient avec plus de mal accès à moins de livres)

 

Il faudrait donc que quelqu'un nous le scanne et le mette sur Gallica.

 

Et dans ce livre le texte le plus remarquable est "Le Poulet"

 

Outre sa verve et son jubilatoire don pince sans rire de mettre à nu le racisme social et le cynisme de la bourgeoisie, c'est un document historique qui permet de nous rendre compte que la viande de poulet qui est devenu de par les Auschwitz animaliers que sont devenus les élevages industriels de poulets aux hormones, une viande de pauvres, était jusqu'en 1920 un met de riches, et que quand les pauvres se sont mis à en consommer ce fut comme une révolution !

 

(remarquez, peut-être que laisseriez passer ce détail, mais les théatres d'alors étaient accessibles à TOUS, simplement les pauvres étaient dans les galeries, et les riches au parterre, mais tous y trouvaient place; tandis que maintenant  pour les non-riches c'est purement et simplement DEHORS ! il n'y a plus de place pour eux)

 

 

LE POULET

 

Aux jours d’alors c’était pour eux un sujet de scandale et de désolation que la manière dont le Pauvre, ce profiteur, dissipait inconsidérément d’iniques salaires. Tandis qu’eux-mêmes, inspirés par le plus pur souci de l’intérêt général et de l’économie domestique, admettaient que les jambes fines de leurs femmes se vêtissent de coton et imposaient à leurs estomacs délicats des viandes grossières, le Pauvre, lui, mangeait du poulet avec ostentation et faisait porter à son épouse des bas de soie.

 

Leur fureur affectait de trouver que la situation, par son excès même, atteignait au comique. Et ils mettaient une façon de point d’honneur à se résigner. Ils abdiquaient avec hauteur. Ne voulant pas engager avec la Pauvre une lutte somptuaire, ils lui abandonnaient provisoirement, puisqu’aussi bien le monde était renversé, les élégances et les nourritures coûteuses, dont il devenait en somme honorable de se priver depuis qu’il fallait les partager avec des indignes. Ils exagéraient volontiers leur dénuement et se rationnaient avec un ascétisme rageur, préférant  d’accentuer le paradoxe plutôt que de chercher à l’atténuer. Dans leur amertume, ils se faisaient gloire de leurs restrictions alimentaires et vestimentaires.

 

« Eh bien, soit ! Que des ouvriers, que des balayeuses, que des gens de rien s’habillent et mangent comme nous ne pouvons plus manger et nous habiller ; qu’il nous faille nous arranger de menus et de costumes dont ne voudraient pas nos domestiques : acceptons courageusement l’offense du sort, et sachons accompagner d’un coup d’œil ironique la femme du peuple trop bien mise qui relève sa jupe sur des attaches que la soie fait paraître plus épaisses, comme par la vengeance du tissu déshonoré. »

* *

 

Stoïcisme de surface. Ils avaient beau se commander de sourire, c’était pour eux une souffrance incoercible que le Pauvre débutât dans le luxe, et surtout qu’il ingurgitât des poulets. A l’indignation que leur causait une vue si étrange leur ventre frustré mêlait une rancune physiologique : dépit de l’estomac, le plus fielleux qui soit. Ils évoquaient, ainsi que dans un cauchemar, toute l’odyssée du poulet, depuis son départ de la basse-cour natale jusqu’à son égorgement et jusqu’à ses métamorphoses ultimes. Et ils sentaient avec une vivacité criante la discordance de cette chair animale, si pâlement aristocratique, avec la chair humaine, rougeaude, et grenue, en quoi elle allait se convertir.

 

« Ah ! songeaient-ils, ce poulet, que les destins de sa race désignaient pour une honnête table bourgeoise, qui eut dû être préparé, assaisonné, rôti par ne cuisinière experte, artistiquement découpé par un maître d’hôtel aux favoris majestueux,  servi dans la pesante argenterie de famille aux chiffres entrelacés, ce poulet, ô déchéance ! après s’être dégradé au contact de la triste vaisselle graillonneuse, après s’être vu gauchement morcelé, autant dire assassiné, par des doigts noueux aux ongles sales, après avoir livré à une gueule profane sa consistance fondante et sapide, ce poulet s’en ira finir assimilé au fond d’entrailles prolétaires !

 

« Sans parti pris, est-ce du poulet qu’il leur faut ? Est-ce bien l’aliment convenable à des gens qui peinent et se dépensent ? Ce dont ils ont besoin, c’est de grosses viandes massives, garnissantes, et non pas de cette chair de luxe, neigeuse, aérienne, impondérable, inapte à rassasier. Le poulet revient de droit aux convalescents et aux oisifs.

 

« Ce poulet, le Pauvre n’y prend même pas de plaisir. Pour apprécier sainement un poulet, il faut des papilles instruites, formées à la longue par la pratique de mets fins et variés. Quand le Pauvre mange du poulet, c’est désir d’imitation ou esprit de taquinerie. Par goût naturel, il s’en tiendrait au fromage de cochon, au boudin à l’ail. Ce poulet, c’est un défi qu’il nous lance, c’est une gageure. Il vaut nous prouver qu’il peut faire comme nous, du moins comme nous faisions autrefois et ne pouvons plus faire.

 

« Si jamais, par une juste revanche des lois économiques, les salaires redescendent à un taux raisonnable, alors il se repentira de ses anciennes splendeurs culinaires ! Et s’il vient se plaindre à nous, ne serons-nous pas, en vérité, autorisés de l’accueillir par ce reproche laconique, mais péremptoire : « Et vos poulets ? » Ah ! qu’aux heures de privations et de chômage ces poulets lui soient un remords ; que la troupe de leurs spectres accusateurs défile dans ses rêves faméliques !

* *

 

« Et qui paye, au bout du compte, ces poulets ? Qui paye, en définitive, toutes les dépenses incongrues du Pauvre ? ses toilettes, ses alcools, son cinéma ? son théâtre où, désertant les galeries supérieures, il trône maintenant à l’orchestre ? D’où tire-t-il l’argent nécessaire ? De nous, n’est-ce pas ? Il faut bien, toujours, que l’argent de ceux qui n’en n’ont pas provienne de ceux qui en ont. C’est parce que le Pauvre mange des poulets que nous n’en mangeons plus. Le Pauvre nous ôte le poulet de la bouche !

 

« On oublie vraiment un peu trop qu’à cause du nombre des Pauvres leurs moindres dépenses finissent par représenter pour nous des sommes effroyables. Que nous occupions seulement deux cent ouvriers dans une usine, et que chacun de ces ouvriers mange un poulet, un de ces petits poulets dont chacun n’a l’air de rien, eh bien ! c’est tout de suite deux cent poulets qu’il nous en coûte. Car, bon gré mal gré, nous entretenons le Pauvre. Nous pourvoyons à sa ripaille. Son poulet nous dépouille, nous détrousse. Quel contre-coup il a sur notre vie familiale ! C’est la dot de ma fille écornée, c’est mon appauvrissement, car on s’appauvrit dès qu’on cesse de s’enrichir selon une progression constante. J’avais droit cette année à ma soixante-dix chevaux, et il faut que j’en reste à ma cinquante. Il faut que pour un délai illimité je me refuse mon hôtel à Paris. Il faut que ma femme accepte encore d’être toisée par des porteuses de colliers plus gros que le sien. Il faut que tous les deux nous endurions encore la honte de piétiner à la porte de tel salon où ne donne accès qu’une certaine fortune. Il faut que jusqu’à nouvel ordre je continue de me sentir déférent devant des amis mieux rentés. On se figure qu’il n’y a que les Pauvres qui soient humiliés ; mais nous le sommes, nous aussi, et combien plus durement ! Étant donné mon point de départ et la courbe de mon ascension, je devrais être aujourd’hui sinon le plus riche, au moins un des plus riches de ma ville. Le poulet de pauvre, c’est l’écroulement de mes espoirs, l’anéantissement de mes rêves les plus légitimes, l’obligation, à mon âge, de marquer le pas, la condamnation à une patience dont j’ignore si je serai encore capable. Ce poulet, pour moi, c’est le coup de grâce !

 

« Peut-être mes fils auront-ils la chance de vivre en des temps meilleurs ; peut-être leur sera-t-il donné de reprendre et de parfaire l’œuvre de ma fortune, que je n’ai pu qu’ébaucher au milieu des circonstances adverses. Mais j’en doute. Ce blanc poulet me fait voir tout en noir. Plus on ira, et plus le Pauvre mangera du poulet !

 

« Que ce poulet, pour tous ceux qu’il vise et qu’il lèse, devienne un signe de ralliement ! Qu’on s’accorde à lui prêter l’attention qu’il mérite ! Petits rentiers, fonctionnaires, professeurs, intellectuels, tous ceux qui sont obligés de se restreindre, de combiner des menus économiques, de réchauffer les restes de la veille, qu’ils se joignent à nous pour regarder d’un œil d’envie le plantureux poulet qui fume sur la table du  Pauvre ! Et qu’à cette vue ils conçoivent une haine digne de leur appétit contrarié !

* *

 

« L’époque où le poulet commença de figurer à l’ordinaire du Pauvre inaugure une ère nouvelle, disons mieux, un changement de régime. L’âge du poulet marquera, dans l’histoire sociale de l’humanité, autant que dans la préhistoire celui du mammouth ou du renne. Aucune partie du territoire national n’échappe aujourd’hui à la contagion funeste. Ce n’est pas seulement, hélas ! dans la région parisienne que sévit le poulet, c’est jusque dans les plus lointaines provinces, jusqu’au fond des campagnes. Sans cesse on signale de nouveaux cas de poulets mangés par des Pauvres. Un ami m’écrit de Bayonne que sa femme de ménage en a, elle seule, mangé deux dans la semaine ! De tous les points de la France, le même cri d’alarme s’élève. L’ingestion du poulet s’étend, gagne de proche en proche, se généralise. ? Notre cheptel gallinacé est en voie de disparition. Que ne doit-on pas redouter de ceux qui s’adonnent ainsi au poulet ? Bientôt ils se croiront tout permis. Ce poulet, pour eux, c’est n programme, un symbole. Dans ce poulet, il y a toutes les révolutions futures. Tenons-nous prêts aux pires éventualités. Ne nous hâtons pas de renvoyer en Afrique nos troupes noires ! Que nos sergents de ville apprennent le maniement des mitrailleuses ! Comme l’augure antique dans les entrailles des volatiles sacrés, apprenons à lire dans ce poulet fatidique le présage de l’imminente catastrophe ! »

 

J. Rostand – 1925

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24/11/2014 | Lien permanent

fonctionnaires

Il y a quelques années dans le cadre d’un « débat » à la télévision on commençait par diffuser un reportage sur le services des objets perdus à Paris, et on montrait complaisamment un employé du service qui expliquait en détail et de manière concrète comment fonctionnait celui-ci, l’étiquetage des objets trouvés, les fiches, le rangement, bref rien que des choses utiles et nécessaire pour un travail sérieux, mais bien sûr pas très « médiatique » tout ça ! Après on revenait sur les « journalistes chien de garde », payés des millions, de service qui ricanaient devant cette image selon eux caricaturale du « Fonctionnaire » cet affreux ce pelé ce galeux qu’il faut abattre ! et en parlaient comme un contre-exemple.


Je regrette ! ce pauvre fonctionnaire honnête et sérieux faisait, lui ! (…) un travail utile, seul un esprit puéril et superficiel de vedette du show-biz, ou de débile manipulé peut trouver ça ridicule. Ca n’avait rien de « médiatique, ce n’était pas Thalassa ou de la pub pour Vivendi-Monsanto ! (bien « retape » creuse et manipulatrice) non, toutes ces opérations apparemment maniaques, « fonctionnaires » c’était tout bonnement ce qui doit être le fonctionnement normal d’un service si on veut qu’il soit sérieux et fiable (pas comme les compagnies d’assurances actuelles !! passons) Riez ! mais pour le gars qui a perdu quelque chose dans les rues de Paris, et qui voudrait bien avoir des chances de le retrouver, un service de fonctionnaires sérieux, (peut-être « nunuches », mais justement si on veut que ça soit sérieux, c’est ça qu’il faut faire ! autrement l ‘épate, le j’men-foutisme brillant c’est - comme la SNCF par exemple depuis qu’elle fonctionne selon la logique du privé !… - se foutre du monde !!) un service de fonctionnaires sérieux C’EST DE CA dont il a besoin, et pas de campagne de pub qu’on lui fera payer des millions pour se foutre de sa gueule et accroître son insécurité (ce qui est que font la plupart des entreprises privées et des ex-administrations qui se sont mises à la gestion type-privée, à la mode !) Voilà un service, pas prestigieux peut–être, mais UTILE, géré avec SERIEUX (et c’est justement ce sérieux qui a permis à ces désinformateurs de le ridiculiser !), et qui ne se fout pas des gens (contrairement à de plus en plus de choses de nos jours !), un travail de fourmi, humble et utile, (non, pas utile, nécessaire à une société pour qu’elle soit civilisée !!)

Ces fonctionnaires que le « débat » en question avait pour but de ridiculiser et de dénoncer sont autrement plus utiles et « productifs » (eh oui ! la fiabilité d’un service est à ce prix, si on veut ne pas se foutre du monde ; par exemple il faut accepter qu’il y ait des employés qui, à l’occasion, attendent des heures sans rien faire derrière un guichet pour que ce lui-ci soit toujours là, fiable et au poste dès que quelqu’un en aura besoin !) autrement plus productifs que ces mêmes « personnalités » qui les « descendent en flammes » (payés combien de millions pour leur demi-heure de prestation ??? je serais curieux de le savoir….) et que les genres de gens pour lesquels ils roulent.

Des "gens improductifs" il y en a plein, oui; où on les trouve? :   eh bien justement  tous ces financiers (1) et gestionnaires qui, payés des salaires plusieurs fois plus élevés que le pauvre fonctionnaire du Bureau de objets perdus, passent leur temps à réunionner et à se faire loger dans des hôtels 4 étoiles pour bavasser sur la meilleure manière de rouler le monde et de se mettre dans la poche un max de fric, tous les publicitaires, qui ne produisent rien si ce n’est la pollution qui salope nos villes et nos paysages, tuent la liberté de la presse et les programmes télé ! tous ces audits internes, ces conseillers fiscaux (….) ces « public relations », ces journalistes chiens de garde, ces spéculateurs boursier et autres "golden boys", ces spéculateurs financiers, voilà le type même du parasite, et pas seulement inutiles mais nuisibles (penser seulement aux délocalisations, chômage, exploitation des enfants payées 1,5% du prix final des chaussures de sport, devinez vers quels types de « profession » vont les 98,5 autres pour-cents….)

 Cette émission est à vomir. ça fait plusieurs années que je  l’ai vue (forcément, ça fait plusieurs années que je ne regarde plus la télévision) et pourtant à chaque fois que j’y repense j’ai les cheveux qui se dressent sur la tête en pensant à une malhonnêteté intellectuelle et une désinformation aussi éhontées.

 

comme dit une contribution sur "fiers du Service Public.fr" 

"Le service public c'est, après la famille, le dernier rempart à la sauvagerie de nos sociétés déshumanisées. C'est un trésor qu'il faut sauvegarder parce qu'il maintient la communauté autour de valeurs universelles et justes. Je suis fier d'y appartenir et triste de le voir en si mauvais état."

 

(et ce sont ces milieux de parasites qui distillent dans les cerveaux des masses l'idée que tout le monde répète sans réfléchir comme des perroquets que les fonctionnaires sont des "privilégiés"
ah oui ? .... http://mouvdc.canalblog.com/archives/2010/02/02/16765926....

http://2ccr.wordpress.com/category/social-sante-public/fo...

 

http://2ccr.unblog.fr/files/2010/11/loifonctionnaires.pdf

 

Si on prend le projet Chorus par exemple, et il faut qu'ils y tiennent à exterminer un max de fonctionnaires ! ils sont prêt à dépenser des sommes folles pour ça et à saboter le fonctionnement de la comptabilité publique et la vie des gens qui attendent après laur argent (mais ça c'est le cadet de leurs soucis ! ) http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/05/27/04016-20100... 

 

(1) malgré l'année catastrophique, le soutien de l'Etat et une perte probable de 10 milliards d'euros, le personnel belge de Dexia SA s'est vu octroyer un bonus au titre de l'année 2011 selon l'Echo et De Tijd. Des cadres supérieurs ont reçu jusqu'à 45.000 euros bruts". C'est fou: banquier est le seul métier de parasite professionnel encouragé et favorisé par nos gouvernements, qui peut se distribuer des bonus même quand sa banque est en faillite!!!. Dans n'importe quel autre cas d'entreprises ou pme en faillite, les dirigeants sont passés au crible, paiement suspendus, etc. et même jetés en prison. Mais pas dans la banque. Pourtant, tout l'état-majour de la Dexia devrait déjà être en prison (voir dans le site de Pierre Jovanovic). Curieusement le "Régulateur" et la Justice restent étonnament aveugles dès qu'il s'agit des arnaques bancaires... C'est un secteur qui n'est pas concerné par la justice. "Les employés et cadres inférieurs ont reçu de 2500 à 5000 euros bruts et les cadres supérieurs de 25000 à 45000 euros bruts.".
http://www.oulala.info/2012/11/les-fonctionnaires-du-prive/  Pour faire des économies, en deux décennies on a supprimé des dizaines de milliers de fonctionnaires : l’Etat a-t-il fait des économies ? Non, au contraire, car comme il y aura moins de fonctionnaires, il faudra externaliser le travail, via des entreprises privées, à un coût supérieur, car il faut bien rémunérer les actionnaires !
 
une chose qu'il faut savoir :

TVC-4-OP- Asselineau-UPR - Sur la loi Giscard... par TValternative

un article sur http://2ccr.unblog.fr

 

On nous programme à mépriser, voire haïr les fonctionnaires, et cela depuis un peu plus de trente piges ! Pourquoi ?

Bernard Friot nous explique l'irigine de ce haine de la bourgeoisie pour les fonctionnaires :


tout ce qui est public doit être Privatisé ! Donc, les citoyens doivent comprendre ce que tout ça veut dire ! Lorsque tout sera privatisé, nous serons privés de tout !

Et lorsque vous aurez besoin de faire renouveler votre carte d’identité ? Actuellement, que ce soit en Mairie ou en Préfecture, vous avez sans doute un peu d’attente, mais c’est gratos ! Quand ça sera géré par une filiale de Véolia, et bien vous aurez sans doute une préinscription téléphonique, suivi d’une confirmation par mail, comme cela vous ne ferez pas la queue mais vous reviendrez chercher vos papiers la semaine suivante en faisant la queue et ce sera…100 euros ! Ou alors un employé modèle viendra directement chez vous récupérer vos papiers et fera les démarches à votre place, plus rapide, plus simple, mais plus cher…évidement ! Vous voulez changer votre carte grise ? Quant ce sera fourgué à AXA, vous pouvez reprendre les schémas de la CNI ci-dessus imaginés, et quant aux frais….espérons que vous aurez les moyens !

Quand vous serez malade, bien amoché, que les services d’urgences (gérés dorénavant par Vinci) vous amèneront à l’hosto, il faudra que vous puissiez allonger une certaine somme (ça dépendra de la distance de la structure hospitalière, si cela se passe la nuit ou un jour férié, etc, etc.), actuellement, à ce que je sache, les pompiers ne vous tendent pas la sébile avant de démarrer le camion ! Une fois arrivé à l’hosto, un employé vous demandera votre carte d’assurance privée (bien entendu, la Sécu aura disparue), et en fonction de votre pathologie, et du coût des examens à faire, si votre assurance privée n’est pas d’accord, ben, vous dégagerez !

Avec un peu de chance, Médecins du Monde où la Croix Rouge, voire le Secours Catholique gèreront tant bien que mal quelques structures gratos, mais bon, avec des moyens limités, alors apprenez la patience !

Donc continuons à nous diviser, à nous haïr, ceux qui ont le pouvoir, rigolent bien dans leurs super soirées.

D’après Hunter sur Conscience Citoyenne Responsable

http://2ccr.unblog.fr/2014/02/10/cest-la-faute-aux-foncti...

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28/03/2018 | Lien permanent

Analyse impartiale esereine des arguments et documents avancés par le Professeur Fourtillan

Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte conte ce même institut.
Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr
Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets
– du brevet Européen (non ! Amerloque !!! y’a qu’à voir la langue dans laquelle il est rédigé!!!) de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :
[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.
– du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1 (Pièce 3) à la première page :
(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.
– du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.
Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.
Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.
http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5) 
À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ? 
L’étude indienne ayant initié cette thèse :
Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19 
Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020
« La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ». 
Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.
De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques :
l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015 
Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point
En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur..

On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.
 
L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.
Troisième point
Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.
Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.
Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.
La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.
Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).
Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.
Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.
Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.
Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches
Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/ 
source:https://cv19.fr/

autre sujet (mais les marxistes savent que c'est lié, tout ça ressort de la lutte des classes, comme Klaus Schwab)

Karl Marx en effet et tous les historiens marxistes compétents, sont de grands"complotistes" c'est à dire des esprit scientifiques et bien informés.

https://reseauinternational.net/comment-la-grande-disette...

c'est le bon sens même.
Toute  l'histoire des hommes n'est  que  l'histoire de la lutte des classes. Et la conspiration actuelle de Davos, Klaus Schwab, les sponsors de l'OMS, et tous leurs larbins, en fait partie. Ils rêvent de rétablir l'esclavage antique, sous une forme technologique et plus sophistiqué, à coup de traceurs à l'oxyde de graphène,

etc. Et comme toujours maximiser le profit

Et l'attaque de l'hégémon USA contre la Russie, dont ils sont jaloux, aussi

(au fait, vous feriez bien de vous documenter sur le GENOCIDE (oui GENOCIDE le terme de  désigne officiellement un carnage qui fait DISPARAÎTRE une population à tel point qu’elle ne se reconstitue jamais ! ce qui était le but des capitalistes finlandais en 1918, et hongrois en 1919, etc) de la classe ouvrière socialiste finlandaise en 1918, et sur les enseignements que les théoriciens des révolutions ouvrières en tirent sur les guerres civiles de classes, c'est  mutatis mutandis ce qu'a fait Macron aux Gilets Jaunes, ils ne s'en sont jamais reis, et c'était le but de Macron et ses sponsors....)

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01/05/2023 | Lien permanent

demain tous contre le fascisme et la censure Gafams

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à moins d'utiliser un VPN

Comment les services de renseignement américains ont-ils repéré le Covid-19 à Wuhan plusieurs semaines avant la Chine ?

 

Par Will Jones

Source : The Daily Sceptic, 21 décembre 2022

Traduction : lecridespeuples.fr

Voici une question qui me turlupine. Comment les analystes des services de renseignement américains ont-ils repéré ce qu’ils considéraient comme un nouveau virus dangereux en Chine, alors que rien ne prouve que la Chine l’ait repéré ou s’en soit inquiété ? Comment ont-ils repéré le signal dans tout le tohu-bohu d’une saison de grippe chinoise normale ?

Les responsables du renseignement américain ont admis dans divers médias avoir suivi l’épidémie de coronavirus en Chine depuis la mi-novembre 2019, et même informé l’OTAN et Israël à ce moment-là. Pourtant, à aucun moment des détails n’ont été fournis sur ce qui les a poussés à prendre cette mesure inhabituelle.

Ces inquiétudes « ont été détaillées dans un rapport de novembre du National Center for Medical Intelligence (NCMI) de l’armée », citant deux responsables connaissant bien le rapport. Ce rapport était « le résultat de l’analyse d’interceptions téléphoniques et informatiques, couplées à des images satellites ». L’une des sources a déclaré : « Les analystes ont conclu qu’il pourrait s’agir d’un événement cataclysmique » et qu’ « il a ensuite été communiqué à plusieurs reprises » à la Defense Intelligence Agency, à l’état-major interarmées du Pentagone et à la Maison Blanche.

Voir Attaque biologique ? Washington était informé d’une épidémie à Wuhan bien avant les autorités chinoises

Le reportage d’ABC ajoute que « les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle » et que le président américain a été informé en janvier :

À partir de cet avertissement en novembre, les sources décrivent des briefings répétés jusqu’en décembre à l’intention des responsables politiques et des décideurs de l’ensemble du gouvernement fédéral ainsi que du Conseil national de sécurité à la Maison-Blanche. Tout cela a culminé avec une explication détaillée du problème qui est apparue dans le Briefing quotidien du Président (APB) sur les questions de renseignement au début du mois de janvier, affirment les sources. Pour qu’un élément apparaisse dans l’APB, il faut qu’il passe par des semaines de vérification et d’analyse, selon des personnes qui ont travaillé sur les briefings présidentiels dans les administrations républicaines et démocrates. […]
« La chronologie du côté des services de renseignement peut remonter à plus loin que ce dont nous discutons », a déclaré la source au sujet des rapports préliminaires de Wuhan. « Mais il est certain que les militaires ont été informés dès la fin du mois de novembre de la nécessité de prendre position sur cette question. »
Le rapport du NCMI a été largement diffusé auprès des personnes autorisées à accéder aux alertes de la communauté du renseignement. Après la publication du rapport, d’autres bulletins de la communauté du renseignement ont commencé à circuler par des canaux confidentiels au sein du gouvernement aux alentours de Thanksgiving, ont indiqué les sources. Selon ces analyses, les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle alors même qu’ils cachaient des informations aussi cruciales aux gouvernements étrangers et aux agences de santé publique.

Cependant, les rapports des médias sont incohérents. Le même jour (9 avril), NBC News a publié le rapport suivant, affirmant que « rien n’indiquait qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là » :

Selon les responsables, les renseignements ont pris la forme d’interceptions de communications et d’images aériennes montrant une activité accrue dans les établissements de santé. Les renseignements ont été distribués à certains responsables fédéraux de la santé publique sous la forme d’un « rapport de situation » à la fin du mois de novembre, a déclaré un ancien fonctionnaire informé de la question. Mais il n’a pas été estimé qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là, a déclaré un responsable de la défense.

Voir Covid-19 : les Etats-Unis ont averti leurs alliés d’une épidémie en Chine dès novembre (médias US & israéliens)

Le général John Hyten, vice-président des chefs d’état-major interarmées, a déclaré qu’il n’avait pas vu de rapports de renseignement sur le coronavirus avant janvier :

Nous avons tout ré-examiné méticuleusement les données disponibles en novembre et décembre. La première indication dont nous disposons, ce sont les rapports de la Chine de fin décembre qui ont été publiés dans le forum public. Et les premiers rapports des services secrets que j’ai vus étaient en janvier.

Le NCMI lui-même a nié à ABC l’existence du « produit/évaluation », c’est-à-dire du rapport auquel il est fait référence (bien que certains aient suggéré qu’un rapport qui n’était pas techniquement un « produit » de renseignement ait probablement existé).

Selon un article du Times of Israel du 16 avril 2020, les services de renseignement américains « ont pris conscience de l’émergence de la maladie à Wuhan au cours de la deuxième semaine de [novembre] et ont rédigé un document classifié ». Le rapport affirme également que la Chine était au courant à l’époque : « Les informations sur l’apparition de la maladie n’étaient pas dans le domaine public à ce stade, et n’étaient connues qu’apparemment du gouvernement chinois. » Un reportage de la chaîne israélienne Channel 12 datant du même jour affirme que les services de renseignement américains « suivaient la propagation » à la mi-novembre et qu’ils ont même informé l’OTAN et Israël à l’époque, mais, de manière quelque peu contradictoire, ils ont déclaré que l’information « ne provenait pas du régime chinois » :

Un rapport secret du renseignement américain, qui mettait en garde contre une « maladie inconnue » à Wuhan, en Chine, n’a été envoyé qu’à deux de ses alliés : l’OTAN et Israël. Au cours de la deuxième semaine de novembre, les services de renseignement américains ont constaté qu’une maladie aux caractéristiques nouvelles se développait à Wuhan, en Chine. Ils ont suivi sa propagation, alors qu’à ce stade, cette information classifiée n’était pas connue des médias et ne provenait pas non plus du régime chinois.

Ces rapports médiatiques émanant d’agents de renseignement anonymes se référant à des documents d’information non divulgués ne sont manifestement pas tous cohérents. L’affirmation du Times of Israel selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre est particulièrement étrange, car ce rapport dit tirer ses informations directement du rapport de Channel 12, qui affirme le contraire. L’affirmation d’ABC News selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre d’une épidémie « hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie », mais que cette information a été gardée secrète, est également étrange. Comment une épidémie « hors de contrôle » qui « change les modes de vie » pourrait-elle être gardée secrète ? Lorsque le virus a été révélé à la fin du mois de décembre, il s’est accompagné d’une activité intense sur les réseaux sociaux en Chine. Où est passée l’activité des réseaux sociaux de novembre, où les gens parlaient d’une épidémie  hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie et le monde des affaires » ? Où sont les images satellites montrant ces impacts sur les hôpitaux et la vie sociale ? Aucune n’a été produite, alors qu’il serait facile de le faire.

Voir Coronavirus : la Chine et l’Iran dénoncent la probabilité d’une attaque biologique

Cela nous amène à une question cruciale. La Chine était-elle au courant en novembre ? J’avais précédemment supposé que oui, mais en regardant plus objectivement, je n’ai pas vu de preuves tangibles qu’elle le savait. Le rapport 2021 des services de renseignement américains sur les origines du Covid indique que la Chine « n’avait probablement pas connaissance de l’existence du SRAS-CoV-2 avant que les chercheurs du WIV ne l’isolent après la reconnaissance publique du virus dans la population générale ». Mais avait-elle connaissance plus tôt d’une épidémie inhabituelle d’étiologie inconnue ? Rien ne le prouve.

Hormis les affirmations contenues dans les rapports médiatiques susmentionnés (qui, comme nous l’avons noté, sont largement démenties par les responsables de la défense), la seule preuve dont nous disposons provient du rapport du personnel de la minorité sénatoriale de 2022, qui a des liens avec les services de renseignement américains, en particulier avec le grand manitou de la biodéfense Robert Kadlec. Ce rapport suggère que la Chine a pris connaissance d’une fuite à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) en novembre 2019 et, à ce moment-là, a commencé à travailler sur un vaccin. Mais il ne donne aucune preuve réelle pour étayer cette affirmation, juste de vagues déclarations sur le moment où la formation à la sécurité a eu lieu et des insinuations sur le moment du développement du vaccin. En outre, l’accent est entièrement mis sur la recherche chinoise et le WIV, et pas du tout sur la recherche américaine, ce qui laisse supposer qu’il s’agit d’un « dérapage contrôlé » de la communauté du renseignement et d’un exercice de détournement d’attention.

Il convient de noter que le colonel Robert Kadlec, qui semble être à l’origine du rapport du Sénat, a été le premier directeur de la politique de biosécurité de la Sécurité intérieure sous la présidence de G. W. Bush et l’un des cerveaux des premières simulations de pandémie, y compris l’hiver noir de 2001. Lorsque le COVID-19 a frappé, M. Kadlec est devenu le principal responsable de la préparation aux situations d’urgence, coordonnant la réponse du ministère américain de la santé et des services sociaux et du gouvernement fédéral. Il est donc une figure centrale de l’établissement de biodéfense américain qui nous a apporté les confinements et ne peut être considéré comme une source d’information indépendante ou fiable.

Voir Covid-19 : le contrôle des populations par la peur était « totalitaire », admettent des responsables scientifiques

Les meilleures preuves indépendantes dont nous disposons actuellement pour affirmer que la Chine était au courant avant la fin décembre sont les rapports que Gilles Demaneuf transmet de deux scientifiques américains, Lawrence Gostin et Ian Lipkin, selon lesquels, à la mi-décembre, des contacts scientifiques chinois leur ont mentionné une épidémie inhabituelle de virus. Ce n’est pas du tout précoce, et c’est plusieurs semaines après la mi-novembre.

Il y a de nombreuses raisons de penser, comme l’indique le point presse de Channel 12, que la Chine n’était pas au courant avant décembre. Par exemple, le manque évident de préoccupation du gouvernement chinois à l’égard du virus jusqu’aux environs du 23 janvier. Le 14 janvier encore, les experts chinois déclaraient à l’Organisation mondiale de la santé qu’ils n’étaient même pas sûrs que le virus se transmette entre humains ! C’est difficile à croire, mais cela montre quand même à quel point ils n’étaient pas inquiets.

Il y a aussi l’absence de précédentes alertes de santé publique comme celle qui est apparue le 31 décembre 2019 de la Commission municipale de la santé de Wuhan, plus, comme nous l’avons noté, l’absence de toute activité sur les réseaux sociaux concernant une épidémie en novembre. En outre, il y a l’échec apparent du séquençage du virus avant la fin du mois de décembre, puis dans un laboratoire privé, ce qui fait également vaciller l’idée que la Chine développait un vaccin à partir de novembre. Il y a aussi le fait que les autorités chinoises ont semblé croire que le marché humide de Huanan était une origine plausible du virus en janvier, jusqu’à ce qu’elles examinent cette théorie et la réfutent.

Bien sûr, il peut y avoir des explications alternatives pour certains de ces éléments. Par exemple, l’histoire du marché humide peut avoir été un moyen d’étayer l’affirmation initiale bizarre selon laquelle il ne semblait pas y avoir de transmission interhumaine, ce qu’il est difficile de croire que les scientifiques chinois aient jamais vraiment cru, étant donné l’invraisemblance de cette hypothèse et le fait que les scientifiques chinois semblaient avoir conscience d’une épidémie plus large en décembre. D’un autre côté, la fuite du rapport du gouvernement chinois datant de février 2020 semble montrer que les responsables se sont empressés de regarder en arrière pour voir ce qui se passait dans les hôpitaux en octobre et novembre, sans que rien n’indique qu’ils étaient au courant à ce moment-là, et également sans indication d’une épidémie « hors de contrôle ». Peut-être s’agit-il là aussi d’un faux astucieux. Mais tout cela est-il faux ? Et dans tous les cas, où sont les preuves réelles et positives que la Chine était au courant ?

Voir 

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21/01/2024 | Lien permanent

le problème de Dieu bien expliqué (par ”la mite dans la caverne”)

Dieu et religions

Aux antipodes de la foi (qui comme le sacré et contrairement aux idées reçues, n’est pas religieuse pas essence) il est évident, ne serait-ce que par la justification qu'elles ont toujours offertes aux fous mégalomanes et aux profiteurs sans âme, que les religions dogmatiques, notamment celles dites « du Livre », sont une des pires plaies qu'ait jamais connu l'humanité. Bien sûr, on peut leur reconnaître un rôle structurant, une capacité à préserver un temps certaines valeurs et certains repères de bon sens. On peut aussi objectivement constater que ces montagnes d'énormités accouchent de temps à autres de souris admirables comme l'abbé Pierre, même si la tentation est grande de procéder à leur basse récupération, post mortem ou non, en tant qu’icônes.

S’il s’agissait de l’exercice d’une liberté de choix, je n’aurais aucun problème à accepter cette propension qu'ont les gens à adhérer à des dogmes religieux envers lesquels pourtant, seule une lobotomie ou une insolation sévère pourrait m'aider à éprouver une once de sympathie : tant qu'on ne me les impose pas et qu'ils ne polluent pas mon environnement, je les tolère et je me garde de juger les gens qui y adhèrent pour des raisons qui leurs sont propres et qu'à défaut de partager, je respecte.
Mais la religion est malheureusement le plus souvent choisie par nos parents ou notre société. Elle nous est inculquée profondément sans préparation à un âge où nous ne disposons pas du bagage et de la maturité intellectuelle suffisante pour nous protéger de ce conditionnement. La preuve en est que, par exemple, même l’athéisme « post catholique » est imprégné de valeurs de tolérance « a priori » au nom d’une appartenance à la même humanité, qui ne sauraient s’expliquer autrement que par un glissement culturel.

Dans une société responsable, l’histoire des religions, leurs concepts et leur diversité devraient être enseignés, analysés et discutés à l’école, le baptême devrait être illégal jusqu’à la majorité et je ne parle même pas des circoncisions et autres mutilations, participant du même principe, et que les parents font subir à leur progéniture en toute bonhommie, victimes de leur propre conditionnement.

Tant que la situation sera ainsi, j’aurai cette propension à bouffer tous les jours du curé, du rabbin et du mollah avec en dessert un cake aux témoins de Jéhovah saupoudré de Dallai Lama fraichement réincarné, râpé en gingembre spirituel pour la touche d'exotisme qui relève si bien les plats un peu fades.

Il n’en demeure pas moins que le constat est là et qu'accepter des révélations abracadabrantes, souvent parce qu'on est tombé dedans quand on était petit, sans au moins une fois s'être demandé ce que pouvait ou ne pouvait pas être Dieu, ne semble pas poser de problème à la grande masse des croyants. On m'objectera que la foi consiste justement à croire en l'inexplicable, certes, mais que dire alors de toutes ces explications simplistes que les sectes religieuses dispensent à leurs ouailles pour attiser leur dévotion.

Le problème de toute réflexion, ce sont les postulats de départ. Non seulement ils sont tous faux de par les limites de la nature humaine, mais souvent la focalisation se fait sur un point de détail. Un point qui suppose l'adhésion à un empilement de postulats bancals préliminaires, emboités comme des poupées russes, et qui ne sont jamais remis en question.

C'est d'autant plus vrai sur les questions religieuses qui conduisent souvent à s'entre-tuer joyeusement au sujet du caractère sacré de la poussière émise par la fée clochette sans se sentir perturbé le moins du monde par l'admission implicite qui en découle de l'existence de Peter Pan et du pays imaginaire.

Il est des  mots comme "amour", "bien", "mal " que tout le monde prononce à tour de langue sans vraiment y penser, sans réaliser qu'ils ont un sens différent pour chacun quand seulement ils en ont un. Des mots qu'il est impossible de définir si ce n'est par des exemples et des analogies qui au mieux couvrent une partie seulement de la définition.

Beaucoup de réponses ont été données à ce que l'on doit faire au nom de Dieu. Mais toutes ces règles et tous ces dogmes n'abordent au mieux que de façon parcellaire  la définition de Dieu lui-même.

On tente d’ailleurs toujours, dans un réflexe d’autodéfense sectaire, de décourager l’analyse logique. Je crois que c’est Luther qui disait à ce sujet : « La logique est la putain du Diable ! »

Une des premières questions que l'on se pose quand on cherche à définir Dieu est de savoir s'il est infini ou, plus exactement, s'il est tout et en tout. En effet, de même qu'une droite est infinie et qu'il y a une infinité de droites, il pourrait y avoir une infinité de dieux infinis. Il faut donc que ce Dieu infini soit tous les infinis à la fois. S'il n'est qu'une partie - même si parlant d'infini on peut penser que la partie (infinie) est aussi grande que le tout (infini) - il n'est pas Dieu (unique) mais seulement dieu (potentiellement pluriel).

Si l'on croit en un dieu qui n'est pas infini et qui n'est pas tout et en tout:

1) il ne peut être considéré comme un dieu que dans la mesure où il est « supérieur » à l'homme, au même titre que les dieux grecs et romains ; un sous-dieu en quelque sorte,

2) cela n'exclut pas un Dieu infini qui « l'englobe » ni l'existence au-dessus de lui (le sous-dieu) d'une hiérarchie de dieux gigognes.

Donc, me direz-vous : « Dieu est infini !  Dieu est tout et en tout! Amen, problem solved!».

Oui, mais se pose alors immanquablement une autre question tout aussi fondamentale : « Dieu est-il conscient ? ».

Étymologiquement on ne peut être conscient qu'à l'intérieur d'une limite. Dieu n'a certes pas à répondre à des règles étymologiques qui ne sont qu'une louable tentative de transformer en mots manipulables des concepts qui échappent à l'entendement et à la perception du cerveau humain. On peut quand même admettre qu'il serait inquiétant de considérer qu'un Dieu infini et omniprésent pense comme un homme lequel est limité par ses capacités et sa vision partielle autant que temporelle de ce qu'il perçoit comme l'entourant. Dieu, ne pouvant avoir d'image ni de limite qui lui permettent de se définir (sans même parler de temps linéaire pour organiser une pensée), ne peut pas penser du tout ou, tout du moins, pas réfléchir. En tout cas, pas au sens ou nous l'entendons.

Tout ça pour dire que la croyance en un Dieu omniprésent, infini, conscient, parfait et bienveillant est un conglomérat d'oxymores cosmiques.

En outre, s'il est tout et en tout cela veut dire que nous faisons tous partie de lui, au même titre, non pas que les cellules, mais que les quarks des protons des atomes des cellules qui nous constituent. Autant dire que même si la notion de temporalité s'appliquait à ce Dieu infini pour lui permettre de donner une réalité à notre existence infiniment éphémère, il aurait probablement pour nous la même considération que celle que nous avons pour nos quarks. Ce n'est donc sûrement pas vers lui qu'il faut se tourner pour qu'il nous gratifie des bons numéros du loto en réponse à notre prière.

D'ailleurs, lorsqu'un individu se dilue dans quelque chose, on ne parle plus de conscient mais bien d'inconscient collectif.

Dieu ne peut donc être conscient et encore moins avoir des plans et une volonté au sens ou nous l'entendons.

Les dieux qui font l'objet de la plupart de nos dogmes religieux fondateurs, ne peuvent donc appartenir qu'à la seconde catégorie des sous-dieux, finis, imparfaits et conscients. Rendus à ce niveau, des extraterrestres feraient aussi bien l'affaire.

Une autre façon encore plus simple de poser le problème est de se demander si ce pléonasme qu’est un « Dieu parfait » pourrait avoir des besoins. La réponse est évidente. S'il a des besoins, notamment celui de créer, d'être vénéré et d'être aimé, il n'est pas parfait et ne peut être au mieux considéré que comme une entité supérieure (au sens de plus puissante).

On pourrait encore se creuser les méninges en déclinant la théorie du multivers et en s'interrogeant sur la notion de réalité, mais au delà d'un certain stade on tombe dans une forme de sodoku théologique qui ne peut conduire qu'à la prise de conscience de notre incompétence à trouver une réponse. La poursuite de la réflexion n'étant plus que de l'ordre du passe-temps plaisant, mais stérile.

Je ne dis donc pas qu'il n'y a rien, je dis simplement que les dogmes religieux, notamment dans leur version "grand public", sont à peu près aussi crédibles que le Père Noël ou la petite souris des dents. Ils nous font passer pour Dieu ce qui au mieux (c'est à dire si elle existe ou a existé) est une simple entité. Nos dieux sont trop à notre image (et non l'inverse) pour que nous ne les ayons créés.

Ces vastes entreprises d'escroquerie que sont à mon sens les religions, ne subsistent que parce qu'elles ont réussi à détourner à leur profit la foi et le sacré qui sont indispensables à la réalisation de l'Homme.

L'homme qui escalade la plus haute montagne, ne peut y parvenir que s'il a la foi. Et quand il regarde autour de lui perché sur le toit du Monde, il comprend ce qu'est le sacré (ah là certainement pas ! Quand il voit Giuseppe Belvedere oui !). Quand il voit naître son enfant, il comprend ce qu'est le sacré. Pas besoin de religion pour ça.

Pire, les religions, une fois le monopole acquis, se sont mises à sacraliser tout et n'importe quoi pour des raisons bassement intéressées : les rois, les reliques, les textes...
[vous oubliez le - historiquement ! -  plus important et manipulateur : la PROPRIETE ! Comme disait un journaliste bourgeois anglais de 1859 : « nos amis les savants veulent nous prouver qu’Adam et Eve n’ont jamais existé », s’ils y parviennent c’en sera fini de a religion, de la morale, et de la propriété"
on a compris ! les filoux ! et comme plus personne ne croit en Dieu maintenant ils nous refont le coup avec l’écologie » ! pauvre écologie!)

remplaçant le sacré ressenti (que l’on peut aussi éprouver je l'admets dans certains bâtiments religieux) par le sacré décrété qui plonge dans le doute, la rigidité et l'obscurantisme. Le sacré ressenti est universel et, de ce fait, est facteur de paix. Le sacré religieux décrété est relatif, subordonné à une foi et, de ce fait, facteur de guerre dès qu'il est confronté à un sacré différent.

Toutes les religions ont donc de fait en elles une potentialité de nuisance. Si l'on se limite à celles qui nous sont proches culturellement, on s’aperçoit que même si cette nocivité a pu évoluer selon les époques, elle reste entière encore aujourd’hui, sous une forme ou une autre.

 

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24/02/2024 | Lien permanent

bilan de ce qui se passe

Coronavirus et campagne forcenée pour le marquage du bétail humain - On sait aujourd’hui que le décompte des « morts du Covid » doit être radicalement remis en cause. - On sait aujourd’hui que les « vaccins anti-covid » ont provoqué de graves effets secondaires… ainsi que des morts par milliers ! - On se souvient que ceux qui osaient donner ces informations, il y a quelques mois à peine, étaient aussitôt traités « d’irresponsables » ou de « complotistes » ! Chacun doit se demander en conscience : qui sont donc ces gens qui ont pu se permettre de traiter les veilleurs, les lanceurs d’alertes, les informateurs responsables, des experts dans ces questions de santé, « d’irresponsables et de complotistes » ? Qui sont ces personnes arrogantes, habitées par le mensonge et méprisant à ce point l’humanité par leurs motivations égocentriques donnant raison à leurs conflits d’intérêts placés de ce fait bien au-dessus de toute conscience morale de base ? En réalité, l’humanité a toujours produit ce genre « d’anomalie  » (cf le texte intitulé « ce qui se passe c’est vieux comme le monde » http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2022/03/06/ce-... ) qu’elle a régulièrement été obligée de corriger, afin d’empêcher qu’elle ne conduise les humains à leur fin prématurée… La revue scientifique Nature et cette autre revue, The Lancet, qui veut sans doute se refaire une virginité (!), ont décidé toutes les deux de traiter objectivement les questions du décompte des morts de la Covid-19 et des myocardites provoquées à la chaîne par les injections dites anti-Covid. Selon ces deux revues et les scientifiques qui s’y prononcent, il y a 40% d’ « erreurs » dans le décompte des décès de la Covid-19. Ce décompte n’a servi qu’à fomenter la terreur de la mort et à préparer le terrain de la propagande pour la campagne de « vaccination », en réalité cette injection de nanotechnologie pour « le piratage des animaux humains » comme l’ont si bien formulé les pervers amis de Klaus Schwab du Forum Economique Mondial de Davos. Pour que ce marquage puisse fonctionner et donc pour que le « piratage des animaux humains » soit possible, il faut sans doute une quantité de graphène suffisante injectée dans le corps ; cela expliquerait la stratégie des « vaccinations » répétitives organisées dans le mensonge absolu (une dizaine de prévues, compte tenu des stocks achetés par l’UE) et d’où viendraient la colère et la volonté de Macron « d’emmerder » « affectueusement », dixit le « Young Global leader » de l’Élysée, tous ceux qui refusent de se faire marquer comme de vulgaires animaux domestiques du troupeau des  nouveaux « esclaves » ! Selon Harari, un grand ami de Klaus Schwab, la technologie du cloud, comme la plate-forme d’IBM ou celle de Bill Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution.
(boycottez les « clouds » ! n’y mettez JAMAIS vos données!)
« Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini. » « Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. » (de même que la technologie des chaînes a permis l’esclavage 1.0 l’esclavage antique. Relisez Marx) « En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées.» « Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … » « Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. » « Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Klaus Schwab. Ces hommes arrogants prétendent donc être plus intelligents que la nature et d’être désormais capables de façonner une vie qui sera supérieure à tout ce qui est vivant dans le monde ! Ce sont des gens pareils qui ont pris le pouvoir et qui nous imposent cet abominable transhumanisme dans lequel il n’y a plus trace de ce qu’est la beauté de la conscience et de la liberté qui est une manifestation de la conscience !1 Selon les scientifiques de ces deux revues spécialisées, Nature et The Lancet, les « injections » à ARN messager, n’avaient pas du tout une finalité sanitaire, comme on le dit déjà depuis le début de cette comédie pathétique (en se faisant traiter de « conspirationnistes » par les garde-chiourme de la propagandeLe 9 juin, Nature révèle dans le détail comment les experts de l’OMS ont pu compter 40% en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de la Covid-192. C’est la méthodologie utilisée à dessein par les experts de l’OMS, qui a permis aisément cette falsification. Les « modélisateurs » mathématiques qui ont été utilisés, étaient défaillants et cela se savait depuis le début. À son tour, The Lancet publiait le 11 juin quelque chose d’encore plus sidérant : une étude rétrospective pour comparer les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite aux injections des produits à ARNm de Pfizer et de Moderna.our les deux substances injectées, le risque était le même, c’est-à-dire, bien plus élevé que ce qui a été constaté habituellement chez les 18-25 ans, sachant que les données récoltées par la pharmacovigilance ont été largement insuffisantes du fait de la résistance des médecins à déclarer ce qu’ils constataient et compte tenu de la pression scandaleuse qui s’est exercée sur eux, les menaçant de suspension ou de radiation de l’Ordre des médecins…3

Les doses dites de « rappel » augmentaient ce risque et les médecins de ville, généralistes, constataient cette hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez les jeunes. Le ministre de la Santé allemand a admis, le 12 juin dernier, que la campagne d’injections dite « anti-Covid », avait eu pour effet principal, un affaiblissement du système immunitaire de ses concitoyens, ce qui expliquait désormais qu’ils étaient devenus plus vulnérables aux autres virus toujours existants ! (et aux cancers)

Selon les derniers chiffres officiels, 65 629 décès sont dus aux injections anti-Covid-19 et 10 439 642 effets indésirables graves ont été signalées au 24 février 2022 pour l’ensemble des pays de l’Union européenne, des USA, du Royaume-Uni…5

Les médias aux mains des milliardaires, qui se sont entendus pour soutenir la campagne de propagande à la demande des responsables du FEM de Davos voulant exploiter « la fenêtre d’occasion » qu’offrait cette fausse pandémie, se sont livrés corps et âme à la cause du « transhumanisme » qui se cachait derrière toutes ces aberrations que l’OMS elle-même avait répétitivement été obligée de démentir en se contredisant de multiples fois. Le Pr Perronne, ancien expert de l’OMS, nous expliquait dans une interview, que la fondation Bill Gates avait le un pouvoir total sur l’OMS, puisqu’elle est le sponsor principal, majoritaire des fonds attribués à l’OMS6.

Tout ce qu’a publié le professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s’opposent à leur agenda mondialiste et à leur « croyance obscurantiste sur la Covid- 19 ». À l’heure actuelle, le wokisme, le covidisme, le « vaccinalisme » et l’Ukraine ont fait de nos Taliban médiatiques des références doctrinales incontournables pour le triomphe de la vérité révélée par le dieu du Nouvel Ordre Mondial : les véritables scientifiques sont harcelés par la terreur de ces charlatans au service du système. (bref on voir réapparaître, continuité politique et idéologique, les nouveaux « calotins » ; les « imposteurs, le fanatisme et la superstition » comme disaient les philosophes du XVIIIè siècle) Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19, il y avait 140 malades par semaine pour 100 000 habitants ; pour une grippe normale c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100 000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis deux ans et demi, (chiffre qu’il faut encore revoir à la baisse, compte tenu des falsifications relevées récemment dans les statistiques rapportées par les organismes officiels !) Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus comme inutiles, (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence européenne du médicament » a déclaré en début d’année : « Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire »7,8.

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05/03/2024 | Lien permanent

à la sainte-Catherine tout bois prend racine

la résistance aussi

Manifestation le 25 Novembre 2017 à 14h aux Invalides

Madame, Monsieur
Nous le savons depuis quelques semaines maintenant, Madame Agnès Buzyn, Ministre des solidarités et de la santé, à placé au cœur du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale ( PLFSS) l’article 34 visant à étendre l’obligation vaccinale.
C’est avec regret et indignation que nous vous annonçons que cet article vient d’être voté à l’Assemblée Nationale le Vendredi 27 Octobre par 63 députés sur 75 votants.
Non, vous ne rêvez pas, ce sont bien 75 députés seulement qui ont choisi pour 66 000 000 de Français ! (pour rappel il y a 577 députés)
En plus de bafouer nos droits fondamentaux tels que le droit de disposer de son corps et le libre choix thérapeutique (loi Kouchner de 2002, code de Nuremberg).                                                                                      Le parlement vient de se priver d’un vrai débat démocratique, malgré la demande de plusieurs députés pour que celui-ci ait lieu.
Les amendements de retrait de l’article 34 ont tous été rejetés tout comme la proposition de Monsieur Dupont-Aignan de mettre en place une commission d’enquête ainsi qu’un moratoire d’un an sur cette mesure.
Comment peut-on voter une loi aussi importante qu’est l’extension vaccinale sans que députés et sénateurs n’aient eu le temps d’examiner en profondeur la question ? Sans qu’ils n’aient eu entre leurs mains les études, recommandations, mises en garde, avis des différents médecins et citoyens !

Seules les conclusions de la commission FISCHER ont été examinées, commission qui rappelons-le, a étouffé la parole du jury de citoyens et du jury de professionnels de santé la composant.
Nous rappelons que la Ministre veut obliger tous les nourrissons nés à partir de Janvier 2018 à se vacciner contre 11 maladies et cela sans qu’aucune épidémie ou urgence de santé publique ne le justifie . Les parents qui refuseraient de faire ne serait-ce qu’une seule valence ( la très controversée hépatite B par exemple) se verront refuser l’entrée en collectivités de leur enfant.

C’est un scandale !

Les parents sont totalement dépossédés des droits parentaux en terme de santé, les médecins se font voler leur rôle de prescripteur et pire encore, les enfants seront exclus de toutes collectivités comme s’ils étaient des parias.
De quel droit peut-on prendre une décision aussi grave à la va-vite ?

Attention ! La ministre a annoncé que cette loi ne concernerait que les enfants nés à partir du 1er Janvier 2018, mais ne nous leurrons pas, si le projet de loi de Madame Buzyn passe tel quel, attendons-nous à des amendements élargissant l’obligation aux enfants nés les années précédentes.
Sans parler des allusions à peine déguisées d’Olivier Véran, lors de la Commission des affaires sociales, sur le projet d’extensions d’obligations au vaccin HPV (papillomavirus) , y compris pour les garçons, alors qu’il est déjà hautement contesté pour les filles, retiré de la vente en Autriche et au Japon. Remis en cause auprès de l’EMA au Danemark par rapport à sa sécurité , et que plus de 1000 professionnels de santé en France demandent depuis plusieurs années un moratoire sur ce vaccin.

A l’heure actuelle, personne ne sait encore si ce vaccin a la moindre efficacité pour prévenir un cancer du col de l’utérus… ( alors ne parlons pas d’autres préventions fort improbables ).  Comme toujours, le gouvernement a fait la sourde oreille quant aux propositions et doutes affichés par les nombreux citoyens, professionnels de santé et députés.

La Ministre persiste à marteler que les vaccins sont tous  efficaces, bénéfiques, nécessaires et sûrs, que les adjuvants sont inoffensifs et que toutes les études le démontrent (ce qui est clairement faux).

Avec monsieur le rapporteur général, Olivier Véran, ils remettent même en cause les études menées par le Professeur Gherardi, en affirmant qu’il s’agit d’un débat franco-français et que la pathologie décrite par M. Gherardi n’est pas reconnue par l’Organisation mondiale de la santé, et qu’il n’existe aucun cas ailleurs dans le monde.

Pourtant plus de 12 pays ont détectés des pathologies très similaires à la Myofasciite à Macrophage de part le monde, et des chercheurs de nombreux pays pointent du doigt la sécurité toute aléatoire des adjuvants aluminiques. Si on admet que l’adjuvant aluminique peut induire des troubles cognitifs, donc une atteinte neurologique chez des adultes, qu’en est-il des vaccins pédiatriques sur des nourrissons en pleine évolution neurologique, motrice, et d’apprentissages fondamentaux ?

En réalité la polémique sur l’aluminium remet en cause complètement la sécurité des vaccins sur ces 20 dernières années au moins, et si elle est tant controversée, c’est qu’il n’y a pas que les industriels pharmaceutiques qui se sentent concernés par la toxicité neurologique de l’aluminium , il y a aussi les industriels de la cosmétique et de l’agro alimentaire .

Ce point est d’un enjeu considérable.

Rappelons que sur les 11 vaccins que la loi prévoit de rendre obligatoires, 8 sont adjuvantés sur aluminium. De plus, comme si cela ne suffisait pas, en supprimant l’article L3116-4 du Code de Santé Publique qui prévoyait une peine de 6 mois d’emprisonnement et jusqu’à 3750€ d’amende, Les parents réfractaires seront dorénavant menacés par l’article 227-17 du Code Pénal qui dit que « le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant mineur est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende ».

Ce que ne nous dit pas la Ministre, c’est que les enfants ne seront pas les seuls à pouvoir se retourner contre les parents en cas de maladie suite à une non-vaccination !

En effet, toutes administrations, médecins, P.M.I., assistants sociaux etc pourront déposer plainte contre les parents qui ne feront pas vacciner leur enfant contre la totalité des 11 maladies, et cela peu importe que l’enfant soit en collectivité ou non, malade ou non !

Tout cela change la donne, nous sommes bien loin du discours de la Ministre qui se veut non punitif et en omettant sciemment de nous préciser ce “petit détail” elle a bien réussi à rouler dans la farine non seulement les citoyens et la presse mais aussi les députés !

la proposition de Monsieur Dupont-Aignan de mettre en place une commission d’enquête ainsi qu’un moratoire d’un an sur cette mesure. Pour autant, rien n’est perdu ! Le texte de loi doit passer par le sénat, qui espérons-le ne votera pas le texte en première lecture.

De plus, le conseil constitutionnel pourra également décider de censurer l’article 34 puisque nous vous rappelons que celui-ci présente toutes les caractéristiques du “cavalier législatif ” ; comme l’a rappelé madame Blandine Brocard les dispositions qui n’affectent pas significativement l’équilibre financier des régimes obligatoires et dépourvus de lien direct avec l’objet exclusivement financier du PLFSS sont systématiquement censurées.

Malgré le vote de L’Assemblée Nationale, il est totalement proscrit de se désolidariser. Nous devons rester debout, soudés unis et forts pour défendre les intérêts de nos enfants et des générations futures. Nous refusons de rester les bras croisés et continuons le combat !

Plus que jamais il est nécessaire d’élever nos voix en faveur de la liberté, en manifestant auprès du mouvement Ensemble Pour une Vaccination Libre le 25 Novembre prochain.Pour nous aider à financer l’organisation de la manifestation, vous pouvez dès à présent acheter vos t-shirts, badges et autocollants ou faire un don sur la boutique.

Les débats au sénat devrait débuter le 13 novembre, nous avons jusqu’à cette date pour convaincre un maximum de sénateurs du caractère inconstitutionnel de cette loi afin que le conseil d’état soit saisi. ( au moins 60 sénateurs ou députés)
Ainsi, nous vous demandons de continuer à les contacter en masse pour leur faire part de vos inquiétudes et demander la saisine du conseil constitutionnel.
Nous vous proposerons, très prochainement, une lettre à envoyer à vos députés et sénateurs. Par ailleurs nous vous demandons également de poursuivre la sollicitation auprès d’eux pour une demande de rendez-vous.

Nous vous invitons à venir manifester en nombre à Paris, le 25 Novembre 2017 à 14h aux Invalides, à l’angle de la rue de l’université, pour défendre nos libertés.

Il y aura au programme, des interventions de médecins et pharmaciens, des témoignages de victimes de la vaccination ainsi que de l’information. Nous vous attendons nombreux afin de faire entendre notre voix au gouvernement,
parce que
“LA LIBERTÉ EST UN DROIT, VACCINER EST UN CHOIX”.

Contrairement aux affirmations de la Ministre de la santé Agnès Buzyn, l’extension de l’obligation vaccinale s’accompagne de sanctions. Et de sanctions lourdes : 2 ans de prison au lieu de 6 mois et 30 000 € d’amendes au lieu de 3 750 €. La députée européenne, normalienne et agrégée de biologie Michèle Rivasi alerte sur cette dangereuse manipulation des députés et du public.

Le 18 octobre 2017, lors de leur examen du PLFSS 2018 et du vote de l’article 34 instaurant l’obligation des 11 vaccins, les députés en commission des affaires sociales ont aussi voté la suppression d’un article spécifique du Code de la Santé Publique (Article L3116-4). Ce faisant, en retirant cet article spécifique, c’est l’article général de « soustraction des parents à leur obligation légale » qui s’applique (Article 227-17 du Code Pénal), alourdissant les sanctions prévues en cas de non-respect de l’obligation vaccinale.

Le risque pénal est réel. Il a même été relevé par Eric Alauzet (LREM) dans son rapport sur le PLFSS 2018, où il se désolidarise de cette volonté d’obligation.

Michèle Rivasi : « Un mini-sondage préliminaire à la sortie de l’Assemblée Nationale nous a appris qu’aucun des 15 premiers députés interrogés n’ont conscience que les parents récalcitrants s’exposeront à 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Ils pensent à plus de 60% qu’il n’y aura pas de sanction « comme l’a dit la ministre. »

Je suis très inquiète de cette désinformation qui s’installe. La ministre de la santé par exemple, en insistant sur la possibilité d’un enfant d’attaquer ses parents pour ne pas l’avoir vacciné, ne dit pas que n’importe quelle autorité sanitaire ou administrative pourra aussi faire un signalement et mettre en œuvre le Code Pénal. Pourquoi dissimuler une information d’une telle importance ?

De deux choses l’une. Soit la ministre de la Santé Agnès Buzyn ne veut pas de sanctions, elle est cohérente avec ce qu’elle dit, et dans ce cas le texte de loi intègre explicitement cette exemption en la rendant légale. Soit le texte sera voté en l’état, en maintenant cette épée de Damoclès dans le PLFSS 2018, et cela démontre que ses affirmations ne sont que de la poudre aux yeux, destinée à endormir les braves gens.

Je trouve le double langage du gouvernement d’autant plus choquant et scandaleux, que je vois aussi comment, en parallèle, s’organise peu à peu la déresponsabilisation des acteurs de l’acte vaccinal.

Qui est responsable en cas d’accident vaccinal ? Ce ne sont plus les fabricants. Ce ne sera plus non plus les médecins traitants ou les pédiatres dont le paiement à la performance intègre depuis fin 2016 les vaccins ROR et NEISVAC contre la méningite C. Ni les pharmaciens engagés dans l’expérimentation d’injections du vaccin anti-grippe, également rémunérés à l’acte vaccinal. Tous transfèrent à l’Etat leur responsabilité en se conformant à des campagnes de vaccination nationale et des objectifs de santé publique. L’irresponsabilité devient la nouvelle norme administrative.

C’est pourquoi, en écho aux voix parlementaires qui cherchent à discuter du bien fondé de cette extension vaccinale menée au pas de charge, je demande au contraire à nos élus de prendre leurs responsabilités en votant contre cette obligation vaccinale et ses non-dits. »

Contact Presse : Sébastien Barles 06 75 00 63 31

Source : alterinfo.net

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21/11/2024 | Lien permanent

la nature de la ”dette” et son rôle

Source :  http://www.bastamag.net/David-Graeber-La-forme-la-plus   

Capitalisme

David Graeber : La façon la plus simple de désobéir à la finance, c’est de refuser de payer les dettes 

La dette ? Une construction sociale, fondatrice d’un pouvoir arbitraire, estime David Graeber, anthropologue et économiste états-unien, considéré par le New York Times comme l’un des intellectuels les plus influents actuellement. Les pays pauvres et les personnes endettées sont aujourd’hui enchainés aux systèmes de crédit. Piégés dans des relations basées sur la violence, les inégalités et justifiées par la morale, décrit l’auteur, dans un ouvrage qui retrace 5000 ans d’histoire de la dette. « Rembourser ses dettes » est devenu un dogme, impossible à contester. Et si, malgré tout, on décidait d’effacer l’ardoise ? Avec le mouvement Occupy Wall Street, David Graeber lance des actions de désobéissance civile pour démontrer l’absurdité du système capitaliste actuel. Entretien.

Basta ! : A quel moment dans l’histoire le crédit est-il apparu ? Qu’est-ce qu’une dette ?

David Graeber [1] : La dette est une promesse, qui a été pervertie par les mathématiques et la violence. On nous a raconté une histoire : « Il était une fois des gens qui utilisaient le troc. Voyant que cela ne marchait pas très bien, ils ont créé la monnaie. Et l’argent nous a amené le crédit. » Du troc au crédit, une sorte de ligne droite nous amènerait donc à la situation actuelle. Si on regarde plus attentivement l’histoire, cela s’est passé bien différemment ! Le crédit a d’abord été créé. La monnaie physique est apparue quelques milliers d’années plus tard. Cela permet de poser les questions différemment : comment sommes-nous passés d’un système où les gens disaient « je vous dois une vache », à un système où l’on peut mesurer la valeur exacte d’une dette ? Ou l’on peut assurer, formule mathématique à l’appui, que « 340 poulets sont équivalents à cinq vaches » ? Comment une promesse, une obligation de remboursement, est devenue une « dette » ? Comment l’idée que nous devons une faveur a-t-elle été quantifiée ?

En quoi quantifier une dette est-elle un problème ?

Quantifiable, la dette devient froide, impersonnelle et surtout transférable : l’identité du créancier n’a pas vraiment d’importance. Si je promets de vous rencontrer à cinq heures demain, vous ne pouvez pas donner cette promesse à quelqu’un d’autre. Parce que la dette est impersonnelle, parce qu’elle peut être exigible par des mécanismes impersonnels, elle peut être transférée à une autre personne. Sans ces mécanismes, la dette est quelque chose de très différent. C’est une promesse qui repose sur la confiance. Et une promesse, ce n’est pas la négation de la liberté, au contraire, c’est l’essence de la liberté ! Être libre, c’est justement avoir la capacité de faire des promesses. Les esclaves ne peuvent pas en faire, ils ne peuvent pas prendre d’engagements auprès d’autres personnes, car ils ne sont pas sûrs de pouvoir les tenir. Être libre, c’est pouvoir s’engager auprès d’autrui.

Au contraire, le « remboursement de la dette » est devenu un dogme moral...

La dette a été transformée en une question d’arithmétique impersonnelle, en l’essence même de l’obligation morale. C’est ce processus que nous devons défaire. Il est fascinant aussi de voir le lien entre la notion de dette et le vocabulaire religieux, de constater comment les premières religions débutent avec le langage de la dette : votre vie est une dette que vous devez à Dieu. La Bible par exemple commence avec le rachat des péchés... Devenue dogme moral, la dette justifie les dominations les plus terribles. On ne peut comprendre ce qu’elle représente aujourd’hui sans un détour par cette longue histoire de la dette comme justification morale de relations de pouvoir inégales. Le langage de la dette permet de justifier une relation de pouvoir arbitraire. Et il est très difficile d’argumenter face à un pouvoir arbitraire sans adopter le même langage.

Vous citez l’exemple de la mafia...

Parler de dette devient un moyen pour décrire des relations inégales. Les mafieux ont compris cela : ils utilisent souvent le terme de dette, même si ce qu’ils font est en réalité de l’extorsion.  (les capitalistes aussi !) Quand ils annulent ou reportent certaines dettes, cela passe pour de la générosité ! C’est comme les armées qui font payer un tribut aux vaincus : une taxe en échange des vies épargnées. Avec le langage de la dette, on dirait que ce sont les victimes qui sont à blâmer. Dans de nombreuses langues, dette, culpabilité et péché sont le même mot ou ont la même racine.

La monnaie, qui permet de quantifier précisément la valeur d’une dette, apparaît d’ailleurs dans les situations de violence potentielle. L’argent est aussi né du besoin de financer les guerres. La monnaie a été inventée pour permettre aux États de payer des armées professionnelles. Dans l’Empire romain, la monnaie apparait exactement là où stationnent les légions. De la même façon, le système bancaire actuel a été créé pour financer la guerre. Violence et quantification sont intimement liés. Cela transforme les rapports humains : un système qui réduit le monde à des chiffres ne peut être maintenu que par les armes.

Il y a aussi une inversion : le créancier semble être devenu la victime. L’austérité et la souffrance sociale sont alors considérées comme un sacrifice nécessaire, dicté par la morale…

Absolument. Cela permet par exemple de comprendre ce qui se joue en Europe aujourd’hui. L’Europe est-elle une communauté de partenaires égaux ? Ou y a-t-il une relation de pouvoir entre entités inégales ? Est-ce que tout peut être renégocié ? Quand une dette est établie entre égaux, elle est toujours traitée comme une promesse. Nous renégocions des promesses tout le temps, car les situations changent : si je vous promets de vous voir demain à cinq heures, si ma mère meurt, je ne suis pas obligé de tenir ma promesse.

 

Les gens riches peuvent être incroyablement compréhensifs concernant la dette des autres riches : les banques états-uniennes Goldman Sachs et Lehman Brothers peuvent se concurrencer, mais quand quelque chose menace leur position générale de classe, soudain elles peuvent oublier toutes les dettes contractées si elles le veulent. C’est ce qui s’est passé en 2008. Des trillions de dollars de dettes ont disparu, parce que cela arrangeait les puissants. De la même façon des gens pauvres vont être très compréhensifs les uns envers les autres. Les prêts que l’on fait à des proches sont finalement souvent des cadeaux. C’est lorsqu’il y a des structures d’inégalités, que soudain la dette devient une obligation morale absolue. La dette des pauvres envers les riches est la seule à être vraiment « sacrée ». Comment se fait-il que Madagascar soit en difficulté quand il doit de l’argent aux États-Unis, mais que lorsque ce sont les États-Unis qui doivent de l’argent au Japon, c’est le Japon qui est en difficulté ?! Le fait notamment que les États-Unis ont une puissante armée change le rapport de force...

Aujourd’hui, on a l’impression que la dette a remplacé les droits : les droits à la formation ou au logement se sont transformés en droit au crédit ?

Certains utilisent leur maison pour financer leur vie en contractant de plus en plus de prêts hypothécaires. Leurs maisons deviennent des distributeurs de billets. Les micro-crédits pour faire face aux problèmes de la vie se multiplient, en substitution de ce qui était auparavant assuré par l’État-providence, qui donnait des garanties sociales et politiques. Aujourd’hui, le capitalisme ne peut plus offrir un bon « deal » à tout le monde. On sort de l’idée que chacun pourrait posséder un bout du capitalisme : aux États-Unis, chacun était censé pouvoir investir dans les entreprises, qui en fait exploitent chacun. Comme si la liberté consistait à posséder une part de notre propre exploitation.

Puis les banquiers ont transformé la dette en produits bancaires, échangeables comme de la monnaie...

C’est incroyable ! Il y a six ans, même des gens très intelligents disaient : « Que ces gens sont brillants, ils ont créé de l’argent à partir de rien ». Ou plutôt avec des algorithmes tellement complexes, que seuls des astrophysiciens pouvaient les comprendre. Mais cette incroyable sophistication s’est révélée être une escroquerie ! J’ai eu récemment des entretiens avec de nombreux astrophysiciens, qui m’ont affirmé que ces chiffres ne veulent rien dire. Tout ce travail semble très sophistiqué, mais en fait il ne l’est pas. Une classe de personnes a réussi à convaincre tout le monde qu’ils étaient les seuls à pouvoir comprendre. Ils ont menti et les gens les ont cru. Soudain, un pan de l’économie a été détruit, et on a vu qu’eux-mêmes ne comprenaient pas leurs instruments financiers.

Pourquoi cette crise n’a-t-elle pas changé notre rapport à la dette ?

A cause d’un profond déficit intellectuel. Leur travail idéologique a été tellement efficace que tout le monde est convaincu que le système économique actuel est le seul possible. Nous ne savons pas quoi faire d’autre. Alors nous posons un morceau de scotch sur le problème, prétendant que rien ne s’est passé. Où cela nous mènera-t-il ? A une nouvelle panne. Nous entrons désormais dans une nouvelle étape : celle du jeu défensif. Comme la plupart des justifications intellectuelles du capitalisme s’effondrent, ses promoteurs attaquent aujourd’hui toutes les alternatives possibles. En Grande-Bretagne, après la crise financière, la première chose qu’ont voulu faire les responsables économiques a été de réformer le système scolaire, pour le rendre plus compétitif. En réalité, le rendre plus semblable au système financier ! Pourquoi ? Sans doute parce que l’enseignement supérieur est un des seuls espaces où d’autres idées, d’autres valeurs, peuvent émerger. D’où la nécessité de couper court à toute alternative avant qu’elle ne puisse émerger. Ce système éducatif fonctionnait pourtant très bien jusqu’à présent, alors que le système financier a failli de manière spectaculaire. Il serait donc plus pertinent de rendre le système financier semblable au système éducatif, et non l’inverse !

Aujourd’hui, aux États-Unis, des gens sont emprisonnés pour incapacité à rembourser leurs dettes. Vous citez l’exemple d’un homme condamné à la prison en 2010 dans l’État de l’Illinois pour une durée illimitée, tant qu’il n’aura pas réussi à rembourser 300 dollars...

Aux États-Unis, des gens sont emprisonnés parce qu’ils n’ont pas réussi à payer les frais de citation en justice. Alors qu’il est presque impossible de poursuivre des banques pour des saisies illégales ! Les banques peuvent toujours aller voir la police pour leur demander de vous arrêter pour défaut de paiement, même si tout le monde sait qu’il s’agit d’une saisie illégale. Pouvoir financier et pouvoir politique sont en train de fusionner. Police, collecteurs d’impôts, les personnes qui vous expulsent de vos maisons, opèrent directement dans l’intérêt des institutions financières. Peu importe votre revenu, un robot signe votre expulsion et la police vous fait sortir de votre maison.

Aux États-Unis, tout le monde croyait faire partie de la classe moyenne. Ce n’est pas vraiment une catégorie économique, plutôt une catégorie sociale et politique : on peut considérer que font partie de la classe moyenne les citoyens qui se sentent plus en sécurité quand ils voient un policier, que l’inverse. Et par extension, avec toutes les autres institutions, banques, écoles... Aujourd’hui, moins de la moitié des Américains considèrent qu’ils font partie de la classe moyenne, contre les trois quarts auparavant. Si vous êtes pauvres, vous supposez que le système est contre vous. Si vous êtes riches, vous avez tendance à croire que le système est avec vous. Jusqu’à présent aucun banquier n’a été mis en prison pour des actes illégaux durant la crise financière. Et des centaines de manifestants ont été arrêtés pour avoir tenté d’attirer l’attention sur ces faits.

La dette provoque toujours contestation et désordre dans les sociétés, écrivez-vous. Et depuis 5000 ans, les insurrections populaires commencent très souvent par la destruction des registres de dette...

La dette semble être le plus puissant des langages moraux jamais créés pour justifier les inégalités et les rendre « morales ». Mais quand tout explose, c’est avec une grande intensité ! L’historien britannique Moisis Finley défendait l’argument que dans le monde antique, il n’y avait qu’une seule demande révolutionnaire : abolir les dettes, et ensuite redistribuer les terres. De la décolonisation de l’Inde à l’Amérique latine, les mouvements d’abolition des dettes semblent partout une priorité. Lors de révolutions paysannes, une des premières actions des insurgés est de trouver les registres de dettes pour les brûler. Puis les registres de propriété des terres. La raison ? La dette, c’est pire que si vous dites à quelqu’un qu’il est inférieur, esclave, intouchable. Car cela signifie : « Nous ne sommes pas fondamentalement différents, vous devriez être mon égal, mais nous avons conclu un contrat d’affaires et vous avez perdu. » C’est un échec moral. Et cela peut engendrer encore plus de colère. Il y a quelque chose de profondément insultant, dégradant avec la dette, qui peut provoquer des réactions très violentes.

Vous réclamez un jubilé, c’est-à-dire un effacement des dettes – dettes souveraines des États mais aussi dettes individuelles. Quel impact économique cela aurait-il aujourd’hui ?

Je laisse les détails techniques aux économistes... Cela supposerait notamment de revenir à un système public pour les pensions de retraite. Les précédentes annulations de dettes n’ont jamais concerné toutes les dettes. Mais certains types de dettes

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24/01/2014 | Lien permanent

les assasinats politiques - une constante de l'histoire, une pratique fréquente des puissants y compris les puissances a

 
 
 
 
 
 
 
Un article synthétique et très pénétrant paru sur Cameroonvoice :
 
 
 

Lorsqu'on évoque les mots violence et politique, nous autres Africains visualisons en général, les répressions féroces, les guerres tribales, et toutes les autres formes endogènes de violence qui sévissent sur le continent. Bien que ces brutalités intra-africaines coutent très cher à l'Afrique, et font de nos dirigeants, les champions apparents de la violence politique, un examen plus approfondi des relations internationales nous fait découvrir une toute autre réalité. Beaucoup d'africains, même lorsqu'ils sont mis devant des évidences probantes de cette violence exogène ont du mal à l'assimiler et admettre sa réalité. Tellement elle surpasse les limites de la méchanceté que leur culture d'africains peut leur permettre d'imaginer et d'appréhender. Cela constitue l'une de nos faiblesses majeure que nos ennemis exploitent allègrement.

 

L'une des choses que nous, Africains avons encore du mal à intégrer dans notre subconscient c'est le degré de violence dans lequel le monde fonctionne. Bien que nous ayons beaucoup travaillé ces dernières années de violence terroriste pour arrêter d'interpréter la marche du monde sous le prisme de notre culture, nous avhttp://miiraslimake.unblog.fr/wp-admin/edit.phpons encore des difficultés à en apprécier le niveau de corruption, de perversité et la notion d'élimination physique.
Nos dirigeants politiques ont pour la plupart une compréhension moyenne du degré de cynisme et de cruauté de leurs interlocuteurs occidentaux. Comme conséquence, ils continuent d'être les victimes de gens dont ils se réclament des amis. Ils ont du mal à comprendre le ridicule de se réclamer l'ami d'individus incapables du moindre sentiment d'amitié même vis-à-vis de leurs propres frères de race.
Pourtant les cas du Capitaine Thomas Sankara assassiné par le couple Mitterrand-Chirac ou celui, un peu plus récent du président Kabila père qui s'est fait tirer dessus par un de ses gardes-du-corps devraient leur servir de rappel.  Nos leaders ont souvent été eux-mêmes directement ou à mots couverts menacés dans les salons lambris des palais de leurs hôtes. Et la liste est sans fin.
Mais lorsqu'un leader africain mal-aimé de certains pays va se soigner à l'étranger, c'est qu'il y a encore beaucoup de chemin à faire dans la compréhension du monde. Peut-être croient-ils que les hôpitaux constituent un sanctuaire ou une « safe zone » du fait du serment d'Hippocrate que prêtent les médecins. C'est justement dans ces endroits de vulnérabilité physique et émotionnelle que certaines personnalités autrement difficiles d'atteinte sont éliminées de façon sournoise. Sékou Toure est mort de façon inattendue dans un hôpital aux Etats-Unis. Le cas de Yasser Arafat, rapidement évacué et mort dans un hôpital parisien de façon soudaine et très suspicieuse que certains à juste titre qualifient d'assassinat vient également à l'esprit. Il aurait été empoisonné avec la complicité de ses proches et la bénédiction de l'administration Bush-fils qui le déclara un obstacle aux négociations de paix le condamnant de fait à mort.
Dans ces hôpitaux, très souvent, on aggrave la condition du malade qu'on veut éliminer et on l'accompagne dans sa mort par l'injection de substances difficilement détectables à l'autopsie, qui agissent lentement et qui miment la mort naturelle. C'est fait de façon très subtile parfois difficile à soupçonner. C'est pour cela que les visites médicales à l'étranger du président  Muhammadu Buhari, leader d'une nation riche et au centre des convoitises sur l'Afrique sont très risquées. Pensez-vous que Fidel Castro aurait vécu longtemps s'il s'était soigné aux Etats-Unis ou que le président Laurent Gbagbo serait encore en vie s'il fréquentait les hôpitaux parisiens après le début de la crise ivoirienne? Cette observation s'adresse aussi au président Paul Biya bien qu'il soit un peu protégé du fait que son élimination ne mette pas automatiquement au pouvoir un agent de nos prédateurs. De toute façon, ca ne fait pas de sens d'aller se soigner dans les bras d'Etats qui vous font la guerre depuis la nuit des temps.

Tous les Etats Assassinent 
Pour avoir une idée de la façon dont le monde fonctionne réellement, il faudrait regarder le premier film de la série, le Parrain et même mieux, toute la série. Cette comparaison n'est pas exagérée. On pourrait même dire que ce film donne une pâle version de la réalité des affaires dans le monde. Apres tout, le parrain ne fait pas sauter un bus plein de voyageurs pour éliminer un ennemi. Les mafiosi de ces temps avaient quand même un semblant de code d'honneur. Les acteurs du monde politique ou financier n'en ont aucun, et on assassine partout.


Toute personne influente, détenant une position stratégique ou dont l'activisme gène des intérêts puissants est susceptible de se faire éliminer. Journalistes, hommes politiques, hommes d'affaires ou activistes font partie de cibles potentielles. On assassine en Afrique, en Europe, en Amérique, en Asie et même au Vatican. On se rappelle bien que le Pape Jean-Paul 1er avait été empoisonné par ses pairs, 33 jours seulement après qu'il soit devenu Pape. Il avait eu la détestable idée de procéder à des reformes financières qui gênaient des cardinaux et banquiers puissants du Vatican. Il but son the un soir au coucher et ne se réveilla plus. Cette histoire est racontée en détail dans Au Nom de Dieu, un livre écrit par David Yallop et que l'on peut trouver gratuitement online.


Les deux seules raisons pour lesquelles on ne tuerait pas une personne, c'est qu'on ne puisse le faire, ce qui est très rare. En effet, bien que des présidents tels que Fidel Castro ou Kim Jung-Un de Corée du Nord soient difficiles à éliminer physiquement, Il n y a pratiquement aucune personne au monde qui puisse prétendre être inaccessible. Même les chefs d'Etats des pays développés que l'on croit bien protégés ne le sont que pour des gens ordinaires. Lorsque la finance mondiale veut se débarrasser de l'un d'eux, on passe par ses propres services de protection, à moins que les conséquences d'une élimination physique soient graves pour les commanditaires. Ce qui nous amène à la seconde raison.

Les conséquences de l'élimination physique d'une personnalité politique ou des affaires sont la raison principale pour laquelle on hésite à le faire. C'est en réalité dans la plupart des cas la seule véritable raison. Elles peuvent par exemple ternir l'image des commanditaires ou provoquer des troubles sociaux ou une crise politique. C'est pour cela que, dans ce dernier cas, on procède d'abord au ternissement de l'image de la personne ciblée. C'est ce qui s'est passé avec le président Saddam Hussein, le colonel Kadhafi et ce qui a failli se passer avec le président Bashar Al-Assad, n'eut été l'intervention militaire de la Russie en Syrie. Ces leaders ne sont pas des enfants de cœur, on le concède, mais pour éviter que leur élimination ne soit perçue dans les sociétés occidentales comme un acte d'accaparement des richesses,  on les accuse à tort de vouloir décimer une partie de leurs populations.


Dans les pays plus avancés d'Europe et surtout d'Amérique, un scandale sexuel ou financier est en général suffisant. On procède le plus souvent à une élimination politique à travers des artifices juridiques comme dans le cas de Dominique Strauss Kahn, l'ancien dirigeant du FMI, candidat sérieux à la présidence française de 2012. En plus, il avait eu la fâcheuse idée de donner son accord de principe personnel au projet de création d'une monnaie africaine du Colonel Kadhafi.


Le Cas des Pays Africains
Dans le film Le Parrain, au cours d'une réunion de réconciliation tenue après une guerre entre familles qui aura couté des vies humaines, Don Corleone, le parrain annonce son intention de faire revenir  à New York son fils qu'il avait envoyé en Italie pour le protéger de ce conflit. Il met alors en garde ses pairs, les autres chefs de famille de la mafia New Yorkaise contre tout incident aussi naturel que possible pouvant causer la mort de son fils. Il savait que la véritable protection ne se limitait pas à des gardes-du-corps mais devait inclure des accords passés avec les autres acteurs influents  de la vie sociale newyorkaise. C'est l'une des raisons pour lesquelles certains chefs d'Etat africains comme le président Paul Biya recourent au soutien de pays influents non seulement connus pour leur expertise en matière de sécurité, mais ayant un certain poids diplomatique.


Comme dans le parrain la véritable protection du fils de Don Corleone venait de l'influence de son père. Dans le monde politique, la véritable protection dépend aussi du poids diplomatique de la puissance qui protège. Dans le cas du Cameroun, Israël fait savoir à tous les autres pays que la protection des leaders politiques est son business et qu'il n'aimerait pas voir esquinter leur réputation par l'élimination physique de l'un de leurs clients. En outre, assassiner le président Paul Biya aurait des conséquences imprévisibles qui pourraient plonger le pays dans le chaos et interférer avec les affaires des multinationales installées au Cameroun. C'est en partie pour entretenir cette situation qu'il a pendant longtemps résisté à établir un processus visible et lisible de succession.


Hiérarchie dans les assassinats
Il ne viendrait a personne ni à aucun gouvernement au monde d'essayer d'assassiner un Rockefeller ou un Rothschild parce qu'ils sont les plus proches du sommet de la hiérarchie mondiale. Pour appréhender ce concept, revoyons la hiérarchie des dirigeants mondiaux telle que l'a décrite Paul Daniel Bekima dans son article, Afrique, Comment Briser les Chaines de la Domination Etrangère : Qui Contrôle Vraiment l'Afrique ? Il a classé les leaders en 4 catégories allant des plus influents aux plus petits :


•    Ceux qui contrôlent la finance mondiale : Les Maitres du monde
•    Les architectes : ceux qui conçoivent, planifient et recrutent les exécutants parmi lesquels on retrouve des individus tels que les Henri Kissinger, George Soros, Zbigniew Brzezinski ou Jacques Attali.
•    Les Exécutants et Organisateurs  qui sont constitués de chefs d'Etats et Premier Ministres des pays Occidentaux
•    Les exécutants de niveau subalternes parmi lesquels on retrouve leaders africains
Selon cette hiérarchie, les leaders africains éliminent les opposants politiques, journalistes et activistes  ou hommes d'affaires qui les gênent. A leur tour, ils se font liquider par les leaders des pays puissants dès que leurs choix politiques interfèrent avec les intérêts de ces pays et de leurs multinationales. Puis, lorsque ces leaders étrangers refusent de jouer le jeu, (ce qui est rare car ceux qui portent un projet de société utile au peuple se font rapidement intimider) comme dans le cas du président John F. Kennedy, ils se font éliminer par le système comprenant les services de renseignement et la classe politique aux mains des maitres du monde.


Nous croyons que c'est ce genre de menaces que l'on a mis sur la table du président Trump pour le ramener à l'ordre et l'amener à briser ses promesses de campagne. Ayant vu en lui suffisamment de courage pour combattre l'appareil sécuritaire et militaire américain, la presse et la quasi-totalité de la classe politique et contrarier leur projet de domination mondiale, les maitres du monde et leurs relais ont dû lui envoyer un émissaire lui faire « une proposition qu'il ne peut refuser » selon les termes du parrain. On a dû lui dire de jouer le jeu comme Obama et ses prédécesseurs et s'en sortir avec des honneurs et une librairie présidentielle ou continuer dans sa lancée et exposer et sa famille et lui à la destruction et même à la  mort. Il est encore tôt pour être ferme sur cette conclusion. Observons encore.


Les maitres du monde exercent un contrôle plus étroit que les élus politiques sur l'appareil sécuritaire de ces pays à travers l'adhésion des chefs de ces services de sécurité aux sociétés secrètes créés et contrôlées par les maitres du monde. N'oublions pas que chaque nouveau président ou premier ministre n'est qu'un nouveau-venu dans un système qui existe depuis des centenaires. La plupart d'entre eux sont d'ailleurs des outsiders du système qui ne savent pas toujours bien comment le monde fonctionne vraiment jusqu'à ce qu'ils prennent le pouvoir. C'est donc à dessein que l'on favorise l'ascension au pouvoir de jeunes et impressionnables leaders tels que Justin Trudeau du Canada, Matteo Renzi d'Italie ou Emmanuel Macron de France. Ils n'ont pas encore de réseau de soutien propres à eux et appliquent avec un air de reconnaissance les ordres de leurs agents recruteurs.

Dans ces pays avancés, il arrive que le système règle ses comptes en dehors de l'action des maitres du monde et élimine  ses éléments qui deviennent gênants de par leur façon de faire ou de vivre. C'est ainsi que la princesse Diana avait été éliminée, avec, on peut bien l'imaginer l'approbation et même sur ordre de la cour royale d'Angleterre. On lui reprochait une relation amoureuse embarrassante avec Dodi Al-Fayed, un arabe et musulman.

Pourquoi La Justice ne fait rien ?
Quelle justice ? Se poser même cette question relève un tout petit peu de la naïveté. La plupart des assassinats dans les pays avancés sont maquillés sous forme de suicide, de crise cardiaque, d'infection pulmonaire terminale, de noyade,  ce qui permet à la justice de jouer le jeu. La plupart des juges d'un certain niveau font partie de ces sociétés secrètes d'obédience professionnelle, sociopolitiques ou spirituelle, comprennent ce jeu et font semblant. Les autres, comme le brave juge Giovanni Falcone d'Italie qui livrait une guerre contre la Cosa Nostra, la mafia italienne, se font éliminer. En effet, malgré le fait qu'il fut sous forte protection et qu'il se déplaçât en secret utilisant des avions gouvernementaux, il avait été tué en 1992 par la pose d'une charge d'explosifs d'une tonne sous une autoroute par laquelle il passait. Il est évident que les commanditaires de cet assassinat avaient des complicités dans l'appareil de l'Etat. Enfin, n'oublions pas que les juges et magistrats sont nommés par le pouvoir exécutif, donc sont sous contrôle. Ceux qui désirent avoir une bonne carrière la ferment.


Le Meilleur Moyen Et Endroit Pour Assassiner ?
Les assassinats se font de préférence dans le pays d'origine de la cible pour créer la confusion sur les commanditaires possibles car dans ce cas, on peut accuser les autorités ou d'autres adversaires locaux. Si cela n'est pas possible, on le fait dans un pays ami comme dans le cas de Felix Moumie, le leader nationaliste de l'UPC camerounais qui s'est fait empoisonner en Suisse par les services de renseignement français. C'est aussi le cas lorsque la princesse Diana se fait éliminer en France, théoriquement loin du bras armé des services de renseignement britanniques.


L'élimination en pays ami et étranger permet aux commanditaires de prétendre l'innocence tout en travaillant en complicité avec les services de sécurité de ce pays pour couvrir le meurtre. Cependant, le scenario idéal serait qu'une personne ciblée, meure dans un pays ami. Par exemple, un activiste camerounais visé par la France qui se fait écraser par une voiture ou se fait agresser au Tchad est vraiment le meilleur tableau pour eux.


De la même façon, les méthodes d'élimination physique sont diverses. Elles sont discrètes pour la plupart, à moins que l'on ne veuille passer un message fort à une personne et inscrire la peur dans les cœurs. On peut se faire éliminer par une injection dans un hôpital, en se noyant dans sa propre piscine, en tombant d'un immeuble, au cours d'une agression simulée, dans un accident de voiture ou d'avion ou d'un empoisonnement. Aujourd'hui, des assassins sont capables de prendre à distance le contrôle de logiciel qui gère une voiture et provoquer un crash. C'est pourquoi les morts subites dans de tableaux similaires de Noé Ndjebet Massoussi et de Blaise Tanonkou Kamgang, respectivement Directeur de Publication du Sphinx Hebdo et co-fondateur de Cameroonvoice, organes de presses engagés dans la diffusion d'une information décomplexée restent très suspectes. Ces deux héros africains étaient au centre d'organes de presse qui informent les Africains sur la réalité du monde. Dommage que l'on n'ait pas procédé à des autopsies.


Lorsque les intérêts le justifient aux yeux des entités prédatrices, on est capable de provoquer un accident d'un bus de voyage ou le crash d'un avion, sacrifiant des dizaines de voyageurs simplement parce que l'on veut éliminer un individu. Ce scenario marche en général bien car la mort de plusieurs personnes dans une catastrophe cache l'assassinat.

 

pour lire la suite de l'article : http://cameroonvoice.com/news/article-news-29729.html

Gabriel Makang

 

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09/06/2017 | Lien permanent

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