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31/08/2024

c'était une constante, on ne le comprend que maintenant - honte aux collabos qui se sont laissés transformer en meute de nazis !

Les dessous de la politique antitabac

L’immonde nazisme actuel qui réduit (pour le plus grand PROFIT du Grand Capital fabricant de « vaccins », qui en plus n’en sont pas vraiment, vous le savez j’espère ?) les non vaccinés, comme autrefois les non-aryens, au statut de sous-hommes (Untermensch) n’est pas nouveau, il avait été testé depuis trente ans, mais les veaux que sont nos concitoyens avaient refusé de le voir, et étaient entré dans le jeu de la « Kollaboration » et hurlé avec les loups. Vous comprenez maintenant que ce faisant vous avez construit votre propre cage ?

 

« Le fascisme n’est pas imposé par les fascistes, ils ne seraient pas assez nombreux, il est imposé par ceux qui acceptent d’obéir au fascisme » (D. Icke)

 

(un article de 2007)

Peut-être croyez-vous que l’interdiction de fumer sur les lieux de travail ou dans les restaurants a pour but de protéger les non-fumeurs ? Peut-être croyez-vous que la propagande antitabac a pour but de sauver la vie des fumeurs ? Peut-être répétez-vous que les fumeurs coûtent cher à la sécurité sociale ? Peut-être êtes-vous persuadé que le tabagisme passif est responsable de nombreux décès ? Si vous croyez tout cela et que vous le répétez à l’envi, vous êtes à votre insu un collabo de la nouvelle forme de pouvoir totalitaire nazi et sournois qui s’installe : la « démocrature ». Je ne vous demande pas de me croire. Ne croyez jamais personne mais réfléchissez et jugez par vous-même !

Protéger les non-fumeurs ?

S’il ne s’agissait que de protéger les non-fumeurs, aucune loi ne serait nécessaire. Notre système économique s’appuie sur la loi de l’offre et de la demande. Un restaurateur non-fumeur était déjà en droit d’interdire de fumer dans son établissement et d’y attirer un personnel et des clients non-fumeurs. Certains l’ont d’ailleurs fait bien avant la loi et c’était parfaitement leur droit.

Si l’Etat estimait qu’il n’y en avait pas assez, il lui suffisait d’inciter les restaurateurs à déclarer leur établissement non-fumeur par l’octroi d’une prime ou une réduction de la fiscalité. Ainsi chacun, restaurateur , client ou travailleur, fumeur ou non-fumeur, aurait pu effectuer un choix libre et, au lieu de se haïr, nos concitoyens auraient pu gérer leurs différences à l’amiable.

Trop simple, n’est-ce pas ? Trop logique pour des élus qui, en principe, devraient refléter les avis de toute la population !

C’est pourquoi toute personne intelligente comprendra que le but n’est pas de protéger les non-fumeurs mais de s’en servir à leur insu. Le véritable objectif est de restreindre les libertés individuelles et le droit à la propriété privée.

Car un restaurant, tout comme un lieu de travail, n’est pas un espace public. C’est une propriété privée, achetée à gros prix, dans laquelle l’entrepreneur a, de plus, investi beaucoup d’argent pour pouvoir y travailler et assurer son avenir. Il est donc normal qu’il soit seul responsable des décisions qui concernent son bien. S’il omettait de payer les cotisations sociales de ses employés, l’Etat serait d’ailleurs le premier à le sanctionner. Cette omission pourrait pourtant avoir pour cause la perte de clientèle orchestrée par les décisions irresponsables du gouvernement.

Nous verrons plus loin pourquoi nos dirigeants tiennent tant à restreindre la propriété privée et les libertés individuelles, mais poursuivons d’abord notre analyse.

Réduire le coût des soins de santé ?

Nombreux sont les citoyens qui croient dur comme fer qu’ils paient les soins de santé des fumeurs. C’est encore un des nombreux mensonges du gouvernement et un simple petit calcul peut vous permettre de vous en rendre compte.

Je l’ai fait pour la Belgique, puisque j’y vis, mais vous obtiendrez sans doute pour la France des résultats proportionnellement identiques. En 2004, le total des remboursements de frais médicaux pour l’ensemble du pays s’élevait à 3.790.030.000 € . Le ministre de la Santé insistait sur le fait que le tabac était la cause de 10% de ces coûts (ce qui n’est pas beaucoup quand on sait que les fumeurs constituent 30% de la population).

Sur un paquet de cigarettes à 5 €, le détaillant perçoit 0,40 €, le fabricant 0,581 € et l’Etat le reste, décomposé en "taxe de droit à la consommation" et en TVA. Le gouvernement touche donc plus de 4 € par paquet de cigarettes. Puisqu’il y a 3 millions de fumeurs en Belgique, pour une moyenne d’un paquet par jour, les recettes du tabac s’élèvent donc à 12 millions d’euros par jour, soit 4.380.000.000 par an, c’est à dire plus que le coût des soins de santé pour l’ensemble de la population. Et les fumeurs cotisent aussi à la mutuelle.

Si les recettes en provenance du tabac ne sont pas consacrées aux soins de santé, est-ce la faute des fumeurs ou bien celle des militants antitabac qui relaient sans aucun discernement les mensonges les plus grossiers ?

Les taxes sur les cigarettes et le tabac

Pratiquement chaque année, les gouvernements augmentent les accises sur le tabac. La dernière augmentation en Belgique date du premier janvier et elle est de 53 centimes.

"Bien fait pour eux" s’exclament les antitabac, s’imaginant avec une naîveté qui fait peine à voir qu’ils sont ainsi eux-mêmes épargnés.

Ce qui est faux car le tabac et les carburants ne sont pas repris dans l’indice des prix à la consommation et les taxes sur ces produits ne sont donc jamais compensées par des hausses de salaire qui pourraient bénéficier à tous les citoyens.

Pire, les 4 € par jour que chaque fumeur verse en taxes à l’Etat (et on a vu ce que ça faisait par an) échappent au chiffre d’affaires des commerçants qui ne cessent de souffrir de la baisse de pouvoir d’achat de la population. Si le commerce décline, les entreprises ferment et le chômage grossit. Et qui paie les allocations de chômage ? Seulement les fumeurs ?

Mais, me direz-vous, il faut bien que l’Etat prenne ses taxes quelque part. S’il ne les prenait pas aux fumeurs, il les prendrait ailleurs.

Sans doute, mais s’il les prenait sur des produits liés à l’indice des prix à la consommation, cette perte de pouvoir d’achat serait bientôt compensée par des augmentations de salaires, ce qui permettrait aux commerces de retrouver leur chiffre d’affaires et aux entreprises de continuer à produire de la richesse.

Pour le bien des fumeurs ?

Soyons sérieux ! S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé n’aurait-il pas d’abord commandé une étude sur les risques inhérents aux comportements et produits de substitution que les fumeurs sont susceptibles d’adopter pour rééquilibrer leur vie en cas de sevrage ?

Nous vivons tous dans des conditions de stress et de frustrations accumulés : exigences de rentabilité, administration pesante, pertes d’emploi, baisse du pouvoir d’achat, multiplication des interdits et des obligations légales...

Chacun essaie de se rééquilibrer comme il peut. Les uns ne peuvent maîtriser des accès de violence qui tournent au vandalisme ou à l’agression, d’autres s’adonnent aux drogues dures, d’autres encore à l’alcoolisme, certains se suicident, d’autres enfin fument et ce ne sont pas les plus dangereux ni pour les autres ni pour eux-mêmes.

S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé les désignerait-il à l’opprobre public ? Les contraindrait-il contre leur gré ?

Le tabagisme passif serait la cause de milliers de décès ?

Voilà encore une pseudovérité qui va bientôt apparaître au grand jour suite à une action en justice pour faire cesser les nuisances des campagnes antitabac. Je suis en train de contacter à cette fin un panel d’experts, professeurs d’université en médecine et en psychologie. Je les choisis de préférence parmi ceux qui sont déjà engagés dans la lutte contre le cancer ou pour le sevrage du tabac afin d’assurer la crédibilité de leur expertise.

Sans préjuger de celle-ci, nous sommes déjà cependant d’accord sur les points suivants :

1) Il existe effectivement un certain nombre de patients qui, sans avoir eux-mêmes fumé, présentent les mêmes symptômes que les fumeurs. Leur exposition à la fumée des autres est cependant difficilement quantifiable. Certains ont vécu dans l’entourage de gros fumeurs, d’autres n’y ont été exposés qu’épisodiquement. Par ailleurs, l’intervention d’autres facteurs que le tabac n’est pas à exclure. Ce sont les décès dans cette catégorie de patients que les militants antitabac annoncent comme victimes du tabagisme passif.

2) Tout médecin et tout psychologue connaît l’effet placebo et son correspondant négatif appelé "nocebo"... Je vous invite à taper "placebo" dans Google et à lire l’explication qu’en donne Wikipedia. Tous les experts sont d’accord sur le fait que les prédictions alarmistes en matière de santé ont tendance à produire le développement de la maladie. Tous les médecins et psychologues le savent mais peut-être pas le ministre de la Santé ?

3) Les études entreprises sur les méfaits supposés du tabagisme passif sont postérieures à la naissance de la propagande antitabac. Auparavant, il faut croire qu’on n’en ressentait pas le besoin.

4) Il existe une évolution dans le temps quant à la manière dont le public perçoit la fumée de pipe ou de cigarette. Dans les années 60, elle était rarement perçue comme dérangeante, de nombreux non-fumeurs la trouvaient même plutôt agréable. Aujourd’hui, elle provoque plus souvent la répulsion. Il s’agit là d’une manifestation psychosomatique qui tend à accréditer l’influence de la propagande sur le développement de maladies tant chez les fumeurs passifs que chez les fumeurs actifs.

5) Le nombre de fumeurs se tasse et le nombre de cancers augmente. Il faut donc incriminer un autre agent que la cigarette.

6) La nicotine et les additifs placés dans le tabac pour renforcer l’assuétude ne semblent pas provoquer la moindre dépendance chez le fumeur passif. Ceci démontre à tout le moins que les effets de la cigarette ne sont pas les mêmes pour les fumeurs passifs. Pourquoi alors développeraient-ils les mêmes symptômes ?

En conclusion, il est plus probable que les méfaits du tabagisme passif dénoncés par les propagandistes antitabac soient dus à la propagande elle-même plutôt qu’au tabac des fumeurs.
Relayer cette propagande est donc dangereux pour sa propre santé et pour celle d’autrui.

Pourquoi alors cette charge contre les fumeurs ?
Ils vont faire l’Europe. La Communauté européenne, c’est une population presque deux fois plus importante que celle des Etats-Unis et la plupart des nouveaux adhérents n’ont pas l’héritage culturel de la liberté que nous a apporté la Révolution française.

Pour gérer l’Europe, d’aucuns estiment qu’il faut un gouvernement fort et autoritaire.sans lequel les décisions supranationales ne seront jamais respectées dans les Etats membres.

Pour instaurer ce type de gouvernement, ils ont simplement pris exemple sur la dernière méthode efficace utilisée en Europe. Souvenez-vous qu’au cours des années 30, les nazis ont progressivement désignés les Juifs coupables de tous les maux, qu’ils les ont spolié de leurs biens , qu’ils ont petit à petit créé un climat d’intolérance à leur égard, les ont éloignés des lieux de travail, les ont rendus infréquentables aux yeux de la population qui, relayant le discours officiel, a collaboré à la mise en place d’un pouvoir dictatorial.

Aujourd’hui, les fumeurs sont présentés comme des pestiférés, comparés à des animaux, pris en photos assouvissant leur vice par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si l’interdiction sur les lieux de travail est absolue, même pour le fumeur qui occupe seul un bureau, c’est pour l’obliger à sortir et ternir son image, pour lui faire perdre plus rapidement son emploi aussi.

Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus

(tiens tiens ! Ça me fait penser à quelque chose, de très récent, même totalement actuel ...)

et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30.iVous croyez que leur sort est plus enviable parce qu’ils peuvent retrouver un statut normal en arrêtant de fumer ? Deux tiers ont essayé... sans succès.

Je ne veux pas d’une telle Europe, ni d’une telle Belgique, ni d’une telle France. L’Europe est une chance si elle reste démocratique et sait prendre ses distances avec le modèle anglo-saxon.

Hélas, ce ne semble pas être le cas. Les Chirac, de Villepin, Schroëder, Verhofstadt qui avaient osé s’opposer à Bush lors de la question irakienne (et on sait à présent combien ils avaient raison) ont disparu ou sont en perte de vitesse tandis que se profilent pour leur succéder un Sarkozy qui n’a jamais caché sa sympathie pour Bush et une Ségolène qui avoue son admiration pour Blair.

La seule réaction que nous pouvons avoir est d’offrir aux fumeurs et à tous les non-fumeurs qui souhaitent défendre leur liberté, l’occasion d’exprimer leur poids démocratique.

C’est pourquoi s’est créé en Belgique un parti politique qui prendra ouvertement la défense des fumeurs pour les législatives du 10 juin. Et je peux vous assurer, pour être en contact avec les gens lorsque je distribue mes affiches, que le vent de la contestation est fort. Si les médias nous relaient dans l’ensemble du pays, nous pouvons faire passer aux partis de pouvoir, et pour longtemps, le goût des lois liberticides.

 

Commentaire de : pierrarnard 29 janvier 2007 

Excellent article qui va a l’encontre de la bien pensance actuelle.C’est vrai que les fumeurs sont un bouc émissaire parfait presque autant que l’automobiliste. On les stigmatise mais c’est pour mieux les protéger mon enfants ! c’est pour leur bien...Les automobilistes tuent des qu’ils touchent un volant, les fumeurs tuent des qu’ils approchent un non fumeur, le bon citoyen est terrorisé. Mais heureusement l’état veille pour protéger le bon citoyen de tous ces méchants éléments subversifs. Et pendant ce temps on à dérogé pour utiliser l’amiante jusqu’en 1997 dans l’industrie. Manipulés, nous ????

 

30/08/2024

ce que sont en fait les anarchistes - Renée Dunan un exemple

La "gauche" actuelle est issue de ce que sont devenus les anarchistes : BOURGEOIS, TOTALITAIRES (si!), aimant le luxe et méprisant le peuple !

si ! c'est psychologique et sociologique (c'est à dire marxiste !). Exemple :

J’ai découvert par hasard une nouvelle d’un auteur, une femme, Renée Dunan, qui vécu de 1892 à 1936 (voir l’article de la wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9e_Dunan ), et qui est classée parmi les ANARCHISTES, et les féministes, (elle est même répertoriée dans le dictionnaire des anarchistes – cachet officiel donc !), ce fait est capital.
Cette nouvelle a pour titre « La culotte en jersey de soie » et on peut la lire et la télécharger sur Internet, ici : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Culotte_en_jersey_de_so...
Le titre se justifiant à la fin de la nouvelle par ces mots
« ma frousse principale, c’est que j’avais des culottes en jersey de soie qui valaient dans les cinq louis. Alors, tu comprends, je craignais pour elles… »
cette phrase dit déjà tout ! Sur le goût du luxe et l’attachement à l’argent de ces bourgeois "anarchistes" !
Reprenons. Cette nouvelle, qui se présente comme le récit d’une étudiante en médecine (donc bourgeoise et «diplômée du Supérieur » !) qui fait un remplacement dans un bourg au fond de la campagne (dans les années 20). Le personnage du récit (à la première personne),  ,,,censé être anarchiste comme l’auteur je le rappelle, jouit avec un plaisir satisfait, du privilège de se retrouver avec deux domestiques à son service, (avec lesquels elle se sent incapable de discuter, car « Quant à s’intéresser réellement aux actes et à la vie de personnages incolores et amorphes dont le destin repose sur la mécanisation totale, sur l’habitude devenue l’existence même, cela, je ne le puis. » - attitude générale parmi ces gens « de gôche » autoproclamés -  « Au demeurant j’ai connu beaucoup de types qui s’affirmaient amis et frères de ce prolétariat domestique. J’ai constaté qu’ils pensaient au fond comme moi, mais ne l’avouaient point. ») un cabriolet avec cocher pour se déplacer, de bons repas, un logis luxueux et confortable, et le privilège d’être considéré et d’avoir tout à coup une AUTORITE sur ces villageois, travailleurs manuels rustres !   Elle jouit en esthète de la beauté du paysage, privilège qui laisse indifférent les pas-diplômés-de-l’université qui l’habitent. Et enfin, cette toute-puissance que lui confère la SCIENCE MEDICALE  lui donne tout à coup à elle - l’anarchiste ! - des velléités totalitaires (qui ne sont pas sans faire penser à celles qui se déploient de nos jours,,, ) :
« Décidément c’est une belle chose que l’autorité. Je me sentais pousser une âme Néronienne. Que ferais-je de vraiment neuf, de grandiose ? Allais-je diriger la santé du pays comme on fait faire aux soldats du maniement d’armes. Brûler les demeures insalubres, décréter la potabilité des eaux et charger les gendarmes de faire observer mes arrêts ; fermer l’atelier de la locomotive sous un prétexte d’hygiène transcendant ? »
Ces révolutionnaires censés être « bohèmes » (« BOurgeois-BOhèmes » dit l’appellation) ne négligent quand-même pas leur sécurité personnelle ! Et pas seulement financière : « Il y avait deux petits verrous en sus de la serrure. Je ne craignais donc rien. »
On voit là confirmation de ce que j’ai senti de plus en plus, un phénomène (décrit sous le nom de « libéral-libertaire » par Soral, qui n’a fait que le reprendre de Clouscard, en fait), qui visiblement fut en place dès les débuts de l’anarchisme (la nouvelle est de 1923, tiens ! La même année que « Knock »). Ces fameux anarchistes ne sont en fait que des BOURGEOIS, qui n’en ont rien à foutre du sort des travailleurs, dont ils n’ont jamais partagé les difficultés ni l’insécurité, et dont ils méprisent la culture, et le respect des valeurs humaines, et dont la lutte de classe leur paraît odieuse, qui veulent profiter de la vie, de leurs privilèges, de leur position sociale, sans se laisser emmerder par la morale des conservateurs, et qui se la jouent « anarchiste » comme d’une coquetterie, qui donne une étiquette « progressiste » à leur racisme de classe, qui est profond !
Voilà !

 

bref les anarchistes c'est comme selon l'expression de Dieudo "les putes du système"

28/08/2024

Correction : un poème d'actualité

Un poème sérieux de Maurice Carême, lui si simple a écrit une fois un poème grave.
Tellement grave que je me suis dit qu’il est d'actualité …..
si vous voyez ce que je veux dire. (2020-2023)

je l'ai donc "actualisé" (en 2021)
Le poème d’origine vous le trouverez en cherchant sur Internet (ça vous donnera l'occasion de découvrir ce poète si vous ne le connaissez pas, mais vous l'avez sûrement appris par cœur à l'école !) De toutes façons j'ai modifié très peu de choses, je vous l'ai dit c'est un poème d'actualité,  tellement d'actualité  qu'on n'y   aurait rien changé il aurait été aussi parlant si ce n'est plus que ma version actualisée :

A quoi servirait-il de fuir ?
Partout on vaccine, on incarcère.
Le monde est lassé à mourir
De tant de haines et de fascisme.

Et l’on a beau scruter le ciel,
Chercher derrière les nuages
Une lueur providentielle, Fouché ? Crévecœur ? Philippot ?
Rien que la nuit, que les orages.

Et l’on a beau vouloir parler
A cœur franc de ce qui nous hante.
La crainte nous serre le ventre,
Et personne n’ose parler.

Et l’on a beau vouloir crier
Qu’on a les pieds, les mains liés.
Comme personne ici ne crie,
On se tait par kollaborismé.
Ou par haine et dégoût

 

 DE PLUS LOIN QUE LE NAZISME 2.0



22/8/2024 : je viens de découvrir un autre poème de Maurice Carême, lui aussi « d’actualité » !

LA LIBERTE 

Je suis la liberté,
Répétait-il, la liberté
Avec tous les dangers
Que je vais vous valoir
Et, pour me faire taire,
Il faudra me tuer.

Mais on le laissait faire, 
On le laissait parler.
Il était bien trop solitaire
Pour amener l’homme à briser
Le cercle de fer et d’acier
Où l’injustice et la misère 
L’avaient peu à peu enfermé.

Je suis la liberté,
Répétait-il encor.
Regardez-vous. Vous êtes morts.
Mais, comme on avait à manger,
On le laissait crier.

(in DEFIER LE DESTIN)



 

26/08/2024

l'obsession devant la démographie ! mensonges et propagandes DE CLASSE ! l'explication ! (et QUI AVAIT RAISON!)

Commentaires à l’article Plus de la moitié des pays du monde ont aujourd’hui un taux de fécondité inférieur au seuil de remplacement

"L’écologie n’a de sens que si elle s’intéresse à un développement humain harmonieux tout en respectant le mieux possible l’environnement .Côté alimentation , la réserve de terres couvertes par la forêt est telle qu’on a encore beaucoup de marge et s’il arrivait que la forêt soit entièrement éliminée ce qui à mon sens impossible vu que des arbres , il y en a partout -déserts exclus- et pour cela il suffit de regarder autour de soi, la forêt renaîtrait avec une facilité stupéfiante : En France , la Forêt couvre 18 millions d’hectares (soit environ 30 % de la surface du pays ) et les arbres se comptent par dizaines de milliards , .
De plus la quasi totalité des plantes alimentaires (céréales , maïs , légumes , canne à sucre ) captent plus de CO2 et fournissent plus d’O2 que la forêt qui est magnifiée par ceux qui pour des raisons de spéculation foncière veulent éliminer l’agriculture au moins provisoirement .
Ceci étant , j’aime beaucoup la forêt , j’y vais assez souvent et je n’y rencontre personne à ma grande surprise au vu de l’intérêt qu’elle suscite (verbalement ! pour "faire bien") A croire qu’il s’agit d’un intérêt de façade imposé par une propagande insidieuse . La forêt étant ce qui remplacera l’activité humaine dont on sait que pour des raisons politiques profondes elle est devenue la cible du libéralisme mondialisé.
Mais ce que je veux surtout dire , c’est que l’alimentation de 15 milliards de personnes ne posera pas de problèmes d’autant plus que les terres agricoles sont très loin de donner le meilleur d’elles -mêmes .
Une meilleure répartition de la fortune permettrait de ce point de vue là d’améliorer considérablement la vie de tous .
Entre la stimulation de l’activité par le gain et ce à quoi on assiste , c’est à dire spéculation , pression sur les salaires , les conditions de travail [grâce au NAIRU ! vous ne savez pas ce que c'est ? les cadres sup' si ! Informez-vous! et ça a un rapport avec l'immigration], la détèrioration environnementale , il y a un fossé tellement grand que penser dépeupler pour résoudre les problèmes est un non sens absolu .
Le capitalisme sauvage est un non sens absolu et c’est bien par son encadrement qu’il faut commencer

MJMRI

Je partage quasiment votre opinion.
« Le capitalisme sauvage est un non sens absolu … » : tout à fait d’accord avec vous …
« c’est bien par son encadrement qu’il faut commencer » : àmha c’est un voeu pieux !
Quand on sait que les adorateurs du dieu fric représentent les 2/3 de la population (66%), il me semble difficile d’encadrer quoi que ce soit quand on est pareillement minoritaire …
Le plus sage aujourd’hui est d’attendre en silence que les mesures prises par nos trop chers zélus (France ET UE) commencent à laminer les rangs des moutons endormis (cf guerre d’attrition de VVP).
Attendre en silence ne veut pas dire ne rien faire.
Je suis des cours de sociologie et de géopolitique, je lis des livres et j’écoute des conférences, mais au vu des manoeuvres d’élimination pure et simple ordonnées par nos pantins aux zordres, je laisse les moutons endormis de ma famille et de mon entourage se débrouiller désormais entre eux, mais sans moi.
Ils les ont voulu, ils les ont eu, mais qu’ils assument désormais leurs choix …
Je joue désormais dans une tout autre cour que la leur !

 

Assurément, l’objectif de nos zélus est la dépopulation mondiale (cf Malthus, Galton, Margaret Sanger, Alexis Carrel, Meadows, Attali, Georgia Guidestones, Deagel, …). [en fait depuis que les progrès de la médecine et de l’hygiène ont fait que les pauvres ont essé de crever comme des mouches, les riches, les possédants, la « volaille qui fait l’opinion », sont OBSEDES, absolument obsédés par ça : il y a trop de pauvres ! Ils vont réclamer leur du, nos privilèges sont menacés !

C’est pourquoi aussi dans les années 70 on nous tellement bassiné avec la « nécessité » de pilule avortement, capote, planning familial, stérilisation forcée. Or à l’époque a seule voix discordante était celle des catholiques Tiers-Mondistes de gauches, qui disaient « pas de mesures coercitives ni anti-vie ! Pour faire baisser la population il suffit d’AIDER LES PAYS PAUVRES A SE DEVELOPPER, une fois qu’ils seront devenus des pays développés, leur natalité baissera, toute seule, par les comportements sociologiques, psychologiques, carrière ! loisirs ! conformisme et normalisation ! qu’on voit à l'œuvre chez nous. A l’époque personne ne les croyait, etc, on les trouvait naïfs, des « cathos » ! des « Tiers-Mondistes » ! on les moquait, on les STIGMATISAIT haineusement.

Ben ! ... les FAITS, le long des décennies qui ont suivi, jusqu’à nos jours, les chiffres ! ont montré que …. ben si ! ils avaient raison, et étaient même les seuls à avoir raison ! Regardez les cartes des TAUX DE FECONDITE PAR PAYS, en 1980, 2000, 2019 : tous les pays qui sont devenus « développés » ont vu leur taux de fécondité s’effondrer et rejoindre celui des pays riches (qui sont EN-DESSOUS du seuil de renouvellement je le rappelle!). ET ce indépendamment du fait que leurs gouvernement ait mené une politique antinataliste (comme la Chine Continentale) ou pas du tout (comme l’Iran) comme en bonne théoris marxiste, ce sont les conditions « matérielles » (économiques, et sociologiques, et leurs conséquences psychologiques, et idéologiques, et phantasmatiques) qui déterminent ce qui se passe. Seul sont restés avec un taux de fécondité élevé (quoi que en baisse!) les pays qui sont restés pauvres ! L’Afrique noire (victime de prédation néocoloniale, guerres, et de système genre « France-Afrique »!) et quelques pays particulièrement malheureux ou en guerre (Afghanistan, Haïti, Pakistan) Les catholiques Tiers-Mondistes de Gauche avaient raison ! (et Marx aussi)
Mais dépopulation implique baisse de la consommation, crise financière, conflits civils, …
Le stade ultime de la folie capitaliste de tous nos zélus sera désormais la 6e extinction, peut être par la voie d’un conflit planétaire, afin qu’il n’y ait que peu de survivants (eux!) qui, la tête dans le guidon de la survie, oublieront en 2 générations toute notion de civilisation (avec ses avantages ET ses inconvénients).

ktmm

« Plus de la moitié des pays du monde ont aujourd’hui un taux de fécondité inférieur au seuil de remplacement »..le plan à l’air de fonctionner ! réduction de la population mondiale par les injections appelées à tord vaccin, un génocide « soft » qui ne se voit pas puisque les mérdias « people » n’en parlent pas, le but est atteint semble t il…..

cassus33

Tuer des humains pour sauver la planète? Mais la planète est elle réellement en danger?

24/08/2024

le plus beau poème d'Eric Tellenne

Enfant quand tu liras ces pages

Je serai mort depuis longtemps

J’étais celui que tu attends

Je n’aurai pas vu ton visage.

 

 

Eric Tellenne

(la Clé des Chants page 223)

23/08/2024

la tactique du maillon faible toujours ! (et le totalitarisme capitaliste toujours !)

le super radar entre bientôt en service en France http://www.largus.fr/actualite-automobile/radar-mesta-fus...
ensuite  ils pourront  licencier les policiers  puisqu'il va les remplacer en détectant toute les infractions
la plus traitre étant  la distance de sécurité    entre les véhicules , il suffit que quelqu'un ralentisse devant vous et vous êtes pris !

Ben oui ! et puis comme c'est (théoriquement) pour la sécurité des automobilistes, ils vont faire jouer cette corde au max, et le terrorisme intellectuel ! ne pas oublier jamais le terrorisme intellectuel ! il y a toujours quelque chose qui se cache derrière tout terrorisme intellectuel ! pour imposer leur totalitarisme orwellien (comme ils se servent aussi de l'écologie pour par exemple le compteur linky, autre machin orwellien, la sacro-sainte écologie, enfin tout ce que la société actuelle, et les gens "vi kreis min per via silenta konsento", considère comme sacro-saint, bref on est toujours dans une société théocratique, seulement on a changé la religion ). Bref c'est ce que j'appelle la stratégie du maillon faible, là aussi ...

20/08/2024

vous avez dit "espèces invasives ?" - concept NAZI typique !

Avant de vous faire lire la discussion théorique et critique du problème, voici quelques exemples, tirés de cette Europe, dont TOUTES les espèces, arrivées après le dégel de la dernière GLACIATION (quand la banquise déscendait jusqu'à Dunkerque, et que chez nous à part des lichens et des rhinocéros laineux il n'y avait pas grand chose ! 

Les moineaux ainsi sont une “espèce invasive”, si vous êtes allés en Egypte vous aurez pu constater qu’on en entend partout dans les ruines antiques, les moineaux sont des oiseaux des déserts, qui vivent là où il y a des falaises rocheuses, où ils nichent dans les trous de rochers. Alors ! Forcément, lorsque les humains se sont mis à construire des villes, les maisons leur ont fourni des falaises artificielles, et les villes (sans arbres jusqu’à une époque récente) se sont peuplées de moineaux, au point qu’aux yeux des citadins coupés de la nature, “oiseaux” se réduisait à “moineaux”!

Pareil par exemple pour les cochevis huppés, ce sont aussi des oiseaux des déserts (Ouzbékistan par exemple je m’en souviens) et ils avaient trouvé dans nos routes de terre battue ou de pavés des déserts acceuillants ! Et se régalaient des crottins des chevaux. Maintenant les chevaux ont disparus, et d’ailleurs si jamais, à l’occasion d’une fête-investissement touristique, un cheval se permettait de laisser tomber un crottin, il est tout de suite ramassé, si on pouvait on mettrait un sac aux culs des chevaux, pour pas que les bourgeois anarchistes se mettent à pousser des cris et à porter plainte !

https://journals.openedition.org/etudesrurales/9172

À PROPOS DES INTRODUCTIONS D’ESPÈCES - ÉCOLOGIE ET IDÉOLOGIES

on commence à réévaluer les "écolos" déjà Bernard Charbonneau qui avait toujours refusé de se réclamer de  l"écologie" car il en voyait trop bien les potentialités totalitaires, et puis le PS a amplement montré comment la corruption peut rendre les partis  l'exact INVERSE de ceux qu'ils sont censés être, (et puis le premier pays à prendre des mesures écologistes fut l'Allemagne nazie, il ne faut pas l'oublier, et les fascistes se réclamaient souvent des "lois de la nature" !)

voyez : LES ECOLOGISTES DEMASQUES !!! https://www.upr.fr/actualite/eelv-exigeons-ensemble-les-v...

Maintenant, il (Jadot) vient de réclamer que le vaccin potentiel contre la Covid-19 soit rendu OBLIGATOIRE pour tous les Français ! Peu importe ce qu’il y aura dans ce vaccin ! C’est cohérent : il est lui aussi probablement inféodé au puissant lobby des laboratoires pharmaceutiques. Sinon sur quel fondement se déclarerait-il en faveur d’une telle obligation ? Est-il spécialiste des maladies infectieuses ?

2010 Christian Lévêque, Jean-Claude Mounolou, Alain Pavé et Claudine Schmidt-Lainé

L’ÉCOLOGIE, EN TANT QUE SCIENCE, s’était fixé comme objectif de rechercher un ordre dans la nature. Ce qui suppose implicitement que la nature est ordonnée, tout au moins au sens où l’entendent les sciences physiques. Et si nous nous étions trompés de concept fondateur ? Le monde vivant n’est-il pas d’abord le domaine du hasard, du conjoncturel, de l’opportunité, de l’aléatoire ?

2En battant en brèche le déterminisme qui rend plus aisée l’élaboration de prédictions et de programmes, le hasard gêne les institutionnels et les institutions. Il fait même peur alors qu’il ouvre, au contraire, des espaces de liberté et de créativité. Dans ce contexte, la question des espèces « invasives » qui se développent de manière inopinée sans que l’on puisse en cerner les causes bouscule nos représentations d’une nature ordonnée, ouvre le champ de l’incertitude, et dérange sans aucun doute.

3Les scientifiques, à juste titre, dénoncent le créationnisme et le dessein intelligent. Ces idéologies ne sont, somme toute, que la persistance d’une idée bien ancrée dans les esprits aux XVIIe et XVIIIe siècles, selon laquelle la nature, créée par Dieu, est nécessairement harmonieuse et immuable (le fameux « balance of nature » des Anglo-Saxons).

4Lorsqu’on s’interroge sur les fondements historiques de l’écologie scientifique, on découvre que certains concepts, sous des formes nuancées, sont toujours porteurs de cette idéologie. Bien sûr, la science est affaire de société. Les connaissances construites l’ont été en réponse à des questions posées dans des contextes idéologiques évolutifs. Et les questions d’aujourd’hui, comme les démarches de recherche, sont nécessairement marquées du présent philosophique, social et économique. Néanmoins, l’idée d’une nature immuable, certes désacralisée, reste encore vivace. On continue à parler d’équilibre et de stabilité des écosystèmes ainsi que de climax avec, en contrepoint, l’idée que les perturbations d’origine anthropique créent des déséquilibres.

On rappelle en permanence la culpabilité de l’homme vis-à-vis de la nature, ce qui n’est pas sans évoquer le mythe du péché. Or, les recherches en écologie rétrospective nous ont appris, quant à elles, que les écosystèmes n’ont jamais cessé de se transformer et que la biodiversité est avant tout le produit du changement, non du statu quo [Lévêque 2008b].

6Les paradigmes évoluent. Mais les milieux médiatiques, politiques, associatifs et scientifiques ne se les approprient pas au même rythme. Et le terrain des introductions d’espèces est particulièrement propice aux débats et aux confrontations intellectuelles car la revendication de préserver la nature « en l’état » y est exprimée avec une certaine véhémence par certains groupes sociaux. C’est dans ce contexte que nous nous inscrivons, en réaction à cette attitude « conservatrice ».

7Les introductions d’espèces et leur prolifération ont en effet mauvaise réputation dans les milieux écologistes et conservationnistes. Que reproche-t-on à ces espèces « invasives » ?

[D’être] des espèces [... ] qui bouleversent l’équilibre des milieux naturels, entrent en compétition avec les espèces autochtones et, parfois, les dominent jusqu’à les faire disparaître.

8Selon le site web de l’ONF, les introductions d’espèces sont aujourd’hui considérées comme la deuxième cause mondiale de l’érosion de la biodiversité. De même peut-on lire sur le site « Plein Sud » de l’Université Paris-Sud 11 :

Les invasions biologiques sont considérées comme la seconde plus importante menace pesant sur la biodiversité, juste après la perturbation des habitats.

[je pense que Soral, Zemmour et Hitler seraient d’accord là-dessus!]

9Ces discours alarmistes sont repris de manière générale par presque toutes les ONG ou associations de conservation de la nature. Mais, depuis quelques années, plusieurs voix s’élèvent pour remettre en cause ce discours manichéen. Les travaux récents [Theodoropoulos 2003 ; Rémy et Beck 2008] montrent en effet que les représentations des scientifiques et du public dans le domaine de la biologie des invasions ne sont pas exemptes d’idéologie et reposent en partie sur des paradigmes écologiques discutables.

10Néanmoins, la mise en accusation de l’homme, considéré comme perturbateur de l’ordre naturel, reste un moyen privilégié de "communication" (nouveau terme créé pour remplacer "propagande") des ONG de protection de la nature, et le message est largement repris par les médias, à l’exemple du scénario de la sixième extinction. La peur comme moyen de culpabilisation, et donc de manipulation (eh eh ! outil très Goebbelsien, et encore utilisé actuellement n'est-ce pas !] , a longtemps été l’apanage des religions, du déluge aux péchés capitaux [Thomas 1985]. Mais, de nos jours, la peur trouve dans l’environnement un domaine profane à investir. La question des espèces invasives et celle des changements climatiques et de l’érosion de la biodiversité censés mettre en péril la survie de l’homme en sont quelques déclinaisons. Au demeurant, cette image de l’homme destructeur de la nature n’est pas dénuée de vérité – comme en témoignent la surexploitation des stocks de poissons marins [Cury et Miserey 2008] ou la destruction des forêts (et des sols ! voyez les conférences de Claude Bourguignon).

Confusion des termes « invasion », « prolifération », « pullulation »

11Un peu de sémantique n’est jamais inutile. Car les définitions d’« invasions biologiques » ou d’« espèces invasives » sont nombreuses et peuvent différer les unes des autres. Celle de F. di Castri [1990] est assez généralement admise :

Une espèce envahissante est une espèce végétale, animale ou microbienne qui colonise un nouvel environnement et y prolifère loin de son aire d’origine après avoir, la plupart du temps, été transportée par l’homme, intentionnellement ou non. [bref, comme font les immigrés à La Goutte d’Or! Après les auvergnats de Paris, ou les flamands du Nord-Pas-de-Calais]

12Mais il y a souvent un léger glissement sémantique qui conduit à des confusions. Nous vivons en effet, en Europe, dans un environnement où les espèces introduites et naturalisées sont nombreuses. La plupart restent discrètes et se font oublier, ou contribuent à agrémenter notre vie. Seules quelques-unes – tels des parasites d’huîtres ou de poissons, des vecteurs de maladies (moustiques), des espèces végétales (comme la renouée du Japon, la jacinthe d’eau), sans oublier le rat introduit partout dans le monde – se révèlent gênantes dans la mesure où elles se mettent à proliférer, suscitant des nuisances économiques, écologiques et sanitaires. Ce sont ces quelques espèces « invasives » qui nous dérangent, à juste titre, parmi l’ensemble des espèces dites exotiques.

13Là où les choses se compliquent, c’est que le discours médiatique a tendance à confondre « prolifération d’espèces » et « espèces invasives » alors que ce phénomène n’est pas une spécificité des espèces exotiques. Il est largement partagé par les espèces autochtones qui peuvent être, elles aussi, des sources importantes de nuisance. On pense par exemple aux pullulations de criquets en Afrique sahélienne, à celles des petits campagnols ravageurs des cultures en Europe, ou encore aux pullulations de méduses qui se produisent régulièrement sur nos côtes et pour lesquelles les médias n’hésitent pas à parler, à tort, d’« invasion ». Une enquête sur les proliférations végétales dans les milieux aquatiques continentaux français a mis en évidence que les plantes les plus fréquemment citées sont aussi bien autochtones qu’allochtones. Ce qui renforce l’idée que « prolifération » ne rime pas nécessairement avec « exotique » [Peltre et al. 2008]. Il n’empêche que l’amalgame ainsi fait ne peut que renforcer les préventions contre les espèces exotiques. (tiens tiens ! pareil pour les "espèces" d'humains)

https://www.lemonde.fr/passeurdesciences/article/2014/02/16/qui-a-peur-des-especes-invasives_5999001_5470970.html

15/08/2024

y'a que nous qui pouvons faire quelqu'chose pour nous

écoutez ce que nous disait Gilbet Bécaud en 1978, année encore civilisée, où la République existait encore et où la France était un pays libre et équipé, où les français jouissaient d'un niveau de vie et de droits qu'ils ont perdus depuis (ce serait trop long de les énumérer). "les gens" le plus beau mot de la langue française je trouve, le plus profond, intime, et existentiel.

Une chanson malicieusement rebelle et citoyenne, sa plus belle chanson peut-être, toujours  à méditer, et...

et en ces jours que nous vivons depuis quatre ans (et avant ! les gilets jaunes, ces victimes), où il va falloir apprendre à se soulever, à désobéir, à résister, à boycotter, à reconstruire, d'abords à l'intérieur de nous et puis autour, à reconstituer toute notre anthropologie, et toute notre culture politique (autour d'Etienne Chouard, Bernard Friot, Jean-Jacques Crèvecoeur) il est important de se souvenir que " y'a que nous qui pouvons faire quelqu'chose pour nous "


et puis retenez le nom de celui qui a CONCRETEMENT pensé et écrit les paroles : Franck Thomas, très doué, et sachant trouver pour chaque interpète les mots qui sortiront tous accordés à son style. (lisez toutes ses chansons, tous ses interpètes, si différents, sur Wikipédia)

14/08/2024

mon poème "Hommes de l'avenir je me souviens de vous"

Hommes de l’avenir je me souviens de vous !


J’ai grandi à l’époque où roulaient les derniers autocars.

- Ottokar ; Kibriz-Toul-Bazar -

A l’époque des dernières femmes portant des ballots de loques,

Avant les Nouveaux Pauvres,

Avant les vigiles badgés et leurs talkies-walkies,

Avant les TGV et leurs vitres scellées ;

Du temps des derniers trains,

des derniers hôtels (pour toutes les bourses),

Au temps où l’on pouvait encore faire de l’auto-stop

le long des routes sans ceintures de sécurité, où roulaient De Funès et Sophia Loren.

Du temps où les sex-symbols portaient des foulards sur leurs têtes

sans être montrées du doigt !

Du temps si lointain où tout était d’un modernisme outrancier.

Du temps des futurologues et de la science-fiction ;
quand on croyait en l’homme et en la science, et qu’on regrettait la disparition


du monde ancien.

13/08/2024

69 année encore civlisée ! - ou relire les vieux Readers Digest c'est vachement instructif !

Dans cette vidéo https://odysee.com/@ConversationDuLundi:4/CDL44:3
 Jean-Jacques Crèvecœur parles parmi les conséquences du 11 septembre de "contrôles renforcés dans les aéroports". Mais c'est bien plus que ça, savez-vous comment ça se passait et comment l'esprit des gens, des GENS, était par exemple en 1969, année encore civilisée. Lisez ce qui suit, là vous allez vous rendre compte de la dégradation abyssale de la Civilisation depuis :

Relire les Reader's Digest de 1969 (1) aussi ça peut être vachement instructif!

(1) le n° d'octobre 1969, page 233


l'explication vous aller la lire plus bas, après la -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Esperantligva resumo: pr. 1968-69 ekestis en usonaj aviadiloj ondo de kaperoj, fare de (armitaj, kaj la vojaĝantojn minacantaj) homoj, kiuj volis igi la aviadilon iri al Kubo (ĉar pro la usona bojkoto al Kubo neeblis iri alimaniere, kaj tiuj estis revoluciemuloj, kiuj ege deziris vivi en Kubo). Do en artikolo de Selektado de l'Reader's Digest ( N° de oktobro 1969 p. 233 franclingva eldono), post rakontado de pluraj okazoj tiaj, la aŭtoro finis per meti la demandon? kion fari ??
Tiam lia respondo estis: malfeliĉe nenion, ĉar la ununura efika rimedo estus priserĉi ĉiujn pasaĝerojn antaŭ ke ili enirus en la aviadilo, kja tio estas nepensebla, aldonis li kiel memkomprenebleco, tro malĝentila, ktp, kaj "la vojaĝuntoj certe ne konsentus pri tia afero !" (kio subkomprenas: se ili rifuzas estas nepenseble ke oni trudu ilin).
Kiom la etoso kaj kondutoj, kaj sintenoj, tiom bone de la "instancoj" kaj de la publiko, ŝanĝis !! ĉu ne ?! Nenio tiom utilas kiom relego de revuoj post "breĉo de kelkdek jaroj, ĉu ne? Certaj aferojn oni ne sentas dum ili okazas. Nur poste oni konstatas, kaj rememorante eble ia tremmalvarmiĝo ŝoviĝas laŭ via spino. Kiam oni konsciiĝas pri la evoluo, ĉu oni ne komencas maltrankviliĝi ? Ni direktiĝas pli kaj pli al la stato priskribita de unu rolulo de la romano de l'fratoj Strugatski "Malfacilas esti dio": "La principoj simplas, ili estas tri: blinda kredo je ĝusteco de leĝoj, senkontraŭdira obeo al tiuj kaj krome senĉesa kontrolado de ĉiu per ĉiuj !"
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En effet: Vers 1968-69 s’est développé sur les avions américains une vague de détournements d’avions (c’étaient les premiers je crois) de la part de gens (armés bien sûr, et qui menaçaient les pilotes et les passagers) qui voulaient se rendre à Cuba, Mecque des révolutionnaires, que les USA avaient mis sous embargo et où il n’était plus possible de se rendre par les lignes régulières).
Après une longue suite de récits, l’auteur de l’article (sur Reader’s Digest, une revue conservatrice et sans aucune sympathie pour le communisme !) concluait : "Mais Que faire ? Il n’y a malheureusement rien à faire. Car la seule solution vraiment efficace serait de fouiller les passagers et leurs bagages avant l’embarquement, et ça c’est impossible !" concluait-il comme une évidence, ajoutant que ce serait trop malpoli et trop choquant, et que d’ailleurs les passagers "prendraient, sans doute, cela assez mal" (Ce qui veut dire: si les passagers n’acceptent pas on ne va pas les forcer).

En 1969

Comme le monde a changé depuis !!!
Je ne vous fais pas un dessin...

Les mentalités là-dessus, aussi bien celles des autorités que des passagers eŭ-mêmes (ceŭ qui croient que les gens ne se laisseront jamais conditionner à accepter l’esclavage devraient revoir leur naïf optimisme), et l'ambiance ont changé de manière pharamineuse, comme vous n'êtes pas sans le savoir.
Maintenant ce sont les RFID et ce projet nous apparaît comme inacceptable et dantesque … actuellement. Tout comme aurait paru inadmissible en 1969 de fouiller les passagers pour vérifier qu’ils n’ont pas d’armes sur eŭ.
et trifouiller dans le cerveaux de nos enfants pour les ficher, et http://www.journal-la-mee-2.info/1622-fichage-01-delation... http://www.journal-la-mee-2.info/1622-fichage-01-delation... , et ,et ,et ,et ......
Ca continue! chaque année, que dis-je chaque mois nous apporte une régression supplémentaire, un de ces jours Staline et les cauchemars de George Owell seront dépassés.

et ça : BIENTOT-DES-FOUILLES-RECTALES-DANS-LES-AEROPORTS-ET-LIEUX...

bon, je vous laisse réfléchir
NOUVEAU Bon, parmi les dérives les plus graves actuellement et les plus menaçantes il ya l'instrumentalisation par la police du "délit d'outrage", il faut y mette fin, sinon notre Etat de Droit et notre civilisation sont foutues !

http://www.ldh-france.org/Petition-outrage-offense-L-appe...

kaj nun Francio : Barbareca lando sub polica reĝimo ( la France tombée sous la shlague et devenue régime policier et barbare - et avec  Macron-Nunez ça ne s'arrange pas ! )

"Et vous pensez que, lorsque la « pandémie » s’arrêtera et que l’économie s’ouvrira,"

la "pandémie" ne s'arrêtera pas, car elle n'a pas commencée, elle est inventée de A jusqu'à Z, dans le cadre d'un projet fasciste de maximisation du profit de grand capital, et d'imposition à ce qui restera de travailleurs d'un nouveau statu d'esclavage totalitaire. Il n'y a pas de raison qu'ils s'arrêtent !

D'autant plus qu'avec tout ce qu'ils ont déjà fait ils savent que si'ls baissent la garde et laissent revenir l'Etat de Droit, ils seron jugés à Nüremberg pour crimes contre l'humanité, et seront pendus, à moins que la foule en colère ne les lynche avant. Alors ils sont acculés et ne peuvent que pratiquer la fuite en avant, vers toujours plus de dictaure toujours plus de totalitarisme, toujours plus de repression et de mensonges.

On est mal barrés !

Car la comparaison avec le fascisme 1.0  des  années 30 s'arrête là : ce fascisme-là a fini par tourner à la guerre, et ils ont été battus par l'URSS (Koursk, Stalingrad). Mais ici qui nous sauvera ? je ne vois aucune possibilité...

Les grands responsables sont ceux qui depuis plus de vingt ans ont accepté passivement toute l'évolution, sans protester, voire sans s'en rendre compte. que moi je voyais, et de rares autres. Amère satisfaction dont je me passerais bien.

https://odysee.com/@reseau-influence:a/Pass-sanitaire---R...