Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : le détail

Il est de plus en plus clair que c'est Gattaz, c’est-à-dire le patronat, qui gouverne la France

Ce gouvernement, dont les ministres osent encore se dire de gauche, prend ses idées dans les corbeilles à papier du parti lepéniste.

La moindre mesure, comme la moindre revendication qui pourraient égratigner très légèrement les profits patronaux, sont sans état d'âmes rejetées.

Ce gouvernement est en fait totalement inféodé au grand capital international comme celui de Pétain et la plupart  des gouvernants qui se succèdent dans ce pays.

Ces pieds nickelés de la politique bourgeoise du secrétaire d’état le plus inconnu au 1er ministre et au président, n’ont qu’une obsession : ne pas déplaire aux patrons.

Il est manifestement grand temps de les renvoyer dans le seul endroit qui leur convienne : les poubelles de l’Histoire.

 

Pour connaître les détails sur les magouilles et les profits de ces "grands patrons" visitez le site Dans la cuisine des patrons:

 
 
Dans la cuisine des patrons
 

RADIALL, Groupe GATTAZ 2015

Le Groupe Radiall est dirigé par Pierre Gattaz, président du MEDEF. Son discours est bien connu, car très médiatisé :...

Lire la suite

Lire la suite

23/05/2016 | Lien permanent

« Outrage à la morale publique » !

ou : Redécouvrir les détails des époques passées c'est vachement instructif

Relisons les détails des persécutions qui ont frappé l'église gallicane de France, dite église de Mgr François Chatel sous le règne de Louis-Philippe. A l'époque les principaux principes de droits et des libertés publiques actuelles étaient déjà officiellement reconnus. Aussi tous les errements ici décrits témoignent d'un toupet éhonté, d'un arbitraire illégal, et qui le sait, mais qui s'en fout car sait que toute plainte sera bloquée et qu'ils jouissent en fait de la bonne vieille loi du plus fort ! Sous un habillement légal bafoué, mais qu'importe ! Et donc comme c'est justement ce à quoi plein de dissidents et de victimes des brutalités policières, etc, font face dans la France (et la Belgique) actuelle. C'est fou comme ces actions éhontées des autorités de Louis-Philippe rappellent celles actuelles des autorités de sarko, de Hollande, Macron, de Elio di Rupo ou de Barroso ! ou la mauvaise foi clanique et censureuse du monde scientifique

Je vous laisse juge, partons pour une plongée de plus de 160 ans qui rappelle étrangement l'ambiance …. actuelle !

On appliqua la loi du 18 germinal an II, dont un article stipulait : "On ne peut ouvrir un lieu de culte nouveau, ni faire des réunions sans la permission du Gouvernement." Et aux demandes des prêtres de l’Eglise Française on refusait systématiquement, ou il n’y avait pas de réponse. (François Asselineau en sait quelque-chose aussi !) Les pétitions des fidèles subissaient le même sort.

.... adressèrent une pétition à la chambre des députés, forte de 180 signatures, représentant 550 membres. Ils protestaient au nom du principe de liberté religieuse et finissaient par ces mots : "On peut fermer nos temples, on ne nous arrachera pas notre foi."
….
Malgré la promesse du ministre des cultes de ne jamais se servir contre les réunions religieuses de la loi de 1834 sur les associations, les prêtres de Mgr Chatel furent souvent condamnés en vertu de cette loi.

….
Les distributions de brochures à caractère religieux sur la voie publique étaient formellement interdites. On établissait des contraventions pour "distribution illicite d’imprimés sur la voie publique".

Un soir de 1842 la police intervient et fait fermer l’église primatiale du Faubourg Saint Martin à Paris pour cause "d’outrage à la morale publique".

L’évêque catholique français dépose aussitôt un recours à la chambre des députés invoquant l’article cinq de la Charte votée par les députés lors de la Révolution de 1830 : "Chacun professe sa propre religion avec une égale liberté et obtient pour son culte la même protection." …. cette protestation est vaine !

…. célébration des offices. Mais le 23 avril 1843, trois commissaires se présentent chez lui, ils trouvent seize personnes assemblées et dressent contravention malgré les contestations.

Mgr Chatel proteste dans son journal contre cette violation de domicile au nom de l’article 76 de la loi constitutionnelle de l’an VIII proclamant tout domicile particulier inviolable.
Résultat ? hmm ? Respect de la loi ? Non !! saisie du journal en question !!!

finalement sous les systématiques persécutions l'église de France périclite et disparaît, son fondateur meurt dans la misère. Souhaitons aux esprits libres et clairvoyants de notre époque de ne pas connaître le même sort.

Lire la suite

01/02/2019 | Lien permanent

l'homme à la casquette ...

oui, on commence à regarder en détail les documents sur l'affaire Charlie-Hebdo, et on découvre ceci :

et : Un mystère sur l’affaire Charlie enfin résolu | Stop Mensonges

et puis  :  http://blogs.mediapart.fr/blog/jean63/261015/affaire-char...

 

(maintenant sur le témoignage de Valérie, lisons cet essai de "contre-feux" paru sur un des magazines représentants de la "voix de nos maîtres" http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/attentat-de-charlie-hebdo-que-vaut-la-theorie-du-complot-de-valerie-m_1727307.htmlCharlie Hebdo: que vaut la théorie du complot de "Valérie M."? - L'Express
relisez bien ce que dit le "journaliste" de l'Expres, c'est typiquement de la manipulation et des manoeuvres cherchant à noyer malhonnêtement le poisson.
Donc
1° ils savent que le témoignage de Valérie est "dangereux" et qu'il faut le déconsidérer !
Ce qui doit en conséquence nous inciter à lui donner d'autant plus d'attention, si "ils" le jugent dangereux et à neutraliser, c'est qu'il y a dedans des éléments qui pourraient mettre sur la vraie piste.)

au fait il y a aussi quelqu'un dans le nord :

http://www.greffiernoir.com/charlie-hebdo-amedy-coulibaly...

et last but not least :

http://lesakerfrancophone.fr/qui-a-organise-les-attentats...

si on ajoute ça au personnage en casquette qui se promenait calmement dans l'hyper-kasher et est parti par un chemin inverse, ça commence à faire beaucoup

Lire la suite

27/01/2016 | Lien permanent

”il s'agit encore une fois de l'oligarchie financière euro-atlantiste”

*

*
(Un détail au passage sur l'obsession de plus en plus exacerbée (quand nos Régimes libéral-fascistes exacerbent quelque chose, ça a toujours un but plus ou moins pervers, et ça cache toujours quelque chose) pour la fameuse "parité"
parité dans quel domaine au fait ? vieux/jeunes ?  riches/pauvres (en voilà une qui serait importante non ?) français de souche/immigrés ? chrétiens/athées ? gros/maigres ?  ......
Remarquons donc au passage que le législateur a imposé une parité homme/femme stricte.
Heu ...et la parité patrons/ouvriers  ??? (ou proportion correspondant à leurs nombres respectif plutôt !) pourquoi on ne l'impose pas alors !? (surtout quelle n'est pas du tout respectée : dans la précédente législature il n'y avait plus que 2 députés d'origine ouvrière et/ou employés. Et maintenant après le départ de Maxime Gremetz ZERO ! rappelez-moi leur proportion dans la population française ?) Elle est ce me semble nettement plus importante pour la démocratie que la parité homme-femme ! les interêts des hommes ouvriers et ceux des femmes ouvrières ne doivent pas être très différents, de même que ceux des bourgeois de ceux des bourgeoises, par contre les problèmes d'une caissière de supermarché sont très différents de ceux d'une conseillère fiscale ou d'une Directrice de Ressources Humaines ! remarquez les militantes des mouvements "féministes" appartiennent presque toutes à la bourgeoisie, comme par hasard)

Lire la suite

28/02/2015 | Lien permanent

ce qu'est la vie, le temps, le monde, tout, film vu en 86

- 18/12/1986 

film de Von Trotta « Rosa Luxembourg », Super ! Et l’actrice Barbara Sukowa. D’abord elle est très belle, et quelle actrice ! Cette femme merveilleuse, avec un cou qui attire les baisers, apparaissait par moments comme les plus nobles idéaux incarnés, c’est le cas de le dire.

C’est un film passionné et poignant, comme les vies humaines, et il commence significativement par une exécution capitale.
Scènes et détails, les bœufs, la nuit de Noël, « Toute larme qu’on n’a pas essuyée, alors qu’on pouvait le faire… »
« L’histoire, cette vieille taupe qui creuse tant et si bien qu’elle trouve la lumière »,
« La vie …… l’odeur lourde des tilleuls – le monde comme une rose épanouie qui ne demande qu’à ce qu’on la respire »
A la fin on l’assassine et on jette son corps dans la Spree. La dernière image de l’eau noire refermée sur son corps et sa vie. Le noir les ondes comme celles qui font ce cosmos indifférent : voilà l’image définitive du destin de l’homme. Et voilà ! tout est scellé, toute cette vie, encore présente tout à l’heure, toute cette chaleur, ces amours, ces tendresse, ces passions, ces débats, ces enjeux, ces émerveillements devant devant une illusoire épanouissance du monde, évanouis totalement derrière ce noir qui ne recèle rien. Maintenant que son corps est jeté dans la Sprée, c’est terminé, et pourtant il y avait jusqu’alors tant d’émotion et de sentiment.

 

 

Lire la suite

18/12/2014 | Lien permanent

où on voit à quel point la société s'est dégradée

C'est là qu'on voit à quel point la France des années 50 était infiniment plus sociable, détendue, etc, que la France actuelle : on était dans une ville flamande, catho, les flamands c'est pas ce qu'on fait de plus sociable ! Et ma mère farouchement anti-cléricale a sans doute dès le début jeté un froid parmi les dévotes de la paroisse. Mon père n'a pas arrêté de lui reprocher d'avoir refusé de s'intégrer, d'avoir repoussé tout le monde. Et bien malgré tout ça on connaissait et fréquentait plein de monde ! On allait regarder la télévision chez des gens, plein de gens venaient chez nous (et bien entendu sans prendre rendez-vous ni prévenir à l'avance, on n'était pas comme les merdeux actuels !!), et maman, n'hésitait pas à leur montrer la maison de la cave au grenier ! Et on parlait avec plein de gens. Des heures durant. Et on discutait avec les commerçants en long en large et en travers. Et ils ou elles nous racontaient tous leurs problèmes, et les détails de leur opération, et les problèmes de l'allemande mariée à un français, et la peur de celle qui interdisait à sa petit fille de sauter de joie, de peur qu'elle n'attrape une descente de matrice ! Et la vieille qui se rend compte que c'est justement quand on approche de la mort qu'on aime le plus la vie (c'étaient les années 50, l'époque que je définirais comme celle de la science et du désespoir). Etc, etc, et un de ces dévots flamands de la paroisse nous avait transporté dans sa voiture jusque dans le Cambraisis.

Tout ça serait totalement impensable dans la France de maintenant ….

Lire la suite

20/08/2022 | Lien permanent

La Course au Mouton Sauvage

Il y a un livre que j’aime beaucoup. C’est « La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami. Haruki Murakami, japonais féru de tragédie grecque et de jazz est vraiment un auteur très important, à mettre parmi les grands classiques mondiaux, et qui résonne beaucoup en moi.


Voici la fin du dernier chapitre, et LE début de l’Epilogue (et où accessoirement, on constate, à deux détails - vous savez à quel point je remarque les détails que les autres laissent passer, mais qui sont lourds de signification -  que je Japon de 1978 était, l’est-il encore je ne sais, un pays libre et convivial, ce que la France n’est plus) :


« Je ne vis qu’un vieillard qui déblayait à la pelle la neige du rond-point . Un chien efflanqué était assis à côté de lui, la queue toute frétillante.
« Un grand merci, dis-je au chauffeur.
- il n’y a pas de quoi, dit-il. À propos, vous avez essayé le numéro de téléphone de Dieu ?
- Non, faute de temps.
- Depuis que le Maître est décédé, je ne parviens plus à obtenir la ligne. Je me demandes bien ce qu’il se passe.
- Il doit être débordé en ce moment, dis-je.
- C’est possible, dit le Chauffeur. Bon, soignez-vous bien !
- Au revoir », dis-je.
Un train partait à midi juste. Les quais étaient déserts., et je ne comptai guère que quatre voyageurs, moi y compris, dans le train. Je me sentais cependant soulagé de voir des silhouettes humaines. J’étais bien revenu dans le monde des vivants. Dans mon monde à moi, fût-il d’une banalité et d’un ennui suprêmes.
La sonnerie annonçant le départ retentit alors que je croquais ma tablette de chocolat. Le train cahota et, à cet instant, j’entendis le bruit d’une explosion au loin. Je soulevais la fenêtre d’un geste énergique et passai la tête en dehors. Une seconde explosion se fit entendre dix secondes après la première. Le train s’élançait déjà. Environ trois minutes plus tard, je vis s’élever une colonne de fumée noire du côté de la montagne conique.
Et pendant trois bonnes minutes, jusqu’à ce que le train virât à droite, je ne quittai pas cette fumée noire des yeux.

EPILOGUE
« Tout est fini, dit le Docteur ès moutons. Tout est bien fini.
- Oui, c’est fini, dis-je .
- Je crois bien que je dois te remercier.
- J’y ai laissé pas mal de choses.
- Pas tant que ça, fit-il, en hochant la tête. Tu viens à peine de commencer à vivre ?
- Vous avez raison », dis-je.
Quand je sortis de sa chambre, le Docteur ès moutons était couché sur son bureau et sanglotait, étouffant ses pleurs. Je venais de le dépouiller de ses années perdues. Avais-je eu raison ? Je me le demande encore.
« Elle est partie, me dit tristement le propriétaire de l’Hôtel du Dauphin. Elle n’a pas dit où elle allait. Vous n’avez pas l’air d’aller très bien.
- Si, si » dis-je.
Je récupérai mes bagages et m’installai dans la même chambre. La fenêtre donnait toujours sur les locaux de cette énigmatique compagnie. Je n’y vis pas la silhouette de la fille aux gros seins, mais deux employés qui travaillaient à leur bureau en fumant. L’un lisait des chiffres que l’autre reportait sur un immense graphique en traçant une ligne brisée à la règle. Ce n’était plus du tout la même compagnie, eût-on dit, sans doute à cause de l’absence de la fille aux gros seins. Rien n’était identique, sinon que je ne savais toujours pas à quoi l’on s’y occupait. À six heures, les employés partirent et l’immeuble fût plongé dans l’obscurité. »

 

quelques autres citations du livre :

« L’histoire de Jûnitaki était encore longue, mais celle du jeune Aïnou s’arrêtait ici. J’allai aux toilettes, où j’urinai le contenu de deux boites de bières. »

 

«Mais il y avait rangés à l'intérieur de ces cinq doigts et de cette paume comme dans une mallette d'échantillon, tout ce que je voulais et tout ce que je devais savoir de la vie. C'est elle qui m'apprit, en me prenant la main, qu'il existait bel et bien un lieu de plénitude au cœur même de la réalité."

 

Et il y en a encore plein d'autres, qui vous laissent figé dans des abîmes d'émotion, et je ne vous ai pas cité les dernières phrases du livre ...

Lire la suite

25/04/2019 | Lien permanent

à la fin de 2001 plusieurs chercheurs ont disparus, dans des conditions étrange, tous s'occupaient des maladies infectie

oui dans les mois qui ont suivi le 11 septembre :

http://www.wikistrike.com/article-hecatombes-de-microbiol...

plusieurs chercheurs réputés, souvent considérés comme des génies et spécialistes des maladies infectieuses ou encore le séquencement d’ADN, ont été trouvés morts ou disparus. En novembre, le Dr. Benito Que, biologiste cellulaire travaillant sur des maladies infectieuses comme le HIV a été retrouvé dans le coma à l’extérieur de son laboratoire à la Faculté de médecine de Miami. Une semaine après, le Dr Don C Wiley, chercheur lui aussi en maladie infectieuses a disparu. Sa voiture de location a été trouvée avec un plein réservoir et le contact enclenché. Sa disparition est faite, dirait-on, pour ressembler à un suicide. Selon ses collègues et sa famille, le Scientifique de Harvard associé à l’Howard Hughes Institut Médical, ne se suiciderait jamais. Ses associés qui avait fait avec lui un diner quelques heures avant sa disparition, ont tous dit qu’il était de bonne humeur et pas déprimé.

Mort et Disparitions de plusieurs chercheurs et scientifiques

Le 23 novembre, docteur Vladimir Pasechnik, le scientifique principal de Biopreparat qui était responsable de la peste aerosol et était le développeur couronné de succès d’armes connues sous le nom de "groupe Novichok" a été trouvé mort. Le Docteur Pasechnik a déserté de l’Union soviétique en 1989 en visitant le Royaume-Uni où il a vécu jusqu’à sa mort en novembre. Il n’y avait aucun rapport des médias sur sa mort pendant une pleine semaine. Il n’y a eu aucune autopsie connue, ni aucun détail sur sa mort en tout cas. Le 10 décembre, le docteur Robert M. Schwartz a été trouvé assassiné dans sa ferme isolée dans Leesberg, le
Docteur Schwartz était un chercheur de séquencement d’ADN bien connu. Il a fondé Virginia Biotechnology Association où il a travaillé sur le séquencement d’ADN dans son laboratoire pendant 15 ans. Il serait rentré dans un sas rempli d’azote.

Les théories vont bon train, mais de toute évidence ces savants ont été éliminés, pourquoi ?  On aimerait savoir quel enjeu secret d'Etat se cache derrière ces éliminations, et Quel Etat ?  

http://www.conspiration.ch

 

Lire la suite

01/02/2014 | Lien permanent

un rêve

11/12/2016 ce matin j’ai fait un rêve (très agréable) très singulier : difficile à raconter, comme toujours, avant que ça ne disparaisse pour toujours dans la nuit noire du néant de l’oubli J’étais étudiant, dieu sait pourquoi ! Car en même temps j’étais moi maintenant, avec mon âge actuel, et j'y étais un peu « en touriste » là-dedans, ce qui donnait un certain détachement, mais quand-même j’essayais de jouer le jeu (tout en me disant, que au moment où je décrocherai », ça ne sera pas grave, je laisserai tomber et puis basta, on s’en fout). j’étais à une grande table au milieu des autres étudiants, des jeunes, forcément, mais on était dans la même galère, rapports tout à fait égalitaires et intégrés, et bien que j'aurais pu être leur grand-père, on se parlait tout naturellement comme de jeune à jeune. Et les étudiants faisant des parlotes, et des critiques et du « psychodrame permanent » sur des attitudes de politique au sein de groupuscules d’extrême-gauche, et moi je ne cachais pas que je trouvais ces attitudes comme de la connerie. Et à un moment on est arrivé au cours de philosophie (ce que j’ai suivi dans la réalité un certains temps à Lille III quand j’étais jeune). Il y a déjà beaucoup de détails que j’ai oublié, et les profs, qui donnaient leurs instructions, c’était le tout début de tout, et à un moment on a à tous prêté de petits ordinateurs, ce qu’on appelle des tablettes, qu’on devait prendre dans une grande boite qui passait, et plus tard un autre étudiant m’a appelé en me disant qu’il allait me mettre dessus deux applications utiles pour le cours de philo, alors j’ai répondu « mais il n’est pas à moi » et il a répondu que ce n’était pas grave, il n’y a qu’à faire semblant et le garder près de soi ! Plus tard il y a une fille (elles me parlaient à l’oreille très camaradesquement) qui m’a dit qu’à plusieurs ils avaient organisé une sortie au cirque et si je voulais en être, et j’ai dis que oui, et j’ai demandé si c’était le Cirque Zavatta qui était passé dans mon quartier l’an passé (voir sur ce blog, j’en ai parlé). Tout ça était vraiment très agréable. Malheureusement je me suis réveillé.

Lire la suite

15/01/2017 | Lien permanent

le vrai fossé entre civilisations c'est celui-là

24/2/2010 On dirait que la bourgeoisie dans tous les pays c’est partout pareil. Ca donne raison à Karl Marx : les mentalités de classe, et les conditions matérielles de vie (qui sont déterminées AUSSI par l’ambiance créée par une certaine civilisation et les modes de vies entraînés, comme le mode de vie bourgeois moderne actuel par exemple) déterminent les idées, les sentiments, les réactions, les discours même et les modes d’être et de pensée des gens.
Je viens de voir un film iranien – La fête du feu de Asghar Fahad - (Dieu sait si les ethnocentriques fanatisés par les médias et bornés occidentaux s’imaginent les iraniens différents !! ) qui se déroule parmi des bourgeois iraniens de Téhéran, qui vivent des déchirements « de couple » : c’est fou, non seulement à quel point comme me l’avait déjà dit la personne avec qui j’avais fait le voyage en Ouzbékistan, l’Iran c’est moderne, plein de bagnoles, tout le monde habillé à l’occidentale (à part le tchador que les femmes doivent enfiler pour sortir dans la rue, c’est la seule différence) les immeubles des buildings ultra-modernes, etc, (pas du tout comme l’Ouzbékistan qui est resté encore très traditionnel, lui), mais à quel point c’est exactement comme en France; à part quelques détails « iraniens », mais c’est marginal, pour 98% le décor, le mode de vie, le mode de réactions, tout est exactement comme chez les "bourges" français, et ils sont devenus (contrairement aux villageois ouzbeks ! ou aux villageois français, ou au peuple français, celui que Gilbert Ganne rencontrait dans les wagons de 3èmeclasse, le VRAI conflit de civilisation il est là ! le fossé c’est un fossé de CLASSE, et des mentalités entraînées par un certain niveau « technique » de vie, et les dégradations de rapports sociaux qu’ils entraînent,) paranos, claquemurés derrière des digicodes, des interphones, des immeubles d’appartements en copropriété, et ascenseurs, des parkings privés, qui comme à Malaga (Calle Amfora) ferment impitoyablement passé une certaine heure. Pas du tout le monde de Boule et Bill ! Et là on voit que comme en France la différence de mentalité elle est entre le petit peuple simple et décontracté et ces "bourges" (et non pas du tout entre les "bourges" iraniens et les "bourges" français qui sont complètement identiques) et comme tous les français qui habitent en appartement ils ne pensent qu’à porter plainte contre leurs voisins de copropriété tout à fait comme les membres français d’attac (c’est à dire ces enseignants pleins de fric, qui, comme tous les enseignants, sont des merdeux, intolérants et procéduriers,)

 

Lire la suite

27/04/2016 | Lien permanent

Page : 1 2 3 4 5 6 7 8