24/10/2024
le Nazisme c'est l'esprit de la modernité quand il n'y a rien qui l'arrête (Zygmunt Bauman) et qu'estce qui peut l'arrêter ? l'humanisme ou le Sermon sur la Montagne, ou la révolte des êtres
Aujourd hui on ne soigne plus on préfère tuer - lisez le témoignage effrayant du Dr Coleman
refuser le traitement aux patients uniquement en raison de leur âge ou de leur forme physique est une forme d'eugénisme. Il semble que le nettoyage social soit bien vivant en Grande-Bretagne aujourd'hui.
Par Dr. Vernon Coleman
Il y a plusieurs décennies, les médecins ont convenu qu'il était erroné de réanimer les patients qui souffraient de douleurs sévères et qui étaient en phase terminale. Avant l'introduction du protocole ‘Do Not Resuscitate’ (“DNR”), il était courant que les patients gravement malades soient ramenés à la vie à maintes reprises. Chaque fois qu'un tel patient cessait de respirer (et mourrait effectivement), une équipe “crash” serait mobilisée. Les médecins courraient à la salle avec des masses d'équipement et le patient serait injecté, intubé et (littéralement) choqué à la vie. En tant que jeune médecin de l'hôpital, j'avais l'habitude de voir des patients à plusieurs reprises ramenés à la vie au bord de la mort. Personne n'a vraiment pensé à laisser quelqu'un mourir. Si et quand un patient est mort, nous avons considéré que nous avions échoué – si vieux et malade qu'ils étaient.
C'était alors.
Aujourd'hui, le protocole DNR a été étendu et ma boîte aux lettres a, pendant des années, été remplie d'histoires de patients révélant avoir été invités à signer Do Not Resuscitate Forms ou d'avoir signé des formulaires Do Not Resuscitate en leur nom. (Ceux-ci sont connus sous le nom de formes DNR ou DNAR – pour Do Not Tentative Resuscitation.)
Les avis DNR ne sont qu'à quelques centimètres de l'euthanasie et pourraient peut-être être mieux décrits comme une euthanasie “passive.” Le médecin ne fait rien pour tuer le patient. Mais il ne fait pas ce qu'il pourrait faire pour les empêcher de mourir.
Au cours des dernières années, les médecins généralistes du monde entier ont contacté leurs patients âgés et ceux souffrant de troubles de santé chroniques et leur ont posé deux questions. Même les patients en parfaite santé ont été approchés s'ils ont atteint un certain âge. (L'âge auquel les médecins considèrent qu'un patient ne vaut pas la peine d'être sauvé varie, mais est généralement d'environ 70 ans)
“Êtes-vous heureux pour nous de mettre sur votre dossier une note que vous ne serez pas admis à l'hôpital si vous devenez malade?”
Notez la formulation intelligente, conçue pour susciter une réponse positive. It’s the sorte of trickery used by crooked pollsters and insurance salesmen – knowing what reponse they want and shading the question in such a well as to ensure that they get it.
Un cabinet médical a envoyé une lettre à une maison de restauration pour les adultes autistes en disant que les soignants devraient avoir des plans pour empêcher leurs patients d'être réanimés s'ils sont devenus gravement malades.
D'autres médecins généralistes ont envoyé des lettres similaires aux établissements qui s'occupent des personnes âgées et des personnes handicapées. Des décisions de couverture ont été prises pour les foyers de soins et les foyers de soins aux patients ayant des difficultés d'apprentissage.
Un homme de 51 ans atteint du syndrome de Down’s a reçu un DNR en raison de son handicap, et des instructions ont été laissées qu'il ne devait pas y avoir de tentative de le réanimer s'il avait un arrêt cardiaque ou un arrêt respiratoire. Aucun formulaire de consentement n'a été signé et il n'y a eu aucun accord avec le patient ou ses proches. Le directeur médical de la partie pertinente du National Health Service de Britain’s a déclaré que sa politique était pleinement conforme aux directives nationales des organismes professionnes.(ça fait penser au Dr Sanchez directeur de l’IHU de Reims chez qui était enfermé (avec un policier à la porte de sa chambre) Vincent Lambert … il a dit ça aussi)
Le patron d'un grand organisme de bienfaisance a déclaré qu'il croyait que les ordres DNR étaient souvent placés sur des patients ayant des troubles d'apprentissage – sans la connaissance et l'accord de leurs familles.
C'était bien sûr illégal.
En 2015, la Haute Cour du Royaume-Uni a statué que les soignants de patients atteints de maladies mentales devaient être consultés avant l'application des avis DNR.
Mais le non-sens du coronavirus a entraîné une inondation de tels cas.
Un homme de 50 ans, avec une perte de vue, a reçu un avis DNR donnant “blindness et de graves troubles d'apprentissage” comme raison.
Un homme épileptique a reçu un avis DNR, et une chirurgie GP’s au Pays de Galles a exhorté les patients à haut risque à remplir un formulaire DNR s'ils contractaient le coronavirus. La lettre dit, “Vous êtes peu susceptible de recevoir l'admission à l'hôpital.”
Une femme à Bristol a reçu un appel téléphonique de son médecin généraliste lui demandant si elle était OK pour que ses dossiers médicaux soient mis à jour pour dire que si elle contractait le coronavirus, il n'irait pas chez elle, ni ne l’hospitaliserai, et qu’elle ne recevrai aucun traitement médical.
Maintenant, vous pourriez, je suppose, faire valoir que si un patient est clairement en train de mourir alors il serait cruel et inutile de tenter continuellement la réanimation. C'est pourquoi les avis DNR ont été conçus. Ils étaient à l'origine pour les patients qui n'avaient que quelques minutes ou peut-être des heures à vivre, et il était considéré comme injuste pour ces patients de continuer à pour rester officiellement en vie.”
Mais cela n'est pas ce qui se passe maintenant.
Aujourd'hui, au Royaume-Uni, dans le National Health Service, un patient est officiellement considéré comme inadapté pour être sauvé ou traité s'il a besoin d'aide pour les travaux ménagers lourds ou s'il a de la difficulté à préparer des repas ou à aller aux magasins.
Le canular post-coronavirus NHS ne veut pas sauver quiconque est handicapé, et tous les patients dans les foyers de soins sont, par définition, condamnés au meurtre par omission.
À l'origine, NICE (National Institute for Health and Care Excellence) a déclaré aux médecins qu'ils devraient évaluer les patients autistes comme ayant un score élevé pour la fragilité. Je suis, je l'avoue, encore assez confus quant à savoir quand ou si ce conseil a été supprimé.
J'ai vérifié autour et j'ai constaté que le Conseil médical général (“GMC”), qui fournit aux médecins leurs licences, a, avait obtenu sur l'acte en définissant “approchant la fin de vie” comme patients qui sont susceptibles de mourir dans les douze prochains mois.
Ceci, bien sûr, c'est le genre de déchets dangereux que l'on pourrait s'attendre à voir avec la forme bureaucratique surpayée des mélangeurs au Conseil Médical Général parce qu'il est toujours impossible de dire qu'un patient va mourir à l'intérieur douze mois. On peut dire qu'un patient peut mourir dans les douze heures mais pas douze mois. Seuls des médecins très arrogants et des bureaucrates ignorants prétendent savoir qu'un patient pourrait mourir dans les douze mois. Quand j'étais en pratique générale, je connaissais beaucoup de patients qui avaient des mois à vivre mais qui vivaient de très nombreuses années. Deux, je me souviens bien, avaient de jeunes enfants à s'occuper et bien qu'on leur ait donné seulement des mois à vivre, ils ont tous deux vécu pendant des années – refusant simplement d'abandonner et de survivre sur la volonté pure autant que toute autre chose. Si la règle GMC avait été appliquée, ils auraient été « autorisés à mourir » c’est à dire ; ils auraient été tranquillement euthanasiés au cas où ils seraient tombés malades et eu besoin de soins.
Refuser le traitement aux patients uniquement en raison de leur âge ou de leur forme physique est une forme d'eugénisme. Il semble que le nettoyage social soit bien vivant en Grande-Bretagne aujourd'hui. Si vous êtes en train de sauver des personnes (quand vous pouvez le faire), vous les tuez. Il ne me semble pas y avoir de différence entre la pensée derrière la politique du service de santé Britain’s et la politique d'Adolf Hitler.
Si vous établissez un formulaire DNR pour un patient, avec ou sans sa permission, vous le condamnez à mort.
Pendant les absurdités covid, les âmes obéissantes à travers le monde, de New York à Londres, et, applaudissaient sans réfléchir les infirmières et les médecins, mais tout le temps, ces mêmes infirmières et médecins délivraient délibérément des avis de décès, des formulaires DNR, aux personnes fragiles et âgées.
Lequel d'entre nous a donné aux médecins la permission de se comporter comme des nazis et de refuser un traitement à des personnes considérées comme sans importance, coûteuses ou inutiles?
À mon avis, chaque médecin, infirmière ou administrateur qui a mis un avis de DNR sur un patient en vertu de ces règlements devrait être congédié, arrêté et emprisonné.
Comment ces gens dorment-ils la nuit? ressentent-ils quelque chose pour les gens dont ils sont censés s'occuper? Les gens qui dispersaient ces avis DNR ont été payés pour s'occuper des gens. Et ils ont trahi ces gens. Les avis Do Not Resuscitate ont été conçus pour s'assurer que les vrais malades en phase terminale étaient autorisés à mourir avec dignité – sans être traînés maintes et maintes fois de l'endroit où ils se dirigeaient. Les avis DNR étaient à l'origine une partie nécessaire de la médecine – pour éviter les situations de type général Franco.
Mais maintenant, nous avons un millier de clones de Mengele travaillant dans le service de santé. Cela semble comme une exagération, mais la chose triste est que ce n’en est pas. Les Dr. Mengele aurait prospéré dans le NHS d'aujourd'hui. Ils araient aimé le applaudissements et l'adulation aussi.
Le NICE devrait être dissous immédiatement. Nous serions tous mieux sans.
L'essai ci-dessus est réimprimé avec la permission du livre Jack King’s book 'SwithIls veulent nous tuer: Here’s comment et pourquoi’. Ce livre décrit comment l'euthanasie –, également connue sous le nom de suicide assisté par un médecin –, est promue comme une solution rentable pour les systèmes de santé. Il met en évidence comment ce mouvement vers “mort par médecin” est motivé par des considérations financières, comme il est souvent moins coûteux de mettre fin à la vie d'une personne malade ou âgée que de fournir des soins de longue durée coûteux.
Bref, c’est la logique du capitalisme, ça !
08/10/2024
le confineent n'avait pas de buts sanitaires mais politiques - ils l'avouent
achetez et lisez ses livres ! ils sont disponibles sur son site, et on peut payer par chèque, c'est donc un vrai humaniste et un vrai résistant ! https://philippejandrok.org/boutique/
Publié dans Bravi abbracciatevi come eravamo abituati a fare, Bravo M. Philippot toute la France vous attend com, covidisme ou Fascisme 2.0, la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, le mondialisme est le stade ultime du capitalisme, les collabos masqués me font vomir de dégoît | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
25/09/2024
le retour de la lutte des classes
L’antifascisme : une rhétorique qui vise à dissimuler une guerre de classes Les bobos se donnent bonne conscience en ‘’militant’’ contre le racisme (mais pas n’importe lequel ! seulement celui qui frappe des catégories de gens qui maintenant sont susceptibles de se retrouver dans les cocktails mondains entre homme d’affaires, par contre pas de milliardaires rom ni de créateurs de mode roms, donc envers eux on peut toujours être aussi raciste qu’avant, pas de problème !) et contre le « fascisme », deux maux illusoires ‘’Véritable arme de classe, l’antifascisme présente en effet un intérêt majeur. Il confère une supériorité morale à des élites délégitimées en réduisant toute critique des effets de la mondialisation (qui n’est rappelons-le, qu’un autre nom de l’américanisation du monde, et qui est un champ d’action idéal pour les spéculations des vautours capitalistes à la recherche de pression à la baisse des salaires !!!) à « une dérive fasciste ou raciste ». Mais, pour être durable, cette stratégie nécessite la promotion de l’ « ennemi fasciste » et donc la sur-médiatisation du Front National. ‘’La France du repli » d’un côté, des ploucs et des ruraux (sans diplômes universitaire, là est le vrai racisme, racisme social, anti-peuple, et racisme éducatif de ces « élites » auto-proclamées : pour ces gens en dessous de la maîtrise ou du Bacc+4 tu n’es plus qu’un sous-homme !). Mais qu’on ne s’y trompe pas, cet « antiracisme de salon » ne vise absolument pas à protéger l’ « immigré », le « musulman », les « minorités » face au fascisme qui vient, il s’agit d’abord de défendre des intérêts de classe, ceux de la bourgeoisie’’. NAIRU ! vous connaissez ? renseignez-vous tous les cadres sup’ du secteur privé connaissent ! intérêts de classe qui sont dénoncés par la France périphérique qui, elle, ne profite pas de la mondialisation voulue par la nouvelle bourgeoisie et qu’il faut réduire au silence en la méprisant et en l’injuriant.‘’Car le problème est que ce n’est pas le Front National qui influence les classes populaires, mais l’inverse. Le FN n’est qu’un symptôme, des démagos qui surfent sur un malaise, d’un refus radical des classes populaires du modèle mondialisé. L’antifascisme de salon ne vise pas le FN, mais l’ensemble des classes populaires qu’il convient de fasciser afin de délégitimer leur diagnostic, un « diagnostic d’en bas » qu’on appelle « populisme »’’.
Le séparatisme des bobos Les bobos ont abandonné toute idée de nation (en effet les nations correspondent à des institutions qui votent ! et qui peuvent donc éventuellement voter pour la révolution anti-capitaliste ! des cadres où peuvent se développer des luttes syndicales, où le peuple peut avoir son mot à dire envers les dirigeants, donc il faut faire disparaître ces cadres, au bénéfice de structures entièrement aux mains du grand capital bancaire et spéculateur, et où le peuple n’a pas de mot à dire !!) et l’Union européenne n’est, pour eux, qu’une étape vers un monde unifié dont les pôles seraient les métropoles à buildings et à hotels de luxe sous air conditionné et vigiles privés ! dans lesquelles seraient rassemblées les « élites » culturelles, financières et techniques. Dans ce monde des métropoles interconnectées, les zones comprises entre elles seraient des zones réservées aux « losers » (comme ils savent i bien dire avec leur perversité morale !!) et seraient ignorées de la caste métropolitaine : ‘’Dans une tribune commune, Anne Hidalgo et Sadiq Khan font l’apologie du dynamisme des villes planétaires et ouvertes qu’ils opposent à la « léthargie » des Etats-nations, considérés comme le cadre du « repli sur soi ». Structurellement minoritaires, forcément puisqu’il s’agit d’une classe exploiteuse et milliardaire, les partisans de l’ordre mondialisé prônent donc maintenant l’indépendance de leurs citadelles et l’abandon des périphéries populaires ! Les grands contempteurs de la France ou de l’Angleterre du « repli » préconisent ainsi le repli territorial de la bourgeoisie. Cependant, en attendant la création de ces cités-Etats, les classes dominantes et supérieures devront se confronter à un problème existentiel : comment assurer l’avenir d’un modèle mondialisé rejeté par une majorité de l’opinion ?’’.
et n’oublions pas que « Le mondialisme est le stade ultime du capitalisme »
ou si vous préférez la mondialisation est la volonté de domination de l’ensemble de l’humanité par une toute petite oligarchie (capitaliste) de quelques milliers de personnes, on l’a bien vu depuis 2020 !!!
plus l’impérialisme américain, ainsi avez-vous COMPRIS que la guerre de l’OTAN contre la Russie est en fait le but de Washington de DETRUIRE L’ECONOMIE EUROPEENNE, ils ne veulent surtout pas d’un bloc économique eurasiatique, comme il était en train de se constituer ! alors c’est une sorte de plan Morgenthau 2.0
15/09/2024
moi
quelques questions : quelle sentiments avez-vous envers
les femmes ? - beaucoup de méfiance
les policiers ? - le mépris et le dégoût
les bourgeois ? - un peu d’aversion (de plus en plus d'aversion)
les musulmans ? - aucune opinion générale ! Il y en a de toutes sortes.
Les banquiers ? - ce sont les ennemis, c’est clair.
Les publicitaires ? - beurk !
Les journalistes ? - ce sont des "putes", et les agents de désinformation et de manipulation du régime comme autrefois en URSS
Quelle valeur mettez-vous le plus haut ? - la tendresse
Les choses que vous aimez ? - les caresses, la poésie, la philosophie, l’espéranto, l’histoire, les chats, les roses, les galaxies, les sciences, le rire, l’amitié
qu’aimez-vous entendre ? - au hasard : un plénum de cloches, le chant d'une grive musicienne, la musique de Scarlatti ou Geeta Chisti, France Gall, etc, etc
Comment vous définissez-vous politiquement ? - lutte des classes !
république, services publics, Bernard Friot, Asselineau bien entendu ! Et puis aussi le Pardem, et Etienne Chouard; humanisme et résistance.
Croyez-vous en Dieu ? - si on ne peut répondre que par OUI ou NON, je dirais NON. Mais en fait c’est plus compliqué. Je ne sais pas. Je suis très intéressé par Rupert Sheldrake, les EMI, les témoignages de réincarnation, les apparitions de Zeitoun, etc, et comme Jean Rostand je suis éffaré et ne comprend pas.
Vous intéressez-vous à votre monde intérieur ? Pas du tout ! Le « monde intérieur » est de toutes façons toujours beaucoup moins intéressant que le monde extérieur. Lui, oui, est intéressant.
Etes-vous pour ou contre l’avortement ? - Contre. Je suis athée, donc je suis contre la mort. Je suis contre la mort donc je suis contre l’avortement. CQFD
Que pensez-vous du bouddhisme ? - J’ai horreur de ça ! Une façon de s’euthanasier déjà de son vivant. L’amour du Néant ! Sinistre, beaucoup plus que le Théatre de l’Absurde, les philosophes de l’Absurde eux ils refusent la mort de toutes leurs forces.Votre plus grand espoir ? - non; aucun espoir.
Les scènes de films que j'ai le plus aimées et qui me hantent le plus (et qui me donnent les larmes aux yeux) :
* la scène finale de "Manhattan" , de Woody Allen https://www.youtube.com/watch?v=ylZgG5kC6cI
* la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)
* la scène finale de "Les joueurs d'échecs" ("Chatrandj ke Khilari") de Satyajit Ray. http://www.youtube.com/watch?v=8lvnl_W59IE
* ET puis le dernier paragraphe du roman de Haruki Murakami: "La course au mouton sauvage"
Autres films :
* "La Strada"
* "Central do Brasil"
* "Mon oncle" (de Jacques Tati)
Mes tableaux préférés:
* "Le chant du rossignol à minuit et la pluie matinale" de Joan Miró
* "Toutes les lumières" tableau de Paul Delvaux, peint en 1962
* "la voix du sang" de Magritte
* (ce n'est pas un tableau au sens strict, c'est une tapisserie) : "Avant l'aube" de Manessier - 1967.
Mon sculpteur préféré:
* Georges JEANCLOS
* Sabine Cherki aussi, mais il n'est plus possible de voir ses œuvres sur internet, le féminisme est passé par là, de nos jours il n'est plus permis à aucun artiste, même si elle est elle-même une femme, de représenter une femme nue !
interprêtes préférés:
* Martha Argerich
* Rosalyn Tureck
Les espèces d'oiseaux pour lesquels j'ai une attirance particulère:
* le rougequeue noir (Phoenicurus ochruros)https://www.hautetfort.com/admin/posts/post.php
* et, bien sûr, les grues
* Le merle, le chant le plus beau, et le plus créatif, sans doute de la terre entière.
* l'alouette, bien sûr
* celui de la fauvette à tête noire!
* le gazouilli des hirondelles (hirondelles de cheminée) entendu depuis chez soi perchées sur les fils électriques pour les rares qui ont encore cette chance (y en a-t-il encore seulement? ou est-ce totalement disparu? alors que pourtant ça devrait être le B-A ba dans toutes les villes !!! seuls les sales cons fascistes intolérants et ennemis de la vie qui grouillent dans la France profonde se réjouissent de leur disparition)
* le chant des martinets : mais attention à condition que ce soit dans le ciel au-dessus de villes de France ! et que ce soient de vraies villes, de vraies villes avec des églises (ouvertes) des hôtels (au choix pour toutes les bourses), des rues (sans caméras de vidéo-surveillance), des magasins, des cafés, des bancs, des vraies villes quoi ! dans un vrai pays, qu'on peut sillonner toute la journée d'une ville à l'autre sans problème par de vrais trains, dont on peut ouvrir les fenêtres, des trains qu'on prend dans des gares qui sont de vraies gares: commodes, conviviales et à visage humain, tenus par une SNCF qui ne se foutrait pas du monde et ne serait pas stalinienne.
Bref rien que des choses qui n'existent plus
Mes races de chiens préférés:
* Les colleys !!! sans hésitation. Je ne peux pas un voir un sans me sentir fondre et m'écrier "oh ! un beau gros toutou tout velu !"
les poètes français que j'aime le plus :
* Apollinaire
* Prévert
* Francis Jammes
* Norge
* Saint-John Perse
* Verlaine
* Jules Laforgue
* Jean Tardieu
et plein d'autres
les poètes étrangers:
*Xu Zhimo
*Tagore
*Trakl
*Yeats
*Juan Ramon Jimenez
*J Ringelnatz
*et Morgenstern
en Espéranto: Marjorie Boulton et Angel Arquillos
les dramaturges :
* Jean Giraudoux
* Henry de Montherlant
les romans : (voir in "livres recommandés")
*Sed nur fragmento (Trevor Steele)
*La course au mouton sauvage (Haruki Murakami)
*La femme des sables (Kobo Abe)
*En gagnant mon pain (Maxim Gorki)
*Le Château (Franz Kafka)
*Le facteur humain (Graham Greene)
*les Chroniques martiennes (Ray Bradbury)
les autobiographies:
*en n°1 ! : "Le bonheur d'être suisse" (Jean Ziegler)
ensuite:
*"Les mémoires d'outre-tombe" (Chateaubriand)
*"Mémoires d'un enfant" (Jean Dutour)
Les peintres:
* Le Lorrain
* Daumier le plus extraordinaire original et intense peintre du XIXè siècle !
* Miro
* Giorgione
* Delvaux
* Magritte
* Jesus de Perceval https://www.bing.com/images/search?q=j%C3%A9sus+de+percev...
* Feng Zi Kai
et plein d'autres
Journalistes:
* Michel Collon
* Marie-Monique Robin
* Frédéric Lordon
le seul espace de liberté d'expression, d'humanisme, de diversité, de rationalité, de CIVILISATION QUOI !!! qui rete dans le monde entier c'est :
https://odysee.com/
https://odysee.com/
tout le reste est maintenant censuré et interdit d'accès, partout il n'y a plus que le fascisme du grand capital et partout il n'y a plus moyen d'avoir aucune info sur ce qui se passe sur cette pauvre terre ravagée par leur projet d'esclavage 2.0
et il n'y a plus un seul site où règne la moindre liberté d'expression (qui était encore dans la années 70 la BA ba, la base même de l'enseignement dès le secondaire, le droit le plus sacré de toute civilisation hors des horreurs des régimes totalitaires, tel celui de la théocratie catholique ou du Mac-Carthysm
https://odysee.com/
https://odysee.com/
tout
voix d'acteurs:
* Fabrice Lucchini
* Michel Bouquet
* Claude Rich
* Suzanne Flon
* Claude Piéplu
Chanteurs/euses:
* Barbara
* France Gall
* Alain Souchon
* Nicoletta
* Aznavour
* Pierre Vassiliu
* Eddie Constantine
Tous des "vieux" ? non, aussi:
* Keny Arkana
* El Matador
* Césaria Evora
*Juliette
les femmes que je trouve le plus séduisantes :
* Annie Lacroix-Riz (si si ! absolument ! regardez-la sur ses vidéos)
* Martha Argerich
* Giulietta Massina
* Béatrice El-bèze quand elle appellait à la grève générale
* Lydia Bourguignon (au passage voici la plus instructive conférence de Claude https://www.youtube.com/watch?v=LmF06t-V13U )
) 2019 : Quels sont les personnages français contemporains vivants, que vous
considérez les plus éminents ?
euh, Bernard Friot, Etienne Chouard,
Claude Bourguignon, Jean-Pierre Petit, Dieudonné, Brigitte Bardot, et ajoutons
Giuseppe Belvedère, ce martyre de l'humanisme, ce héros, un paradigme cet homme.
Quels sont les œuvres litttéraires que vous appréciez particulièrement ?
euh, « Alcools » d’Apollinaire,
« Caligula » de Camus
« La femme des sables » de Kobo Abé
« Le Château » de Kafka
« La course au mouton sauvage » de Haruki Murakami
« Memoires d’outre-tombe » de Chateaubriand
« Candide » de Voltaire
Parmis les personnages de l'antiquité dont nous sont parvenus les portraits statufiés, mon visage préféré:
* Euripide
philosophes:
* Carnéade
* Bernard Charbonneau
* Michel Weber
* Parménide
* Hobbes
* Thomas Kuhn
* Paul Feyerabend
* Blaise Pascal
* Michel Terestchenko
* Miguel de Unamuno
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01/09/2024
cette "upper-class" qui crache sur le peuple
avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....
revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.
Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.
Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo https://ruclips.net/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-... et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :
"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autres
(très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !)
[suite ] ]domestiques (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"
Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!
regardez cette vidéo, au milieu du débat (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]
"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."
(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )
mais il peut y avoir un retour de bâton ("l'éternel retour du concret" disait Lénine), écoutez ici JJ Crèvecœur :
https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6
" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"
aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du biâân, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !
un article de Nicolas Bonnal :
« cette haine pathologique envers le peuple »
Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.
La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.
C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :
« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».
La presse fut chargée d’encenser Davos :
« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».
Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :
« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».
La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :
« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».
Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :
« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».
Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »
Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.
Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.
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30/08/2024
ce que sont en fait les anarchistes - Renée Dunan un exemple
La "gauche" actuelle est issue de ce que sont devenus les anarchistes : BOURGEOIS, TOTALITAIRES (si!), aimant le luxe et méprisant le peuple !
si ! c'est psychologique et sociologique (c'est à dire marxiste !). Exemple :
J’ai découvert par hasard une nouvelle d’un auteur, une femme, Renée Dunan, qui vécu de 1892 à 1936 (voir l’article de la wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9e_Dunan ), et qui est classée parmi les ANARCHISTES, et les féministes, (elle est même répertoriée dans le dictionnaire des anarchistes – cachet officiel donc !), ce fait est capital.
Cette nouvelle a pour titre « La culotte en jersey de soie » et on peut la lire et la télécharger sur Internet, ici : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Culotte_en_jersey_de_so...
Le titre se justifiant à la fin de la nouvelle par ces mots
« ma frousse principale, c’est que j’avais des culottes en jersey de soie qui valaient dans les cinq louis. Alors, tu comprends, je craignais pour elles… »
cette phrase dit déjà tout ! Sur le goût du luxe et l’attachement à l’argent de ces bourgeois "anarchistes" !
Reprenons. Cette nouvelle, qui se présente comme le récit d’une étudiante en médecine (donc bourgeoise et «diplômée du Supérieur » !) qui fait un remplacement dans un bourg au fond de la campagne (dans les années 20). Le personnage du récit (à la première personne), ,,,censé être anarchiste comme l’auteur je le rappelle, jouit avec un plaisir satisfait, du privilège de se retrouver avec deux domestiques à son service, (avec lesquels elle se sent incapable de discuter, car « Quant à s’intéresser réellement aux actes et à la vie de personnages incolores et amorphes dont le destin repose sur la mécanisation totale, sur l’habitude devenue l’existence même, cela, je ne le puis. » - attitude générale parmi ces gens « de gôche » autoproclamés - « Au demeurant j’ai connu beaucoup de types qui s’affirmaient amis et frères de ce prolétariat domestique. J’ai constaté qu’ils pensaient au fond comme moi, mais ne l’avouaient point. ») un cabriolet avec cocher pour se déplacer, de bons repas, un logis luxueux et confortable, et le privilège d’être considéré et d’avoir tout à coup une AUTORITE sur ces villageois, travailleurs manuels rustres ! Elle jouit en esthète de la beauté du paysage, privilège qui laisse indifférent les pas-diplômés-de-l’université qui l’habitent. Et enfin, cette toute-puissance que lui confère la SCIENCE MEDICALE lui donne tout à coup à elle - l’anarchiste ! - des velléités totalitaires (qui ne sont pas sans faire penser à celles qui se déploient de nos jours,,, ) :
« Décidément c’est une belle chose que l’autorité. Je me sentais pousser une âme Néronienne. Que ferais-je de vraiment neuf, de grandiose ? Allais-je diriger la santé du pays comme on fait faire aux soldats du maniement d’armes. Brûler les demeures insalubres, décréter la potabilité des eaux et charger les gendarmes de faire observer mes arrêts ; fermer l’atelier de la locomotive sous un prétexte d’hygiène transcendant ? »
Ces révolutionnaires censés être « bohèmes » (« BOurgeois-BOhèmes » dit l’appellation) ne négligent quand-même pas leur sécurité personnelle ! Et pas seulement financière : « Il y avait deux petits verrous en sus de la serrure. Je ne craignais donc rien. »
On voit là confirmation de ce que j’ai senti de plus en plus, un phénomène (décrit sous le nom de « libéral-libertaire » par Soral, qui n’a fait que le reprendre de Clouscard, en fait), qui visiblement fut en place dès les débuts de l’anarchisme (la nouvelle est de 1923, tiens ! La même année que « Knock »). Ces fameux anarchistes ne sont en fait que des BOURGEOIS, qui n’en ont rien à foutre du sort des travailleurs, dont ils n’ont jamais partagé les difficultés ni l’insécurité, et dont ils méprisent la culture, et le respect des valeurs humaines, et dont la lutte de classe leur paraît odieuse, qui veulent profiter de la vie, de leurs privilèges, de leur position sociale, sans se laisser emmerder par la morale des conservateurs, et qui se la jouent « anarchiste » comme d’une coquetterie, qui donne une étiquette « progressiste » à leur racisme de classe, qui est profond !
Voilà !
bref les anarchistes c'est comme selon l'expression de Dieudo "les putes du système"
14/08/2024
mon poème "Hommes de l'avenir je me souviens de vous"
Hommes de l’avenir je me souviens de vous !
J’ai grandi à l’époque où roulaient les derniers autocars.
- Ottokar ; Kibriz-Toul-Bazar -
A l’époque des dernières femmes portant des ballots de loques,
Avant les Nouveaux Pauvres,
Avant les vigiles badgés et leurs talkies-walkies,
Avant les TGV et leurs vitres scellées ;
Du temps des derniers trains,
des derniers hôtels (pour toutes les bourses),
Au temps où l’on pouvait encore faire de l’auto-stop
le long des routes sans ceintures de sécurité, où roulaient De Funès et Sophia Loren.
Du temps où les sex-symbols portaient des foulards sur leurs têtes
sans être montrées du doigt !
Du temps si lointain où tout était d’un modernisme outrancier.
Du temps des futurologues et de la science-fiction ;
quand on croyait en l’homme et en la science, et qu’on regrettait la disparition
du monde ancien.
02/08/2024
NI OUBLI NI PARDON
17/07/2024
de nombreux naïfs
"le gel des actifs russes, ce qui était également une étape sans précédent, " https://reseauinternational.net/les-avoirs-russes-geles-o...
Ce qui montre bien que la mondialisation n'est pas contrairement à ce que croient de nombreux naïfs quelque chose de bien, mais un mal et, de même que selon les époques, la création de l'Etat ou celle du fascisme, un danger, toujours soumis à l'éternelle "loi du plus fort" et à la lutte des classes, principal moteur de l'histoire. Un mal à proscrire.
12/07/2024
cette "upper-class" qui crache sur le peuple
avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....
revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.
Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.
Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo https://ruclip.com/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-e... et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :
"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autres domestiques (très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !) (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"
Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!
regardez cette vidéo, au milieu du débat (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]
"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."
(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )
mais il peut y avoir un retour de bâton ("l'éternel retour du concret" disait Lénine), écoutez ici JJ Crèvecœur :
https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6
" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"
aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du bien, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !
un article de Nicolas Bonnal :
« cette haine pathologique envers le peuple »
Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.
La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.
C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :
« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».
La presse fut chargée d’encenser Davos :
« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».
Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :
« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».
La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :
« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».
Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :
« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».
Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »
Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.
Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.