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30/07/2025

Quand le yaourt n’est plus crémeux à coeur, on le jette. C’est pareil pour l’homme

c’est ça le capitalisme

« On a perdu le sens de la vie. A partir d’une inversion morale :
ceux qui défendent la vie comme un absolu sont regardés et
traités comme des barbares, parfois des monstres. Il faut les
traquer, les intimider, les faire taire. On a oublié un peu vite
que ce sont les mêmes gens, armés des mêmes principes, qui
avaient protesté contre les programmes d’extermination des
handicapés par les nazis. A l’époque, les « Modernes » avaient 
applaudi au nom de la « Science ». Aujourd’hui encore, les 
« Modernes » sont implacables. (pensez à Zygmunt Bauman, « modernité et holocauste »

Rarement une époque s’est autant trompée sur un homme.
Rarement un homme s’est aussi peu trompé sur son époque.
La classe politico-médiatique française a fait de Jérôme 
Lejeune un doctrinaire alors qu’il était l’un des plus doctes de
sa génération. Elle l’a dépeint comme un sans-cœur alors qu’il
était un amoureux de la vie. Il avait anticipé, avec cinquante ans
d’avance, ce que nous faisons mine de découvrir avec effroi,
alors que nous y avons consenti en toute connaissance de cause :
la déshumanisation progressive du monde par l’effacement
planifié du visage de l’homme. Mais surtout, une certaine
intelligentsia, faussement humaniste et réellement totalitaire,
ne pourra jamais pardonner à Lejeune de l’avoir démasquée.
Pour ses adversaires, … il convenait de libérer la science de tout souci moral,
par malice ou par faiblesse, avec les conséquences que nous
commençons à entrevoir aujourd’hui
.


pourquoi ne pas remettre aux blouses
blanches la délivrance d’une sorte de certificat d’aptitude
à la naissance ? Lejeune voit l’Enfer s’ouvrir devant lui, pavé
de bonnes intentions. On permettrait de la sorte aux parents
de ne donner naissance qu’à des enfants en bonne santé. Le
décompte des chromosomes n’est plus un enjeu sanitaire mais
sécuritaire. Sa découverte se retourne contre son inventeur,
elle va servir à tuer.
Le professeur Lejeune restera inébranlablement celui qui a
dit non ! Non au geste de mort sur ses patients ! Il ne sera pas
un assassin charitable, il est leur avocat, leur défenseur, sinon
qui le sera ? « Après avoir fait un diagnostic de trisomie, décider
que ce sujet doit être éliminé parce qu’il est trisomique 21, c’est
du racisme chromosomique. Et le racisme chromosomique est
horrible, comme toutes les autres formes de racisme. »

D’exception qu’il était à l’origine (sous Simone Veil n'oublions  pas), l’avortement s’est transformé en règle. Libertaire, il tend à devenir totalitaire.
La règle prend la forme d’une obligation. Cette obligation ne supporte plus la moindre opposition.
Non seulement l’être humain avant la naissance n’est plus défendu, mais il est défendu de le défendre !
En témoigne, en 2014,
cette décision prétorienne du Conseil supérieur de l’audiovisuel
(CSA) intimant aux chaînes de télévision l’ordre de ne pas
diffuser un court-métrage de sensibilisation à la trisomie 21,
« Chère future maman », où des personnes trisomiques disent
leur bonheur de vivre. Puisqu’elles apparaissent heureuses, les
personnes trisomiques se sont vu retirer le droit de s’exprimer
librement sur les écrans publicitaires. Le CSA fait prévaloir le
droit à l’avortement sur la liberté d’expression des survivants
de l’avortement

L’IVG est devenue le passeport de toutes les transgressions au motif qu’après avoir osé la mort de l’enfant avant sa naissance, le droit peut tout. Ce raisonnement produit un effet de cliquet, il n’y a plus de retour en arrière possible.

Pour les démiurges, la mort est le dernier problème à résoudre. Quand on perd le sens de la vie, on perd le sens de la mort. Alors on la met sous le tapis. On l’escamote. La sédation la maquille en un profond sommeil.

27/07/2025

La maison et le monde

SévillelamaisonetleMonde.jpg

24/07/2025

Anniversaire : 86 ans

1939 – 2025 : 86 ans après l’euthanasie des handicapés

Rebondissement inespéré dans l’affaire Vincent Lambert : la Cour d’appel de Paris a ordonné lundi soir l’arrêt de son euthanasie et la reprise de son alimentation et de son hydratation. Cette décision ravive à nouveau le débat entourant la légalisation de l’euthanasie en France. Pourtant cette affaire ne concerne pas l’euthanasie d’un patient en fin de vie, mais bien celle d’une personne en situation de handicap. Cette situation nous renvoie à des heures sombres de notre passé. 

Vincent Lambert se situe dans un état de conscience minimal depuis un accident en 2008. Il n’est ni mourant ni souffrant : sa santé ne se détériore pas et son état est stable. Les seuls soins dont il bénéficie sont ceux d’une hydratation et d’une alimentation par sonde. Nous sommes loin d’un acharnement thérapeutique exercé sur un mourant, entouré par des moniteurs, une assistance respiratoire et des tuyaux en tous sens.

Comment donc définir l’état d’une personne qui a perdu de manière durable plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales et cognitives ? C’est la définition du handicap donnée par la loi française de 2005 sur le handicap et la Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées. La situation objective, bien que dérangeante, est donc la suivante : Vincent Lambert est handicapé. Son état a d’ailleurs été reconnu par le Comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

NOTEZ BIEN CECI (sur la vidéo suivante  à 1 H 43min lien : https://ru-clip.net/video/vZEOL0_Uld8/marche-blanche-pari... ) 7 CENTRES D'ACCEUIL DE SOINS ETAIENT PRÊTS à ACCEUILLIR VINCENT ! et ça a été refusé, il s'agit donc bien d'un assassinat délibéré.

Il fallait obtenir sa mort afin de faire avancer un projet global.

 

Son euthanasie ne renvoie donc pas aux débats entourant la fin de vie, mais bien à la question suivante : faut-il laisser vivre une personne handicapée, dont il nous semble que la vie ne vaut pas d’être vécue ?

Cette question a déjà été posée par le passé, et sa réponse fut radicale :

« Le Reichsleiter Bouhler et le docteur Brandt sont, sous leur responsabilité, chargés d’étendre les pouvoirs de médecins, qui seront nommément désignés, à accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé ».

 

Il suffirait de remplacer le nom des médecins pour croire lire le jugement rendu par les instances françaises dans l’affaire Lambert. Pourtant cette phrase est bien issue d’un décret de 1939, écrit de la main d’Adolf Hitler, qui met en place un programme secret d’extermination des handicapés allemands, connu depuis sous le nom de Aktion T4. De janvier 1940 à août 1941, ce sont 70 273 handicapés physiques et mentaux qui ont été gazés dans des centres de mise à mort installés sur le territoire du Reich. En moyenne, 50% des patients chroniques hospitalisés dans les asiles allemands furent éliminés. Le mois précédent, 5 000 enfants possédant des malformations avaient été assassinés par injection de morphine et de scopolamine ou l’ingestion de comprimés de Luminal ou de Véronal.

Pendant la guerre, l’extermination d’handicapés se poursuit dans toute l’Europe, par gazage, injection létale ou dénutrition. Au total, ce sont plus de 200.000 personnes handicapées qui ont été tuées entre 1939 et 1945.

 

Avant d’en arriver à une politique d’extermination, l’euthanasie avait été promue comme un moyen d’abréger les souffrances, notamment dans le livre Le Droit de mourir d’Alfred Jost (1895) :

« Quand nous voyons un malade incurable se tordre de douleurs indicibles sur sa couche, avec pour toute perspective celle, misérable, de longs mois de dépérissement, sans espoir de guérison, quand nous traversons les salles d’un asile et que la vision du fou furieux ou du paralytique nous emplit de toute la pitié dont l’homme est capable, cette idée ne peut que surgir en nous malgré tous les préjugés dont nous sommes pétris : « ces gens n’ont-ils pas droit à la mort, la société humaine n’a-t-elle pas le devoir de leur accorder cette mort avec le moins de souffrance possible ? » »

Cette compassion fut à double tranchant : en défendant le droit d’abréger les souffrances d’un mourant, on défendit également le droit de mettre fin à la « souffrance » que constituait la vie d’un handicapé. La rhétorique est progressive et subtile : en mettant sur le même plan les souffrances liées à la mort et les souffrances de la vie, elle ouvre la voie aux excès de l’euthanasie sur des autrui plus vulnérables.

L’euthanasie des handicapés sous le régime nazi fut ainsi opérée officiellement par « compassion ». Ce faisant, le choix d’apprécier la valeur d’une vie ne fut pas laissée à l’intéressé, au contraire. Ce furent des personnes tierces, en premier lieu les médecins, qui par « compassion » ont assassiné des dizaines de milliers d’handicapés physiques et mentaux.

Cette idée a été reprise en 1920 par le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche dans leur ouvrage La libéralisation de la destruction des vies qui ne valent pas d’être vécues, ouvrage qui servira de base au programme Aktion T4.

Les deux auteurs justifient d’ailleurs également l’euthanasie des handicapés physiques et mentaux par le coût qu’ils représentent pour la société :

« D’un point de vie économique, ces idiots totaux qui remplissent le plus les conditions d’une mort mentale complète seraient aussi ceux dont l’existence pèse le plus lourdement sur la collectivité »

Le spectre nazi paraît souvent comme exagéré lorsque l’on se réfère à l’euthanasie. Pourtant, force est de constater que les arguments en faveur de l’euthanasie des handicapés sont identiques à ceux utilisés 80 ans auparavant.

Cette confusion volontaire entre l’euthanasie de « fin de vie » et de « vie qui ne vaut pas d’être vécue » est porteuse de conséquences graves...

Suite de l'article https://lincorrect.org/1939-2019-80-ans-apres-leuthanasie...

Jean-Marie le Méné : Président de la fondation Jérôme-Lejeune : "Vincent Lambert n’est pas mort, il a été tué. La différence est importante. Nous nous attendions bien sûr à cette triste issue. C’est une date historique et symbolique. C’est la première fois, en France, sous l’empire d’une loi de la République, qu’on tue une personne handicapée qui n’est pas en fin de vie, qui n’est pas malade, qui n’a pas de maladie évolutive, qui ne souffre pas et qui n’a rien demandé.
Cette date est très importante parce que, derrière lui, se trouve une quantité de personnes dans cette situation. Elles sont isolées et sans famille. On ne sait pas très bien ce que ces personnes veulent et pensent.
Le danger est que la médecine s’empare de ce pouvoir pour mettre un terme à la vie de ceux qui coûtent trop cher à la société. C’est exactement le sens de l’évolution des sociétés occidentales de l’Europe de l’Ouest d’aujourd’hui.
L’association du Droit à mourir dans la dignité milite activement pour l’euthanasie.
Pensez-vous que l’affaire Vincent Lambert va faire jurisprudence ?

C’est une évidence! La Fondation Jérôme Lejeune dit depuis 15 ans qu’à partir du moment où on assimile la nourriture et l’hydratation à des traitements, on arrête les traitements. Cela veut dire qu’on tue la personne non pas avec sa maladie, mais avec l’arrêt de l’hydratation et de la nutrition. Il est tout à fait évident que la sédation profonde et continue est un maniement très incommode.
L’agonie de Vincent Lambert a duré suffisamment et pas trop. On a mesuré la sédation, ce qui a entraîné chez lui des souffrances horribles.
Il est évident que l’ADMD va dire ‘’c’est tout à fait inhumain’’. Ils disent d’ailleurs depuis longtemps «acceptons, puisque la société française est mûre, acceptons l’euthanasie dans certain cas avec une loi très encadrée, etc».
Cette étape a été annoncée par le demi-neveu de Vincent qui fait l’objet de pression de la part l’ADMD.
La direction dans laquelle on se dirige nous dit «c’est pénible à supporter pour nous les bien-portants, alors faisons en sorte que cela aille plus rapidement».
Le docteur Ducrocq déclarait que la loi Léonetti avait été conçue sur mesure pour régler le cas de Vincent Lambert.

Comme Xavier Ducrocq, je pense que c’est une mauvaise loi. On ne peut pas faire une bonne application d’une mauvaise loi.
La droite parlementaire française pense le contraire. Elle a voté la loi à l’unanimité. La conférence des évêques de France pense aussi que c’est une bonne loi, https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/chouard-tous-les-pouvoirs-abusent-82222mais mal appliquée. Je pense exactement le contraire. C’est une mauvaise loi qui est bien appliquée.
Du reste, c’est ce que toute la jurisprudence a confirmé depuis cinq ans. Nous avons financé la défense de Vincent Lambert depuis cinq ans. Des dizaines et des dizaines de décisions de justice disent toutes que c’est une loi bien appliquée. Jean Léonetti lui-même dit que cette loi est bien appliquée.
Dans les motifs de cette loi Léonetti, il était clair qu’il ne devait plus y avoir de cas comme celui de Vincent Lambert et qu’elle permettait de régler les cas comme ceux de Vincent Lambert. Le problème c’est que le cas de Vincent Lambert est un cas très simple. Médicalement, ce cas est difficile et tragique pour la personne, puisque c’est un grand handicapé tétraplégique, mais médicalement ce type de cas est pris en charge par des établissements spécialisés qui s’occupent admirablement des patients.
Ce n’est pas du tout le cas d’un patient qui fait des arrêts cardio-respiratoires toutes les semaines et qu’il faut réanimer ou non.
La question ne se posait pas pour Vincent Lambert. Il n’avait pas de maladie évolutive, il ne souffrait pas et n’était pas en fin de vie.
C’est vraiment la mise à mort délibérée d’une personne handicapée qui n’a pas pu s’exprimer sur son sort. On ne l’a guère traitée puisque tel est le vent de l’Histoire aujourd’hui.
Ceux qui ne sont pas aptes à vivre dans la modernité sont passés par pertes et profit. C’est le cas des handicapés avant la naissance. Aujourd’hui en France, il ne naît plus d’handicapés sauf quand on ne les a pas vus. Si c’est le cas,ils sont tous éliminés par l’avortement. Il en sera de même à la fin de la vie.
Cette situation avait été largement prévue par Jérôme Lejeune il y a de cela 35 ans. Nous l’avions confirmée en étudiant la loi Léonetti de 2005. Elle se confirme évidemment. Beaucoup n’ont pas voulu voir et ne veulent pas voir. C’est trop difficile. Il faut être lucide et courageux pour le dire et essuyer les critiques pendant des années lorsqu’on soutient une famille qui dit qu’elle aime son enfant en dépit de son handicap.

Hitler a gagné la guerre

 

et (eh oui ! il semble que finalement c 'est Hitler qui a gagné la guerre ! c'est son "esprit de la modernité" comme le dénonce Zygmunt Bauman,qui est en train de tout régir...) les idées qui sous-tendaient la tristement célèbre AKTION T4 onten train d'impreigner l'opinion, et d'être à nouveau instaurée dans les lois. Certains cas "médiatiques"servent à  faire avancer la cause de la mort (et du capitalisme, eh oui !la fameuse"rentabilité" ,rien n'est moins rentable qu'une pauvre vie humaine, un déprimé, un vieux, un "innocent" etc, des "déchets" quoi ! c'est ça que vous voulez ?

Victime de ce qui n’est rien de moins qu’une euthanasie par privation d’eau et de nourriture en raison de son lourd handicap, Vincent Lambert n’avait pas encore fermé les yeux que déjà les partisans de l’euthanasie se prenaient à rêver d’une légalisation de cette pratique en France, tout en vantant les mérites des lois belges relatives à la fin de vie. Pourtant ces dernières, et particulièrement la loi relative à l’euthanasie, laissent la porte largement ouverte à de graves dérives. C’est précisément sur de telles dérives que la CEDH est saisie pour la première fois dans une affaire : Mortier contre Belgique.

La Cour s’est jusqu’à présent prononcée à propos de personnes réclamant un droit au suicide assisté (Pretty c. Royaume-Uni en 2002, Haas c. Suisse en 2011, Koch c. Allemagne en 2012, Gross c. Suisse en 2014). Elle a aussi validé « l’euthanasie déguisée » par arrêt de soins de patients handicapés tels que Charlie Gard et Vincent Lambert (Lambert et. a. c. France en 2015, Gard et. a. c. Royaume-Uni en 2017). Avec l’affaire Mortier, c’est donc la première fois que la Cour doit se prononcer pour évaluer un cas d’euthanasie déjà réalisée. margin: 0.26cm;" align="justify">Rappelons-en les faits. Madame Godelieve De Troyer, atteinte de dépression chronique pendant plus de 20 ans, a été euthanasiée en 2012 sans que ses enfants ne soient avertis, ceux-ci ayant été informés le lendemain du décès. Son fils, Tom Mortier, se plaint devant la Cour du manquement de l’État belge à son obligation de protéger la vie de sa mère au motif que la législation belge n’aurait pas été respectée et qu’il n’y a pas eu d’enquête effective sur ces faits qu’il a pourtant dénoncés à la justice. Il dénonce notamment le manque d’indépendance de la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie (CFCEE) chargée de contrôler a posteriori la légalité des euthanasies. Il reproche en particulier le fait que le médecin qui a euthanasié sa mère est lui-même le président de cette Commission de contrôle ainsi que de l’association LevensEinde InformatieForum (LEIF) qui milite en faveur de l’euthanasie. Or, sa mère a versé 2 500 € à cette association peu de temps avant son euthanasie.

Une loi sur l’euthanasie inadaptée à la souffrance psychique Cette affaire illustre parfaitement la difficulté d’encadrer cette pratique et les abus et dérives graves qui en découlent. Elle n’est d’ailleurs pas un cas d’école car les médias relatent régulièrement des euthanasies controversées en Belgique ou en Suisse. Et nombreux sont ceux qui dénoncent le laxisme avec lequel la loi du 28 mai 2002 relative à l’euthanasie a été mise en œuvre.

Selon les conditions posées initialement par cette loi belge, l’euthanasie doit faire l’objet d’une demande «volontaire, réfléchie et répétée» émanant d’un patient «capable et conscient» qui «fait état d’une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable». Or les termes employés s’avèrent flous et subjectifs: la souffrance est elle-même une notion subjective, tout comme son caractère insupportable comme en atteste d’ailleurs la CFCEE. En cas de souffrance psychique, son caractère inapaisable est également presque impossible à déterminer, comme l’illustre le cas médiatisé de Laura Emily, 24 ans, souffrant de dépression et qui, ayant demandé à être euthanasiée, s’est ravisée le jour-J en expliquant qu’elle avait mieux supporté les semaines précédentes. Ainsi la possibilité d’euthanasie pour souffrance psychique s’avère véritablement problématique. D’ailleurs, en 2002, la Commission Santé publique de la Chambre ne s’y était pas trompée en s’opposant à l’unanimité à l’inscrire dans la loi, estimant avec raison qu’une telle souffrance est pratiquement impossible à évaluer. Elle soulignait également l’ambivalence de la volonté des malades psychiques. Ainsi en cas de dépression, l’affection dont souffrait Mme De Troyer, la demande d’euthanasie est davantage un symptôme de la pathologie qu’une manifestation de volonté libre et réfléchie. margin: 0.26cm;" align="justify">Il y a en outre un paradoxe à prétendre offrir un droit au suicide assisté ou à l’euthanasie - au nom du respect de l’autonomie individuelle - à des personnes qui précisément ne disposent plus d’un équilibre mental. Le respect de l’autonomie devrait au contraire conduire à interdire l’euthanasie aux personnes dépressives ou atteintes de maladies psychiques. Atteintes d’un « handicap » au sens de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ces personnes vulnérables devraient être protégées, et non exposées au suicide. Mais protéger est malheureusement impossible en pratique puisque la loi belge n’interdit pas le « shopping médical » qui consiste, pour un patient se heurtant au refus du médecin qui le suit habituellement, à réitérer sa demande d’euthanasie auprès d’autres médecins jusqu’à trouver celui qui y soit favorable, c’est-à-dire le plus laxiste ou militant. Mme De Troyer a d’ailleurs usé de cette pratique. La CFCEE, une instance favorisant les dérives ?

On pourrait croire que la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie, instance chargée de vérifier que les euthanasies pratiquées ont respecté les conditions et procédures légales et instituée par la loi du 28 mai 2002, compense les défauts de cette dernière. Il n’en est rien, comme le montre une fois encore la requête Mortier. La CFCEE manque en fait cruellement d’impartialité puisque sur les seize membres titulaires, au moins huit (et au moins six des seize suppléants) font partie d’associations militant en faveur de l’euthanasie (on compte par exemple les présidents du LEIF et de l’ADMD) et/ou sont des médecins pratiquant eux-mêmes des euthanasies. C’est le cas de son président néerlandophone, le Dr Wim Distelmans, qui n’est autre que le médecin qui a euthanasié Mme De Troyer ! À plusieurs reprises, la CFCEE a également avoué son incapacité à mener à bien sa mission car celle-ci repose sur un système déclaratif et donc tributaire de la conscience professionnelle des médecins. Et le Dr Distelmans d’ajouter : « Les cas douteux évidemment, les médecins ne les déclarent pas, alors on ne les contrôle pas ». Or des études révèlent par exemple que près de la moitié des euthanasies en Belgique n’ont pas été déclarées en 2007. En outre, si les termes de la loi relative à l’euthanasie sont effectivement flous et subjectifs, la Commission s’engouffre dans la brèche en les interprétant dans un sens excessivement extensif et libéral. Florilège : selon elle, la coexistence de plusieurs pathologies non graves et non incurables remplit l’exigence d’une affection grave et incurable ; elle a aussi approuvé des cas s’apparentant au suicide médicalement assisté alors qu’il n’entre pas dans le champ d’application de la loi ; il semble qu’elle ait validé l’euthanasie « en duo » obtenue par un couple dont l’un des membres ne se trouvait pas en phase terminale. " align="justify">Enfin, l’on peut s’interroger sur l’utilité d’un contrôle a posteriori, c’est-à-dire une fois que l’euthanasie a eu lieu, ce qui n’a visiblement pas pour objectif de protéger la vie des personnes et est particulièrement inadapté en cas d’euthanasie pour cause de souffrance psychique. Faut-il alors s’étonner qu’entre 2002 et 2016, la CFCEE n’a transmis au procureur du roi qu’un seul dossier sur 14 573 euthanasies ? Membres juges et parties, conflits d’intérêts, partialité, contrôle a posteriori et basé sur un système déclaratif, interprétation large des termes de la loi : la CFCEE s’avère totalement inefficace pour prévenir les dérives. C’est ainsi qu’un de ses membres, médecin, a récemment démissionné, lui reprochant de n’avoir pas renvoyé devant la justice un médecin ayant euthanasié une patiente à la demande de sa famille.

Une affaire mettant en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique L’État belge manque donc de manière évidente à ses obligations découlant de la Convention alors que la CEDH a jugé que le droit à la vie « impose aux autorités le devoir de protéger les personnes vulnérables même contre des agissements par lesquels elles menacent leur propre vie » (Haas c. Suisse, § 54). Ce que décidera la Cour dans cette affaire ne sera donc pas sans conséquence car la portée de la requête Mortier dépasse largement son seul cadre: elle met en effet en cause l’ensemble du système encadrant l’euthanasie en Belgique en montrant combien il s’avère défectueux et les garde-fous illusoires. Alors que la Cour a déclaré que « l’on ne saurait sous-estimer les risques d’abus inhérents à un système facilitant l’accès au suicide assisté » (Haas c. Suisse, § 58), cette affaire confirme que ce risque est bien réel, donne un aperçu concret de telles dérives et en laisse entrevoir les conséquences à grande échelle. En effet, loin de concerner uniquement la personne qui la demande, l’euthanasie et ses modalités ont des conséquences sociales profondes et funestes : suites psychologiques sur les membres de la famille du défunt en premier lieu, mais aussi perte de confiance dans la famille en général et méfiance à l’égard des soignants, fragilisation des personnes vulnérables dont certaines sont incitées au suicide. Il serait abusif et dangereux de faire prévaloir l’autonomie d’un patient en tant que valeur éthique suprême pour justifier une pratique dommageable à la société tout entière et remettant donc en cause le bien commun.

Ne pas condamner l’État dans cette affaire reviendrait donc à pratiquer la politique de l’autruche quant aux dérives de l’euthanasie, alors que la banalisation de la mentalité euthanasique en Belgique est réelle et fait des ravages. En témoignent par exemple les cas d’euthanasie sans obtention du consentement de la personne, l’ouverture de l’euthanasie aux mineurs « dotés de capacités de discernement » sans limite d’âge en 2014, ainsi que les chiffres officiels : de 235 euthanasies pratiquées en 2003, leur nombre a augmenté rapidement d’année en année pour atteindre 2537 en 2018, ce qui représente 2 % du total annuel des décès. Dans ce contexte, notons également que trois études ont révélé que « 40 % des Belges sont pour l’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ». Si la Cour ne fait rien, elle accomplira le roman d’anticipation publié en 1907, Le Maître de la terre où l’auteur, Robert-Hugh Benson imagine des maisons d’euthanasie, où « d’un consentement unanime, les être inutiles, les mourants, étaient délivrés de l’angoisse de vivre ; les maisons spécialement réservées à l’euthanasie [prouvaient] combien un tel affranchissement était légitime.

  en ce moment en Grande-Bretagne :
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7457145/Tafida-Raqeebs-mother-cries-implores-daughter-dont-up.html

Canada :

À mesure que le régime canadien d’  "aide médicale à mourir" (nouvelle formulation chic pour TUER Bender et Hoche e 1921 disaient "libéralisation  du droit de mettre fin à une vie qui ne mérite pas d'être vécue", et Hitler disait "Gnadentod" - "aide" "libéralisation" "Gnade" (grace) comme c'est mignon tout ça !) prend de l’expansion, il rencontre plus de résistance. L’une des critiques les plus fortes, qui a souvent fait surface dans les médias, est que certaines personnes atteintes de maladies chroniques, dont la mort n’est pas raisonnablement prévisible, choisissent de mourir parce qu’elles sont pauvres et que les services sociaux (capitalistes !) sont inadéquats. Ils ne veulent pas mourir, mais ils sentent qu’ils n’ont pas le choix.

Les critiques disent que ces cas montrent que les gens sont forcés de choisir l’euthanasie et sont incapables de faire un choix vraiment autonome. Cependant, les critiques peuvent remonter en amont. Selon un récent sondage de Research Co, qui surveille l’opinion publique au Canada, plus d’un Canadien sur quatre autoriserait l’euthanasie pour les sans-abri (28%) et la pauvreté (27%). Ce qui est encore plus choquant, c’est que le sondage a révélé que 50% des Canadiens autoriseraient l’euthanasie pour les personnes qui n’avaient pas accès à un traitement médical et 51% pour les personnes handicapées.

Les jeunes nés après l’année 2000 sont encore plus en faveur. Dans une lettre d’opinion publiée dans le Prince George Citizen, Mario Canseco, directeur de Research Co, souligne que « Les adultes les plus jeunes du Canada sont bien en avance sur leurs homologues plus âgés pour ce qui est de croire que ces deux raisons sont suffisamment convaincantes pour qu’une personne demande l’aide médicale à mourir (60% pour une invalidité et 57% pour un traitement médical non disponible) ».

Lorsqu’on leur demande quelle est la peine appropriée pour un parent reconnu coupable d’avoir aidé un fils ou une fille en phase terminale à mourir, un Canadien sur quatre (24%) ne choisit aucune peine. Une grande majorité (73%) appuie la législation sur l’euthanasie du pays, qui a été qualifiée comme étant la plus radicale au monde. Les Canadiens sont divisés lorsqu’ils se demandent si la maladie mentale devrait justifier qu’un adulte demande l’aide médicale à mourir : 43% appuient cette idée, tandis que 45% s’y opposent. Le gouvernement fédéral a reporté à mars 2024 la décision finale relative à l’admissibilité à la maladie mentale à l’euthanasie.

Commentaire de votre serviteur. Quelle est la signification de cet engouement pour l’euthanasie ? Les Canadiens ne doivent peut-être plus supporter les longs hivers d’une rudesse parfois déroutante alors qu’ils attendent le réchauffement du climat qui ne se concrétise toujours pas. Ou bien ils perdu toute forme d’humanité. Un précédent Premier ministre japonais avait déclaré qu’il serait préférable pour la société que les « vieux » malades soient euthanasiés pour réduire les dépenses sociales du pays. Cette dérive sociétale ressemble progressivement à ce que les régimes totalitaires ont mis en place durant les années 1930 et 1940. La société ne peut pas accepter que l’euthanasie soit banalisée à moins que tout sens moral disparaisse surtout quand il s’agit de motifs économiques. De nombreuses découvertes archéologiques ont montré que les sociétés anciennes, il y a vingt à trente mille ans, prenaient soin des malades et des anciens, ils étaient inhumés décemment. Accepter cette banalisation de l’euthanasie ne pourra qu’aboutir à des excès pour des raisons économiques ou financières. Qui pourra objectivement fixer une limite pour que des malades mentaux soient euthanasiés ? Il semble que les sociétés occidentales rejoignent l’idéologie de l’époque de l’URSS mise en place par le pouvoir central pour éliminer les citoyens récalcitrants en détruisant d’abord leurs aptitudes mentales puis en les éliminant sans aucun état d’âme. Ces abus semblent se reproduire dans les pays anglo-saxons avec l’uniformisation du style de vie, le « chacun pour soi et rien pour les autres » une sorte de disparition de tout sorte de respect et d’humanité.

source : Jacques Henry

Le nouveau projet de loi britannique “sur l’aide à mourir” a été adopté malgré les inquiétudes et les objections de diverses personnes et organisations.  C'est comparable au programme d'euthanasie nazi Aktion T4, qui normalisait et acceptait le meurtre de vies innocentes par des professionnels de la santé pour le « bien commun ».

Dans ce qui suit, Jonathan Engler établit des parallèles entre le nouveau projet de loi, le programme nazi et d’autres événements, tels que l’euthanasie de patients à la Nouvelle-Orléans après l’ouragan Katrina, soulignant les dangers de diminuer la valeur de la vie et d’accepter le meurtre comme un élément légitime des soins de santé. Qu'est-ce qui relie la nouvelle loi britannique “sur la mort assistée” au programme d'euthanasie nazi “Aktion 4” ?

Par Jonathan Engler

'ai écrit pour la dernière fois sur le “projet de loi sur l'aide à mourir” du Royaume-Uni1 la veille du vote (ICI), quand j'ai gardé un certain espoir qu'il puisse être vaincu. Cela ne devait pas arriver. Elle a été adoptée la semaine dernière, malgré les problèmes manifestes liés au nouveau projet de loi.

Elle l’a fait après environ 150 heures de débat, y compris en commission. À titre de référence, le projet de loi interdisant la chasse au renard (The Hunting Act 2004) a été débattu pendant environ 700 heures sur plusieurs années.

CETTE est un excellent fil de discussion “de A à Z” de Dan Hitchens décrivant les nombreux problèmes de ce projet de loi.

CETTE bref article dans Hérisson décrit le vote comme “le jour le plus honteux du Parlement”, et je suis enclin à être d'accord.

Mes propres objections au projet de loi sont à plusieurs niveaux. L’une d’entre elles porte sur la capacité de ces lois (et systèmes) à diminuer la valeur de la vie, à la peser de manière utilitaire par rapport à ce à quoi elle contribue ou à ce qu’elle coûte à la société.

C’est alors la première étape sur un chemin par lequel il devient acceptable de faire des choses indescriptibles “pour le bien commun”

Lors de discussions avec des amis et des collègues, Jessica Hockett m'a fait prendre conscience de cette vidéo de 56 minutes, qui vaut vraiment la peine d'être regardée.2 Il décrit – avec des détails atroces – comment le programme d'euthanasie nazi a permis à la société de normaliser et d'accepter la prise de vies innocentes par des professionnels de la santé :

Apprendre à désapprendre : prendre soin des personnes corrompues | Les infirmières tueuses du Troisième Reich (2017) (56 min)

(Une brève description de ce programme – connu sous le nom d'Aktion T4– peut également être trouvée ICI.)

L’un des moments les plus effrayants pour moi dans la vidéo ci-dessus se situe vers 17h30, lorsqu’une personne interrogée dit :

J’ai été intrigué par la façon dont ils pouvaient en venir à croire que tuer était une partie légitime de leur rôle de soignant, ce qu’ils faisaient.
La propagande autour de l’idée même de tuer des gens pour le bien de l’État était profonde, même jusqu’à ce que les enfants fassent des exercices dans leurs manuels scolaires sur le coût de garder les personnes handicapées.

En y réfléchissant davantage, je me suis souvenu de l’article que j’avais écrit avec Jessica Hockett sur les événements survenus à la Nouvelle-Orléans au lendemain de l’ouragan Katrina (ci-dessous), au cours desquels il ne fait aucun doute que des patients ont été euthanasiés. Le fait est qu’en raison des circonstances, la société a pris la décision collective de modifier son cadre juridique pour garantir que les coupables échappent à toute condamnation pour ce qui équivalait sans aucun doute à un homicide.

Lire: Les limites éthiques dans la prise de décision médicale peuvent être floues par les circonstances12 Novembre 2024, Jonathan Engler et Jessica Hockett

 

80 ans après Hitler ????? Mais Hitler étant qu’une des innombrables facettes du libéral capitalisme qui dirige le monde est toujours vivant car hautement utile . DE guerres impérialistes en escadrons de la mort en passant par proxis islamo-terroristes créés par ses soins le libéral capitalisme se charge bien d’entretenir son héritage .

 

 

22/07/2025

quelques détails très interessants sur le régime nazi

dans ses mémoires Victor Klemperer rapporte que des inspecteurs municipaux sont venu examiner son jardin, et lui ont mit une amende pour ce délit :
que le jardin n'était pas assez bien entretenu selon les normes.
Puis d'autres sont revenus et ont dit : il reste là et là des mauvaises herbes, si vous ne les faites pas enlever la municipalité vous enverra des jardiniers professionnels, et il vous en coûtera plusieurs centaines de marks.

parmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et  pourtant ils furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUe se passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien-pensants aimassent à s'identifier .....

Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats, étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux (n'oubliez pas ...) qui s'occupaient de ça ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur. Citations :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or

"En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents"

"Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ... https://odysee.com/@OhditC%C3%A9!:a/2012.04.14---Louis-Fo...  dans NOTRE idéologie actuelle qui a les mêmes principes que l'idéologie nazie)

 

et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc

 

Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.

et puis regardez cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUet réfléchissez bien....

tiens comparons avec cet article sur le comportement des pro-vaccins  là actuellement de nos jours chez nous 
" Leurs (les pro-obligation vaccinale, pourfendeurs des vaccinoseptiques) arguments reposent
sur la nécessité de la brutalité collective pour "empêcher des maladies  de  revenir", pour  assouvir  l'ego  des  "bons  parents"  respectueux  du  système  et  qui  sont  ravis  que  l'on  sanctionne  ceux  qui  ne  se  sont  pas   comme  eux."

tiens tiens ! ça rappelle les mentalités de l'époque des "bons allemands" vous trouvez pas  ?

(ach !  Allemagne nazie et France de Macron - et même avant - même combat !)


résistance : résistance ! pour les INDIVIDUS, les PERSONNES, LES VALEURS HUMAINES, les LIBERTES PUBLIQUES, les LIBERTES, la LUTTE DES CLASSES, contre le fascisme étatique, envoyez des CHEQUES (pas de payement électronique ! POUR L'ENVOI DE CHEQUE écrire à contact@mouvement-jre.com) pour financer les actions de Farida en faveur de nos ENFANTS, et petits-enfants, et ceux de nos proches, SOLIDARITE ! IL FAUT LUTTER PIED à PIED contre le FASCISME !


j’ai trouvé des articles sur les pénates et les lares dans le monde romain. Une fois de plus on voit que le christianisme n’a fait que reprendre les pratiques religieuses des gens en leur donnant un vêtement chrétien. Par exemple il y avait dans la campagne (puis aussi dans les villes) de petits autels des lares,qui avaient la forme de petite guérites avec une statue dedans, et fermées par un grillage : vous avez compris !! ce sont exactement les chapelles de saints protecteur du village ou de diverses versions de la Vierge qu’on a construit à leur suite partout dans les champs ! Pareil pour les autels domestiques dans les maisons continués par les bénitiers avec du buis sous les crucifix, etc (ou les saintes icones en pays orthodoxes).

Quelque part dans l’article on lit : « Un décret du Sénat (senatus-consulte) rend obligatoire l’hommage à la divinité impériale et aux lares publics » donc les chrétiens, qui refusaient de pratiquer ces cultes étaient ipso facto des criminels qu’on punissait donc de mort.
C’est comme dans l’Allemagne nazie, là on ne les envoyait pas aux bêtes du cirque, quoique …. pas grande différence, par exemple on avait obligé tous les allemands au lieu de dire bonjour à se saluer en disant Heil Hitler ! Donc les enfants des Témoins de Jéhovah, qui refusaient de faire le salut nazi étaient « signalés » (comme on dit actuellement en France ! ……) aux services sociaux, lesquels, avec la même mentalité que les nôtres de nos jours, en concluaient que leurs parents n’étaient pas capables de les "intégrer à la société", donc ils leur retiraient leurs enfants (en Angleterre on appelle ça les mettre « on care », les services Sociaux sont toujours très portés sur les euphémismes doucereux et vipérins ! Comme l’était la Très Sainte Inquisition) et les mettaient dans des orphelinats, quand aux parents ils étaient envoyés en camps de concentration.

20/07/2025

garder les informations cruciales pour l'avenir

lorsque auront lieu les procés de ces criminels

et les propos littéralement criminels consistant à dire aux gens d'aller se faire vacciner

18/07/2025

Vive Andrew Bridgen !

Un député britannique appelle à ce que la « cabale du COVID »  soit passible de la peine de mort pour crimes contre l’humanité

Un  MP britannique a récemment fait la une des journaux en appelant à ce que la « cabale du COVID » obtienne la peine de mort pour les « crimes contre l’humanité » qu’elle a commis pendant la pandémie de COVID-19.

Le député en question est Andrew Bridgen, qui est député du nord-ouest du Leicestershire depuis plus d'une décennie. Il a fait référence à la « cabale du COVID » en général et a également pointé du doigt Bill Gates. En réponse aux commentaires de la députée Penny Mordaunt, qui est également membre du Forum économique mondial, il a déclaré : « Les chefs de gouvernement du monde entier et d’autres en dessous d’eux se sont livrés à ce qui équivaut à une trahison contre le public. »

Il a ajouté qu'il ferait une exception à son opposition à la peine capitale pour que ces individus soient tenus pour responsables . « Je me suis toujours opposé à la peine capitale sur le principe que c'est mal de prendre une vie et qu'il ne peut donc pas être juste que l'État prenne une vie pour se venger. Les événements m’ont amené à reconsidérer ma position.

« Pouvons-nous donc avoir un débat sur les crimes contre l’humanité et sur la punition appropriée pour ceux qui perpétuent, sont de connivence et dissimulent ces atrocités, ces atrocités et ces crimes si graves que la punition ultime peut être requise ?

Bridgen aurait contacté le commissaire de la police métropolitaine, Mark Rowley, au sujet de l'organisation d'une réunion au cours de laquelle des lanceurs d'alerte et des experts pourraient présenter des preuves selon lesquelles de hauts membres du gouvernement britannique ont mené des activités criminelles pendant la pandémie.

Il a ajouté qu’un haut ministre lui avait partagé des détails sur un programme qui utiliserait un « turbo cancer » pour dépeupler la planète. Il affirme que le ministre, qu'il a refusé de nommer, a laissé entendre que les actions de Bridgen n'avaient pas d'importance car il mourrait bientôt d'un cancer à la suite du vaccin contre le COVID-19.

La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Découvrez notre projet AI / LLM gratuit et non commercial ici . Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com , proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.

Selon Bridgen, le ministre lui a dit : « Vous pouvez parler autant que vous voulez. Cela n'a pas d'importance. Vous êtes vacciné. Vous serez bientôt mort d’un cancer.

Bridgen est devenu un critique ouvert de l’autoritarisme mondialiste. Dans le passé, il a appelé la Chambre des communes britannique à insister pour que le gouvernement « arrête immédiatement le programme de rappel du vaccin à ARNm et lance une enquête publique complète non seulement sur les méfaits du vaccin, mais aussi sur la manière dont chaque agence et institution mise en place pour protéger l’intérêt public a a échoué de manière si lamentable dans ses fonctions.

Il a été suspendu du Parti conservateur avant d’être finalement expulsé après avoir qualifié les vaccins de « plus grand crime contre l’humanité depuis l’Holocauste ».

Les dangers des vaccins contre la COVID-19 deviennent chaque jour plus évidents, et la société pharmaceutique AstraZeneca fait actuellement face à une série de poursuites judiciaires au Royaume-Uni concernant des blessures débilitantes et des décès attribués à son vaccin controversé contre la COVID-19. Des dizaines de demandeurs ont soulevé des cas liés à une maladie rare et potentiellement mortelle connue sous le nom de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT), dans laquelle des caillots sanguins bloquent le flux sanguin vers les organes vitaux.

Si certaines poursuites sont liées à des décès, d’autres impliquent des survivants qui vivent désormais avec un handicap après avoir reçu le vaccin. L'une des avocates impliquées, Sarah Moore, a déclaré : "Le fait que le vaccin soit lié de manière causale à des caillots sanguins potentiellement mortels est désormais bien établi dans la littérature scientifique et est désormais formellement admis par AstraZeneca au cours de cette procédure."

Bien que Bridgen ait été moqué par d’autres législateurs pour avoir critiqué les vaccins contre le COVID-19 , les preuves s’accumulent selon lesquelles certaines des personnes impliquées dans le développement et le déploiement de ces vaccins très rentables ont agi de manière trompeuse, contraire à l’éthique et illégale et devraient être tenues pour responsables.

maintenant les journaputes fascistes du régime britannique le persécutent il faut l'aimer et le soutenir

17/07/2025

les nuits d'été un moment de choix pour contempler les étoiles - oui mais

Cette pollution qui interdit l’émerveillement aux citadins

En 2007, on recensait plus de 6,5 Millions de sources lumineuses (essentiellement des lampadaires). Ces derniers réclament la production d’énergie d’un réacteur nucléaire chaque nuit pour fonctionner. Ce sont des centaines de millions d’euros qui sont engloutis en facture énergétique pour mettre en valeur des quartiers, éclairer des rues et des infrastructures routières.

Pourtant maintenant "les technologies LED qui sont nettement plus durables et moins cher que les traditionnelles lampes à Sodium ou Mercure qui illuminent les villes. L’orientation de l’éclairage a aussi beaucoup d’importance, sachant que les lampadaires les plus polluants sont ceux dits « en forme de boules » qui éclairent autant le ciel que le sol."

La pollution lumineuse entraîne aussi des difficultés pour nombres d’animaux et d’insectes nocturnes en déstabilisant leurs cycles circadiens et attirant ces derniers dans de véritables pièges de lumière.

Il serait pourtant très facile de résoudre rapidement une grande partie du problème, puisque l’essentiel de l’éclairage public est géré par les communes. Les citoyens peuvent donc aisément faire pression sur leurs conseils municipaux pour demander à ce que des lampes soient progressivement remplacées, des heures d’éclairage sans interruption déterminées,
et des lieux ne nécessitant pas d’éclairage mais de simples balises lumineuses à LED établis.

bonne idée ! on s'y met ? pétition ? démarche auprès de votre maire ?

Si en cette froide nuit d’hiver, le temps est clair mais la magnifique constellation d’Orion vous est pratiquement invisible, peut-être faudrait-il demander à votre maire qu’il s’assure que votre droit à contempler l’Univers soit restauré au mieux des possibilités de la commune.

http://www.poilagratter.info/culture-science/336-cette-po...

https://www.youtube.com/watch?v=qZOPFWEe2kM

 

 "Our inability to enjoy our natural heritage of the night sky leaves us far poorer" (Chandra Wickramasinghe)

 

encore un programme informatique qui n'a pas appris le français ! ni l'anglais !

https://reseauinternational.net/les-fondements-de-la-coop...

j'espère que vous voyez pourquoi je dis ça !

sinon, contrôlez

15/07/2025

1944 du temps des gerbes de blé

*1944mamanetsansdoutesonamieGhislaine.jpg

Maman (la brune) avec sans doute son amie Ghislaine. Des gens du signe du cancer, son signe, il est dit :
"Vous appréciez les belles choses de la vie et vous faites presque tout pour vous les procurer, souvent d'heureuse façon. Vous possédez beaucoup d'entregent : vous faire des amis est chose facile"
C'est ressemblant.

elle est née un 14 luillet

trouvés sur le site : http://lusile17.centerblog.net/rub-signe-astrologique-du-...

Les enfants auront une grande importance dans sa vie, car il a besoin de chouchouter et d’aimer.
Il est très doué pour la création, la recherche, la décoration.
Tout ce qui a trait à l'image, à l'imagination, à l'imaginaire le concerne. C'est pourquoi il est doué pour la photographie , la poésie et l'écriture romanesque et la peinture.

Symbolisme astrologique du signe du Cancer
Le signe du Cancer symbolise la sensibilité, l'émotivité, le rêve, le changement, les caprices, la ténacité, la fécondité.
Le Cancer attache une grande importance à sa famille, il aime son foyer, ses enfants, dont il sera le protecteur durant toute sa vie.
De nature assez possessive, quelque peu lunatique, son caractère peut être souvent explosif. Le Cancer est quelquefois un sujet cyclothymique.
Assez renfermé, souvent replié sur lui-même, parfois inquiet il aime vivre dans ses souvenirs. Le Cancer doit apprendre à se détacher des autres et de son passé pour mieux vivre son présent.
Le Cancer est doté d'une forte intuition, d'une grande imagination, mais il est très souvent inquiet pour un rien.
Sentimentalement, le Cancer sera attiré par des partenaires qui assureront leur rôle de parent. De nature très affectueuse, il peut se révéler être un grand sentimental, mais souvent fort jaloux. En amour, tout comme pour sa sexualité, rien n'est simple pour lui.

 

autre description :
Le Cancer a la réputation d’être nostalgique, le regard porté sur son passé, plus précisément sur son enfance. Très lié à sa famille, il passe le plus clair de son temps à chérir cette dernière et met tout en œuvre pour la sécuriser. Il en ira de même avec ses parents qui, à ses yeux, sont très importants. Son partenaire devra donc prendre en considération cet élément, s’il souhaite une entente dans son couple.
Le Cancer est un grand enfant, qui aime autant se faire choyer, chouchouter que bouder. Il sera au comble du bonheur dès lors que la tendresse embaumera ses jours. Son partenaire se devra d’être aussi mystérieux que romantique, un peu comme lui d’ailleurs.
La nostalgie étant un de ses traits de caractère des plus marquants, il aime s’étendre sur ses souvenirs ce qui implique aussi qu’il n’oublie rien par conséquent la rancune ou les regrets peuvent l’assaillir facilement.
Grand rêveur, son imagination l’emmène loin jusqu’à parfois le confondre dans des histoires ou des mensonges. A force de trop rêver, sa nonchalance peut le placer dans la paresse. Ceci dit, il ne lui en faudra que peu pour se secouer. Car, qui dit paresse, ne dit pas fainéantise. Sous ses airs de « je ne fais rien », il est capable d’en faire beaucoup.
Sa sexualité est emprunte de tendresse et de jeux. Tel un enfant, il aimera se faire réconforter auprès de son/sa partenaire. Signe d’eau et très féminin, le Cancer materne autant qu’il aime. La sensualité baigne dans les démonstrations de tout genre, ce qui lui vaut aussi une réputation d’endurant dans ses relations intimes. En ce qui concerne sa fidélité, elle sera à son apogée dès lors qu’il sera chéri dans son foyer. Mais si d’aventure, la routine et le désintérêt s’installaient, il pourrait fantasmer sur d’autres horizons voire passer à l’acte de l’extraconjugal pour apaiser sa soif de tendresse.
Son imagination développée, il aime s’entourer de personnes intuitives. Il possède d’ailleurs des dons artistiques voire médiumniques. Son partenaire saura le satisfaire s’il sait nourrir cette part de son être.


Elle aimait aller sous la pluie battante, cueillir et manger du cassis  avec une tartine beurrée à même le jardin, la neige blanche, peindre, les calins, les baisers, les chats,  les ours en peluche, les dragons. Et bien sûr jouer aux carte, faire du crochet.

 

le site "Nonsco"

 

Martha Argerich jouant Bach en 2008, cette vidéo me touche beaucoup, car maman aussi était resté très juvénile et avait les mêmes cheveux :  https://ru-clip.net/video/7mFDXNODNyc/martha-argerich-bac...

 

14/07/2025

la mère de Jean Ziegler - tiens ! quelle coïncidence !

La mère de Jean Ziegler :

« Peu cultivée, mais très intelligente, elle débordait de tendresse, de vitalité et de curiosité. [ça me rappelle quelqu’un...] Ayant grandi dans un petit village bernois isolé, sa scolarité n’a pas dépassé le second degré. [eh ben donc alors ?! c’est largement suffisant ! qu’est-ce que tu racontes!] D’une sensibilité véhémente, pleine de charme, belle et brune, elle s’appelait Léa.
[ donc, elle s'appelait comme la femme de la "mekanikisto Robert" (!)  http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2017/08/25/mek... ]

Son tempérament sauvage provoquait souvent éclats et crises autour d’elle. [ça aussi ...]

Elle possédait une tendresse chaude et inusable, une gaieté ensorceleuse. [et ça aussi...]

Elle attirait comme la lumière. Notre maison résonnait des éclats de rire, des murmures des amis, connaissances et passants qui, en toute saison et à toute heure du jour, y trouvaient abris, conseil et pitance. [ça aussi ...]

Fière et moqueuse, elle était douée d’une ironie corrosive. Pourtant je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui aie été blessé par son verbe. Elle regardait les êtres et le monde à la lumière de la flamme de son amour. ……

Alors que mon père, chaque fois que nous revenions de l’école, ma sœur et moi, nous tendait cérémonieusement la main, ma mère nous embrassait avec exubérance. ….. (eh oui...)

Malgré des dons évidents d’intelligence, de vivacité et de sensibilité, Léa ne fit jamais carrière, consacrant ses forces considérables à sa famille, son mari, sa tribu, et à l’Association des femmes paysannes, puissante organisation de lutte pour la promotion des femmes de la campagne, dont elle était la trésorière.
…..

Elle aimait son époux d’un amour têtu et sans réserve. Elle le défendit partout, ….

Elle était le pilier de la famille, une source constante de lumière qui inondait de joie toute la tribu.

Grâce à elle – et malgré son propre pessimisme – mon père conservait un certain goût de vivre.
….

Ma mère est décédée à l’hôpital régional de Thoune, vers deux heures du matin dans la nuit du mardi 18 avril 1989.

…….

La foi de ma mère tenait de l’animisme africain plus que du sinistre protestantisme luthérien ou calviniste. Tout lui était source de joie : le soleil du matin, les fleurs du jardin et, évidemment, ses enfants.

…. Elle croyait en l’existence du diable : pour elle Hitler en était l’incarnation, et également les notables bernois qui avaient calomnié mon père lors de sa prise de commandement au régiment d’artillerie. Ma mère ne faisait pas dans le détail. [non plus]