23/12/2020
Cette police doit être réformée et nettoyée au karcher car la vraie racaille se trouve dans ses rangs.
Aux USA des militants utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les policiers qui dissimulent leurs badges (Vivement que ça se répande partout !!!! en France en particulier !)
Afin de responsabiliser les policiers lorsqu’ils tentent de dissimuler leur identité, un nombre croissant de militants développent des outils de reconnaissance faciale qui permettent d’identifier les flics, rapporte le New York Times – une inversion frappante de la façon dont les flics ont tendance à utiliser la reconnaissance faciale sur les manifestants et les suspects.
C’est un renversement de rôle satisfaisant. Les policiers cachent leur identité tout en réprimant les manifestations, en d’autres termes, juste pour être démasqués par la même technologie invasive qu’ils utilisent pour surveiller la population.
L’un des projets était une douche pensée pour le programmeur autodidacte Christopher Howell. Il identifie les flics de Portland, dans l’Oregon, parce qu’ils ont été autorisés à couvrir leurs noms tout en répondant aux protestations (en français on dit « manifestations »). Portland a interdit la reconnaissance faciale pour les policiers et les entreprises, mais le NYT rapporte que le projet de Howell est autorisé parce que c’est un individu qui travaille sur un projet de passion.
« Il y a beaucoup de force excessive ici à Portland », a déclaré Howell au NYT. « Savoir qui sont les officiers (en français on dit « agents »!!!!) semble être une base de référence ».
Changement de tribunal
La construction de ces outils est devenue simple, rapporte le NYT, grâce à des logiciels de plus en plus courants. Le véritable défi, selon les militants, est de trouver suffisamment d’images de la police locale pour entraîner l’algorithme. Ils ont eu de la chance sur les médias sociaux, ont-ils déclaré au journal.
« Pendant un certain temps, tout le monde était conscient que les grands pouvaient s’en servir pour identifier et opprimer les petits, mais nous approchons maintenant du seuil technologique où les petits peuvent le faire avec les grands », a déclaré au NYT Andrew Maximov, un développeur travaillant sur un projet similaire. « Ce n’est pas seulement la perte de l’anonymat. C’est la menace de l’infamie ».
source : https://futurism.com
traduit par Aube Digitale
via https://www.aubedigitale.com
bien fait !
La plupart es maux de la société vient d'un manque d'équilibre (pensez au rôle pervers du NAIRU ! c'est paradigmatique !). ça rétablira peut-être (peut-être !) un peu d'équilibre entre les "clébards" du Régime et leurs victimes les pékins de citoyens sans défense
s i ça pouvait par la peur remoraliser ces êtres totalement pervertis par leur impunité (tout pouvoir corrompt, tout pouvoir absolu corrompt absolument" disait lord Acton)
AUTRE RETOUR DE BATON :
https://lesdeqodeurs.fr/
La Préfecture a menti pour couvrir des policiers
Au Royaume de France, la République est pourrie des pieds à la tête...Quand la Préfecture de Paris en arrive à mentir pour couvrir une sale bavure d'un policier qui se croit au Far West et qui tire sur tout ce qui bouge, on mesure l'état de pourriture avancée des institutions de l'Etat. Nous ne sommes pas dans le Chicago de la pègre et d'Al Capone ni dans le Bronx d'avant Rudy Giuliani mais en France.
Cette police sans foi ni loi, cette police sans ethique et sans morale, cette police armée est un danger pour tous les citoyens car ce qui est arrivé à ces jeunes, pourrait arriver à un de nos enfants ou à nous-mêmes.
Cette police doit être réformée et nettoyée au karcher car la vraie racaille, la plus dangereuse se trouve dans ses rangs. Cela fait des années que nous assistons à ces bavures qui n'en sont plus, tant elles font partie de la manière de faire de ces gens sans honneur. Alors oui, certains disent qu'ils font la chasse aux racailles et que la police mérite notre soutien... Si en plus les victimes s'appellent Mohamed ou Mamadou, certains applaudissent des deux mains...
Cette police a un grave problème et le problème vient de la médiocrité du recrutement. N'importe quel blaireau, n'importe quel loubard pervers peut entrer dans la police. Qu'il sache lire ou pas, compter ou non, avoir un minimum de culture ou d'éducation n'est pas important. Et au contraire, les caractériels et les névrosés sont les bienvenus. Comme si le pouvoir prenait un malin plaisir à sélectionner les pires, sachant qu'à terme cette police là finirait par être haï par le peuple. Et nous y sommes car "tout le monde hait et méprise la police !"
Alors que Gérald Darmanin, dans un ridicule numéro d'équilibriste affirme qu'il n'y a pas de divorce entre la police et les Français, oubliant que dans un sondage proposé par un syndicat d'extrême droite et demandant de répondre par oui ou par non pour savoir si les citoyens soutiennent la police, plus de 90% de ceux qui ont répondu, ont voté NON ! alors que en principe l'extrème-droite adore la police !
Darmanin est comme ses petits collègues : déconnecté du monde réel. Il a été auditionné lundi à l’Assemblée nationale sur l’action des forces de l’ordre. Repris en main par son prédécesseur Castaner, désavoué par le Président et par son parti, le violent camouflet qu'il lui a été infligé, aurait poussé n'importe quel ministre à démissionner. Pas Darmanin. Comment renoncer aux privilèges et aux avantages de la fonction quand on prend goût à l'ivresse du pouvoir ?
Pauvre France... tombée dans des mains aussi médiocres... Nous touchons le fond. Et en voilà une nouvelle preuve...
Mediapart publie une nouvelle vidéo témoignant d’une action incompréhensible.
Six jeunes, n’ayant commis aucun délit, sont violemment interpellés par des policiers agissant en toute illégalité. L’un des agents tire deux fois, sans sommation, vers la tête du conducteur. La préfecture de police de Paris n’a pas suspendu ce policier affirmant que la justice avait conclu à la légitime défense. Ce qui est faux.
"Une voiture noire nous a coupé la route." Des hommes en sont sortis, "j’ai vu deux armes pointées sur nous et, quelques secondes après, on a entendu les coups de feu." Assis à l’arrière de la voiture, "j’ai baissé la tête, j’ai vu ma vie défiler car j’ai vu la vitre se briser", confie Hugo, 19 ans, l’un des passagers.
Son ami Paul, qui ce soir-là conduisait le véhicule, se souvient, lui aussi, de ces hommes armés qui lui criaient : "Coupe le contact, coupe le contact, enculé !” J’étais terrorisé. J’ai enclenché la marche arrière, car j’ai cru qu’on allait se faire tuer."
Cette nuit du 30 avril 2019 restera à jamais gravée dans la mémoire de Paul, d’Hugo et de quatre de leurs amis, âgés de 16 à 22 ans. À 2 heures du matin, dans le bois de Boulogne à Paris, arrêtée à un feu rouge, leur voiture est soudainement bloquée par trois véhicules. Huit hommes armés en sortent, les mettent en joue et l’un d’entre eux tire à deux reprises, visant notamment la tête de Paul.
Contrairement à ce que pensaient ces jeunes gens, ces hommes ne sont pas des voyous, mais bien des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) qui, parce qu’ils les suspectent d’un vol de sac à main, les interpellent sans le moindre signe d’identification, ni brassard ni gyrophare. Et, alors que la situation ne présente aucun danger, ils vont user de leur arme sans faire de sommation.
Aucune image de ces violences policières n’a circulé sur les réseaux sociaux ou dans les médias. Et pour cause, les seuls enregistrements provenant des caméras de vidéosurveillance n’ont été transmis à Paul qu’en juin, après de nombreuses demandes, depuis octobre 2019, de son avocat, Raphaël Kempf, auprès du parquet de Paris.
Enterrées alors même qu’elles prouvent que les policiers agissent en toute illégalité et que l’un d’entre eux fait usage de son arme sans que la situation ne le justifie, ces images "démentent la version des policiers qui m’ont accusé de violence. J’ai été poursuivi pour ça et relaxé seulement en novembre dernier. Par contre, le policier qui a tiré en me visant continue de se balader avec son arme. J’ai porté plainte, mais l’enquête est plus longue le concernant", constate Paul.
Quand les institutions censées faire respecter la loi, la bafoue allégrement et en plus y rajoute le mensonge, c'est que le pays est complétement à refaire, sinon l'insurrection armée est la seule réponse possible.
Au Royaume de France, la République est pourrie des pieds à la tête... et nous citoyens, en subissons les graves conséquences.Source : Reddit
+ Ajouts de la rédaction
Un poème de 1942 qui redevient d'actualité, récitez-le vous chaque soir avant de vous coucher :
dédié à tous ceux qui refusent de porter la muselière.
« Demain »
Âgé de cent mille ans, j’aurais encor la force
De t’attendre, ô demain pressenti par l’espoir.
Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses,
Peut gémir : Le matin est neuf, neuf est le soir.
Mais depuis trop de mois nous vivons à la veille,
Nous veillons, nous gardons la lumière et le feu,
Nous parlons à voix basse et nous tendons l’oreille
À maint bruit vite éteint et perdu comme au jeu.
Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore
De la splendeur du jour et de tous ses présents.
Si nous ne dormons pas c’est pour guetter l’aurore
Qui prouvera qu’enfin nous vivons au présent.
Robert Desnos, 1942
(c'est aussi le moment de se rappeler la phrase clè d'Etienne Chouard : "Tous nos maux viennent de ce que nous n'écrivons pas nous-mêmes notre constitution" oui ! y compris ceux que nous vivons actuellement, si nos représentants avaient été tirés au sort jamais tout ce qui est arrivé récemment à cause du régime Macron ne serait arrivé)
Publié dans libertés, Lutte des classes, morale, Philosophie, Politique, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
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