Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/12/2015

quand fuir, se planquer est impossible, et que le seul avenir est la mort

* "un avortement décompléxé" pour qui ?

avortement.jpg

regardez les méthodes : http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/avortement.htm

  * c'est comme dans les années 1880-1900 quand on parlait de la regrettable mais inévitable disparition des "races inférieures" devant l'avancée de la "civilisation", les gens ne savaient pas comment concrètement ça se passait; voir le livre de Sven Lindqvist.

Et derrière l'es avortement savez-vous ce qu'il y a (à part la mort de ceux qui auraient pu exister) ? Eh ! vous oubliez les principes (absolument incontournables) de l'analyse marxiste : derrière les avortements il y a un marché, il y a des interêts financiers, il y a du fric à se faire, et ça se passe comme ça :

Au lien ci-dessous, la troisième vidéo secrètement filmée et publiée ce matin (mardi 28 juillet 2015) par le Center for Medical Progress dans le cadre de son enquête de longue haleine visant à infiltrer le colosse américain Planned Parenthood (PP). Ce document comporte notamment l’enregistrement d’une conversation avec la vice-présidente et directrice médicale de PP dans la région des Rocheuses, le « docteur » Savita Ginde. Celle-ci, installée à Denver, supervise les opérations d’exterminations d’enfants in utero à travers les quatre États du Colorado, du Nevada, du Nouveau-Mexique et du Wyoming.

 Cette vidéo comporte encore le témoignage d’une technicienne de laboratoire, Mme Holly O’Donnell, formée par Stem Express (fournisseur américain d’organes de bébés avortés, en pointe de la recherche biomédicale mondiale) au tri de tissus d’enfants morcelés par avortement. Objectif : préserver les meilleures pièces anatomiques propres à la vente (cerveaux, cœurs, poumons, foies, pancréas, etc.) !

 On y voit également l’un des enquêteurs, se présentant comme un acquéreur de produits biologiques humains, se joindre au docteur Savita Ginde pour lui-même procéder à une opération de sélection de reins d’un bébé avorté et de ses tissus cérébraux sur une boîte de Petri (9 min, 41 sec).

 Une assistante médicale, amusée, s’écrit alors (9 min, 50 sec) : « Cinq étoiles ! »

 Mme Savita Ginde fait savoir qu’elle est intéressée et souhaite maximiser les recettes pour chaque pièce anatomique d’un enfant avorté : « Je pense qu’une approche par objet pièce fonctionne un peu mieux, parce que nous pouvons ainsi mieux mesurer ce qu’on peut en tirer. » L’enquêteur identifie plusieurs parties fœtales qui rapporteraient en effet 200 à 300 dollars pièce à PP.

O’Donnell explique (1 min, 05 sec) : « Je pensais que j’allais simplement prélever du sang, non pas des tissus de fœtus avortés. » Lors de sa première journée de travail en 2012 (7 min, 30 sec), elle se souvient avoir assisté au vidage d’une bouteille de sang dans une passoire, dont le contenu fut subséquemment déposé sur une boîte de Petri. La technicienne de laboratoire en charge d’instruire O’Donnell commença d’extraire diverses parties de corps de bébés avortés disloqués. Elle lui dit (8 min, 38 sec) : « OK, voici une tête. Voici un bras. Puis une jambe. »

La technicienne en chef lui demanda alors si elle pouvait elle-même identifier les parties du corps.

O’Donnell explique encore (8 min, 46 sec) : « […] je pris les pincettes, car je ne voulais pas perdre ce travail […] je les plaçais dans le plat [boîte de Petri]. Je me souviens alors saisir une jambe et de me dire : « c’est une jambe… » Et, au moment de se faire, d’éprouver comme si la mort et la douleur se propageaient à travers tout mon corps. En somme, je finis par m’évanouir. » O’Donnell dû en effet être réanimée.

Une collègue essaya de la rassurer, en disant (9 min, 13 sec) : « Ne t’inquiète pas. Cela arrive encore à nombre d’entre nous. Certaines ne s’en remettent même jamais. »

O’Donnell finit par remarquer que les propriétaires d’entreprises derrière Stem Express (3 min, 29 sec) « étaient tout simplement à la recherche de quelqu’un qui puisse [les aider à] générer autant d’argent, autant d’échantillons [que possible]. »

(7 min, 02 sec) : « Planned Parenthood a besoin d’indemnisations. »

 La recherche médicale est donc le dernier de leur souci (ce qui, de toute façon, ne justifierait en rien de telles pratiques infâmes). Plus grande est la récolte en tissus valables (cerveaux, cœurs), plus grande est la rançon de ces charognes humaines.

Dans son témoignage, O’Donnell souligne en effet (5 min, 27 sec) que l’infirmière principale à PP ne s’intéressait qu’au profit généré par les activités de prélèvement à Stem Express (5 min, 39) : « Elle voulait s’assurer que tout allait au mieux pour nous, auquel cas tout allait également au mieux pour eux [à PP]. »

https://www.youtube.com/watch?v=Xw2xi9mhmuo

source : http://jre2014.fr/il-faut-agir/

 

  •  

    La barbarie, aux Etats-Unis, va encore plus loin que je pouvais le croire. Life Site vient de diffuser une vidéo où l’on voit une directrice du Planning familial discuter tranquillement de la façon dont on doit découper les fœtus dans le ventre de leurs mères pour pouvoir avoir des morceaux en bon état afin qu’ils soient vendables. Le morceau se vend entre 30 et 100$. C’est le foie qui est le plus demandé, bien que « beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment ». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des « extrémités inférieures », et elle ne sait pas trop pourquoi, sans doute « pour les tissus musculaires ».

    Le seul problème est qu’il faut le faire de façon à qu’on ne dise pas « la clinique vend des tissus et se fait de l’argent avec cela ».

    Elle pratique elle-même des avortements à Los Angeles jusqu’à la 24e semaine. Elle explique qu’elle tient une petite réunion chaque matin pour déterminer quelles parties du corps sont demandées (les clients remplissent un formulaire) et quelles sont les « patientes » qui ce jour-là auront des bébés sur lesquels on pourra faire les prélèvements. Ainsi les avorteurs pourront adapter leurs gestes de façon à ne pas endommager les organes à vendre ce jour-là. « Pour cette raison, la plupart des fournisseurs – sic – se font guider par échographie, afin de déterminer où ils vont mettre les forceps. Ils se disent : “Je ne vais pas écraser cette partie, je vais écraser en dessous, et au-dessus, et je vais voir si je peux avoir ça intact.” Certains changent la façon dont le fœtus se présente, de sorte qu’il ne vienne pas par la tête, parce que vous ne pouvez pas obtenir la dilatation suffisante. Si vous le faites à partir de la présentation par le siège, par les jambes, alors vous pouvez finir par avoir le crâne intact. »

    La loi fédérale américaine interdit l’avortement par démembrement depuis George Bush, et la vente d’organes. Mais, dit Deborah Nucatola, « les lois sont sujettes à interprétation. Si je vous dis d’emblée que je n’ai pas l’intention de faire cela, ce qui arrive après n’a pas d’importance. »

    Il faut regarder cette vidéo, car on y voit Deborah Nucatola raconter cela comme elle raconterait ses vacances, sans l’ombre d’une hésitation, sans la moindre pudeur, entre une fourchetée de salade et une gorgée de vin… Il me semble que n’importe qui de normal ne peut que se demander comment c’est possible.

 

 

le bien-être du plus faible :

http://desiebenthal.blogspot.fr/2015/10/le-bien-etre-du-p...

Les commentaires sont fermés.