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le Poulet

La dinde qui était une viande de luxe est maintenant avec les élevages type Auschwuitz pour carnivores consuméristes, est devenue une viande industrielle de pauvres. Ce qui a aussi arrivé au poulet, autrefois viande de riches, maintenant type même de l'horreur du consumérisme et du cynisme moderne (l'esprit de la modernité comme dirait Zygmunt Bauman) :

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Avant  d'écrire ces livres de réflexion sur la biologie ou le pacifisme qui l'ont rendu célèbre, le jeune Jean Rostand, qui était né dans une famille riche et cultivée (Edmond Rostand était son père, Rosemonde Gérard sa mère), et qui connaisait bien pour l'avoir fréquenté le monde de la haute bourgeoisie, a écrit quelques ouvrages critiques sur ce milieux. L'un d'entre eux « Les Familiotes et autres essais de mystique bourgeoise », paru en 1925, est un petit bijou d'esprit mordant mais pince sans rire, à la manière de Voltaire, de Flaubert ou de La Bruyère. Un chef d'oeuvre malheureusement pas réédité, et trouvable seulement chez les brocanteurs (puisque de nos jours, n'est-ce pas? les bibliothèques municipales n'ont plus pour but de permettre que plus de gens aient un accès plus facile à plus de livres mais que moins de gens aient avec plus de mal accès à moins de livres)

 

Il faudrait donc que quelqu'un nous le scanne et le mette sur Gallica.

 

Et dans ce livre le texte le plus remarquable est "Le Poulet"

 

Outre sa verve et son jubilatoire don pince sans rire de mettre à nu le racisme social et le cynisme de la bourgeoisie, c'est un document historique qui permet de nous rendre compte que la viande de poulet qui est devenu de par les Auschwitz animaliers que sont devenus les élevages industriels de poulets aux hormones, une viande de pauvres, était jusqu'en 1920 un met de riches, et que quand les pauvres se sont mis à en consommer ce fut comme une révolution !

 

(remarquez, peut-être que laisseriez passer ce détail, mais les théatres d'alors étaient accessibles à TOUS, simplement les pauvres étaient dans les galeries, et les riches au parterre, mais tous y trouvaient place; tandis que maintenant  pour les non-riches c'est purement et simplement DEHORS ! il n'y a plus de place pour eux)

 

 

LE POULET

 

Aux jours d’alors c’était pour eux un sujet de scandale et de désolation que la manière dont le Pauvre, ce profiteur, dissipait inconsidérément d’iniques salaires. Tandis qu’eux-mêmes, inspirés par le plus pur souci de l’intérêt général et de l’économie domestique, admettaient que les jambes fines de leurs femmes se vêtissent de coton et imposaient à leurs estomacs délicats des viandes grossières, le Pauvre, lui, mangeait du poulet avec ostentation et faisait porter à son épouse des bas de soie.

 

Leur fureur affectait de trouver que la situation, par son excès même, atteignait au comique. Et ils mettaient une façon de point d’honneur à se résigner. Ils abdiquaient avec hauteur. Ne voulant pas engager avec la Pauvre une lutte somptuaire, ils lui abandonnaient provisoirement, puisqu’aussi bien le monde était renversé, les élégances et les nourritures coûteuses, dont il devenait en somme honorable de se priver depuis qu’il fallait les partager avec des indignes. Ils exagéraient volontiers leur dénuement et se rationnaient avec un ascétisme rageur, préférant  d’accentuer le paradoxe plutôt que de chercher à l’atténuer. Dans leur amertume, ils se faisaient gloire de leurs restrictions alimentaires et vestimentaires.

 

« Eh bien, soit ! Que des ouvriers, que des balayeuses, que des gens de rien s’habillent et mangent comme nous ne pouvons plus manger et nous habiller ; qu’il nous faille nous arranger de menus et de costumes dont ne voudraient pas nos domestiques : acceptons courageusement l’offense du sort, et sachons accompagner d’un coup d’œil ironique la femme du peuple trop bien mise qui relève sa jupe sur des attaches que la soie fait paraître plus épaisses, comme par la vengeance du tissu déshonoré. »

* *

 

Stoïcisme de surface. Ils avaient beau se commander de sourire, c’était pour eux une souffrance incoercible que le Pauvre débutât dans le luxe, et surtout qu’il ingurgitât des poulets. A l’indignation que leur causait une vue si étrange leur ventre frustré mêlait une rancune physiologique : dépit de l’estomac, le plus fielleux qui soit. Ils évoquaient, ainsi que dans un cauchemar, toute l’odyssée du poulet, depuis son départ de la basse-cour natale jusqu’à son égorgement et jusqu’à ses métamorphoses ultimes. Et ils sentaient avec une vivacité criante la discordance de cette chair animale, si pâlement aristocratique, avec la chair humaine, rougeaude, et grenue, en quoi elle allait se convertir.

 

« Ah ! songeaient-ils, ce poulet, que les destins de sa race désignaient pour une honnête table bourgeoise, qui eut dû être préparé, assaisonné, rôti par ne cuisinière experte, artistiquement découpé par un maître d’hôtel aux favoris majestueux,  servi dans la pesante argenterie de famille aux chiffres entrelacés, ce poulet, ô déchéance ! après s’être dégradé au contact de la triste vaisselle graillonneuse, après s’être vu gauchement morcelé, autant dire assassiné, par des doigts noueux aux ongles sales, après avoir livré à une gueule profane sa consistance fondante et sapide, ce poulet s’en ira finir assimilé au fond d’entrailles prolétaires !

 

« Sans parti pris, est-ce du poulet qu’il leur faut ? Est-ce bien l’aliment convenable à des gens qui peinent et se dépensent ? Ce dont ils ont besoin, c’est de grosses viandes massives, garnissantes, et non pas de cette chair de luxe, neigeuse, aérienne, impondérable, inapte à rassasier. Le poulet revient de droit aux convalescents et aux oisifs.

 

« Ce poulet, le Pauvre n’y prend même pas de plaisir. Pour apprécier sainement un poulet, il faut des papilles instruites, formées à la longue par la pratique de mets fins et variés. Quand le Pauvre mange du poulet, c’est désir d’imitation ou esprit de taquinerie. Par goût naturel, il s’en tiendrait au fromage de cochon, au boudin à l’ail. Ce poulet, c’est un défi qu’il nous lance, c’est une gageure. Il vaut nous prouver qu’il peut faire comme nous, du moins comme nous faisions autrefois et ne pouvons plus faire.

 

« Si jamais, par une juste revanche des lois économiques, les salaires redescendent à un taux raisonnable, alors il se repentira de ses anciennes splendeurs culinaires ! Et s’il vient se plaindre à nous, ne serons-nous pas, en vérité, autorisés de l’accueillir par ce reproche laconique, mais péremptoire : « Et vos poulets ? » Ah ! qu’aux heures de privations et de chômage ces poulets lui soient un remords ; que la troupe de leurs spectres accusateurs défile dans ses rêves faméliques !

* *

 

« Et qui paye, au bout du compte, ces poulets ? Qui paye, en définitive, toutes les dépenses incongrues du Pauvre ? ses toilettes, ses alcools, son cinéma ? son théâtre où, désertant les galeries supérieures, il trône maintenant à l’orchestre ? D’où tire-t-il l’argent nécessaire ? De nous, n’est-ce pas ? Il faut bien, toujours, que l’argent de ceux qui n’en n’ont pas provienne de ceux qui en ont. C’est parce que le Pauvre mange des poulets que nous n’en mangeons plus. Le Pauvre nous ôte le poulet de la bouche !

 

« On oublie vraiment un peu trop qu’à cause du nombre des Pauvres leurs moindres dépenses finissent par représenter pour nous des sommes effroyables. Que nous occupions seulement deux cent ouvriers dans une usine, et que chacun de ces ouvriers mange un poulet, un de ces petits poulets dont chacun n’a l’air de rien, eh bien ! c’est tout de suite deux cent poulets qu’il nous en coûte. Car, bon gré mal gré, nous entretenons le Pauvre. Nous pourvoyons à sa ripaille. Son poulet nous dépouille, nous détrousse. Quel contre-coup il a sur notre vie familiale ! C’est la dot de ma fille écornée, c’est mon appauvrissement, car on s’appauvrit dès qu’on cesse de s’enrichir selon une progression constante. J’avais droit cette année à ma soixante-dix chevaux, et il faut que j’en reste à ma cinquante. Il faut que pour un délai illimité je me refuse mon hôtel à Paris. Il faut que ma femme accepte encore d’être toisée par des porteuses de colliers plus gros que le sien. Il faut que tous les deux nous endurions encore la honte de piétiner à la porte de tel salon où ne donne accès qu’une certaine fortune. Il faut que jusqu’à nouvel ordre je continue de me sentir déférent devant des amis mieux rentés. On se figure qu’il n’y a que les Pauvres qui soient humiliés ; mais nous le sommes, nous aussi, et combien plus durement ! Étant donné mon point de départ et la courbe de mon ascension, je devrais être aujourd’hui sinon le plus riche, au moins un des plus riches de ma ville. Le poulet de pauvre, c’est l’écroulement de mes espoirs, l’anéantissement de mes rêves les plus légitimes, l’obligation, à mon âge, de marquer le pas, la condamnation à une patience dont j’ignore si je serai encore capable. Ce poulet, pour moi, c’est le coup de grâce !

 

« Peut-être mes fils auront-ils la chance de vivre en des temps meilleurs ; peut-être leur sera-t-il donné de reprendre et de parfaire l’œuvre de ma fortune, que je n’ai pu qu’ébaucher au milieu des circonstances adverses. Mais j’en doute. Ce blanc poulet me fait voir tout en noir. Plus on ira, et plus le Pauvre mangera du poulet !

 

« Que ce poulet, pour tous ceux qu’il vise et qu’il lèse, devienne un signe de ralliement ! Qu’on s’accorde à lui prêter l’attention qu’il mérite ! Petits rentiers, fonctionnaires, professeurs, intellectuels, tous ceux qui sont obligés de se restreindre, de combiner des menus économiques, de réchauffer les restes de la veille, qu’ils se joignent à nous pour regarder d’un œil d’envie le plantureux poulet qui fume sur la table du  Pauvre ! Et qu’à cette vue ils conçoivent une haine digne de leur appétit contrarié !

* *

 

« L’époque où le poulet commença de figurer à l’ordinaire du Pauvre inaugure une ère nouvelle, disons mieux, un changement de régime. L’âge du poulet marquera, dans l’histoire sociale de l’humanité, autant que dans la préhistoire celui du mammouth ou du renne. Aucune partie du territoire national n’échappe aujourd’hui à la contagion funeste. Ce n’est pas seulement, hélas ! dans la région parisienne que sévit le poulet, c’est jusque dans les plus lointaines provinces, jusqu’au fond des campagnes. Sans cesse on signale de nouveaux cas de poulets mangés par des Pauvres. Un ami m’écrit de Bayonne que sa femme de ménage en a, elle seule, mangé deux dans la semaine ! De tous les points de la France, le même cri d’alarme s’élève. L’ingestion du poulet s’étend, gagne de proche en proche, se généralise. ? Notre cheptel gallinacé est en voie de disparition. Que ne doit-on pas redouter de ceux qui s’adonnent ainsi au poulet ? Bientôt ils se croiront tout permis. Ce poulet, pour eux, c’est n programme, un symbole. Dans ce poulet, il y a toutes les révolutions futures. Tenons-nous prêts aux pires éventualités. Ne nous hâtons pas de renvoyer en Afrique nos troupes noires ! Que nos sergents de ville apprennent le maniement des mitrailleuses ! Comme l’augure antique dans les entrailles des volatiles sacrés, apprenons à lire dans ce poulet fatidique le présage de l’imminente catastrophe ! »

 

J. Rostand – 1925

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24/11/2014 | Lien permanent

fonctionnaires

Il y a quelques années dans le cadre d’un « débat » à la télévision on commençait par diffuser un reportage sur le services des objets perdus à Paris, et on montrait complaisamment un employé du service qui expliquait en détail et de manière concrète comment fonctionnait celui-ci, l’étiquetage des objets trouvés, les fiches, le rangement, bref rien que des choses utiles et nécessaire pour un travail sérieux, mais bien sûr pas très « médiatique » tout ça ! Après on revenait sur les « journalistes chien de garde », payés des millions, de service qui ricanaient devant cette image selon eux caricaturale du « Fonctionnaire » cet affreux ce pelé ce galeux qu’il faut abattre ! et en parlaient comme un contre-exemple.


Je regrette ! ce pauvre fonctionnaire honnête et sérieux faisait, lui ! (…) un travail utile, seul un esprit puéril et superficiel de vedette du show-biz, ou de débile manipulé peut trouver ça ridicule. Ca n’avait rien de « médiatique, ce n’était pas Thalassa ou de la pub pour Vivendi-Monsanto ! (bien « retape » creuse et manipulatrice) non, toutes ces opérations apparemment maniaques, « fonctionnaires » c’était tout bonnement ce qui doit être le fonctionnement normal d’un service si on veut qu’il soit sérieux et fiable (pas comme les compagnies d’assurances actuelles !! passons) Riez ! mais pour le gars qui a perdu quelque chose dans les rues de Paris, et qui voudrait bien avoir des chances de le retrouver, un service de fonctionnaires sérieux, (peut-être « nunuches », mais justement si on veut que ça soit sérieux, c’est ça qu’il faut faire ! autrement l ‘épate, le j’men-foutisme brillant c’est - comme la SNCF par exemple depuis qu’elle fonctionne selon la logique du privé !… - se foutre du monde !!) un service de fonctionnaires sérieux C’EST DE CA dont il a besoin, et pas de campagne de pub qu’on lui fera payer des millions pour se foutre de sa gueule et accroître son insécurité (ce qui est que font la plupart des entreprises privées et des ex-administrations qui se sont mises à la gestion type-privée, à la mode !) Voilà un service, pas prestigieux peut–être, mais UTILE, géré avec SERIEUX (et c’est justement ce sérieux qui a permis à ces désinformateurs de le ridiculiser !), et qui ne se fout pas des gens (contrairement à de plus en plus de choses de nos jours !), un travail de fourmi, humble et utile, (non, pas utile, nécessaire à une société pour qu’elle soit civilisée !!)

Ces fonctionnaires que le « débat » en question avait pour but de ridiculiser et de dénoncer sont autrement plus utiles et « productifs » (eh oui ! la fiabilité d’un service est à ce prix, si on veut ne pas se foutre du monde ; par exemple il faut accepter qu’il y ait des employés qui, à l’occasion, attendent des heures sans rien faire derrière un guichet pour que ce lui-ci soit toujours là, fiable et au poste dès que quelqu’un en aura besoin !) autrement plus productifs que ces mêmes « personnalités » qui les « descendent en flammes » (payés combien de millions pour leur demi-heure de prestation ??? je serais curieux de le savoir….) et que les genres de gens pour lesquels ils roulent.

Des "gens improductifs" il y en a plein, oui; où on les trouve? :   eh bien justement  tous ces financiers (1) et gestionnaires qui, payés des salaires plusieurs fois plus élevés que le pauvre fonctionnaire du Bureau de objets perdus, passent leur temps à réunionner et à se faire loger dans des hôtels 4 étoiles pour bavasser sur la meilleure manière de rouler le monde et de se mettre dans la poche un max de fric, tous les publicitaires, qui ne produisent rien si ce n’est la pollution qui salope nos villes et nos paysages, tuent la liberté de la presse et les programmes télé ! tous ces audits internes, ces conseillers fiscaux (….) ces « public relations », ces journalistes chiens de garde, ces spéculateurs boursier et autres "golden boys", ces spéculateurs financiers, voilà le type même du parasite, et pas seulement inutiles mais nuisibles (penser seulement aux délocalisations, chômage, exploitation des enfants payées 1,5% du prix final des chaussures de sport, devinez vers quels types de « profession » vont les 98,5 autres pour-cents….)

 Cette émission est à vomir. ça fait plusieurs années que je  l’ai vue (forcément, ça fait plusieurs années que je ne regarde plus la télévision) et pourtant à chaque fois que j’y repense j’ai les cheveux qui se dressent sur la tête en pensant à une malhonnêteté intellectuelle et une désinformation aussi éhontées.

 

comme dit une contribution sur "fiers du Service Public.fr" 

"Le service public c'est, après la famille, le dernier rempart à la sauvagerie de nos sociétés déshumanisées. C'est un trésor qu'il faut sauvegarder parce qu'il maintient la communauté autour de valeurs universelles et justes. Je suis fier d'y appartenir et triste de le voir en si mauvais état."

 

(et ce sont ces milieux de parasites qui distillent dans les cerveaux des masses l'idée que tout le monde répète sans réfléchir comme des perroquets que les fonctionnaires sont des "privilégiés"
ah oui ? .... http://mouvdc.canalblog.com/archives/2010/02/02/16765926....

http://2ccr.wordpress.com/category/social-sante-public/fo...

 

http://2ccr.unblog.fr/files/2010/11/loifonctionnaires.pdf

 

Si on prend le projet Chorus par exemple, et il faut qu'ils y tiennent à exterminer un max de fonctionnaires ! ils sont prêt à dépenser des sommes folles pour ça et à saboter le fonctionnement de la comptabilité publique et la vie des gens qui attendent après laur argent (mais ça c'est le cadet de leurs soucis ! ) http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/05/27/04016-20100... 

 

(1) malgré l'année catastrophique, le soutien de l'Etat et une perte probable de 10 milliards d'euros, le personnel belge de Dexia SA s'est vu octroyer un bonus au titre de l'année 2011 selon l'Echo et De Tijd. Des cadres supérieurs ont reçu jusqu'à 45.000 euros bruts". C'est fou: banquier est le seul métier de parasite professionnel encouragé et favorisé par nos gouvernements, qui peut se distribuer des bonus même quand sa banque est en faillite!!!. Dans n'importe quel autre cas d'entreprises ou pme en faillite, les dirigeants sont passés au crible, paiement suspendus, etc. et même jetés en prison. Mais pas dans la banque. Pourtant, tout l'état-majour de la Dexia devrait déjà être en prison (voir dans le site de Pierre Jovanovic). Curieusement le "Régulateur" et la Justice restent étonnament aveugles dès qu'il s'agit des arnaques bancaires... C'est un secteur qui n'est pas concerné par la justice. "Les employés et cadres inférieurs ont reçu de 2500 à 5000 euros bruts et les cadres supérieurs de 25000 à 45000 euros bruts.".
http://www.oulala.info/2012/11/les-fonctionnaires-du-prive/  Pour faire des économies, en deux décennies on a supprimé des dizaines de milliers de fonctionnaires : l’Etat a-t-il fait des économies ? Non, au contraire, car comme il y aura moins de fonctionnaires, il faudra externaliser le travail, via des entreprises privées, à un coût supérieur, car il faut bien rémunérer les actionnaires !
 
une chose qu'il faut savoir :

TVC-4-OP- Asselineau-UPR - Sur la loi Giscard... par TValternative

un article sur http://2ccr.unblog.fr

 

On nous programme à mépriser, voire haïr les fonctionnaires, et cela depuis un peu plus de trente piges ! Pourquoi ?

Bernard Friot nous explique l'irigine de ce haine de la bourgeoisie pour les fonctionnaires :


tout ce qui est public doit être Privatisé ! Donc, les citoyens doivent comprendre ce que tout ça veut dire ! Lorsque tout sera privatisé, nous serons privés de tout !

Et lorsque vous aurez besoin de faire renouveler votre carte d’identité ? Actuellement, que ce soit en Mairie ou en Préfecture, vous avez sans doute un peu d’attente, mais c’est gratos ! Quand ça sera géré par une filiale de Véolia, et bien vous aurez sans doute une préinscription téléphonique, suivi d’une confirmation par mail, comme cela vous ne ferez pas la queue mais vous reviendrez chercher vos papiers la semaine suivante en faisant la queue et ce sera…100 euros ! Ou alors un employé modèle viendra directement chez vous récupérer vos papiers et fera les démarches à votre place, plus rapide, plus simple, mais plus cher…évidement ! Vous voulez changer votre carte grise ? Quant ce sera fourgué à AXA, vous pouvez reprendre les schémas de la CNI ci-dessus imaginés, et quant aux frais….espérons que vous aurez les moyens !

Quand vous serez malade, bien amoché, que les services d’urgences (gérés dorénavant par Vinci) vous amèneront à l’hosto, il faudra que vous puissiez allonger une certaine somme (ça dépendra de la distance de la structure hospitalière, si cela se passe la nuit ou un jour férié, etc, etc.), actuellement, à ce que je sache, les pompiers ne vous tendent pas la sébile avant de démarrer le camion ! Une fois arrivé à l’hosto, un employé vous demandera votre carte d’assurance privée (bien entendu, la Sécu aura disparue), et en fonction de votre pathologie, et du coût des examens à faire, si votre assurance privée n’est pas d’accord, ben, vous dégagerez !

Avec un peu de chance, Médecins du Monde où la Croix Rouge, voire le Secours Catholique gèreront tant bien que mal quelques structures gratos, mais bon, avec des moyens limités, alors apprenez la patience !

Donc continuons à nous diviser, à nous haïr, ceux qui ont le pouvoir, rigolent bien dans leurs super soirées.

D’après Hunter sur Conscience Citoyenne Responsable

http://2ccr.unblog.fr/2014/02/10/cest-la-faute-aux-foncti...

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28/03/2018 | Lien permanent

Analyse impartiale esereine des arguments et documents avancés par le Professeur Fourtillan

Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte conte ce même institut.
Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr
Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets
– du brevet Européen (non ! Amerloque !!! y’a qu’à voir la langue dans laquelle il est rédigé!!!) de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :
[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.
– du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1 (Pièce 3) à la première page :
(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.
– du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.
Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.
Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.
http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5) 
À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ? 
L’étude indienne ayant initié cette thèse :
Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19 
Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020
« La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ». 
Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.
De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques :
l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015 
Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point
En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur..

On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.
 
L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.
Troisième point
Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.
Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.
Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.
La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.
Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).
Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.
Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.
Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.
Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches
Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/ 
source:https://cv19.fr/

autre sujet (mais les marxistes savent que c'est lié, tout ça ressort de la lutte des classes, comme Klaus Schwab)

Karl Marx en effet et tous les historiens marxistes compétents, sont de grands"complotistes" c'est à dire des esprit scientifiques et bien informés.

https://reseauinternational.net/comment-la-grande-disette...

c'est le bon sens même.
Toute  l'histoire des hommes n'est  que  l'histoire de la lutte des classes. Et la conspiration actuelle de Davos, Klaus Schwab, les sponsors de l'OMS, et tous leurs larbins, en fait partie. Ils rêvent de rétablir l'esclavage antique, sous une forme technologique et plus sophistiqué, à coup de traceurs à l'oxyde de graphène,

etc. Et comme toujours maximiser le profit

Et l'attaque de l'hégémon USA contre la Russie, dont ils sont jaloux, aussi

(au fait, vous feriez bien de vous documenter sur le GENOCIDE (oui GENOCIDE le terme de  désigne officiellement un carnage qui fait DISPARAÎTRE une population à tel point qu’elle ne se reconstitue jamais ! ce qui était le but des capitalistes finlandais en 1918, et hongrois en 1919, etc) de la classe ouvrière socialiste finlandaise en 1918, et sur les enseignements que les théoriciens des révolutions ouvrières en tirent sur les guerres civiles de classes, c'est  mutatis mutandis ce qu'a fait Macron aux Gilets Jaunes, ils ne s'en sont jamais reis, et c'était le but de Macron et ses sponsors....)

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01/05/2023 | Lien permanent

demain tous contre le fascisme et la censure Gafams

Le cridespeuples.fr  Traducteur & blogueur indépendant. Site principal bloqué par les autorités

à moins d'utiliser un VPN

Comment les services de renseignement américains ont-ils repéré le Covid-19 à Wuhan plusieurs semaines avant la Chine ?

 

Par Will Jones

Source : The Daily Sceptic, 21 décembre 2022

Traduction : lecridespeuples.fr

Voici une question qui me turlupine. Comment les analystes des services de renseignement américains ont-ils repéré ce qu’ils considéraient comme un nouveau virus dangereux en Chine, alors que rien ne prouve que la Chine l’ait repéré ou s’en soit inquiété ? Comment ont-ils repéré le signal dans tout le tohu-bohu d’une saison de grippe chinoise normale ?

Les responsables du renseignement américain ont admis dans divers médias avoir suivi l’épidémie de coronavirus en Chine depuis la mi-novembre 2019, et même informé l’OTAN et Israël à ce moment-là. Pourtant, à aucun moment des détails n’ont été fournis sur ce qui les a poussés à prendre cette mesure inhabituelle.

Ces inquiétudes « ont été détaillées dans un rapport de novembre du National Center for Medical Intelligence (NCMI) de l’armée », citant deux responsables connaissant bien le rapport. Ce rapport était « le résultat de l’analyse d’interceptions téléphoniques et informatiques, couplées à des images satellites ». L’une des sources a déclaré : « Les analystes ont conclu qu’il pourrait s’agir d’un événement cataclysmique » et qu’ « il a ensuite été communiqué à plusieurs reprises » à la Defense Intelligence Agency, à l’état-major interarmées du Pentagone et à la Maison Blanche.

Voir Attaque biologique ? Washington était informé d’une épidémie à Wuhan bien avant les autorités chinoises

Le reportage d’ABC ajoute que « les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle » et que le président américain a été informé en janvier :

À partir de cet avertissement en novembre, les sources décrivent des briefings répétés jusqu’en décembre à l’intention des responsables politiques et des décideurs de l’ensemble du gouvernement fédéral ainsi que du Conseil national de sécurité à la Maison-Blanche. Tout cela a culminé avec une explication détaillée du problème qui est apparue dans le Briefing quotidien du Président (APB) sur les questions de renseignement au début du mois de janvier, affirment les sources. Pour qu’un élément apparaisse dans l’APB, il faut qu’il passe par des semaines de vérification et d’analyse, selon des personnes qui ont travaillé sur les briefings présidentiels dans les administrations républicaines et démocrates. […]
« La chronologie du côté des services de renseignement peut remonter à plus loin que ce dont nous discutons », a déclaré la source au sujet des rapports préliminaires de Wuhan. « Mais il est certain que les militaires ont été informés dès la fin du mois de novembre de la nécessité de prendre position sur cette question. »
Le rapport du NCMI a été largement diffusé auprès des personnes autorisées à accéder aux alertes de la communauté du renseignement. Après la publication du rapport, d’autres bulletins de la communauté du renseignement ont commencé à circuler par des canaux confidentiels au sein du gouvernement aux alentours de Thanksgiving, ont indiqué les sources. Selon ces analyses, les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle alors même qu’ils cachaient des informations aussi cruciales aux gouvernements étrangers et aux agences de santé publique.

Cependant, les rapports des médias sont incohérents. Le même jour (9 avril), NBC News a publié le rapport suivant, affirmant que « rien n’indiquait qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là » :

Selon les responsables, les renseignements ont pris la forme d’interceptions de communications et d’images aériennes montrant une activité accrue dans les établissements de santé. Les renseignements ont été distribués à certains responsables fédéraux de la santé publique sous la forme d’un « rapport de situation » à la fin du mois de novembre, a déclaré un ancien fonctionnaire informé de la question. Mais il n’a pas été estimé qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là, a déclaré un responsable de la défense.

Voir Covid-19 : les Etats-Unis ont averti leurs alliés d’une épidémie en Chine dès novembre (médias US & israéliens)

Le général John Hyten, vice-président des chefs d’état-major interarmées, a déclaré qu’il n’avait pas vu de rapports de renseignement sur le coronavirus avant janvier :

Nous avons tout ré-examiné méticuleusement les données disponibles en novembre et décembre. La première indication dont nous disposons, ce sont les rapports de la Chine de fin décembre qui ont été publiés dans le forum public. Et les premiers rapports des services secrets que j’ai vus étaient en janvier.

Le NCMI lui-même a nié à ABC l’existence du « produit/évaluation », c’est-à-dire du rapport auquel il est fait référence (bien que certains aient suggéré qu’un rapport qui n’était pas techniquement un « produit » de renseignement ait probablement existé).

Selon un article du Times of Israel du 16 avril 2020, les services de renseignement américains « ont pris conscience de l’émergence de la maladie à Wuhan au cours de la deuxième semaine de [novembre] et ont rédigé un document classifié ». Le rapport affirme également que la Chine était au courant à l’époque : « Les informations sur l’apparition de la maladie n’étaient pas dans le domaine public à ce stade, et n’étaient connues qu’apparemment du gouvernement chinois. » Un reportage de la chaîne israélienne Channel 12 datant du même jour affirme que les services de renseignement américains « suivaient la propagation » à la mi-novembre et qu’ils ont même informé l’OTAN et Israël à l’époque, mais, de manière quelque peu contradictoire, ils ont déclaré que l’information « ne provenait pas du régime chinois » :

Un rapport secret du renseignement américain, qui mettait en garde contre une « maladie inconnue » à Wuhan, en Chine, n’a été envoyé qu’à deux de ses alliés : l’OTAN et Israël. Au cours de la deuxième semaine de novembre, les services de renseignement américains ont constaté qu’une maladie aux caractéristiques nouvelles se développait à Wuhan, en Chine. Ils ont suivi sa propagation, alors qu’à ce stade, cette information classifiée n’était pas connue des médias et ne provenait pas non plus du régime chinois.

Ces rapports médiatiques émanant d’agents de renseignement anonymes se référant à des documents d’information non divulgués ne sont manifestement pas tous cohérents. L’affirmation du Times of Israel selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre est particulièrement étrange, car ce rapport dit tirer ses informations directement du rapport de Channel 12, qui affirme le contraire. L’affirmation d’ABC News selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre d’une épidémie « hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie », mais que cette information a été gardée secrète, est également étrange. Comment une épidémie « hors de contrôle » qui « change les modes de vie » pourrait-elle être gardée secrète ? Lorsque le virus a été révélé à la fin du mois de décembre, il s’est accompagné d’une activité intense sur les réseaux sociaux en Chine. Où est passée l’activité des réseaux sociaux de novembre, où les gens parlaient d’une épidémie  hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie et le monde des affaires » ? Où sont les images satellites montrant ces impacts sur les hôpitaux et la vie sociale ? Aucune n’a été produite, alors qu’il serait facile de le faire.

Voir Coronavirus : la Chine et l’Iran dénoncent la probabilité d’une attaque biologique

Cela nous amène à une question cruciale. La Chine était-elle au courant en novembre ? J’avais précédemment supposé que oui, mais en regardant plus objectivement, je n’ai pas vu de preuves tangibles qu’elle le savait. Le rapport 2021 des services de renseignement américains sur les origines du Covid indique que la Chine « n’avait probablement pas connaissance de l’existence du SRAS-CoV-2 avant que les chercheurs du WIV ne l’isolent après la reconnaissance publique du virus dans la population générale ». Mais avait-elle connaissance plus tôt d’une épidémie inhabituelle d’étiologie inconnue ? Rien ne le prouve.

Hormis les affirmations contenues dans les rapports médiatiques susmentionnés (qui, comme nous l’avons noté, sont largement démenties par les responsables de la défense), la seule preuve dont nous disposons provient du rapport du personnel de la minorité sénatoriale de 2022, qui a des liens avec les services de renseignement américains, en particulier avec le grand manitou de la biodéfense Robert Kadlec. Ce rapport suggère que la Chine a pris connaissance d’une fuite à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) en novembre 2019 et, à ce moment-là, a commencé à travailler sur un vaccin. Mais il ne donne aucune preuve réelle pour étayer cette affirmation, juste de vagues déclarations sur le moment où la formation à la sécurité a eu lieu et des insinuations sur le moment du développement du vaccin. En outre, l’accent est entièrement mis sur la recherche chinoise et le WIV, et pas du tout sur la recherche américaine, ce qui laisse supposer qu’il s’agit d’un « dérapage contrôlé » de la communauté du renseignement et d’un exercice de détournement d’attention.

Il convient de noter que le colonel Robert Kadlec, qui semble être à l’origine du rapport du Sénat, a été le premier directeur de la politique de biosécurité de la Sécurité intérieure sous la présidence de G. W. Bush et l’un des cerveaux des premières simulations de pandémie, y compris l’hiver noir de 2001. Lorsque le COVID-19 a frappé, M. Kadlec est devenu le principal responsable de la préparation aux situations d’urgence, coordonnant la réponse du ministère américain de la santé et des services sociaux et du gouvernement fédéral. Il est donc une figure centrale de l’établissement de biodéfense américain qui nous a apporté les confinements et ne peut être considéré comme une source d’information indépendante ou fiable.

Voir Covid-19 : le contrôle des populations par la peur était « totalitaire », admettent des responsables scientifiques

Les meilleures preuves indépendantes dont nous disposons actuellement pour affirmer que la Chine était au courant avant la fin décembre sont les rapports que Gilles Demaneuf transmet de deux scientifiques américains, Lawrence Gostin et Ian Lipkin, selon lesquels, à la mi-décembre, des contacts scientifiques chinois leur ont mentionné une épidémie inhabituelle de virus. Ce n’est pas du tout précoce, et c’est plusieurs semaines après la mi-novembre.

Il y a de nombreuses raisons de penser, comme l’indique le point presse de Channel 12, que la Chine n’était pas au courant avant décembre. Par exemple, le manque évident de préoccupation du gouvernement chinois à l’égard du virus jusqu’aux environs du 23 janvier. Le 14 janvier encore, les experts chinois déclaraient à l’Organisation mondiale de la santé qu’ils n’étaient même pas sûrs que le virus se transmette entre humains ! C’est difficile à croire, mais cela montre quand même à quel point ils n’étaient pas inquiets.

Il y a aussi l’absence de précédentes alertes de santé publique comme celle qui est apparue le 31 décembre 2019 de la Commission municipale de la santé de Wuhan, plus, comme nous l’avons noté, l’absence de toute activité sur les réseaux sociaux concernant une épidémie en novembre. En outre, il y a l’échec apparent du séquençage du virus avant la fin du mois de décembre, puis dans un laboratoire privé, ce qui fait également vaciller l’idée que la Chine développait un vaccin à partir de novembre. Il y a aussi le fait que les autorités chinoises ont semblé croire que le marché humide de Huanan était une origine plausible du virus en janvier, jusqu’à ce qu’elles examinent cette théorie et la réfutent.

Bien sûr, il peut y avoir des explications alternatives pour certains de ces éléments. Par exemple, l’histoire du marché humide peut avoir été un moyen d’étayer l’affirmation initiale bizarre selon laquelle il ne semblait pas y avoir de transmission interhumaine, ce qu’il est difficile de croire que les scientifiques chinois aient jamais vraiment cru, étant donné l’invraisemblance de cette hypothèse et le fait que les scientifiques chinois semblaient avoir conscience d’une épidémie plus large en décembre. D’un autre côté, la fuite du rapport du gouvernement chinois datant de février 2020 semble montrer que les responsables se sont empressés de regarder en arrière pour voir ce qui se passait dans les hôpitaux en octobre et novembre, sans que rien n’indique qu’ils étaient au courant à ce moment-là, et également sans indication d’une épidémie « hors de contrôle ». Peut-être s’agit-il là aussi d’un faux astucieux. Mais tout cela est-il faux ? Et dans tous les cas, où sont les preuves réelles et positives que la Chine était au courant ?

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21/01/2024 | Lien permanent

le problème de Dieu bien expliqué (par ”la mite dans la caverne”)

Dieu et religions

Aux antipodes de la foi (qui comme le sacré et contrairement aux idées reçues, n’est pas religieuse pas essence) il est évident, ne serait-ce que par la justification qu'elles ont toujours offertes aux fous mégalomanes et aux profiteurs sans âme, que les religions dogmatiques, notamment celles dites « du Livre », sont une des pires plaies qu'ait jamais connu l'humanité. Bien sûr, on peut leur reconnaître un rôle structurant, une capacité à préserver un temps certaines valeurs et certains repères de bon sens. On peut aussi objectivement constater que ces montagnes d'énormités accouchent de temps à autres de souris admirables comme l'abbé Pierre, même si la tentation est grande de procéder à leur basse récupération, post mortem ou non, en tant qu’icônes.

S’il s’agissait de l’exercice d’une liberté de choix, je n’aurais aucun problème à accepter cette propension qu'ont les gens à adhérer à des dogmes religieux envers lesquels pourtant, seule une lobotomie ou une insolation sévère pourrait m'aider à éprouver une once de sympathie : tant qu'on ne me les impose pas et qu'ils ne polluent pas mon environnement, je les tolère et je me garde de juger les gens qui y adhèrent pour des raisons qui leurs sont propres et qu'à défaut de partager, je respecte.
Mais la religion est malheureusement le plus souvent choisie par nos parents ou notre société. Elle nous est inculquée profondément sans préparation à un âge où nous ne disposons pas du bagage et de la maturité intellectuelle suffisante pour nous protéger de ce conditionnement. La preuve en est que, par exemple, même l’athéisme « post catholique » est imprégné de valeurs de tolérance « a priori » au nom d’une appartenance à la même humanité, qui ne sauraient s’expliquer autrement que par un glissement culturel.

Dans une société responsable, l’histoire des religions, leurs concepts et leur diversité devraient être enseignés, analysés et discutés à l’école, le baptême devrait être illégal jusqu’à la majorité et je ne parle même pas des circoncisions et autres mutilations, participant du même principe, et que les parents font subir à leur progéniture en toute bonhommie, victimes de leur propre conditionnement.

Tant que la situation sera ainsi, j’aurai cette propension à bouffer tous les jours du curé, du rabbin et du mollah avec en dessert un cake aux témoins de Jéhovah saupoudré de Dallai Lama fraichement réincarné, râpé en gingembre spirituel pour la touche d'exotisme qui relève si bien les plats un peu fades.

Il n’en demeure pas moins que le constat est là et qu'accepter des révélations abracadabrantes, souvent parce qu'on est tombé dedans quand on était petit, sans au moins une fois s'être demandé ce que pouvait ou ne pouvait pas être Dieu, ne semble pas poser de problème à la grande masse des croyants. On m'objectera que la foi consiste justement à croire en l'inexplicable, certes, mais que dire alors de toutes ces explications simplistes que les sectes religieuses dispensent à leurs ouailles pour attiser leur dévotion.

Le problème de toute réflexion, ce sont les postulats de départ. Non seulement ils sont tous faux de par les limites de la nature humaine, mais souvent la focalisation se fait sur un point de détail. Un point qui suppose l'adhésion à un empilement de postulats bancals préliminaires, emboités comme des poupées russes, et qui ne sont jamais remis en question.

C'est d'autant plus vrai sur les questions religieuses qui conduisent souvent à s'entre-tuer joyeusement au sujet du caractère sacré de la poussière émise par la fée clochette sans se sentir perturbé le moins du monde par l'admission implicite qui en découle de l'existence de Peter Pan et du pays imaginaire.

Il est des  mots comme "amour", "bien", "mal " que tout le monde prononce à tour de langue sans vraiment y penser, sans réaliser qu'ils ont un sens différent pour chacun quand seulement ils en ont un. Des mots qu'il est impossible de définir si ce n'est par des exemples et des analogies qui au mieux couvrent une partie seulement de la définition.

Beaucoup de réponses ont été données à ce que l'on doit faire au nom de Dieu. Mais toutes ces règles et tous ces dogmes n'abordent au mieux que de façon parcellaire  la définition de Dieu lui-même.

On tente d’ailleurs toujours, dans un réflexe d’autodéfense sectaire, de décourager l’analyse logique. Je crois que c’est Luther qui disait à ce sujet : « La logique est la putain du Diable ! »

Une des premières questions que l'on se pose quand on cherche à définir Dieu est de savoir s'il est infini ou, plus exactement, s'il est tout et en tout. En effet, de même qu'une droite est infinie et qu'il y a une infinité de droites, il pourrait y avoir une infinité de dieux infinis. Il faut donc que ce Dieu infini soit tous les infinis à la fois. S'il n'est qu'une partie - même si parlant d'infini on peut penser que la partie (infinie) est aussi grande que le tout (infini) - il n'est pas Dieu (unique) mais seulement dieu (potentiellement pluriel).

Si l'on croit en un dieu qui n'est pas infini et qui n'est pas tout et en tout:

1) il ne peut être considéré comme un dieu que dans la mesure où il est « supérieur » à l'homme, au même titre que les dieux grecs et romains ; un sous-dieu en quelque sorte,

2) cela n'exclut pas un Dieu infini qui « l'englobe » ni l'existence au-dessus de lui (le sous-dieu) d'une hiérarchie de dieux gigognes.

Donc, me direz-vous : « Dieu est infini !  Dieu est tout et en tout! Amen, problem solved!».

Oui, mais se pose alors immanquablement une autre question tout aussi fondamentale : « Dieu est-il conscient ? ».

Étymologiquement on ne peut être conscient qu'à l'intérieur d'une limite. Dieu n'a certes pas à répondre à des règles étymologiques qui ne sont qu'une louable tentative de transformer en mots manipulables des concepts qui échappent à l'entendement et à la perception du cerveau humain. On peut quand même admettre qu'il serait inquiétant de considérer qu'un Dieu infini et omniprésent pense comme un homme lequel est limité par ses capacités et sa vision partielle autant que temporelle de ce qu'il perçoit comme l'entourant. Dieu, ne pouvant avoir d'image ni de limite qui lui permettent de se définir (sans même parler de temps linéaire pour organiser une pensée), ne peut pas penser du tout ou, tout du moins, pas réfléchir. En tout cas, pas au sens ou nous l'entendons.

Tout ça pour dire que la croyance en un Dieu omniprésent, infini, conscient, parfait et bienveillant est un conglomérat d'oxymores cosmiques.

En outre, s'il est tout et en tout cela veut dire que nous faisons tous partie de lui, au même titre, non pas que les cellules, mais que les quarks des protons des atomes des cellules qui nous constituent. Autant dire que même si la notion de temporalité s'appliquait à ce Dieu infini pour lui permettre de donner une réalité à notre existence infiniment éphémère, il aurait probablement pour nous la même considération que celle que nous avons pour nos quarks. Ce n'est donc sûrement pas vers lui qu'il faut se tourner pour qu'il nous gratifie des bons numéros du loto en réponse à notre prière.

D'ailleurs, lorsqu'un individu se dilue dans quelque chose, on ne parle plus de conscient mais bien d'inconscient collectif.

Dieu ne peut donc être conscient et encore moins avoir des plans et une volonté au sens ou nous l'entendons.

Les dieux qui font l'objet de la plupart de nos dogmes religieux fondateurs, ne peuvent donc appartenir qu'à la seconde catégorie des sous-dieux, finis, imparfaits et conscients. Rendus à ce niveau, des extraterrestres feraient aussi bien l'affaire.

Une autre façon encore plus simple de poser le problème est de se demander si ce pléonasme qu’est un « Dieu parfait » pourrait avoir des besoins. La réponse est évidente. S'il a des besoins, notamment celui de créer, d'être vénéré et d'être aimé, il n'est pas parfait et ne peut être au mieux considéré que comme une entité supérieure (au sens de plus puissante).

On pourrait encore se creuser les méninges en déclinant la théorie du multivers et en s'interrogeant sur la notion de réalité, mais au delà d'un certain stade on tombe dans une forme de sodoku théologique qui ne peut conduire qu'à la prise de conscience de notre incompétence à trouver une réponse. La poursuite de la réflexion n'étant plus que de l'ordre du passe-temps plaisant, mais stérile.

Je ne dis donc pas qu'il n'y a rien, je dis simplement que les dogmes religieux, notamment dans leur version "grand public", sont à peu près aussi crédibles que le Père Noël ou la petite souris des dents. Ils nous font passer pour Dieu ce qui au mieux (c'est à dire si elle existe ou a existé) est une simple entité. Nos dieux sont trop à notre image (et non l'inverse) pour que nous ne les ayons créés.

Ces vastes entreprises d'escroquerie que sont à mon sens les religions, ne subsistent que parce qu'elles ont réussi à détourner à leur profit la foi et le sacré qui sont indispensables à la réalisation de l'Homme.

L'homme qui escalade la plus haute montagne, ne peut y parvenir que s'il a la foi. Et quand il regarde autour de lui perché sur le toit du Monde, il comprend ce qu'est le sacré (ah là certainement pas ! Quand il voit Giuseppe Belvedere oui !). Quand il voit naître son enfant, il comprend ce qu'est le sacré. Pas besoin de religion pour ça.

Pire, les religions, une fois le monopole acquis, se sont mises à sacraliser tout et n'importe quoi pour des raisons bassement intéressées : les rois, les reliques, les textes...
[vous oubliez le - historiquement ! -  plus important et manipulateur : la PROPRIETE ! Comme disait un journaliste bourgeois anglais de 1859 : « nos amis les savants veulent nous prouver qu’Adam et Eve n’ont jamais existé », s’ils y parviennent c’en sera fini de a religion, de la morale, et de la propriété"
on a compris ! les filoux ! et comme plus personne ne croit en Dieu maintenant ils nous refont le coup avec l’écologie » ! pauvre écologie!)

remplaçant le sacré ressenti (que l’on peut aussi éprouver je l'admets dans certains bâtiments religieux) par le sacré décrété qui plonge dans le doute, la rigidité et l'obscurantisme. Le sacré ressenti est universel et, de ce fait, est facteur de paix. Le sacré religieux décrété est relatif, subordonné à une foi et, de ce fait, facteur de guerre dès qu'il est confronté à un sacré différent.

Toutes les religions ont donc de fait en elles une potentialité de nuisance. Si l'on se limite à celles qui nous sont proches culturellement, on s’aperçoit que même si cette nocivité a pu évoluer selon les époques, elle reste entière encore aujourd’hui, sous une forme ou une autre.

 

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24/02/2024 | Lien permanent

bilan de ce qui se passe

Coronavirus et campagne forcenée pour le marquage du bétail humain - On sait aujourd’hui que le décompte des « morts du Covid » doit être radicalement remis en cause. - On sait aujourd’hui que les « vaccins anti-covid » ont provoqué de graves effets secondaires… ainsi que des morts par milliers ! - On se souvient que ceux qui osaient donner ces informations, il y a quelques mois à peine, étaient aussitôt traités « d’irresponsables » ou de « complotistes » ! Chacun doit se demander en conscience : qui sont donc ces gens qui ont pu se permettre de traiter les veilleurs, les lanceurs d’alertes, les informateurs responsables, des experts dans ces questions de santé, « d’irresponsables et de complotistes » ? Qui sont ces personnes arrogantes, habitées par le mensonge et méprisant à ce point l’humanité par leurs motivations égocentriques donnant raison à leurs conflits d’intérêts placés de ce fait bien au-dessus de toute conscience morale de base ? En réalité, l’humanité a toujours produit ce genre « d’anomalie  » (cf le texte intitulé « ce qui se passe c’est vieux comme le monde » http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2022/03/06/ce-... ) qu’elle a régulièrement été obligée de corriger, afin d’empêcher qu’elle ne conduise les humains à leur fin prématurée… La revue scientifique Nature et cette autre revue, The Lancet, qui veut sans doute se refaire une virginité (!), ont décidé toutes les deux de traiter objectivement les questions du décompte des morts de la Covid-19 et des myocardites provoquées à la chaîne par les injections dites anti-Covid. Selon ces deux revues et les scientifiques qui s’y prononcent, il y a 40% d’ « erreurs » dans le décompte des décès de la Covid-19. Ce décompte n’a servi qu’à fomenter la terreur de la mort et à préparer le terrain de la propagande pour la campagne de « vaccination », en réalité cette injection de nanotechnologie pour « le piratage des animaux humains » comme l’ont si bien formulé les pervers amis de Klaus Schwab du Forum Economique Mondial de Davos. Pour que ce marquage puisse fonctionner et donc pour que le « piratage des animaux humains » soit possible, il faut sans doute une quantité de graphène suffisante injectée dans le corps ; cela expliquerait la stratégie des « vaccinations » répétitives organisées dans le mensonge absolu (une dizaine de prévues, compte tenu des stocks achetés par l’UE) et d’où viendraient la colère et la volonté de Macron « d’emmerder » « affectueusement », dixit le « Young Global leader » de l’Élysée, tous ceux qui refusent de se faire marquer comme de vulgaires animaux domestiques du troupeau des  nouveaux « esclaves » ! Selon Harari, un grand ami de Klaus Schwab, la technologie du cloud, comme la plate-forme d’IBM ou celle de Bill Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution.
(boycottez les « clouds » ! n’y mettez JAMAIS vos données!)
« Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini. » « Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. » (de même que la technologie des chaînes a permis l’esclavage 1.0 l’esclavage antique. Relisez Marx) « En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées.» « Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … » « Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. » « Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Klaus Schwab. Ces hommes arrogants prétendent donc être plus intelligents que la nature et d’être désormais capables de façonner une vie qui sera supérieure à tout ce qui est vivant dans le monde ! Ce sont des gens pareils qui ont pris le pouvoir et qui nous imposent cet abominable transhumanisme dans lequel il n’y a plus trace de ce qu’est la beauté de la conscience et de la liberté qui est une manifestation de la conscience !1 Selon les scientifiques de ces deux revues spécialisées, Nature et The Lancet, les « injections » à ARN messager, n’avaient pas du tout une finalité sanitaire, comme on le dit déjà depuis le début de cette comédie pathétique (en se faisant traiter de « conspirationnistes » par les garde-chiourme de la propagandeLe 9 juin, Nature révèle dans le détail comment les experts de l’OMS ont pu compter 40% en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de la Covid-192. C’est la méthodologie utilisée à dessein par les experts de l’OMS, qui a permis aisément cette falsification. Les « modélisateurs » mathématiques qui ont été utilisés, étaient défaillants et cela se savait depuis le début. À son tour, The Lancet publiait le 11 juin quelque chose d’encore plus sidérant : une étude rétrospective pour comparer les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite aux injections des produits à ARNm de Pfizer et de Moderna.our les deux substances injectées, le risque était le même, c’est-à-dire, bien plus élevé que ce qui a été constaté habituellement chez les 18-25 ans, sachant que les données récoltées par la pharmacovigilance ont été largement insuffisantes du fait de la résistance des médecins à déclarer ce qu’ils constataient et compte tenu de la pression scandaleuse qui s’est exercée sur eux, les menaçant de suspension ou de radiation de l’Ordre des médecins…3

Les doses dites de « rappel » augmentaient ce risque et les médecins de ville, généralistes, constataient cette hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez les jeunes. Le ministre de la Santé allemand a admis, le 12 juin dernier, que la campagne d’injections dite « anti-Covid », avait eu pour effet principal, un affaiblissement du système immunitaire de ses concitoyens, ce qui expliquait désormais qu’ils étaient devenus plus vulnérables aux autres virus toujours existants ! (et aux cancers)

Selon les derniers chiffres officiels, 65 629 décès sont dus aux injections anti-Covid-19 et 10 439 642 effets indésirables graves ont été signalées au 24 février 2022 pour l’ensemble des pays de l’Union européenne, des USA, du Royaume-Uni…5

Les médias aux mains des milliardaires, qui se sont entendus pour soutenir la campagne de propagande à la demande des responsables du FEM de Davos voulant exploiter « la fenêtre d’occasion » qu’offrait cette fausse pandémie, se sont livrés corps et âme à la cause du « transhumanisme » qui se cachait derrière toutes ces aberrations que l’OMS elle-même avait répétitivement été obligée de démentir en se contredisant de multiples fois. Le Pr Perronne, ancien expert de l’OMS, nous expliquait dans une interview, que la fondation Bill Gates avait le un pouvoir total sur l’OMS, puisqu’elle est le sponsor principal, majoritaire des fonds attribués à l’OMS6.

Tout ce qu’a publié le professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s’opposent à leur agenda mondialiste et à leur « croyance obscurantiste sur la Covid- 19 ». À l’heure actuelle, le wokisme, le covidisme, le « vaccinalisme » et l’Ukraine ont fait de nos Taliban médiatiques des références doctrinales incontournables pour le triomphe de la vérité révélée par le dieu du Nouvel Ordre Mondial : les véritables scientifiques sont harcelés par la terreur de ces charlatans au service du système. (bref on voir réapparaître, continuité politique et idéologique, les nouveaux « calotins » ; les « imposteurs, le fanatisme et la superstition » comme disaient les philosophes du XVIIIè siècle) Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19, il y avait 140 malades par semaine pour 100 000 habitants ; pour une grippe normale c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100 000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis deux ans et demi, (chiffre qu’il faut encore revoir à la baisse, compte tenu des falsifications relevées récemment dans les statistiques rapportées par les organismes officiels !) Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus comme inutiles, (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence européenne du médicament » a déclaré en début d’année : « Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire »7,8.

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05/03/2024 | Lien permanent

la nature de la ”dette” et son rôle

Source :  http://www.bastamag.net/David-Graeber-La-forme-la-plus   

Capitalisme

David Graeber : La façon la plus simple de désobéir à la finance, c’est de refuser de payer les dettes 

La dette ? Une construction sociale, fondatrice d’un pouvoir arbitraire, estime David Graeber, anthropologue et économiste états-unien, considéré par le New York Times comme l’un des intellectuels les plus influents actuellement. Les pays pauvres et les personnes endettées sont aujourd’hui enchainés aux systèmes de crédit. Piégés dans des relations basées sur la violence, les inégalités et justifiées par la morale, décrit l’auteur, dans un ouvrage qui retrace 5000 ans d’histoire de la dette. « Rembourser ses dettes » est devenu un dogme, impossible à contester. Et si, malgré tout, on décidait d’effacer l’ardoise ? Avec le mouvement Occupy Wall Street, David Graeber lance des actions de désobéissance civile pour démontrer l’absurdité du système capitaliste actuel. Entretien.

Basta ! : A quel moment dans l’histoire le crédit est-il apparu ? Qu’est-ce qu’une dette ?

David Graeber [1] : La dette est une promesse, qui a été pervertie par les mathématiques et la violence. On nous a raconté une histoire : « Il était une fois des gens qui utilisaient le troc. Voyant que cela ne marchait pas très bien, ils ont créé la monnaie. Et l’argent nous a amené le crédit. » Du troc au crédit, une sorte de ligne droite nous amènerait donc à la situation actuelle. Si on regarde plus attentivement l’histoire, cela s’est passé bien différemment ! Le crédit a d’abord été créé. La monnaie physique est apparue quelques milliers d’années plus tard. Cela permet de poser les questions différemment : comment sommes-nous passés d’un système où les gens disaient « je vous dois une vache », à un système où l’on peut mesurer la valeur exacte d’une dette ? Ou l’on peut assurer, formule mathématique à l’appui, que « 340 poulets sont équivalents à cinq vaches » ? Comment une promesse, une obligation de remboursement, est devenue une « dette » ? Comment l’idée que nous devons une faveur a-t-elle été quantifiée ?

En quoi quantifier une dette est-elle un problème ?

Quantifiable, la dette devient froide, impersonnelle et surtout transférable : l’identité du créancier n’a pas vraiment d’importance. Si je promets de vous rencontrer à cinq heures demain, vous ne pouvez pas donner cette promesse à quelqu’un d’autre. Parce que la dette est impersonnelle, parce qu’elle peut être exigible par des mécanismes impersonnels, elle peut être transférée à une autre personne. Sans ces mécanismes, la dette est quelque chose de très différent. C’est une promesse qui repose sur la confiance. Et une promesse, ce n’est pas la négation de la liberté, au contraire, c’est l’essence de la liberté ! Être libre, c’est justement avoir la capacité de faire des promesses. Les esclaves ne peuvent pas en faire, ils ne peuvent pas prendre d’engagements auprès d’autres personnes, car ils ne sont pas sûrs de pouvoir les tenir. Être libre, c’est pouvoir s’engager auprès d’autrui.

Au contraire, le « remboursement de la dette » est devenu un dogme moral...

La dette a été transformée en une question d’arithmétique impersonnelle, en l’essence même de l’obligation morale. C’est ce processus que nous devons défaire. Il est fascinant aussi de voir le lien entre la notion de dette et le vocabulaire religieux, de constater comment les premières religions débutent avec le langage de la dette : votre vie est une dette que vous devez à Dieu. La Bible par exemple commence avec le rachat des péchés... Devenue dogme moral, la dette justifie les dominations les plus terribles. On ne peut comprendre ce qu’elle représente aujourd’hui sans un détour par cette longue histoire de la dette comme justification morale de relations de pouvoir inégales. Le langage de la dette permet de justifier une relation de pouvoir arbitraire. Et il est très difficile d’argumenter face à un pouvoir arbitraire sans adopter le même langage.

Vous citez l’exemple de la mafia...

Parler de dette devient un moyen pour décrire des relations inégales. Les mafieux ont compris cela : ils utilisent souvent le terme de dette, même si ce qu’ils font est en réalité de l’extorsion.  (les capitalistes aussi !) Quand ils annulent ou reportent certaines dettes, cela passe pour de la générosité ! C’est comme les armées qui font payer un tribut aux vaincus : une taxe en échange des vies épargnées. Avec le langage de la dette, on dirait que ce sont les victimes qui sont à blâmer. Dans de nombreuses langues, dette, culpabilité et péché sont le même mot ou ont la même racine.

La monnaie, qui permet de quantifier précisément la valeur d’une dette, apparaît d’ailleurs dans les situations de violence potentielle. L’argent est aussi né du besoin de financer les guerres. La monnaie a été inventée pour permettre aux États de payer des armées professionnelles. Dans l’Empire romain, la monnaie apparait exactement là où stationnent les légions. De la même façon, le système bancaire actuel a été créé pour financer la guerre. Violence et quantification sont intimement liés. Cela transforme les rapports humains : un système qui réduit le monde à des chiffres ne peut être maintenu que par les armes.

Il y a aussi une inversion : le créancier semble être devenu la victime. L’austérité et la souffrance sociale sont alors considérées comme un sacrifice nécessaire, dicté par la morale…

Absolument. Cela permet par exemple de comprendre ce qui se joue en Europe aujourd’hui. L’Europe est-elle une communauté de partenaires égaux ? Ou y a-t-il une relation de pouvoir entre entités inégales ? Est-ce que tout peut être renégocié ? Quand une dette est établie entre égaux, elle est toujours traitée comme une promesse. Nous renégocions des promesses tout le temps, car les situations changent : si je vous promets de vous voir demain à cinq heures, si ma mère meurt, je ne suis pas obligé de tenir ma promesse.

 

Les gens riches peuvent être incroyablement compréhensifs concernant la dette des autres riches : les banques états-uniennes Goldman Sachs et Lehman Brothers peuvent se concurrencer, mais quand quelque chose menace leur position générale de classe, soudain elles peuvent oublier toutes les dettes contractées si elles le veulent. C’est ce qui s’est passé en 2008. Des trillions de dollars de dettes ont disparu, parce que cela arrangeait les puissants. De la même façon des gens pauvres vont être très compréhensifs les uns envers les autres. Les prêts que l’on fait à des proches sont finalement souvent des cadeaux. C’est lorsqu’il y a des structures d’inégalités, que soudain la dette devient une obligation morale absolue. La dette des pauvres envers les riches est la seule à être vraiment « sacrée ». Comment se fait-il que Madagascar soit en difficulté quand il doit de l’argent aux États-Unis, mais que lorsque ce sont les États-Unis qui doivent de l’argent au Japon, c’est le Japon qui est en difficulté ?! Le fait notamment que les États-Unis ont une puissante armée change le rapport de force...

Aujourd’hui, on a l’impression que la dette a remplacé les droits : les droits à la formation ou au logement se sont transformés en droit au crédit ?

Certains utilisent leur maison pour financer leur vie en contractant de plus en plus de prêts hypothécaires. Leurs maisons deviennent des distributeurs de billets. Les micro-crédits pour faire face aux problèmes de la vie se multiplient, en substitution de ce qui était auparavant assuré par l’État-providence, qui donnait des garanties sociales et politiques. Aujourd’hui, le capitalisme ne peut plus offrir un bon « deal » à tout le monde. On sort de l’idée que chacun pourrait posséder un bout du capitalisme : aux États-Unis, chacun était censé pouvoir investir dans les entreprises, qui en fait exploitent chacun. Comme si la liberté consistait à posséder une part de notre propre exploitation.

Puis les banquiers ont transformé la dette en produits bancaires, échangeables comme de la monnaie...

C’est incroyable ! Il y a six ans, même des gens très intelligents disaient : « Que ces gens sont brillants, ils ont créé de l’argent à partir de rien ». Ou plutôt avec des algorithmes tellement complexes, que seuls des astrophysiciens pouvaient les comprendre. Mais cette incroyable sophistication s’est révélée être une escroquerie ! J’ai eu récemment des entretiens avec de nombreux astrophysiciens, qui m’ont affirmé que ces chiffres ne veulent rien dire. Tout ce travail semble très sophistiqué, mais en fait il ne l’est pas. Une classe de personnes a réussi à convaincre tout le monde qu’ils étaient les seuls à pouvoir comprendre. Ils ont menti et les gens les ont cru. Soudain, un pan de l’économie a été détruit, et on a vu qu’eux-mêmes ne comprenaient pas leurs instruments financiers.

Pourquoi cette crise n’a-t-elle pas changé notre rapport à la dette ?

A cause d’un profond déficit intellectuel. Leur travail idéologique a été tellement efficace que tout le monde est convaincu que le système économique actuel est le seul possible. Nous ne savons pas quoi faire d’autre. Alors nous posons un morceau de scotch sur le problème, prétendant que rien ne s’est passé. Où cela nous mènera-t-il ? A une nouvelle panne. Nous entrons désormais dans une nouvelle étape : celle du jeu défensif. Comme la plupart des justifications intellectuelles du capitalisme s’effondrent, ses promoteurs attaquent aujourd’hui toutes les alternatives possibles. En Grande-Bretagne, après la crise financière, la première chose qu’ont voulu faire les responsables économiques a été de réformer le système scolaire, pour le rendre plus compétitif. En réalité, le rendre plus semblable au système financier ! Pourquoi ? Sans doute parce que l’enseignement supérieur est un des seuls espaces où d’autres idées, d’autres valeurs, peuvent émerger. D’où la nécessité de couper court à toute alternative avant qu’elle ne puisse émerger. Ce système éducatif fonctionnait pourtant très bien jusqu’à présent, alors que le système financier a failli de manière spectaculaire. Il serait donc plus pertinent de rendre le système financier semblable au système éducatif, et non l’inverse !

Aujourd’hui, aux États-Unis, des gens sont emprisonnés pour incapacité à rembourser leurs dettes. Vous citez l’exemple d’un homme condamné à la prison en 2010 dans l’État de l’Illinois pour une durée illimitée, tant qu’il n’aura pas réussi à rembourser 300 dollars...

Aux États-Unis, des gens sont emprisonnés parce qu’ils n’ont pas réussi à payer les frais de citation en justice. Alors qu’il est presque impossible de poursuivre des banques pour des saisies illégales ! Les banques peuvent toujours aller voir la police pour leur demander de vous arrêter pour défaut de paiement, même si tout le monde sait qu’il s’agit d’une saisie illégale. Pouvoir financier et pouvoir politique sont en train de fusionner. Police, collecteurs d’impôts, les personnes qui vous expulsent de vos maisons, opèrent directement dans l’intérêt des institutions financières. Peu importe votre revenu, un robot signe votre expulsion et la police vous fait sortir de votre maison.

Aux États-Unis, tout le monde croyait faire partie de la classe moyenne. Ce n’est pas vraiment une catégorie économique, plutôt une catégorie sociale et politique : on peut considérer que font partie de la classe moyenne les citoyens qui se sentent plus en sécurité quand ils voient un policier, que l’inverse. Et par extension, avec toutes les autres institutions, banques, écoles... Aujourd’hui, moins de la moitié des Américains considèrent qu’ils font partie de la classe moyenne, contre les trois quarts auparavant. Si vous êtes pauvres, vous supposez que le système est contre vous. Si vous êtes riches, vous avez tendance à croire que le système est avec vous. Jusqu’à présent aucun banquier n’a été mis en prison pour des actes illégaux durant la crise financière. Et des centaines de manifestants ont été arrêtés pour avoir tenté d’attirer l’attention sur ces faits.

La dette provoque toujours contestation et désordre dans les sociétés, écrivez-vous. Et depuis 5000 ans, les insurrections populaires commencent très souvent par la destruction des registres de dette...

La dette semble être le plus puissant des langages moraux jamais créés pour justifier les inégalités et les rendre « morales ». Mais quand tout explose, c’est avec une grande intensité ! L’historien britannique Moisis Finley défendait l’argument que dans le monde antique, il n’y avait qu’une seule demande révolutionnaire : abolir les dettes, et ensuite redistribuer les terres. De la décolonisation de l’Inde à l’Amérique latine, les mouvements d’abolition des dettes semblent partout une priorité. Lors de révolutions paysannes, une des premières actions des insurgés est de trouver les registres de dettes pour les brûler. Puis les registres de propriété des terres. La raison ? La dette, c’est pire que si vous dites à quelqu’un qu’il est inférieur, esclave, intouchable. Car cela signifie : « Nous ne sommes pas fondamentalement différents, vous devriez être mon égal, mais nous avons conclu un contrat d’affaires et vous avez perdu. » C’est un échec moral. Et cela peut engendrer encore plus de colère. Il y a quelque chose de profondément insultant, dégradant avec la dette, qui peut provoquer des réactions très violentes.

Vous réclamez un jubilé, c’est-à-dire un effacement des dettes – dettes souveraines des États mais aussi dettes individuelles. Quel impact économique cela aurait-il aujourd’hui ?

Je laisse les détails techniques aux économistes... Cela supposerait notamment de revenir à un système public pour les pensions de retraite. Les précédentes annulations de dettes n’ont jamais concerné toutes les dettes. Mais certains types de dettes

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24/01/2014 | Lien permanent

les assasinats politiques - une constante de l'histoire, une pratique fréquente des puissants y compris les puissances a

 
 
 
 
 
 
 
Un article synthétique et très pénétrant paru sur Cameroonvoice :
 
 
 

Lorsqu'on évoque les mots violence et politique, nous autres Africains visualisons en général, les répressions féroces, les guerres tribales, et toutes les autres formes endogènes de violence qui sévissent sur le continent. Bien que ces brutalités intra-africaines coutent très cher à l'Afrique, et font de nos dirigeants, les champions apparents de la violence politique, un examen plus approfondi des relations internationales nous fait découvrir une toute autre réalité. Beaucoup d'africains, même lorsqu'ils sont mis devant des évidences probantes de cette violence exogène ont du mal à l'assimiler et admettre sa réalité. Tellement elle surpasse les limites de la méchanceté que leur culture d'africains peut leur permettre d'imaginer et d'appréhender. Cela constitue l'une de nos faiblesses majeure que nos ennemis exploitent allègrement.

 

L'une des choses que nous, Africains avons encore du mal à intégrer dans notre subconscient c'est le degré de violence dans lequel le monde fonctionne. Bien que nous ayons beaucoup travaillé ces dernières années de violence terroriste pour arrêter d'interpréter la marche du monde sous le prisme de notre culture, nous avhttp://miiraslimake.unblog.fr/wp-admin/edit.phpons encore des difficultés à en apprécier le niveau de corruption, de perversité et la notion d'élimination physique.
Nos dirigeants politiques ont pour la plupart une compréhension moyenne du degré de cynisme et de cruauté de leurs interlocuteurs occidentaux. Comme conséquence, ils continuent d'être les victimes de gens dont ils se réclament des amis. Ils ont du mal à comprendre le ridicule de se réclamer l'ami d'individus incapables du moindre sentiment d'amitié même vis-à-vis de leurs propres frères de race.
Pourtant les cas du Capitaine Thomas Sankara assassiné par le couple Mitterrand-Chirac ou celui, un peu plus récent du président Kabila père qui s'est fait tirer dessus par un de ses gardes-du-corps devraient leur servir de rappel.  Nos leaders ont souvent été eux-mêmes directement ou à mots couverts menacés dans les salons lambris des palais de leurs hôtes. Et la liste est sans fin.
Mais lorsqu'un leader africain mal-aimé de certains pays va se soigner à l'étranger, c'est qu'il y a encore beaucoup de chemin à faire dans la compréhension du monde. Peut-être croient-ils que les hôpitaux constituent un sanctuaire ou une « safe zone » du fait du serment d'Hippocrate que prêtent les médecins. C'est justement dans ces endroits de vulnérabilité physique et émotionnelle que certaines personnalités autrement difficiles d'atteinte sont éliminées de façon sournoise. Sékou Toure est mort de façon inattendue dans un hôpital aux Etats-Unis. Le cas de Yasser Arafat, rapidement évacué et mort dans un hôpital parisien de façon soudaine et très suspicieuse que certains à juste titre qualifient d'assassinat vient également à l'esprit. Il aurait été empoisonné avec la complicité de ses proches et la bénédiction de l'administration Bush-fils qui le déclara un obstacle aux négociations de paix le condamnant de fait à mort.
Dans ces hôpitaux, très souvent, on aggrave la condition du malade qu'on veut éliminer et on l'accompagne dans sa mort par l'injection de substances difficilement détectables à l'autopsie, qui agissent lentement et qui miment la mort naturelle. C'est fait de façon très subtile parfois difficile à soupçonner. C'est pour cela que les visites médicales à l'étranger du président  Muhammadu Buhari, leader d'une nation riche et au centre des convoitises sur l'Afrique sont très risquées. Pensez-vous que Fidel Castro aurait vécu longtemps s'il s'était soigné aux Etats-Unis ou que le président Laurent Gbagbo serait encore en vie s'il fréquentait les hôpitaux parisiens après le début de la crise ivoirienne? Cette observation s'adresse aussi au président Paul Biya bien qu'il soit un peu protégé du fait que son élimination ne mette pas automatiquement au pouvoir un agent de nos prédateurs. De toute façon, ca ne fait pas de sens d'aller se soigner dans les bras d'Etats qui vous font la guerre depuis la nuit des temps.

Tous les Etats Assassinent 
Pour avoir une idée de la façon dont le monde fonctionne réellement, il faudrait regarder le premier film de la série, le Parrain et même mieux, toute la série. Cette comparaison n'est pas exagérée. On pourrait même dire que ce film donne une pâle version de la réalité des affaires dans le monde. Apres tout, le parrain ne fait pas sauter un bus plein de voyageurs pour éliminer un ennemi. Les mafiosi de ces temps avaient quand même un semblant de code d'honneur. Les acteurs du monde politique ou financier n'en ont aucun, et on assassine partout.


Toute personne influente, détenant une position stratégique ou dont l'activisme gène des intérêts puissants est susceptible de se faire éliminer. Journalistes, hommes politiques, hommes d'affaires ou activistes font partie de cibles potentielles. On assassine en Afrique, en Europe, en Amérique, en Asie et même au Vatican. On se rappelle bien que le Pape Jean-Paul 1er avait été empoisonné par ses pairs, 33 jours seulement après qu'il soit devenu Pape. Il avait eu la détestable idée de procéder à des reformes financières qui gênaient des cardinaux et banquiers puissants du Vatican. Il but son the un soir au coucher et ne se réveilla plus. Cette histoire est racontée en détail dans Au Nom de Dieu, un livre écrit par David Yallop et que l'on peut trouver gratuitement online.


Les deux seules raisons pour lesquelles on ne tuerait pas une personne, c'est qu'on ne puisse le faire, ce qui est très rare. En effet, bien que des présidents tels que Fidel Castro ou Kim Jung-Un de Corée du Nord soient difficiles à éliminer physiquement, Il n y a pratiquement aucune personne au monde qui puisse prétendre être inaccessible. Même les chefs d'Etats des pays développés que l'on croit bien protégés ne le sont que pour des gens ordinaires. Lorsque la finance mondiale veut se débarrasser de l'un d'eux, on passe par ses propres services de protection, à moins que les conséquences d'une élimination physique soient graves pour les commanditaires. Ce qui nous amène à la seconde raison.

Les conséquences de l'élimination physique d'une personnalité politique ou des affaires sont la raison principale pour laquelle on hésite à le faire. C'est en réalité dans la plupart des cas la seule véritable raison. Elles peuvent par exemple ternir l'image des commanditaires ou provoquer des troubles sociaux ou une crise politique. C'est pour cela que, dans ce dernier cas, on procède d'abord au ternissement de l'image de la personne ciblée. C'est ce qui s'est passé avec le président Saddam Hussein, le colonel Kadhafi et ce qui a failli se passer avec le président Bashar Al-Assad, n'eut été l'intervention militaire de la Russie en Syrie. Ces leaders ne sont pas des enfants de cœur, on le concède, mais pour éviter que leur élimination ne soit perçue dans les sociétés occidentales comme un acte d'accaparement des richesses,  on les accuse à tort de vouloir décimer une partie de leurs populations.


Dans les pays plus avancés d'Europe et surtout d'Amérique, un scandale sexuel ou financier est en général suffisant. On procède le plus souvent à une élimination politique à travers des artifices juridiques comme dans le cas de Dominique Strauss Kahn, l'ancien dirigeant du FMI, candidat sérieux à la présidence française de 2012. En plus, il avait eu la fâcheuse idée de donner son accord de principe personnel au projet de création d'une monnaie africaine du Colonel Kadhafi.


Le Cas des Pays Africains
Dans le film Le Parrain, au cours d'une réunion de réconciliation tenue après une guerre entre familles qui aura couté des vies humaines, Don Corleone, le parrain annonce son intention de faire revenir  à New York son fils qu'il avait envoyé en Italie pour le protéger de ce conflit. Il met alors en garde ses pairs, les autres chefs de famille de la mafia New Yorkaise contre tout incident aussi naturel que possible pouvant causer la mort de son fils. Il savait que la véritable protection ne se limitait pas à des gardes-du-corps mais devait inclure des accords passés avec les autres acteurs influents  de la vie sociale newyorkaise. C'est l'une des raisons pour lesquelles certains chefs d'Etat africains comme le président Paul Biya recourent au soutien de pays influents non seulement connus pour leur expertise en matière de sécurité, mais ayant un certain poids diplomatique.


Comme dans le parrain la véritable protection du fils de Don Corleone venait de l'influence de son père. Dans le monde politique, la véritable protection dépend aussi du poids diplomatique de la puissance qui protège. Dans le cas du Cameroun, Israël fait savoir à tous les autres pays que la protection des leaders politiques est son business et qu'il n'aimerait pas voir esquinter leur réputation par l'élimination physique de l'un de leurs clients. En outre, assassiner le président Paul Biya aurait des conséquences imprévisibles qui pourraient plonger le pays dans le chaos et interférer avec les affaires des multinationales installées au Cameroun. C'est en partie pour entretenir cette situation qu'il a pendant longtemps résisté à établir un processus visible et lisible de succession.


Hiérarchie dans les assassinats
Il ne viendrait a personne ni à aucun gouvernement au monde d'essayer d'assassiner un Rockefeller ou un Rothschild parce qu'ils sont les plus proches du sommet de la hiérarchie mondiale. Pour appréhender ce concept, revoyons la hiérarchie des dirigeants mondiaux telle que l'a décrite Paul Daniel Bekima dans son article, Afrique, Comment Briser les Chaines de la Domination Etrangère : Qui Contrôle Vraiment l'Afrique ? Il a classé les leaders en 4 catégories allant des plus influents aux plus petits :


•    Ceux qui contrôlent la finance mondiale : Les Maitres du monde
•    Les architectes : ceux qui conçoivent, planifient et recrutent les exécutants parmi lesquels on retrouve des individus tels que les Henri Kissinger, George Soros, Zbigniew Brzezinski ou Jacques Attali.
•    Les Exécutants et Organisateurs  qui sont constitués de chefs d'Etats et Premier Ministres des pays Occidentaux
•    Les exécutants de niveau subalternes parmi lesquels on retrouve leaders africains
Selon cette hiérarchie, les leaders africains éliminent les opposants politiques, journalistes et activistes  ou hommes d'affaires qui les gênent. A leur tour, ils se font liquider par les leaders des pays puissants dès que leurs choix politiques interfèrent avec les intérêts de ces pays et de leurs multinationales. Puis, lorsque ces leaders étrangers refusent de jouer le jeu, (ce qui est rare car ceux qui portent un projet de société utile au peuple se font rapidement intimider) comme dans le cas du président John F. Kennedy, ils se font éliminer par le système comprenant les services de renseignement et la classe politique aux mains des maitres du monde.


Nous croyons que c'est ce genre de menaces que l'on a mis sur la table du président Trump pour le ramener à l'ordre et l'amener à briser ses promesses de campagne. Ayant vu en lui suffisamment de courage pour combattre l'appareil sécuritaire et militaire américain, la presse et la quasi-totalité de la classe politique et contrarier leur projet de domination mondiale, les maitres du monde et leurs relais ont dû lui envoyer un émissaire lui faire « une proposition qu'il ne peut refuser » selon les termes du parrain. On a dû lui dire de jouer le jeu comme Obama et ses prédécesseurs et s'en sortir avec des honneurs et une librairie présidentielle ou continuer dans sa lancée et exposer et sa famille et lui à la destruction et même à la  mort. Il est encore tôt pour être ferme sur cette conclusion. Observons encore.


Les maitres du monde exercent un contrôle plus étroit que les élus politiques sur l'appareil sécuritaire de ces pays à travers l'adhésion des chefs de ces services de sécurité aux sociétés secrètes créés et contrôlées par les maitres du monde. N'oublions pas que chaque nouveau président ou premier ministre n'est qu'un nouveau-venu dans un système qui existe depuis des centenaires. La plupart d'entre eux sont d'ailleurs des outsiders du système qui ne savent pas toujours bien comment le monde fonctionne vraiment jusqu'à ce qu'ils prennent le pouvoir. C'est donc à dessein que l'on favorise l'ascension au pouvoir de jeunes et impressionnables leaders tels que Justin Trudeau du Canada, Matteo Renzi d'Italie ou Emmanuel Macron de France. Ils n'ont pas encore de réseau de soutien propres à eux et appliquent avec un air de reconnaissance les ordres de leurs agents recruteurs.

Dans ces pays avancés, il arrive que le système règle ses comptes en dehors de l'action des maitres du monde et élimine  ses éléments qui deviennent gênants de par leur façon de faire ou de vivre. C'est ainsi que la princesse Diana avait été éliminée, avec, on peut bien l'imaginer l'approbation et même sur ordre de la cour royale d'Angleterre. On lui reprochait une relation amoureuse embarrassante avec Dodi Al-Fayed, un arabe et musulman.

Pourquoi La Justice ne fait rien ?
Quelle justice ? Se poser même cette question relève un tout petit peu de la naïveté. La plupart des assassinats dans les pays avancés sont maquillés sous forme de suicide, de crise cardiaque, d'infection pulmonaire terminale, de noyade,  ce qui permet à la justice de jouer le jeu. La plupart des juges d'un certain niveau font partie de ces sociétés secrètes d'obédience professionnelle, sociopolitiques ou spirituelle, comprennent ce jeu et font semblant. Les autres, comme le brave juge Giovanni Falcone d'Italie qui livrait une guerre contre la Cosa Nostra, la mafia italienne, se font éliminer. En effet, malgré le fait qu'il fut sous forte protection et qu'il se déplaçât en secret utilisant des avions gouvernementaux, il avait été tué en 1992 par la pose d'une charge d'explosifs d'une tonne sous une autoroute par laquelle il passait. Il est évident que les commanditaires de cet assassinat avaient des complicités dans l'appareil de l'Etat. Enfin, n'oublions pas que les juges et magistrats sont nommés par le pouvoir exécutif, donc sont sous contrôle. Ceux qui désirent avoir une bonne carrière la ferment.


Le Meilleur Moyen Et Endroit Pour Assassiner ?
Les assassinats se font de préférence dans le pays d'origine de la cible pour créer la confusion sur les commanditaires possibles car dans ce cas, on peut accuser les autorités ou d'autres adversaires locaux. Si cela n'est pas possible, on le fait dans un pays ami comme dans le cas de Felix Moumie, le leader nationaliste de l'UPC camerounais qui s'est fait empoisonner en Suisse par les services de renseignement français. C'est aussi le cas lorsque la princesse Diana se fait éliminer en France, théoriquement loin du bras armé des services de renseignement britanniques.


L'élimination en pays ami et étranger permet aux commanditaires de prétendre l'innocence tout en travaillant en complicité avec les services de sécurité de ce pays pour couvrir le meurtre. Cependant, le scenario idéal serait qu'une personne ciblée, meure dans un pays ami. Par exemple, un activiste camerounais visé par la France qui se fait écraser par une voiture ou se fait agresser au Tchad est vraiment le meilleur tableau pour eux.


De la même façon, les méthodes d'élimination physique sont diverses. Elles sont discrètes pour la plupart, à moins que l'on ne veuille passer un message fort à une personne et inscrire la peur dans les cœurs. On peut se faire éliminer par une injection dans un hôpital, en se noyant dans sa propre piscine, en tombant d'un immeuble, au cours d'une agression simulée, dans un accident de voiture ou d'avion ou d'un empoisonnement. Aujourd'hui, des assassins sont capables de prendre à distance le contrôle de logiciel qui gère une voiture et provoquer un crash. C'est pourquoi les morts subites dans de tableaux similaires de Noé Ndjebet Massoussi et de Blaise Tanonkou Kamgang, respectivement Directeur de Publication du Sphinx Hebdo et co-fondateur de Cameroonvoice, organes de presses engagés dans la diffusion d'une information décomplexée restent très suspectes. Ces deux héros africains étaient au centre d'organes de presse qui informent les Africains sur la réalité du monde. Dommage que l'on n'ait pas procédé à des autopsies.


Lorsque les intérêts le justifient aux yeux des entités prédatrices, on est capable de provoquer un accident d'un bus de voyage ou le crash d'un avion, sacrifiant des dizaines de voyageurs simplement parce que l'on veut éliminer un individu. Ce scenario marche en général bien car la mort de plusieurs personnes dans une catastrophe cache l'assassinat.

 

pour lire la suite de l'article : http://cameroonvoice.com/news/article-news-29729.html

Gabriel Makang

 

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09/06/2017 | Lien permanent

contre les va KS hein !, contre les masques déshumanisants, contre les mensonges autour du Covid et la politique fascist

Ainsi, le nombre de tests positifs quotidiens (moyenne sur les 7 derniers jours) est passé de 741 772/j le 12 janvier 2021 à 358 822/j le 19 février 0h00 GMT. Cette baisse est continue depuis 7 semaines et s’accélère de jour en jour sans pouvoir être attribuée au vaccin puisqu’elle concerne tous les continents et tous les pays, vaccinés ou non, confinés ou non et qu’elle a débuté avant que la vaccination puisse avoir le moindre effet. Notons que cette baisse paraît la plus forte dans des pays non ou peu vaccinés et confinés.

(comme chantait pierre Dac sur radio-Londres "ils l'ont dans l'dos !" et de nos jours Florian Philippot les raille dans un brillant disrcours :

POUR NOTRE DIGNITE D'HOMMES ET DE FEMMES 

https://ru-clip.net/video/Mcui92qgLTo/3%C3%A8me-vague-ce-qu%E2%80%99ils-mijotent-raoult-et-la-riposte.html

Censure censure ! totalitarisme capitaliste  !  Gestapo !  bon, passons à SARA CUNIAL donc :

"Ce qui se perpétue contre les enfants est un acte criminel digne du régime nazi" (tiens justement relisez mon billet sur "quelques détails du régime nazi", si vous ne me croyez pas ! à l'époque c'était le salut hitlérien, maintenant le masque, mais fondamentalement c'est pareil justement, et fondé sur les mêmes réactions psychologiques !) 

 

La deputata ex grillina ora al gruppo Misto e convinta No Vax sabato sarà in piazza San Giovanni. "Questa è un'emergenza democratica. Sono contraria al vaccino anti-influenzale". E sulle misure di sicurezza nelle scuole aggiunge: "Quello che si sta perpetuando ai danni dei bambini è un atto criminale degno del peggior regime nazista"

07 ottobre 2020
Sarà in piazza con i sovranisti, Sara Cunial, l'ex 5S e ora deputata del Gruppo Misto, convinta No Vax. La 41enne, di Bassano del Grappa, è tra i sostenitori della tanto discussa 'Marcia per la Liberazione', organizzata per sabato alle 14 in piazza San Giovanni a Roma e sostenuta anche dall'attore Enrico Montesano. Ci sarà "perché condivide tutti i principi che hanno dato origine all'evento", spiega Cunial. Ossia "basta neoliberalismo" e per "chiedere una profonda svolta, contro un governo schiavo dell'Unione europea e della grande finanza", come sostengono gli organizzatori. Cunial, che non usa deliberatamente la mascherina, è stata già protagonista di diversi episodi in piazza e nel Palazzo: dalle polemiche contro i vaccini alla protesta alla Camera ad aprile quando aveva strappato un dpcm definendolo "incostituzionale". E ora dice la sua anche sulla manifestazione dei sovranisti: attacca il governo e soprattutto le misure per arginare i contagi da coronavirus perché questa non è "un'emergenza sanitaria, ma democratica".

Cunial, perché sostiene questa manifestazione?
"Sono stata invitata dagli organizzatori e ho accettato di esserci, condividendo i principi con cui è nata questa protesta. Anche io vedo in questa fantomatica emergenza il colpo di coda di un sistema neoliberista che ha portato l'umanità al baratro: economicamente, ecologicamente e spiritualmente. Penso che, oggi come in passato, quando sono violate le libertà fondamentali e i diritti garantiti dalla nostra Costituzione, ribellarsi e manifestare il proprio dissenso sia un diritto e un dovere di ogni cittadino. E questo è il momento di farlo: questa non è un'emergenza sanitaria, questa è un'emergenza democratica e tutti noi siamo chiamati ad agire di conseguenza".

La notizia è di poche ore fa: è stato prorogato lo stato di emergenza per il Covid fino al 31 gennaio. Lei ha votato e come?
"Non ero presente in aula, ma avrei comunque votato contro la proroga, così come ho sempre votato contro tutti i provvedimenti legati alla cosiddetta emergenza".

È in arrivo un nuovo Dpcm. "Liberazione", per lei, va intesa anche da tutte le misure restrittive anti-Covid?
"Certamente. Anche se credo che la prima vera liberazione debba essere dalla paura: la paura atavica di ammalarsi e di morire, usata oggi più che mai dal potere per renderci schiavi e inermi. Ma anche la paura di essere diversi e giudicati. La paura di alzare la testa e agire coerenza e consapevolezza. La paura di cambiare e di rinascere, con una nuova visione".

E sull'uso della mascherina? Continuerà a non usarla oppure sabato la indosserà in piazza?
"Non ho mai utilizzato la mascherina nelle tante manifestazioni a cui ho aderito, ho sempre ricambiato gli abbracci delle persone e non mi sono mai sentita in pericolo dalla vicinanza, anzi. Non ho intenzione di vivere nel terrore, né tantomeno di sopprimere la nostra vera natura, che è sociale".

Sulla riapertura delle scuole, invece, e su tutte le disposizioni che riguardano bambini e docenti cosa pensa?
"Quello che si sta perpetuando ai danni dei bambini è un atto criminale degno del peggior regime nazista. A livello fisico e mentale si sta distruggendo l'infanzia, annichilendo le loro anime e coscienze. Così facendo non solo si nega la vita a intere generazioni ma si annienta anche la memoria di tutti noi e con essa il futuro dell'umanità. Tutto ciò è gravissimo".

Conosciamo la sua posizione sui vaccini. È contraria anche al vaccino anti-influenzale?
"Parliamo del vaccino antinfluenzale che secondo uno studio scientifico del Dipartimento della Difesa Usa aumenterebbe del 36% l'incidenza di co-infezione proprio da coronavirus, a causa di un fenomeno definito di interferenza virale da vaccino? Quel vaccino antinfluenzale che l'anno scorso è stato somministrato a tappeto proprio a Brescia e Bergamo, città capofila in Italia, nella stagione 2019/2020 nella somministrazione di vaccini antinfluenzale e Meningocco C? Le stesse città che poi si sono tramutate nelle zone rosse per decessi definiti da Covid? Sì, sono contraria. Non lo farò e sconsiglierò a chiunque me lo chieda di farlo".

en français : L'ancien député grillina maintenant dans le groupe mixte et convaincu que No Vax sera sur la Piazza San Giovanni samedi. "C'est une urgence démocratique. Je suis contre le vaccin contre la grippe." Et sur les mesures de sécurité dans les écoles, il ajoute: "Ce qui se perpétue contre les enfants est un acte criminel digne du pire régime nazi"


( et à 6 minutes 30 : https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/27_Plus-c'est-gros:7  )

"et Je pense qu'aujourd'hui comme par le passé, lorsque les libertés et droits fondamentaux garantis par notre Constitution sont violés, se rebeller et exprimer sa dissidence est un droit et un devoir de tout citoyen. "

" j'ai toujours rendu les câlins des gens et je ne me suis jamais senti en danger par la proximité. Je n'ai pas l'intention de vivre dans la terreur, ni de réprimer notre vrai nature, qui est sociale ».

La deputata ex grillina ora al gruppo Misto e convinta No Vax sabato sarà in piazza San Giovanni. "Questa è un'emergenza democratica. Sono contraria al vaccino anti-influenzale". E sulle misure di sicurezza nelle scuole aggiunge: "Quello che si sta perpetuando ai danni dei bambini è un atto criminale degno del peggior regime nazista"

07 ottobre 2020
Sarà in piazza con i sovranisti, Sara Cunial, l'ex 5S e ora deputata del Gruppo Misto, convinta No Vax. La 41enne, di Bassano del Grappa, è tra i sostenitori della tanto discussa 'Marcia per la Liberazione', organizzata per sabato alle 14 in piazza San Giovanni a Roma e sostenuta anche dall'attore Enrico Montesano. Ci sarà "perché condivide tutti i principi che hanno dato origine all'evento", spiega Cunial. Ossia "basta neoliberalismo" e per "chiedere una profonda svolta, contro un governo schiavo dell'Unione europea e della grande finanza", come sostengono gli organizzatori. Cunial, che non usa deliberatamente la mascherina, è stata già protagonista di diversi episodi in piazza e nel Palazzo: dalle polemiche contro i vaccini alla protesta alla Camera ad aprile quando aveva strappato un dpcm definendolo "incostituzionale". E ora dice la sua anche sulla manifestazione dei sovranisti: attacca il governo e soprattutto le misure per arginare i contagi da coronavirus perché questa non è "un'emergenza sanitaria, ma democratica".

Cunial, perché sostiene questa manifestazione?
"Sono stata invitata dagli organizzatori e ho accettato di esserci, condividendo i principi con cui è nata questa protesta. Anche io vedo in questa fantomatica emergenza il colpo di coda di un sistema neoliberista che ha portato l'umanità al baratro: economicamente, ecologicamente e spiritualmente. Penso che, oggi come in passato, quando sono violate le libertà fondamentali e i diritti garantiti dalla nostra Costituzione, ribellarsi e manifestare il proprio dissenso sia un diritto e un dovere di ogni cittadino. E questo è il momento di farlo: questa non è un'emergenza sanitaria, questa è un'emergenza democratica e tutti noi siamo chiamati ad agire di conseguenza".

La notizia è di poche ore fa: è stato prorogato lo stato di emergenza per il Covid fino al 31 gennaio. Lei ha votato e come?
"Non ero presente in aula, ma avrei comunque votato contro la proroga, così come ho sempre votato contro tutti i provvedimenti legati alla cosiddetta emergenza".

È in arrivo un nuovo Dpcm. "Liberazione", per lei, va intesa anche da tutte le misure restrittive anti-Covid?
"Certamente. Anche se credo che la prima vera liberazione debba essere dalla paura: la paura atavica di ammalarsi e di morire, usata oggi più che mai dal potere per renderci schiavi e inermi. Ma anche la paura di essere diversi e giudicati. La paura di alzare la testa e agire coerenza e consapevolezza. La paura di cambiare e di rinascere, con una nuova visione".

E sull'uso della mascherina? Continuerà a non usarla oppure sabato la indosserà in piazza?
"Non ho mai utilizzato la mascherina nelle tante manifestazioni a cui ho aderito, ho sempre ricambiato gli abbracci delle persone e non mi sono mai sentita in pericolo dalla vicinanza, anzi. Non ho intenzione di vivere nel terrore, né tantomeno di sopprimere la nostra vera natura, che è sociale".

Sulla riapertura delle scuole, invece, e su tutte le disposizioni che riguardano bambini e docenti cosa pensa?
"Quello che si sta perpetuando ai danni dei bambini è un atto criminale degno del peggior regime nazista. A livello fisico e mentale si sta distruggendo l'infanzia, annichilendo le loro anime e coscienze. Così facendo non solo si nega la vita a intere generazioni ma si annienta anche la memoria di tutti noi e con essa il futuro dell'umanità. Tutto ciò è gravissimo".

Conosciamo la sua posizione sui vaccini. È contraria anche al vaccino anti-influenzale?
"Parliamo del vaccino antinfluenzale che secondo uno studio scientifico del Dipartimento della Difesa Usa aumenterebbe del 36% l'incidenza di co-infezione proprio da coronavirus, a causa di un fenomeno definito di interferenza virale da vaccino? Quel vaccino antinfluenzale che l'anno scorso è stato somministrato a tappeto proprio a Brescia e Bergamo, città capofila in Italia, nella stagione 2019/2020 nella somministrazione di vaccini antinfluenzale e Meningocco C? Le stesse città che poi si sono tramutate nelle zone rosse per decessi definiti da Covid? Sì, sono contraria. Non lo farò e sconsiglierò a chiunque me lo chieda di farlo".

en français : L'ancien député grillina maintenant dans le groupe mixte et convaincu que No Vax sera sur la Piazza San Giovanni samedi. "C'est une urgence démocratique. Je suis contre le vaccin contre la grippe." Et sur les mesures de sécurité dans les écoles, il ajoute: "Ce qui se perpétue contre les enfants est un acte criminel digne du pire régime nazi"

07 octobre 2020
Sara Cunial, l'ancienne 5S et désormais députée du Groupe Mixte, sera sur la place avec les souverainistes, convaincu du No Vax. Le joueur de 41 ans de Bassano del Grappa est l'un des soutiens de la très discutée «Marche pour la libération», organisée samedi à 14 heures sur la Piazza San Giovanni à Rome et également soutenue par l'acteur Enrico Montesano. Il sera là "car il partage tous les principes qui ont donné lieu à l'événement", explique Cunial. En d'autres termes, «assez de néolibéralisme» et «demander un changement profond contre un gouvernement esclave de l'Union européenne et la grande finance», comme le prétendent les organisateurs. Cunial, qui délibérément n'utilise pas de masque, a déjà été le protagoniste de plusieurs épisodes sur la place et au Palais: de la polémique contre les vaccins à la contestation à la Chambre en avril où il avait arraché un dpcm le qualifiant d '"inconstitutionnel". Et maintenant, il a aussi son mot à dire sur la manifestation des souverains: il attaque le gouvernement et surtout les mesures pour endiguer les infections à coronavirus car il ne s'agit pas "d'une urgence sanitaire, mais démocratique".

Cunial, pourquoi soutenez-vous cette démonstration?
«J'ai été invité par les organisateurs et j'ai accepté d'être là, partageant les principes avec lesquels cette manifestation est née. Je vois aussi dans cette urgence fantôme le contrecoup d'un système néolibéral qui a conduit l'humanité au gouffre: économiquement, écologiquement et Je pense qu'aujourd'hui comme par le passé, lorsque les libertés et droits fondamentaux garantis par notre Constitution sont violés, se rebeller et exprimer sa dissidence est un droit et un devoir de tout citoyen. Et c'est le moment de le faire: ce n'est pas une urgence sanitaire, c'est une urgence démocratique et nous sommes tous appelés à agir en conséquence ».

La nouvelle est arrivée il y a quelques heures: l'état d'urgence pour Covid a été prolongé jusqu'au 31 janvier. Avez-vous voté et comment?
"Je n'étais pas présent en classe, mais j'aurais quand même voté contre l'extension, tout comme j'ai toujours voté contre toutes les mesures liées à la soi-disant urgence".

Un nouveau Dpcm arrive. «Libération», pour vous, doit aussi s'entendre par toutes les mesures restrictives anti-Covid?
«Certainement. Même si je crois que la première vraie libération doit être de la peur: la peur atavique de tomber malade et de mourir, utilisée aujourd'hui plus que jamais par le pouvoir pour nous asservir et nous impuissant. Mais aussi la peur d'être différent et jugé. Peur. relever la tête et agir de manière cohérente et consciente. La peur de changer et de renaître, avec une nouvelle vision ".

Qu'en est-il de l'utilisation du masque? Va-t-il continuer à ne pas l'utiliser ou va-t-il le porter sur la place samedi?
"Je n'ai jamais utilisé le masque dans les nombreux événements auxquels j'ai participé, j'ai toujours rendu les câlins des gens et je ne me suis jamais senti en danger par la proximité, au contraire. Je n'ai pas l'intention de vivre dans la terreur, ni de réprimer notre vrai la nature, qui est sociale ».
<< Ce qui se perpétue contre les enfants est un acte criminel digne du pire régime nazi. Sur le plan physique et mental, l'enfance est détruite, anéantissant leur âme et leur conscience. Ce faisant, non seulement la vie est refusée à des générations entières. mais la mémoire de nous tous est également anéantie et avec elle l'avenir de l'humanité. Tout cela est très grave ".

(l'nterviewer : ) - Nous connaissons votre position sur les vaccins. Est-elle également contre le vaccin contre la grippe?
«Parlons-nous du vaccin antigrippal qui, selon une étude scientifiq
ue du ministère américain de la Défense, augmenterait l'incidence de la co-infection à coronavirus de 36%, en raison d'un phénomène défini comme une interférence virale du vaccin? Ce vaccin antigrippal l'année dernière a été administré sur le tapis à Brescia et Bergame, première ville d'Italie, lors de la saison 2019/2020 de l'administration des vaccins antigrippaux et du méningocco C? Les mêmes villes qui se sont ensuite transformées en zones rouges pour les décès définies par Covid? Oui, elles sont contraire. Je ne le ferai pas et je déconseillerai à quiconque me le demande. "

Y aura t il des nano particules da

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27/03/2021 | Lien permanent

DDASS and co

Les pays scandinaves pays totalitaires, comme l’Allemagne nazie.>(remarquez en France ça arrive aussi, voyez, par exemple…., Béatrice Berthelage.)Les décisions de l'administration norvégienne pour ce qui concerne la garde des enfants ont déjà par le passé fait l'objet de nombreuses plaintes et de procès notamment pour la période qui s'étend de 1945 à 1980. Ainsi, environ 4 000 anciens enfants pris en charge ont demandé une indemnisation pour la souffrance et la violence qu'ils ont subies alors qu'ils vivaient dans des orphelinats ou dans le cadre de la protection des enfants durant cette période. Parmi ceux-ci, 2 637 ont reçu une indemnisation, pour un montant total 220 millions de dollars (2010)Jan Simonsen souligne pour sa part les catastrophes humaines issues des décisions du Barnevernet, « des familles détruites, et, dans certains cas, les parents qui ont pris leurs propres vies (en français on dit « qui se sont suicidés »!!!) ou ont fini comme toxicomanes dans leur désespoir d'avoir perdu ce qui est le plus précieux pour eux ». Un rapport de l'Institut norvégien de recherche urbaine et régionale montre que les enfants placés en Norvège se suicident huit fois plus souvent que les autres enfants Le service de protection de l'enfance de Norvège fait face à une critique internationale intense pour deux raisons principales : la prise en charge d'enfants sans un processus légal transparent et pour son refus de coopérer avec les organismes de protection des enfants dans d'autres pays. Ces critiques sont relayées par le principal journal suédois dénonçant le fait que les parents suédois qui ont leurs enfants pris en charge par Barnevernet n'ont aucun moyen juridique pour transférer le dossier aux autorités de leur pays. La presse pointe également du doigt des décisions prises en méconnaissance complète des us et coutumes de parents étrangers.

De nombreux avocats et journalistes comparent le Barnevernet norvégien au Lebensborn de l'Allemagne nazie, qui enlevait aussi des enfants pour les placer dans des familles jugées « saines ».

Enlèvements Rutkowski

Dans deux cas très médiatisés, l'enquêteur privé polonais Krzysztof Rutkowski a aidé les enfants (un garçon né en Russie et une fille polonaise) à s'échapper de leur famille d'accueil norvégienne afin qu'ils puissent retrouver leurs parents[9]. Par la suite, la demande des autorités norvégiennes de restitution des enfants a été refusée par le tribunal polonais comme injustifiée.

 Affaire Bodnariu

En novembre 2015, une nouvelle affaire impliquant des enfants de ressortissants étrangers a attiré l'attention du public. Les parents se sont vu retirer la garde de leurs enfants par Barnevernet. Marius et Ruth Bodnariu, un couple roumano-norvégien de foi pentecôtiste, ont été accusés de violence envers leurs enfants[17] ce qui peut, en Norvège, simplement signifier une tape sur la main ou une fessée.     (être arraché à sa famille est une violence mille fois pire qu’une gifle !!!! et qui dure) Selon le journal Christian Today , le couple a été accusé de « radicalisme chrétien et d'endoctrinement ». Selon la loi norvégienne, les autorités sont tenues de respecter à la fois le droit à la vie privée des parents comme celle des enfants. Par conséquent, Barnevernet n'a pas donné de détails publics concernant cette affaire.

Le 16 novembre, Barnevernet a pris les deux enfants les plus âgés de l'école et les a placés en famille d'accueil. Puis, accompagné par des policiers a retiré deux autres enfants de la maison de leurs parents à Naustdal. La police a également arrêté et me Bodnariu mais les a libérés peu de temps après. Le lendemain, Barnevernet a obtenu la garde de l'enfant le plus jeune pour des raisons alléguées de sécurité[21].

Selon le Christian Post, les deux filles aînées ont dit aux enquêteurs qu'elles avaient été physiquement punies comme on leur a enseigné que « Dieu punit le péché ». Néanmoins les documents judiciaires n'ont identifié aucun signe de violence physique[22].

Le 30 novembre, un recours contre Barnevernet lancé par les parents a été rejeté par la Cour. Ils seront autorisés à rendre visite au plus jeune fils deux fois par semaine pendant deux heures et aux deux autres garçons une fois par semaine. Les filles ne recevront pas de visites des parents[22],[23].

Le sénateur roumain Titus Corlățean a publié une déclaration évoquant le cas Bodnariu et condamné l'action de Barnevernet[24]. Le , des centaines de Roumains ont protesté devant l'ambassade norvégienne à Bucarest[25]. Valeriu Zgonea, président de la Chambre des députés de Roumanie, a plaidé pour soutenir la restitution des enfants à la famille Bodnariu[26].

En 2016, après que le bébé du couple a été également enlevé aux parents, l'affaire continue de susciter une vaste campagne de protestation dans le monde entier, sur les réseaux sociaux et dans la rue[27].

La famille a fini par être réunie le 20 janv2017.

L'image de Barnevernet est passablement mauvaise à l'étranger. Ainsi, 4 000 Lituaniens avaient protesté contre l'institution norvégienne dans leur pays[7].

Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l'asile en pologne

Pologne asile Barnevernet Norvégienne Silje Garmo

Silje Garmo et sa fille Eira en Pologne, mardi 16 janvier 
Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l’asile en Pologne. Réinformation TV est allée à sa rencontre dans la maison des environs de Varsovie où elle a trouvé refuge avec sa fille Eira, qui aura un an le 24 janvier. Le contact avec Mme Garmo a été rendu possible par l’organisation d’avocats et juristes polonais Ordo Iuris qui assiste la Norvégienne dans sa demande. Pour maître Jerzy Kwaśniewski, le président d’Ordo Iuris, les atteintes aux droits fondamentaux de cette mère norvégienne sont très bien documentés, de même que les abus commis par le Barnevernet et les autorités norvégiennes dans de nombreuses autres affaires d’enfants enlevés à leurs parents sur la base de décisions arbitraires (8 affaires de ce type concernant la Norvège sont en ce moment devant la CEDH). C’est ainsi que pour la première fois depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale, la Norvège si prompte à donner des leçons de droits de l’homme aux autres pourrait bientôt voir un de ses citoyens obtenir l’asile dans un autre pays européen. 

Pourquoi avoir demandé l’asile en Pologne et pas ailleurs ?

Pourquoi avoir choisi la Pologne ? – « C’est la question que me posent la plupart des journalistes », répond Silje (« Cécile » en français) en souriant. « La première raison, c’est que j’avais de très bons amis polonais, en Norvège, mais aussi ici, en Pologne. » Rien d’étonnant à cela, la diaspora polonaise compte environ cent mille membres en Norvège et c’est pour cela que l’ONG polonaise Ordo Iuris a déjà eu maille à partir avec le Barnevernet. Mais une autre raison, explique encore Silje, c’est son expérience espagnole. En 2015, le Barnevernet avait réussi à obtenir, sur la base d’un ordre administratif, la coopération de la police espagnole pour rapatrier de force sa fille Frøya dont Silje avait pourtant légalement la garde mais à laquelle le Barnevernet s’intéressait déjà.
 
« Ils ont essayé de refaire le coup avec Eira en Pologne, mais la police polonaise a exigé pour coopérer que lui soient présentés des documents valides, prouvant que la garde d’Eira avait bien été retirée à sa mère. Bien entendu, les autorités norvégiennes n’ont pas pu produire de telles preuves, et à ce jour les autorités polonaises n’ont toujours pas reçu de documents démontrant que je n’ai pas la garde de ma fille cadette, Eira, qui a maintenant presque un an. »
 
Dernière raison invoquée par cette mère norvégienne, alors qu’il est à la mode d’accuser à la Pologne – et pas la Norvège – de ne pas respecter la démocratie et l’état de droit, Mme Garmo se dit confiante dans la justice polonaise, car « le respect pour la vie privée est très strict ici en Pologne » et « on ne peut pas rapatrier quelqu’un de Pologne sans une décision de justice ».

Comment la Norvège viole la Convention de la Haye sur la protection des enfants dont elle est pourtant signataire.

 
Du reste, depuis 2016, la Norvège est signataire de la Convention de la Haye sur la protection des enfants. Les avocats d’Ordo Iuris ont informé début septembre les autorités norvégiennes et polonaises que le lieu de résidence habituel de Mme Garmo et de sa fille Eira était en Pologne, et qu’en vertu de cette convention les deux Norvégiennes sont sous juridiction polonaise en ce qui concerne la question de la garde de l’enfant et des droits parentaux. Précisons ici que le Barnevernet n’agit pas pour le compte du père d’Eira qui n’est pas partie prenante dans le conflit entre Mme Garmo et le Barnevernet. Malgré son absence de juridiction, explique Mme Garmo, « [les autorités norvégiennes] ont invalidé mon passeport pour la seule raison qu’elles avaient une information du Barnevernet selon laquelle il faut me retirer ma fille Eira. »

Les accusations du Barnevernet contre la Norvégienne Silje Garmo infirmées par les experts médicaux polonais

 
Pour le Barnevernet, Silje Garmo abuserait de médicaments analgésiques et aurait un style de vie « chaotique », incompatible avec le rôle de mère. Les psychiatres et pédiatres dont les opinions ont été jointes à son dossier de demande d’asile en Pologne n’ont toutefois pas confirmé les reproches des Norvégiens à l’encontre de leur citoyenne. Du reste, à bientôt un an, Eira est une petite fille souriante et calme, qui commence à marcher et dit ses premiers mots, et l’on imagine mal, à voir la mère et sa fille, pour quelle raison il faudrait les séparer ! 

Le Barnevernet, une administration aux pouvoirs kafkaïens !

 
Les problèmes de Silje Garmo ont commencé en 2013, quand elle a relayé aux autorités les accusations de sa fille Frøya à l’égard de son père, les deux parents étant séparés, concernant des comportements relevant du harcèlement sexuel. Le père de Frøya a alors dénoncé Silje au Barnevernet. « Le père de Frøya a des relations bien placées et son avocat est un ancien « juge » de comité de comté, qui délivre les décisions administratives concernant la protection des enfants, et il connaît personnellement la responsable du Barnevernet pour mon quartier d’Oslo.

Notez que cette responsable, qui a menti à la police et a produit tous ces faux rapports me concernant, a aussi sa propre entreprise (sic, ça existe ? !!) de prestations de prise en charge d’enfants. Elle fait donc des affaires grâce aux décisions qu’elle prend en tant que fonctionnaire du Barnevernet ! Avec les révélations de la semaine dernière, ce type de conflits d’intérêts [des fonctionnaires du Barnevernet] fait maintenant la une des médias. »
La Norvège est-elle devenue un pays totalitaire ? « Le Barnevernet est une tragédie nationale cachée  », répond Silje. « Oui, dans certains domaines, la Norvège est un pays totalitaire. Il y a un problème au niveau de la conception du système norvégien de protection des enfants. Ce système confère des pouvoirs énormes à des gens sans éducation, car il ne faut pas avoir des compétences particulières pour travailler pour le Barnevernet. Si vous regardez la loi, tout semble correct, mais le Barnevernet ne respecte pas la loi, et il n’a à faire face à aucune conséquence. » 

Une fois qu’elle aura obtenu l’asile en Pologne, Silje Garmo veut attaquer la Norvège devant la Cour européenne des droits de l’homme
Silje Garmo espère aussi récupérer sa fille Frøya, placée chez son père contre sa volonté, en allant devant la Cour européenne des droits de l’homme grâce au dossier déjà préparé pour sa demande d’asile en Pologne. « Je pense que mon cas peut changer les choses », dit-elle avec espoir, « car je suis la première personne qui s’est échappée de Norvège non seulement avec son enfant mais aussi avec toutes ces preuves qui montrent comment ils agissent pour fabriquer des histoires quand ils veulent enlever un enfant à sa famille. Ils ont essayé de me faire rapatrier de Pologne mais ils n’ont pas réussi. Que peuvent-ils maintenant ? Ils ont probablement très peur, parce qu’ils n’ont aucun pouvoir sur ce que je dis et ils n’ont pas d’enfant en otage. Quand le Barnevernet enlève des enfants à leurs parents, ces derniers gardent le silence parce qu’on les menace de ne plus jamais revoir leurs enfants. C’est aussi ce qu’on m’a dit pour Frøya. Mais dans mon cas, ils ne peuvent plus faire pression sur moi depuis la Norvège. Et c’est pourquoi je me sens le devoir de me battre aussi pour tous les enfants victime de ce système cruel. »

autre témoignage, en Allemagne cette fois :

 Ce 21 avril 2016 après 20 heures, vous êtes à table en train de souper avec votre enfant. Soudain ça hurle à votre porte et sonne de manière agitée. Vous entendez hurler des ordres, « ouvrez la porte ! Polizei ! ». Vous n’avez pas le temps de réagir que votre porte d’entrée est défoncée par la police qui est accompagnée d’agents du Jugendamt. Voilà ce que la population allemande subit 24 h sur 24 dans l’indifférence totale des média et des élites européennes. Nous avons reçu un nouveau témoignage d’une mère allemande dont son fils, Tobias Kucharz, âgé de 12 ans, a été hier enlevé à Kaiserslautern par la police et les agents du Jugendamt dans une violence digne des films sur la Gestapo ou sur la Stasi.

Un peuple sous la répression totale. Cela fait plus de 15 ans maintenant que j’observe les vols des enfants en Allemagne. Rien ne change depuis le début de mes recherches où j’avais rencontré en 2000 un groupe de parents silencieux en train de faire une manifestation à Berlin tenant dans leurs mains des photos de leurs enfants disparus-volés par la police et le Jugendamt-avec le nombre de jours inscrits sous la photo. Ces parents étaint silencieux. Leur silence je ne le comprenais pas. La police cherchait une excuse pour les arrêter… Alors le silence était leur seule arme. Les personnes, qui ne connaissent pas encore ce sujet, ont du mal à y croire. Là, on s’imagine tout de suite que si la police intervient dans

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25/05/2018 | Lien permanent

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