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Rechercher : mohammed tahiri

Cette police doit être réformée et nettoyée au karcher car la vraie racaille se trouve dans ses rangs.

Aux USA des militants utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les policiers qui dissimulent leurs badges (Vivement que ça se répande partout !!!! en France en particulier !)

Afin de responsabiliser les policiers lorsqu’ils tentent de dissimuler leur identité, un nombre croissant de militants développent des outils de reconnaissance faciale qui permettent d’identifier les flics, rapporte le New York Times – une inversion frappante de la façon dont les flics ont tendance à utiliser la reconnaissance faciale sur les manifestants et les suspects.
C’est un renversement de rôle satisfaisant. Les policiers cachent leur identité tout en réprimant les manifestations, en d’autres termes, juste pour être démasqués par la même technologie invasive qu’ils utilisent pour surveiller la population.

L’un des projets était une douche pensée pour le programmeur autodidacte Christopher Howell. Il identifie les flics de Portland, dans l’Oregon, parce qu’ils ont été autorisés à couvrir leurs noms tout en répondant aux protestations (en français on dit « manifestations »). Portland a interdit la reconnaissance faciale pour les policiers et les entreprises, mais le NYT rapporte que le projet de Howell est autorisé parce que c’est un individu qui travaille sur un projet de passion.
« Il y a beaucoup de force excessive ici à Portland », a déclaré Howell au NYT. « Savoir qui sont les officiers (en français on dit « agents »!!!!) semble être une base de référence ».
Changement de tribunal
La construction de ces outils est devenue simple, rapporte le NYT, grâce à des logiciels de plus en plus courants. Le véritable défi, selon les militants, est de trouver suffisamment d’images de la police locale pour entraîner l’algorithme. Ils ont eu de la chance sur les médias sociaux, ont-ils déclaré au journal.
« Pendant un certain temps, tout le monde était conscient que les grands pouvaient s’en servir pour identifier et opprimer les petits, mais nous approchons maintenant du seuil technologique où les petits peuvent le faire avec les grands », a déclaré au NYT Andrew Maximov, un développeur travaillant sur un projet similaire. « Ce n’est pas seulement la perte de l’anonymat. C’est la menace de l’infamie ».
source : https://futurism.com
traduit par Aube Digitale
via https://www.aubedigitale.com

bien fait !

La plupart es maux de la société vient d'un manque d'équilibre (pensez au rôle pervers du NAIRU ! c'est paradigmatique !). ça rétablira peut-être (peut-être !) un peu d'équilibre entre les "clébards" du Régime et leurs victimes les pékins de citoyens sans défense
s i ça pouvait par la peur remoraliser ces êtres totalement pervertis par leur impunité (tout pouvoir corrompt, tout pouvoir absolu corrompt absolument" disait lord Acton)

 

AUTRE RETOUR DE BATON :
https://lesdeqodeurs.fr/

La Préfecture a menti pour couvrir des policiers

Au Royaume de France, la République est pourrie des pieds à la tête...

Quand la Préfecture de Paris en arrive à mentir pour couvrir une sale bavure d'un policier qui se croit au Far West et qui tire sur tout ce qui bouge, on mesure l'état de pourriture avancée des institutions de l'Etat. Nous ne sommes pas dans le Chicago de la pègre et d'Al Capone ni dans le Bronx d'avant Rudy Giuliani mais en France.

Cette police sans foi ni loi, cette police sans ethique et sans morale, cette police armée est un danger pour tous les citoyens car ce qui est arrivé à ces jeunes, pourrait arriver à un de nos enfants ou à nous-mêmes.

Cette police doit être réformée et nettoyée au karcher car la vraie racaille, la plus dangereuse se trouve dans ses rangs. Cela fait des années que nous assistons à ces bavures qui n'en sont plus, tant elles font partie de la manière de faire de ces gens sans honneur. Alors oui, certains disent qu'ils font la chasse aux racailles et que la police mérite notre soutien... Si en plus les victimes s'appellent Mohamed ou Mamadou, certains applaudissent des deux mains...

Cette police a un grave problème et le problème vient de la médiocrité du recrutement. N'importe quel blaireau, n'importe quel loubard pervers peut entrer dans la police. Qu'il sache lire ou pas, compter ou non, avoir un minimum de culture ou d'éducation n'est pas important. Et au contraire, les caractériels et les névrosés sont les bienvenus. Comme si le pouvoir prenait un malin plaisir à sélectionner les pires, sachant qu'à terme cette police là finirait par être haï par le peuple. Et nous y sommes car "tout le monde hait et méprise la police !"

Alors que Gérald Darmanin, dans un ridicule numéro d'équilibriste affirme qu'il n'y a pas de divorce entre la police et les Français, oubliant que dans un sondage proposé par un syndicat d'extrême droite et demandant de répondre par oui ou par non pour savoir si les citoyens soutiennent la police, plus de 90% de ceux qui ont répondu, ont voté NON ! alors que en principe l'extrème-droite adore la police !

Darmanin est comme ses petits collègues : déconnecté du monde réel. Il a été auditionné lundi à l’Assemblée nationale sur l’action des forces de l’ordre. Repris en main par son prédécesseur Castaner, désavoué par le Président et par son parti, le violent camouflet qu'il lui a été infligé, aurait poussé n'importe quel ministre à démissionner. Pas Darmanin. Comment renoncer aux privilèges et aux avantages de la fonction quand on prend goût à l'ivresse du pouvoir ?

Pauvre France... tombée dans des mains aussi médiocres... Nous touchons le fond. Et en voilà une nouvelle preuve...

Mediapart publie une nouvelle vidéo témoignant d’une action incompréhensible.

Six jeunes, n’ayant commis aucun délit, sont violemment interpellés par des policiers agissant en toute illégalité. L’un des agents tire deux fois, sans sommation, vers la tête du conducteur. La préfecture de police de Paris n’a pas suspendu ce policier affirmant que la justice avait conclu à la légitime défense. Ce qui est faux.

"Une voiture noire nous a coupé la route." Des hommes en sont sortis, "j’ai vu deux armes pointées sur nous et, quelques secondes après, on a entendu les coups de feu." Assis à l’arrière de la voiture, "j’ai baissé la tête, j’ai vu ma vie défiler car j’ai vu la vitre se briser", confie Hugo, 19 ans, l’un des passagers.

Son ami Paul, qui ce soir-là conduisait le véhicule, se souvient, lui aussi, de ces hommes armés qui lui criaient : "Coupe le contact, coupe le contact, enculé !” J’étais terrorisé. J’ai enclenché la marche arrière, car j’ai cru qu’on allait se faire tuer."

Cette nuit du 30 avril 2019 restera à jamais gravée dans la mémoire de Paul, d’Hugo et de quatre de leurs amis, âgés de 16 à 22 ans. À 2 heures du matin, dans le bois de Boulogne à Paris, arrêtée à un feu rouge, leur voiture est soudainement bloquée par trois véhicules. Huit hommes armés en sortent, les mettent en joue et l’un d’entre eux tire à deux reprises, visant notamment la tête de Paul.

Contrairement à ce que pensaient ces jeunes gens, ces hommes ne sont pas des voyous, mais bien des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) qui, parce qu’ils les suspectent d’un vol de sac à main, les interpellent sans le moindre signe d’identification, ni brassard ni gyrophare. Et, alors que la situation ne présente aucun danger, ils vont user de leur arme sans faire de sommation.

Aucune image de ces violences policières n’a circulé sur les réseaux sociaux ou dans les médias. Et pour cause, les seuls enregistrements provenant des caméras de vidéosurveillance n’ont été transmis à Paul qu’en juin, après de nombreuses demandes, depuis octobre 2019, de son avocat, Raphaël Kempf, auprès du parquet de Paris.

Enterrées alors même qu’elles prouvent que les policiers agissent en toute illégalité et que l’un d’entre eux fait usage de son arme sans que la situation ne le justifie, ces images "démentent la version des policiers qui m’ont accusé de violence. J’ai été poursuivi pour ça et relaxé seulement en novembre dernier. Par contre, le policier qui a tiré en me visant continue de se balader avec son arme. J’ai porté plainte, mais l’enquête est plus longue le concernant", constate Paul.

Quand les institutions censées faire respecter la loi, la bafoue allégrement et en plus y rajoute le mensonge, c'est que le pays est complétement à refaire, sinon l'insurrection armée est la seule réponse possible.

Au Royaume de France, la République est pourrie des pieds à la tête... et nous citoyens, en subissons les graves conséquences.Source : Reddit
+ Ajouts de la rédaction

 

Un poème de 1942 qui redevient d'actualité, récitez-le vous chaque soir avant de vous coucher :

dédié à tous ceux qui refusent de porter la muselière.

« Demain »

Âgé de cent mille ans, j’aurais encor la force
De t’attendre, ô demain pressenti par l’espoir.
Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses,
Peut gémir : Le matin est neuf, neuf est le soir.

Mais depuis trop de mois nous vivons à la veille,
Nous veillons, nous gardons la lumière et le feu,
Nous parlons à voix basse et nous tendons l’oreille
À maint bruit vite éteint et perdu comme au jeu.

Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore
De la splendeur du jour et de tous ses présents.
Si nous ne dormons pas c’est pour guetter l’aurore
Qui prouvera qu’enfin nous vivons au présent.

Robert Desnos, 1942

(c'est aussi le moment de se rappeler la phrase clè d'Etienne Chouard : "Tous nos maux viennent de ce que nous n'écrivons pas nous-mêmes notre constitution" oui ! y compris ceux que nous vivons actuellement, si nos représentants avaient été tirés au sort jamais tout ce qui est arrivé récemment à cause du régime Macron ne serait arrivé)

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23/12/2020 | Lien permanent

Justice doit être rendue pour sa maman, et en plus qui le réclame.

TERRORISTES DU BATACLAN : OÙ EST PASSÉ LE "BLOND"?

Mercredi 9 décembre, Le Parisien a rapporté l'identité du 3ème homme qui aurait participé -avec Omar Ismaïl Mostefaï et Samy Amimour- au meurtre de 90 spectateurs du Bataclan : il s'agirait de Foued Mohamed-Aggad {http://panamza.com/bch}.

Problème : de nombreux témoins avaient rapporté avoir vu "au moins 4 terroristes" -et non pas 3- parmi lesquels "une femme", un "blanc à lunettes" et un "grand blond à cheveux ras" {https://youtu.be/D12ldOc_lOc; http://panamza.com/13603}.

***SOUTENEZ L'INFO-PANAMZA ! http://www.panamza.com/solidaires***
 
Les témoignages utiles et sincères sont comme par hasard à chaque fois falsifiés ou tus.. La preuve-même que l'enquête officielle n'est pas légitime!!! Pourquoi donc nous cacher des éléments et nous mentir si ce n'est que pour couvrir l'opération qu'ils ont eux-mêmes mis sur pied!!

Panamza est-il le dernier vrai journaliste en France qui fasse son travail dans les règles de l'art ?

et il est menacé par le régime ! http://www.panamza.com/071215-gouvernement-menace-panamza/

protégeons-le ! il travaille pour la liberté, pour la démocratie, pour les citoyens, il travaille pour nous il nous faut tous le protéger !

Affaire Charlie : un proche de Bougrab succède au commissaire « suicidé »

INFO PANAMZA. Retrouvé "suicidé" au soir de l'attentat du 7 janvier, le commissaire Helric Fredou -qui devait rédiger un rapport sur Jeannette Bougrab- a été remplacé à la tête de la police judiciaire de Limoges par Thierry Miguel, influent franc-maçon qui avait récompensé en 2013 la compagne autoproclamée du directeur de Charlie Hebdo.

Le 16.11.2015 à 22h33

C'est mon fils qui aurait dû être à sa place !

Elle n'en revient pas.

La mère du policier Helric Fredou, prénommée Chantal, est stupéfaite par le dernier rebondissement au sujet de la mort suspecte de son fils, retrouvé mort (une balle logée dans le crâne) dans la nuit du 7 au 8 janvier 2015.

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Contactée le 10 novembre par Panamza, elle a fait connaître son étonnement à propos des récents changements observés à la tête du service régional de la police judiciaire de Limoges.

Avant d'aller plus loin, rappel des principaux faits relatifs à Helric Fredou, recueillis notamment auprès de sa famille et dévoilés par Panamza les 16 janvier, 25 janvier, 13 mars et 4 septembre.

1* Les policiers qui avaient auditionnée Chantal lui avaient expressément fait savoir qu'elle n'aurait pas accès au rapport d'autopsie. Le Code de procédure pénale prévoit pourtant qu'en cas d'autopsie judiciaire (pour suicide ou mort suspecte), tout membre de la famille peut en faire la demande auprès du Parquet.

2* L'arme de service d'Helric Fredou n'était pas munie d'un silencieux. Sa mère a donc posé une question élémentaire à ses collègues : "Pourquoi n'avez-vous rien entendu alors qu'il était environ minuit?". Réponse laconique : "Son bureau était bien isolé".

3* Helric Fredou voulait passer un coup de fil important après avoir effectué deux choses : débriefer "trois enquêteurs" partis interroger la famille proche d'une victime de l'attentat de Charlie Hebdo (en l'occurrence, les parents de Jeannette Bougrab -compagne autoproclamée de Charb- comme l'avait recoupé et divulgué Panamza) et consulter ensuite "les réseaux sociaux" (notamment une adresse Facebook). C'est à ce moment-là que Fredou aurait réalisé une déduction tellement importante qu'il "voulait continuer de travailler" en dépit des "frictions" survenues à ce sujet avec ses collègues. Précision importante : le "commandant"  en poste ce soir-là (non identifié) aurait voulu se charger lui-même du débriefing des enquêteurs et de la rédaction du rapport mais Fredou aurait insisté en lui répliquant "C'est mon boulot". 

4* Selon la police, Helric Fredou -44 ans, 1m88- aurait posé le canon de son revolver sur le front et la balle serait restée à l'intérieur du crâne.

5* Le médecin traitant d'Helric Fredou refuse de valider le portrait esquissé par les rares articles parus au sujet du policier, faisant état d'une prétendue "dépression".

6* La mère a voulu savoir à qui était adressé le dernier appel de son fils. Les policiers lui auraient rétorqué "On ne peut pas savoir" avant d'affirmer finalement qu'aucun coup de fil n'avait été passé.

7* "Quatre directeurs" de la police, venus expressément de Paris, ont rencontré la mère d'Helric Fredou pour lui adresser leurs condoléances et la convaincre qu'il s'agissait d'un "suicide".

8* Les policiers chargés de l'enquête ont emporté le matériel informatique et le smartphone personnel d'Helric Fredou dès le lendemain.

9* Aucun journaliste rattaché à un média traditionnel de la presse écrite et audiovisuelle n'a interviewé la mère d'Helric Fredou.

10* Le député socialiste Christophe Premat a adressé, à trois reprises, une question écrite à Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, à propos des "circonstances exactes du décès du policier Helric Fredou". Aucune réponse ne lui a été retournée depuis le 27 janvier. 

11* La mère d'Helric Fredou n'a reçu aucun message de condoléances de la part de François Hollande (dont le fief corrézien de Tulle était chapeauté par le commissaire) et Bernard Cazeneuve (l'ancien député-maire de Cherbourg qui fréquentait pourtant régulièrement l'ex-commissaire central de sa ville entre 2010 et 2012).

Gil Friedman, supérieur direct de Fredou, avait demandé (à une date inconnue) sa mutation et son successeur, dénommé Maurice Alibert, a entamé ses nouvelles fonctions à la date du 1er septembre -en vertu d'une décision prise (et actée au Journal officiel) par Mireille Ballestrazzi, directrice centrale (depuis janvier 2014) de la police judiciaire.

Panamza a également contacté la direction interrégionale de la police judiciaire d'Orléans -dont dépend la PJ de Limoges- afin de connaître l'identité du nouvel adjoint du commissaire divisionnaire. Pour cause : sur le site officiel -pourtant actualisé le 8 septembre- de l'administration française, le patronyme d'Helric Fredou figure toujours, dix mois après sa mort. Visiblement gênée par ma question, la standardiste m'a fait savoir, après un long silence à l'évocation du nom "Fredou", qu'elle n'était "pas en mesure" de me donner cette information -censée pourtant relever du domaine public- avant de m'affirmer en bredouillant qu'il était "possible qu'il n'y ait pas encore eu désignation" pour ce poste.

Une chose est certaine : dans les semaines ayant précédé l'arrivée du nouveau commissaire divisionnaire, un personnage singulier occupa la direction intérimaire de la PJ. Un site alternatif d'information, dénommé Eurasie Express, avait tenté -l'été dernier- de solliciter un avis officiel au sujet du rapport d'autopsie d'Helric Fredou. Incidemment, son rédacteur Frédéric Saillot signale s'être ainsi entretenu, le 13 août, avec "M.Miguel, directeur par intérim de la PJ de Limoges".

"M.Miguel"

Après un un recoupement basé sur les archives du web, Panamza a découvert qu'il s'agissait de Pour lire la suite de l'article : » Affaire Charlie : un franc-maçon proche de Bougrab succède au commissaire « suicidé »

 


CEINTURE EXPLOSIVE DE MONTROUGE : LES DÉMINEURS ONT EFFACÉ LES EMPREINTES.

Lundi 23 novembre, une ceinture d'explosifs a été retrouvée à Montrouge. La plupart des médias ont aussitôt relayé l'affirmation des enquêteurs de la police : il s'agirait du dispositif transporté par le terroriste présumé Salah Abdeslam et abandonné dans la nuit du 13 au 14 novembre
{https://youtu.be/sRJJlkmoR_0; http://panamza.com/bcd}.

Mardi 1er décembre, TF1 révélait que cette ceinture explosive "ne pourra pas être exploitée" en raison de "l'effacement des traces génétiques et des empreintes papillaires" provoqué par un produit utilisé par les démineurs {http://panamza.com/bce}.

Rappel : la police scientifique envoyée au Comptoir Voltaire -bar dans lequel un kamikaze se serait fait exploser- avait déjà fait preuve d'une certaine désinvolture lors de l'étude du site {http://panamza.com/inps}.

Témoignage à souligner : un habitant du quartier de Montrouge dans lequel fut retrouvée la ceinture explosive affirme catégoriquement qu'il n'y avait "rien sur le trottoir" à la date du samedi 21 novembre. Il ajoute que cet engin a "dû être déposé après" {http://panamza.com/bcf}.

 

 

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20/12/2015 | Lien permanent

bilan du désastre lybien

ça se confirme : http://vigile.quebec/Une-nouvelle-monnaie-unique

 

plus de la moitié des lybiens ont FUIT LEUR PAYS devenu un enfer. Et personne ne les aide (et surtout pas les pays qui ont détruit leur pays, et les ont plongés dans cet enfer !) ils n'ont droit à aucune reconnaissance internationale de leur drame et leur vie détruite.

Et la totalité de 1,5 millions de noirs d'afrique qui y travaillaient, et par leurs envois à leurs familles faisaient vivre près de 20 millions d'africains. Au total près de 3 millions de travailleurs immigrés étaient acceullis en Lybie, eux aussi n'ont plus d'avenir et sont partis ....
(ce qu'il faut savoir aussi c'est que sur les quelque 2000 tribus qui constituent la société lybienne 1500 sont restées fidèles à Kadhafi)

**

Kadhafi n'était pas un dictateur, et il ne faisait pas ce qu'il voulait :

La vérité sur ce qui s'est passé, Pucciarelli qui était là a constaté le décalage incroyable entre la
présentation qui était faite par les médias et la réalité sur place :

**vous avez entendu ? (15ème minute) là aussi des incendies opportuns ont réduit en cendres les dossiers d'enquêtes embếtants (comme ceux qui se trouvaient dans une certaine aile du Pentagoen ou dans le WT7)

maintenant, après une photo de la Lybie du temps du bonheur :

Lybie au temps du bonheur.jpg

La Libye, largement décrite par des médias complices comme étant la dictature militaire de Kadhafi, a été détruite avec succès en 2011 pour préparer le chemin "vers une vraie démocratie". Alors que maintenant les mêmes médias demandent à ce que le président Assad de Syrie soit renversé lui aussi, jetons un coup d’œil à ce que la Libye a perdu et qu’elle n’aura plus.

Islamic state. Libya
ISIS s’approche de l’Europe en s’installant en Libye

Contrairement à la croyance populaire, la Libye, que les médias décrivaient comme la dictature militaire de Kadhafi, était en réalité le pays le plus prospère d’Afrique.

Selon le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), avant la campagne de bombardement occidentale en 2011, elle avait l’index de développement humain le plus élevé, le PIB par habitant le plus élevé, le taux de mortalité infantile le plus bas et celui d’espérance de vie le plus haut de toute l’Afrique.

Selon un rapport du PNUD de 2010, l’espérance de vie à la naissance était de 74,5 ans, le taux d’alphabétisation adulte de 88,4%, le taux brut de scolarisation de 94,1%, faisant de la Libye un pays à haut niveau de développement humain dans la région du Moyen Orient et de l’Afrique.

A woman mourns for the Egyptian Coptic Christians captured in Libya and killed by militants affiliated with the Islamic State group, outside of the Virgin Mary church in the village of el-Aour, near Minya, 220 kilometers (135 miles) south of Cairo, Egypt, Monday, Feb. 16, 2015
Une femme pleure la mort des chrétiens coptes tués par EI en Libye de el -Aour le 16 février 2015

«Pendant le bombardement de la Libye par l’OTAN, les journaux occidentaux ont oublié, de manière bien commode, de mentionner que les Nations Unies venaient  de terminer un long dossier louant les réalisations de M. Kadhafi dans le domaine des droits humains», écrit le professeur Garikai Chengu, un professeur spécialiste du Moyen-Orient a l’université de Harvard, dans un article de Foreign Policy Magazine datant de 2013.

«Le rapport des Nations Unies louait la Libye pour son amélioration de la protection juridique de ses citoyens, faisant des droits de l’homme une priorité, améliorant les droits des femmes, l’accès à l’éducation et à la propriété foncière. Durant l’ère Kadhafi l’accès à la propriété foncière était considéré comme un droit humain. En conséquence il n’y avait quasiment pas de personne sans toit ou dormant sous les ponts», ajoute-t-il.

Libyan military soldiers check on an area asLibyan military soldiers check on an area as they battle with Islamic extremist militias in Benghazi, Libya, Thursday, Oct. 30, 2014.  they battle with Islamic extremist militias in Benghazi, Libya, Thursday, Oct. 30, 2014.
Des militaires libyens en lutte contre les extrémistes islamistes à Benghazi © AP PHOTO/ MOHAMMED EL-SHEIKHY

Et le nombre de gens vivant dans la pauvreté y était plus faible qu’aux Pays-Bas.

«Combien de maisons et de ponts libyens ont été détruits par les bombardements de l’Otan ?», se demande alors l’auteur.

 

Libyan women raise red cards during a protest against the national unity government proposed by United Nations envoy Bernardino Leon on October 9, 2015 in Tripoli's central Martyrs Square.
Des femmes libyennes protestent à Tripoli en octobre 2015 contre le gouvernement proposé par les Nations Unies

Un domaine où le conseil des Nations Unies pour les droits humains a particulièrement loué Kadhafi a été celui des droits des  femmes, précise-t-il. «A la différence de nombreuses autres nations du monde arabe, les femmes en Libye avait le droit à l’éducation, le droit de travailler, de divorcer, d’être propriétaire et d’avoir un revenu.»

«Une des premières lois mises en place par Kadhafi dès 1970 a été celle qui garantissait un salaire égal pour un travail égal, seulement quelques années après qu’une même loi soit passée aux États-Unis.»

«De plus, les mères libyennes au travail bénéficiaient d’avantages spéciaux tels que des primes pour chaque enfant, des garderies gratuites, des centres de soins gratuits et la retraite à 55 ans.»

L’éducation dans la Libye de Kadhafi

«Dans la Libye de Kadhafi, l’éducation était un droit humain et était gratuite pour tout les Libyens. Si un Libyen ne trouvait pas de travail après avoir obtenu son diplôme, l’État lui versait l’équivalent d’un salaire moyen de sa profession», (tiens ! pourtant il n'avait pas lu Bernard Friot !) nous explique Chengu.

«N’est ce pas ironique que les États-Unis aient bombardé la Libye pour soi-disant répandre la démocratie alors que précisément l’éducation devient de plus en plus un privilège en Amérique, n’est plus un droit, et se termine le plus souvent par un fort endettement ?» se questionne-t-il.

Si un enfant talentueux du pays le plus riche du monde ne peut se permettre d’aller dans les meilleures écoles, nous explique-t-il, alors la société a manqué à son devoir vis-à-vis de cet enfant. En fait, pour la jeunesse du monde entier, l’éducation est un passeport pour la liberté. Donc un pays qui fait payer cher un tel passeport n’est libre que pour les riches, pas pour les pauvres.

Les Libyens ne profitaient pas seulement d‘une éducation et d’un système de santé gratuits, ajoute l’auteur, ils bénéficiaient aussi de l’électricité gratuite et de prêts à taux zéro. Le prix de l’essence tournait autour de 0,14$ le litre et 40 miches de pain coûtaient 0,15$ seulement.

Avec ces chiffres en tête, voici quelques extraits du rapport sur la Libye de Human Right Watch en 2015, qui montre clairement comment ce pays autrefois prospère a sombré dans le chaos.

«Les combats ont causé d’immenses destructions de propriétés, de civils blessés ou morts. Environ 400 000 personnes ont été déplacées dont 100 000 résidents de Tripoli. Plus de 150 000 personnes, dont les étrangers, ont fui le pays. La plupart des ambassades étrangères, les Nations Unies, la Croix-Rouge internationale et les autres agences internationales ont retiré leurs employés et fermé leurs missions en juillet», selon ce rapport.

«Les milices attaquent, menacent, assaillent ou détiennent arbitrairement les journalistes, les juges, les activistes, les politiciens et les citoyens ordinaires en toute impunité. Le manque de protection pour le système judiciaire a entrainé la disparition quasi-totale de la justice dans des villes comme Tripoli, Benghazi, Sebha et Derna.»

«Le manque de contrôle aux frontières et les combats entre tribus ont aggravé la situation sécuritaire, permettant trafic d’humains, de drogues et d’armes en continu à travers les frontières avec le Tchad, le Soudan, l’Égypte et l’Algérie.»

«Le système judiciaire libyen a subi de sérieux revers. Les milices attaquent les juges, les procureurs, les avocats et les témoins, entrainant la fermeture des tribunaux et des bureaux de procureurs à Benghazi, Derna, Sirte et Sebha et le quasi effondrement du système judiciaire. Le ministère de la justice à Tripoli a fermé en juillet à cause des combats.»

«A cause de l’effondrement de la loi et de l’ordre, et du climat d’impunité régnant, les femmes continuent à souffrir de discrimination. Des groupes armés imposent des restrictions aux femmes basées sur leurs croyances idéologiques. Des gardes harassent les étudiantes des universités de Tripoli qui refusent de porter le voile. D’autres sont harcelées alors qu’elles essayent de sortir de Libye sans un gardien masculin

Un nombre record de migrants et de demandeurs d’asile s’embarquent dans une périlleuse traversée de la Libye vers l’Europe, dont 60 000 ont atteint l’Italie rien qu’en 2014. Les opérations de sauvetage de la marine italienne, Mare Nostrum, ont sauvé environ 100 000 personnes embarquées sur des bateaux inadaptés, mais au moins 3 000 personnes ont péri en mer.

Le professeur Garikai Chengu fait remarquer que l’Occident a démontré que des marchés totalement dérégulés et des élections authentiquement libres ne peuvent cohabiter

«L’avidité organisée gagne toujours contre des démocraties désorganisées. Comment le capitalisme et la démocratie peuvent-ils cohabiter alors que le premier concentre richesse et pouvoir dans les mains de quelques uns pendant que la deuxième cherche à répartir richesse et pouvoir entre tous ?»

Donc, s’il n’est pas trop tard, les États-Unis devraient laisser la Syrie tranquille pour qu’elle puisse décider elle-même comment répartir le pouvoir économique parmi les démunis plutôt qu’entre quelques privilégiés.

Muammar Gaddafi
Syrte était la ville d’origine de Khadaffi. Il a été assassiné par l’Otan en 2011

Traduit par Wayan, édité par jj, relu par Diane pour le Saker Francophone

 

 1er Septembre 1969 : un groupe de douze amis et une centaine de civils et de militaires effectuaient une Révolution sans effusion de sang en Libye, faisant passer ce pays de la monarchie quasiment féodale du roi fantoche, Idris 1er, à la République Arabe Libyenne.
Dès 1970, l’équipe révolutionnaire permettra à son pays d’acquérir une réelle indépendance en obligeant les Etats-Uniens, les Britanniques et les Français à démanteler leurs bases militaires et à déguerpir, avec armes et bagages, du sol libyen.
Le 2 mars 1977, sera créé l’Etat des masses : la Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste. Le gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple sera organisé en dehors de toute exploitation de l’être humain par l’être humain.
De février à octobre 2011, ce sera cette mise en application du droit du peuple libyen à disposer de lui-même que les forces terroristes françaises, britanniques, états-uniennes s’acharneront à détruire. Il leur faudra utiliser tous les moyens sophistiqués d’armement – y compris des ADM (Armes de Destruction Massive) prohibées par le droit international – pour venir à bout du peuple libyen, de sa police, de son armée et du Guide révolutionnaire. Mais les chefs d’Etat salopards ne pourront pas détruire les 42 années de la Révolution d’El Fateh qui se sont inscrites à jamais dans la mémoire de milliards d’hommes et de femmes sur cette planète et l’Histoire de cette Révolution a déjà donné, donne encore et donnera toujours, dans les livres, les plus belles pages de l’Histoire des Peuples.

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20/01/2023 | Lien permanent

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