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DDASS and co

Les pays scandinaves pays totalitaires, comme l’Allemagne nazie.>(remarquez en France ça arrive aussi, voyez, par exemple…., Béatrice Berthelage.)Les décisions de l'administration norvégienne pour ce qui concerne la garde des enfants ont déjà par le passé fait l'objet de nombreuses plaintes et de procès notamment pour la période qui s'étend de 1945 à 1980. Ainsi, environ 4 000 anciens enfants pris en charge ont demandé une indemnisation pour la souffrance et la violence qu'ils ont subies alors qu'ils vivaient dans des orphelinats ou dans le cadre de la protection des enfants durant cette période. Parmi ceux-ci, 2 637 ont reçu une indemnisation, pour un montant total 220 millions de dollars (2010)Jan Simonsen souligne pour sa part les catastrophes humaines issues des décisions du Barnevernet, « des familles détruites, et, dans certains cas, les parents qui ont pris leurs propres vies (en français on dit « qui se sont suicidés »!!!) ou ont fini comme toxicomanes dans leur désespoir d'avoir perdu ce qui est le plus précieux pour eux ». Un rapport de l'Institut norvégien de recherche urbaine et régionale montre que les enfants placés en Norvège se suicident huit fois plus souvent que les autres enfants Le service de protection de l'enfance de Norvège fait face à une critique internationale intense pour deux raisons principales : la prise en charge d'enfants sans un processus légal transparent et pour son refus de coopérer avec les organismes de protection des enfants dans d'autres pays. Ces critiques sont relayées par le principal journal suédois dénonçant le fait que les parents suédois qui ont leurs enfants pris en charge par Barnevernet n'ont aucun moyen juridique pour transférer le dossier aux autorités de leur pays. La presse pointe également du doigt des décisions prises en méconnaissance complète des us et coutumes de parents étrangers.

De nombreux avocats et journalistes comparent le Barnevernet norvégien au Lebensborn de l'Allemagne nazie, qui enlevait aussi des enfants pour les placer dans des familles jugées « saines ».

Enlèvements Rutkowski

Dans deux cas très médiatisés, l'enquêteur privé polonais Krzysztof Rutkowski a aidé les enfants (un garçon né en Russie et une fille polonaise) à s'échapper de leur famille d'accueil norvégienne afin qu'ils puissent retrouver leurs parents[9]. Par la suite, la demande des autorités norvégiennes de restitution des enfants a été refusée par le tribunal polonais comme injustifiée.

 Affaire Bodnariu

En novembre 2015, une nouvelle affaire impliquant des enfants de ressortissants étrangers a attiré l'attention du public. Les parents se sont vu retirer la garde de leurs enfants par Barnevernet. Marius et Ruth Bodnariu, un couple roumano-norvégien de foi pentecôtiste, ont été accusés de violence envers leurs enfants[17] ce qui peut, en Norvège, simplement signifier une tape sur la main ou une fessée.     (être arraché à sa famille est une violence mille fois pire qu’une gifle !!!! et qui dure) Selon le journal Christian Today , le couple a été accusé de « radicalisme chrétien et d'endoctrinement ». Selon la loi norvégienne, les autorités sont tenues de respecter à la fois le droit à la vie privée des parents comme celle des enfants. Par conséquent, Barnevernet n'a pas donné de détails publics concernant cette affaire.

Le 16 novembre, Barnevernet a pris les deux enfants les plus âgés de l'école et les a placés en famille d'accueil. Puis, accompagné par des policiers a retiré deux autres enfants de la maison de leurs parents à Naustdal. La police a également arrêté et me Bodnariu mais les a libérés peu de temps après. Le lendemain, Barnevernet a obtenu la garde de l'enfant le plus jeune pour des raisons alléguées de sécurité[21].

Selon le Christian Post, les deux filles aînées ont dit aux enquêteurs qu'elles avaient été physiquement punies comme on leur a enseigné que « Dieu punit le péché ». Néanmoins les documents judiciaires n'ont identifié aucun signe de violence physique[22].

Le 30 novembre, un recours contre Barnevernet lancé par les parents a été rejeté par la Cour. Ils seront autorisés à rendre visite au plus jeune fils deux fois par semaine pendant deux heures et aux deux autres garçons une fois par semaine. Les filles ne recevront pas de visites des parents[22],[23].

Le sénateur roumain Titus Corlățean a publié une déclaration évoquant le cas Bodnariu et condamné l'action de Barnevernet[24]. Le , des centaines de Roumains ont protesté devant l'ambassade norvégienne à Bucarest[25]. Valeriu Zgonea, président de la Chambre des députés de Roumanie, a plaidé pour soutenir la restitution des enfants à la famille Bodnariu[26].

En 2016, après que le bébé du couple a été également enlevé aux parents, l'affaire continue de susciter une vaste campagne de protestation dans le monde entier, sur les réseaux sociaux et dans la rue[27].

La famille a fini par être réunie le 20 janv2017.

L'image de Barnevernet est passablement mauvaise à l'étranger. Ainsi, 4 000 Lituaniens avaient protesté contre l'institution norvégienne dans leur pays[7].

Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l'asile en pologne

Pologne asile Barnevernet Norvégienne Silje Garmo

Silje Garmo et sa fille Eira en Pologne, mardi 16 janvier 
Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l’asile en Pologne. Réinformation TV est allée à sa rencontre dans la maison des environs de Varsovie où elle a trouvé refuge avec sa fille Eira, qui aura un an le 24 janvier. Le contact avec Mme Garmo a été rendu possible par l’organisation d’avocats et juristes polonais Ordo Iuris qui assiste la Norvégienne dans sa demande. Pour maître Jerzy Kwaśniewski, le président d’Ordo Iuris, les atteintes aux droits fondamentaux de cette mère norvégienne sont très bien documentés, de même que les abus commis par le Barnevernet et les autorités norvégiennes dans de nombreuses autres affaires d’enfants enlevés à leurs parents sur la base de décisions arbitraires (8 affaires de ce type concernant la Norvège sont en ce moment devant la CEDH). C’est ainsi que pour la première fois depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale, la Norvège si prompte à donner des leçons de droits de l’homme aux autres pourrait bientôt voir un de ses citoyens obtenir l’asile dans un autre pays européen. 

Pourquoi avoir demandé l’asile en Pologne et pas ailleurs ?

Pourquoi avoir choisi la Pologne ? – « C’est la question que me posent la plupart des journalistes », répond Silje (« Cécile » en français) en souriant. « La première raison, c’est que j’avais de très bons amis polonais, en Norvège, mais aussi ici, en Pologne. » Rien d’étonnant à cela, la diaspora polonaise compte environ cent mille membres en Norvège et c’est pour cela que l’ONG polonaise Ordo Iuris a déjà eu maille à partir avec le Barnevernet. Mais une autre raison, explique encore Silje, c’est son expérience espagnole. En 2015, le Barnevernet avait réussi à obtenir, sur la base d’un ordre administratif, la coopération de la police espagnole pour rapatrier de force sa fille Frøya dont Silje avait pourtant légalement la garde mais à laquelle le Barnevernet s’intéressait déjà.
 
« Ils ont essayé de refaire le coup avec Eira en Pologne, mais la police polonaise a exigé pour coopérer que lui soient présentés des documents valides, prouvant que la garde d’Eira avait bien été retirée à sa mère. Bien entendu, les autorités norvégiennes n’ont pas pu produire de telles preuves, et à ce jour les autorités polonaises n’ont toujours pas reçu de documents démontrant que je n’ai pas la garde de ma fille cadette, Eira, qui a maintenant presque un an. »
 
Dernière raison invoquée par cette mère norvégienne, alors qu’il est à la mode d’accuser à la Pologne – et pas la Norvège – de ne pas respecter la démocratie et l’état de droit, Mme Garmo se dit confiante dans la justice polonaise, car « le respect pour la vie privée est très strict ici en Pologne » et « on ne peut pas rapatrier quelqu’un de Pologne sans une décision de justice ».

Comment la Norvège viole la Convention de la Haye sur la protection des enfants dont elle est pourtant signataire.

 
Du reste, depuis 2016, la Norvège est signataire de la Convention de la Haye sur la protection des enfants. Les avocats d’Ordo Iuris ont informé début septembre les autorités norvégiennes et polonaises que le lieu de résidence habituel de Mme Garmo et de sa fille Eira était en Pologne, et qu’en vertu de cette convention les deux Norvégiennes sont sous juridiction polonaise en ce qui concerne la question de la garde de l’enfant et des droits parentaux. Précisons ici que le Barnevernet n’agit pas pour le compte du père d’Eira qui n’est pas partie prenante dans le conflit entre Mme Garmo et le Barnevernet. Malgré son absence de juridiction, explique Mme Garmo, « [les autorités norvégiennes] ont invalidé mon passeport pour la seule raison qu’elles avaient une information du Barnevernet selon laquelle il faut me retirer ma fille Eira. »

Les accusations du Barnevernet contre la Norvégienne Silje Garmo infirmées par les experts médicaux polonais

 
Pour le Barnevernet, Silje Garmo abuserait de médicaments analgésiques et aurait un style de vie « chaotique », incompatible avec le rôle de mère. Les psychiatres et pédiatres dont les opinions ont été jointes à son dossier de demande d’asile en Pologne n’ont toutefois pas confirmé les reproches des Norvégiens à l’encontre de leur citoyenne. Du reste, à bientôt un an, Eira est une petite fille souriante et calme, qui commence à marcher et dit ses premiers mots, et l’on imagine mal, à voir la mère et sa fille, pour quelle raison il faudrait les séparer ! 

Le Barnevernet, une administration aux pouvoirs kafkaïens !

 
Les problèmes de Silje Garmo ont commencé en 2013, quand elle a relayé aux autorités les accusations de sa fille Frøya à l’égard de son père, les deux parents étant séparés, concernant des comportements relevant du harcèlement sexuel. Le père de Frøya a alors dénoncé Silje au Barnevernet. « Le père de Frøya a des relations bien placées et son avocat est un ancien « juge » de comité de comté, qui délivre les décisions administratives concernant la protection des enfants, et il connaît personnellement la responsable du Barnevernet pour mon quartier d’Oslo.

Notez que cette responsable, qui a menti à la police et a produit tous ces faux rapports me concernant, a aussi sa propre entreprise (sic, ça existe ? !!) de prestations de prise en charge d’enfants. Elle fait donc des affaires grâce aux décisions qu’elle prend en tant que fonctionnaire du Barnevernet ! Avec les révélations de la semaine dernière, ce type de conflits d’intérêts [des fonctionnaires du Barnevernet] fait maintenant la une des médias. »
La Norvège est-elle devenue un pays totalitaire ? « Le Barnevernet est une tragédie nationale cachée  », répond Silje. « Oui, dans certains domaines, la Norvège est un pays totalitaire. Il y a un problème au niveau de la conception du système norvégien de protection des enfants. Ce système confère des pouvoirs énormes à des gens sans éducation, car il ne faut pas avoir des compétences particulières pour travailler pour le Barnevernet. Si vous regardez la loi, tout semble correct, mais le Barnevernet ne respecte pas la loi, et il n’a à faire face à aucune conséquence. » 

Une fois qu’elle aura obtenu l’asile en Pologne, Silje Garmo veut attaquer la Norvège devant la Cour européenne des droits de l’homme
Silje Garmo espère aussi récupérer sa fille Frøya, placée chez son père contre sa volonté, en allant devant la Cour européenne des droits de l’homme grâce au dossier déjà préparé pour sa demande d’asile en Pologne. « Je pense que mon cas peut changer les choses », dit-elle avec espoir, « car je suis la première personne qui s’est échappée de Norvège non seulement avec son enfant mais aussi avec toutes ces preuves qui montrent comment ils agissent pour fabriquer des histoires quand ils veulent enlever un enfant à sa famille. Ils ont essayé de me faire rapatrier de Pologne mais ils n’ont pas réussi. Que peuvent-ils maintenant ? Ils ont probablement très peur, parce qu’ils n’ont aucun pouvoir sur ce que je dis et ils n’ont pas d’enfant en otage. Quand le Barnevernet enlève des enfants à leurs parents, ces derniers gardent le silence parce qu’on les menace de ne plus jamais revoir leurs enfants. C’est aussi ce qu’on m’a dit pour Frøya. Mais dans mon cas, ils ne peuvent plus faire pression sur moi depuis la Norvège. Et c’est pourquoi je me sens le devoir de me battre aussi pour tous les enfants victime de ce système cruel. »

autre témoignage, en Allemagne cette fois :

 Ce 21 avril 2016 après 20 heures, vous êtes à table en train de souper avec votre enfant. Soudain ça hurle à votre porte et sonne de manière agitée. Vous entendez hurler des ordres, « ouvrez la porte ! Polizei ! ». Vous n’avez pas le temps de réagir que votre porte d’entrée est défoncée par la police qui est accompagnée d’agents du Jugendamt. Voilà ce que la population allemande subit 24 h sur 24 dans l’indifférence totale des média et des élites européennes. Nous avons reçu un nouveau témoignage d’une mère allemande dont son fils, Tobias Kucharz, âgé de 12 ans, a été hier enlevé à Kaiserslautern par la police et les agents du Jugendamt dans une violence digne des films sur la Gestapo ou sur la Stasi.

Un peuple sous la répression totale. Cela fait plus de 15 ans maintenant que j’observe les vols des enfants en Allemagne. Rien ne change depuis le début de mes recherches où j’avais rencontré en 2000 un groupe de parents silencieux en train de faire une manifestation à Berlin tenant dans leurs mains des photos de leurs enfants disparus-volés par la police et le Jugendamt-avec le nombre de jours inscrits sous la photo. Ces parents étaint silencieux. Leur silence je ne le comprenais pas. La police cherchait une excuse pour les arrêter… Alors le silence était leur seule arme. Les personnes, qui ne connaissent pas encore ce sujet, ont du mal à y croire. Là, on s’imagine tout de suite que si la police intervient dans

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25/05/2018 | Lien permanent

la mort mystérieuse de Claire Séverac - ”la curiosité a tué le chat”

https://reseauinternational.net/le-prix-nobel-de-physique-2022-john-clauser-se-declare-climato-realiste/

(au fait il est mort de quoi Istvan Marko ?

quelqu'un a-t-il des infos là-dessus ?)

http://www.fawkes-news.com/2016/12/claire-severac-nous-qu...

Un témoignage sur les circonstances de la maladie de Claire Séverac « Merci de dire qu'elle est morte dans des conditions douteuses: elle m'a confié en octobre dernier alors qu'elle venait d'apprendre qu'elle était très gravement atteinte qu'elle avait été empoisonnée probablement fin août. Les symptômes sont arrivés très brutalement début septembre 2016. Jusqu'à là, elle m'a certifié n'avoir ressenti aucun symptôme. Elle pensait au polonium, indétectable même au compteur Geiger....Un cancer digestif aussi fulgurant a effectivement peu de chances d'être naturel. Un médecin toxicologue ou spécialiste de la médecine nucléaire ne peut que le confirmer. Le hasard a fait que j'ai écouté cet après midi, dimanche 26 décembre 2016, une émission sur France Inter traitant des empoisonnements, avant d'apprendre la triste nouvelle. Deux invités de la tête au carré : Eric Birlouez auteur d' « Histoire des poisons, empoisonnements et empoisonneurs » et Bruno Mégarbane, médecin toxicologue à Lariboisière. Le polonium à dose infinitésimale provoque un cancer fulgurant, dose indétectable au compteur Geiger. Il peut s'agir d'autres poisons... Elle rejetait toute peur et ne prenait aucune précaution particulière....Elle se mettait en colère si on lui demandait comment elle faisait pour ne pas avoir peur. […] Elle m'a fait promettre de ne parler à personne de ce qui lui arrivait. X était un des seuls à savoir. Il a fait des recherches chez elle avec différents appareils de mesures spécifiques.Ces recherches de substances radioactives ou de rayonnements électromagnétiques n'ont rien donné..... Elle avait beaucoup de gratitude envers X qui avait sécurisé son système informatique lui permettant ainsi de pouvoir finir son livre à peu près sereinement. Avant l'intervention de X, son imprimante"se mettait en marche la nuit toute seule"... Elle était certaine d'avoir ingéré un poison à l'occasion des conférences qu'elle donnait dans toute la France depuis la sortie en septembre 2015 de son livre sur les chemtrails. La première conférence pour le lancement du livre a été donnée à "La main d'or" et je m'en souviendrai toujours; elle a commencé par cette question au public: « Vous êtes sûrs que vous voulez m'entendre? Vous êtes sûrs que vous ne préférez pas aller à la plage? » Sa mort plus que suspecte, tout comme celle de Serge Monast en 1996 et de bien d'autres lanceurs d'alertes est la preuve que sa dernière enquête (selon ses propos, l'enquête la plus difficile, celle qui a lui demandé plus de 3 ans d'efforts et de recherches) était aussi la plus dangereuse... Il va nous falloir reprendre le flambeau et faire preuve du même courage qu'elle. Paix à l'âme de cette grande résistante! »


 La curiosité a tué le chat.

Oui , vous connaissez Claire Séverac ? une vraie héroïne de la vérité et de l'interêt public, elle a depuis 2011 publié plusieurs livres sur les scandales liés à notre santé. Son dernier s'appelle "La guerre secrète contre les peuples" et a comme sous-titre "ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu'ils font" et comme introduction une citation d'André Gide : "Le monde ne sera sauvé, s'il peut l'être ! que par des insoumis"

chaque page de ce livre c'est de la dynamite ! vers le   début  il  y  a   ce   témoignage, rien de tel que les témoignages ! (c'est comme pour le livre de Danielle Bleitrach "URSS vingt ans après), lettre qu'a reçu Clifford Carnicom "Je suis un mécanicien d'aviation, travaillant pour une ligne aérienne importante. Je travaille dans une base d'entretien située dans un grand aéroport et le hasard a voulu que je découvre ce qui ne m'était visiblement pas destiné.

Avant toute chose, il me faut vous expliquer en deux mots comment fonctionne la hiérarchie dans le monde des mécaniciens en aéronaval. C'est important pour la compréhension de mon histoire et pour la cause à laquelle vous consacrez une grande partie de vos énergies.
Les mécaniciens veulent travailler dans trois domaines : l'avionique, les moteurs et les commandes de vol. Les mécaniciens qui travaillent sur ces systèmes sont considérés comme ayant atteints les plus hauts degrés de l'échelle hiérarchique. Viennent ensuite les mécaniciens qui travaillent sur les systèmes hydrauliques et les appareils de climatisation.
Les suivants sont ceux qui sont attachés aux systèmes subalternes.
Enfin, tout en bas de cette échelle, se trouvent les mécaniciens qui travaillent sur les systèmes de vidange des eaux usées. Aucun mécanicien ne veux travailler aux pompes, réservoirs et tuyauteries qui servent à emmagasiner les déchets des toilettes.
Toutefois, dans chaque aéroport ou j'ai travaillé, il y'a toujours 2 ou 3 mécaniciens qui sont volontaires pour ce service, quel que soit l'aéroport. Les autres mécaniciens sont tellement heureux de les laisser faire. Personne ne prêtes vraiment attention a ces types et aucun mécanicien sérieux n'a de véritable rapport avec ces mécaniciens de seconde zone. En fait, je ne m'étais moi-même jamais vraiment penché sur cette question, jusqu'à tout dernièrement.
La plupart des compagnies aériennes ont des accords de services réciproques avec les autres compagnies qui utilisent un même aéroport. Cela signifie que si une compagnie a un problème technique, un de nos mécaniciens s'en occupera.
En contrepartie, si un de nos avions est en difficulté là où une autre compagnie aérienne possède sa base d'entretien, ils se chargeront de réparer notre avion.
Un jour du mois dernier, j'ai été appelé sur notre base pour travailler sur l'avion d'une autre compagnie. Au moment de l'appel, le contrôleur ne savait pas quel était le problème et ne pouvait me donner aucun détail. Quand je suis arrivé sur place, j'ai découvert que la panne se situait au niveau de l'emmagasinage des rebuts. Il n'y avait pas d'autres solutions : il fallait que je rampe à l'intérieur de la carlingue pour régler le problème.
En pénétrant dans le compartiment, je me suis rendu compte que quelque chose n'allait pas. L'avion possédait plus de réservoirs, de pompes et de tuyaux que la mention au cahier de charges.
Au début, j'ai supposé que le système avait été modifié. Il n'y avait plus de dix ans que je n'avais pas travaillé sur un appareil de ce type. Alors que j'essayais de trouver le problème, j'ai rapidement réalisé que la tuyauterie et les réservoirs supplémentaires n'étaient pas reliés au système d'évacuation... Je venais tout juste de le découvrir quand un autre mécanicien de ma compagnie apparut subitement. C'était justement un des mécanicien travaillant habituellement sur ces systèmes. Je lui ai remis le travail avec grand plaisir.

Comme je partais, je l'ai interrogé au sujet de l'équipement supplémentaire. Il m'a dit : Occupe-toi de ton boulot et laisse-moi m'inquiéter du mien!
Le lendemain j'étais à l'ordinateur de la compagnie pour voir un plan de câblage.tandis que je me trouvais là, j'ai décidé de faire une recherche supplémentaire que j'avais trouvé dans l'avion. À ma grande surprise, les manuels ne faisaient aucunement état de l'équipement que j'avais vu la veille. J'ai cherché dans les dossiers du fabricant et je n'ai rien trouvé non plus. Ma curiosité était piquée au vif : j'étais vraiment déterminé à découvrir la nature de cet équipement-là.

La semaine suivante nous avons reçu trois de nos avions, dans le hangar principal, pour l'inspection périodique. Des mécaniciens rampent partout autour de l'avion durant ces inspections. Je venais tout juste de finir mon quart de travail et j'ai donc décidé d'aller voir le système d'évacuation sur un des appareils. Avec tous les mécaniciens autour, j'étais sûr que personne ne me remarquerait.
À ma grande surprise, l'avion que je choisis d'inspecter possédait, lui aussi, ce type d'équipement supplémentaire!
J'ai commencé à suivre le système de la tuyauterie, des pompes et des réservoirs. J'ai découvert ce qui semblait être l'unité de commande pour le système. C'était une boite de commande standard de l'avionique, mais sans la moindre inscription. Je pouvais suivre les fils, de la boîte de commande aux pompes et aux valves, mais aucun circuit de commande n'arrivait dans cette unité.
Les seuls fils qui étaient raccordés à cette unité, rejoignaient le système opérationnel des commandes de l'avion.
Le système possédait un grand réservoir et deux plus petits.
C'était difficile à voir à cause de l'exiguïté du compartiment, mais semblait que le grand réservoir aurait pu tenir 50 gallons (200 litres). Les réservoirs étaient reliés à une soupape de vidange du système des eaux usées. Ayant cherché où menait ce raccordement sous l'avion, j'ai vu qu'il était caché derrière un faux panneau, sous un autre panneau qui, lui, accédait au système du drain de vidange.
J'ai commencé à retracer la tuyauterie des pompes. Ces tuyaux mènent à un réseau de plus petits conduits qui se terminent dans les rebords arrière des ailes et des stabilisateurs horizontaux de l'avion.
Si vous regardez attentivement les ailes d'un grand avion vous verrez une couette de fils, environ de la taille de votre doigt, s'étendre du rebord arrière de l'aile. Ce sont des tiges de décharge statiques. Elles sont employées pour dissiper la charge d'électricité statique qui s'accumule sur un avion en vol. J'ai découvert que les conduits de ce systèmes menaient à une sur trois de ces tiges à décharge électrostatique. Par contre, ces tiges uniques avaient été trouées comme pour laisser échapper un produit quelconque à partir de ces fausses tiges à décharges électrostatique.
Cela faisait un certain temps que j'étais juché sur l'aile. Soudainement, un des superviseurs m'ordonna de quitter le hangar. Il me dit par la suite que mon quart de travail était terminé et que je n'étais pas autorisé à faire des heures supplémentaires.
Les deux journées qui suivirent furent très chargés et je ne trouvai pas une minute pour poursuivre ma petite enquête.
Alors que j'étais en retard,,deux jours après ma découverte, je fus appelé à remplacer un détecteur de température pour un moteur d'avion qui s'apprêtait à décoller. J'ai fini le travail et je suis retourné à la paperasse.

Environ 30 minutes plus tard, j'étais convoqué par le directeur général. Quand je suis entré dans son bureau , le représentant de notre syndicat et deux autres personnes que je ne connaissais pas m'y attendaient. Le directeur me dit qu'un problème sérieux avait été découvert. J'étais suspendu pour faute grave. Il m'a remis une formule disciplinaire déclarant que j'avais écrit de fausses entrées dans mon rapport de travail au sujet du détecteur de température de moteur que je venais d'installer quelques heures auparavant. J'étais atterré et j'ai commencé à protester. J'ai dit que c'était ridicule et que j'avais bel et bien effectué consciencieusement ce travail. Le représentant du syndicat s'interposa. Il a recommandé que nous jetions un coup d'oeil à l'avion, de façon à tirer la situation au clair. C'est à ce moment que j'ai demandé qui étaient les deux autres hommes. Le directeur général m'a indiqué qu'ils étaient des inspecteurs de la sécurité de la compagnie aérienne, mais qu'ils n'étaient pas tenus de me donner leur nom.

Nous nous sommes donc rendu à l'avion qui aurait déjà dû décoller, mais qui était encore garé à notre rampe de maintenance. Nous avons ouvert les capots du moteur et le représentant des syndicats retira le détecteur de température. il vérifia le numéro de série et constata que c'était la vieille pièce. Nous sommes alors allés au comptoir des pièces et le représentant des syndicats a vérifié mon rapport. Sur une étagère, il a pris une boite scellée. Il l'a ouverte et a retirée un détecteur de température à moteur ayant le même numéro de série que celui que j'avais installé. Sur-le-champ, il m'a dit que j'étais suspendu pour une semaine sans salaire.
Je me suis reposé à la maison le premier jour de ma suspension en me demandant ce qui avait bien pu m'arriver.

Durant la soirée , j'ai reçu un appel téléphonique. La voix me dit : Maintenant vous savez ce qui arrive aux mécaniciens qui fourrent leur nez là ou ils n'ont rien à faire. La prochaine fois que vous vous mettrez à travailler sur des systèmes qui ne vous concernent pas, vous perdrez votre emploi ! Comme je me sens généreux aujourd'hui , je crois que vous pourrez retourner à votre travail bientôt. CLICK.
J'ai aussitôt fait le rapprochement entre ce qui venait de se produire et ma découverte de la tuyauterie mystérieuse.

Le matin suivant le directeur général m'appela. Il me dit qu'à cause de l'excellence de mon dossier, la suspension avait été réduite à une journée. Je devais donc me remettre immédiatement au travail. La seule chose à laquelle je pouvais penser était : Qu'est-ce qu'ils essayent de cacher et ensuite qui sont -ILS!
Le retour au travail s'est passé comme si de rien n'était. Aucun des autres mécaniciens ne mentionna la suspension qu'on m'avait infligée. Le représentant syndical m'a d'ailleurs dit qu'il était inutile d'en parler. Mais cette nuit-là, Je surfais sur Internet pour essayer de trouver des réponses. Je ne me rappelle pas comment j'y suis arrivé, mais j'ai trouvé votre site par hasard. C'est alors que la situation est devenue de plus en plus claire. Le lendemain matin, au travail j'ai trouvé une note écrite à l'intérieur de mon casier verrouillé. Elle disait : La curiosité a tué le chat. Ne regarde pas les sites Internet qui ne te concernent pas.
Alors, voilà! Ils m'observent.
Je ne sais pas ce qu'ils sont en train de vaporiser, mais je peux vous certifier qu'ils le font. J'imagine qu'ils utilisent les camions-citernes. Ce sont les camions qui vident les déchets des réservoirs de vidanges des toilettes. Habituellement les aéroports confient à la sous-traitance ce genre de travail et personne ne va près de ces camions. Qui voudrait se tenir près d'un camion rempli de m...? Tandis que ces types vident des réservoirs des eaux usées, ils remplissent les réservoirs du système des gicleurs à vaporisation. Ils connaissent les plans de vol des avions. Ainsi, ils programment probablement l'unité de commande afin qu'elle commence à pulvériser une certaine quantité d'un produit quelconque après un certains temps, dès que l'avion a atteint une certaine altitude, ou encore au-dessus de certaines agglomérations. Le bec des gicleurs des fausses tiges électrostatiques est si petites que personne dans l'avion, ne pourrait remarquer la chose.

Je ne suis aucunement un imbécile. Je sais qu'il se passe quelque chose et je suis franchement effrayé. Je me sens très coupable de connaître l'existence de cette opération, mais je
suis tenu au silence. Cela me perturbe de savoir que la compagnie pour laquelle je travaille pourrait être en train d'empoisonner les Américains. J'espère que cette lettre ouvrira les yeux de certaines personnes sur ce qui se produit, en ce moment, dans nos cieux.

Encore une fois, je souhaiterais bien pouvoir vous donner une information documentée, mais vous comprenez pourquoi je dois conserver l'anonymat absolu."
Merci,
un citoyen concerné.

 

témoignage "J’ai photographié « mes » premiers chemtrails en juillet 2009 : le matin le ciel est bleu sans nuage et puis arrive un avion qui fait un épandage en ligne droite (axe est/ouest) puis un deuxième avion en parrallèle à côté fait de même, puis un 3ème en parallèle à côté etc…au bout de quelques heures les trainées se rejoignent et formaient un voile rougeâtre orangé (à l’époque), la température baisse de plusieurs degrés en quelques dizaines de minutes, il pleut en général quelques temps aprés…aujourd’hui le voile est de couleur blanche (ils ont dû changer la compo des produits)…
J’ai beaucoup voyagé en France et en Europe mêmes phénomènes observés et toujours des avions blancs. Sur des photos de Br

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