brakumo (18/08/2020)
On ne peut serrer assez fort quelqu’un qu’on aime,
Que ce soit la maman, votre chat ou vous-même.
Jamais assez l’étreinte ne vous unira.
S’il sait aimer, jamais l’aimé ne se plaindra.
On ne peut trop envelopper dans les caresses
Le doux objet vital, à vie, de nos tendresses.
Comment aimer ? comment payer les doux ronrons ?
Et jamais assez les baisers ne suffiront.
On ne peut assez fort serrer quelqu’un qu’on aime,
Qui retient ses transports n’aime en fait que lui-même.
Oh bras ! oh mains ! élan toujours inassouvi,
Infructueux effort de notre cœur ravi.
R. Platteau
6-8 décembre 2000
(se trouve avec d'autres dans le recueil http://flammesvives.com/Boutique/Produit/Les_pleurs_de_la...)