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Dans moins de deux semaines, les Nations Unies présenteront lors d'une session extraordinaire – 22 et 23 septembre — de leur réunion annuelle 2024 de l'ONU à New York, le Le Monde du Futur. C'est un monde entièrement numérisé. Pour la réunion de l'ONU AG, un paquet “” de numérisation mondiale a été préparé par les gouvernements de l'Allemagne et de la Namibie. Bien sûr, avec l'aide “” de Big Tech et Big Finance.

Ce package d'esclavage numérique sera adopté sous l'exclusion presque complète du public, de personnes comme vous et moi.

La plupart des parlements et des gouvernements du monde entier l'ont apparemment déjà accepté, de sorte que la présentation et la soi-disant discussion lors de la Conférence annuelle de l'ONU est une pure feuille de vigne, une simple farce.

C'est la nouvelle façon “basée sur des règles de forcer une population entière dans un compact d'un camisole de force numérique, s'échappant de ce qui est presque impossible.

Les gens n'ont été consultés ni même informés. Les gouvernements du monde entier ont été contraints par les puissances anonymes-qui-être d'accepter une numérisation complète de notre avenir – ce que le WEF appelle le 4^th La Révolution industrielle.

Les gens, c'est ici!

Pas d'attente pour la fin de l'Agenda 2030 de l'ONU. Les objectifs ont été commodément avancés. Vous – et moi – seront confrontés à l'élimination de l'argent, déjà commencé dans de nombreux pays européens et dans une certaine mesure aux États-Unis; et même dans certains pays en développement “” comme l'Inde, sans le consentement de people’s.

Tout sera contrôlé, nos dépenses, nos données de santé, nos habitudes alimentaires et alimentaires, nos voyages, les préférences des téléspectateurs, nos favoris radio, nos amis avec lesquels nous rencontrons et communiquons régulièrement, ainsi que d'autres personnes du camp d'opposition; les habitudes de shopping/dépense – et ainsi de suite – seront contrôlées numériquement par le système de contrôle d'entreprise numérique IT-digital.

Voir ceci (en allemand) pour l'histoire complète.

Le moyen de le faire est le code QR à l'aspect bénin qui a été introduit progressivement et doucement au cours des deux dernières décennies environ – et qui est devenu une apparence courante dans notre vie quotidienne. Dans de nombreux cas, vous ne pourrez peut-être pas lire un menu de restaurant sans le télécharger sur votre code QR personnel.

Qui donc contrôlera tous les codes QR personnels? 

Exactement, vous avez deviné juste.

QR signifie Réponse Rapide. C'est un code à barres sur les stéroïdes. Alors que le code-barres contient des informations horizontalement, le code QR le fait à la fois horizontalement et verticalement. Le code-barres matriciel bidimensionnel a été inventé en 1994 par la société japonaise Denso Wave, à l'origine destiné à l'étiquetage des pièces automobiles.

Les monstres du contrôle occidental ont rapidement découvert son potentiel et l'ont capturé pour leur mal “programme pour l'avenir de l'humanité”, laissé au monde informatique de l'entreprise (avec une valeur combinée d'environ 3 à 4 billions de dollars) pour l'administrer et l'imposer à l'humanité. Un code QR individuel a une capacité de stockage illimitée. Il vous connaît peut-être mieux que vous ne vous connaissez vous-même.

Le débat ou les négociations “” pour ce pacte numérique, prennent officiellement/s lieu les 20 et 21 septembre à huis clos, pendant l'AGNU, mais le contexte avait été discuté et convenu dans plusieurs itérations clandestines, également appelées Révisions 2 et 3, qui sont publiées sur le site Web de l'ONU pour “Le Sommet du Futur”. Voir ceci.

Malheureusement, presque personne ne connaît cette page et encore moins la lit. Si les gens étaient mieux informés ou s'ils voulaient s'informer, nous pourrions ne pas nous tenir devant l'abîme numérique, comme nous le faisons aujourd'hui.

Il n'est pas clair ce que la société /IT, et la représentation de la société civile faisait partie de ces négociations secrètes “”. Mais à coup sûr, le Forum Economique Mondial (WEF) et le Club de Rome, tous deux basés dans “paradise” Suisse (on ne peut pas répéter assez souvent comment “neutre” Suisse héberge la majeure partie de ces organisations maléfiques, dont le but est de réduire et de contrôler l'humanité), ont été parties à la rédaction originale et aux révisions ultérieures.

Le compact numérique n'a pas d'espace pour les choix humains. Il n'y a aucun moyen qu'une option volontaire “” soit disponible. En d'autres termes, un individu ne peut pas dire “Merci, mais non merci, je préfère me retirer de ce monde numérique”. Les gens sont forcés dans ce système, viennent en enfer ou en haute mer. C'est le plan.

Le choix des gouvernements’ de participer a été également bloqué, car on leur a dit que c'était un MUST, ou bien. Nous savons ce que signifie “ou bien”.

Il n'y a pas d'exceptions autorisées dans la numérisation complète “” parce qu'elles jetteraient le contrôle global, ou Contrôle Globaliste, par la fenêtre, ou aux loups, pour ainsi dire.

Les exceptions seraient un obstacle définitif pour l'imminence d'un Ordre Mondial Unique.

Le compact explique clairement les énormes avantages offerts pour le bien-être humain par les technologies numériques. Par conséquent, il est impératif qu'aucun écart ne subsiste entre les personnes et les pays, que TOUS naviguent sur la même longueur d'onde – à savoir entièrement numérique.

L'objectif du bien-être humain global, comme expliqué dans le compact – pas de guerres, pas de conflits, pas de pollution, pas de bruit, les maladies sous contrôle, et plus — justifie le mouvement rapide vers la numérisation complète ou ALL.

Sans le dire directement, c'est le premier pas vers un Un Ordre Mondial et un Gouvernement Mondial Unique. Ce dernier exécuté par l'ONU, avec un cadre politique établi par le WEF, et une tyrannie de type GESTAPO imposée par l'OMS.

L'ONU a été pleinement cooptée dans cette entreprise de destruction de l'humanité qui, avec le recul, remonte aux 20 dernières années, tandis que l'humanité était endormie dans un profond sommeil. Il a finalement été officialisé, avec un Accord de Coopération entre l'ONU et le FEM, signé en juin 2019. Illégal en tant que tel, car l'ONU ne peut pas conclure d'accords avec des ONG, mais de facto non pertinent dans un monde ordonné fondé sur des règles.

En outre, les ressources et le budget d'UN’s, qui dépendent actuellement principalement des contributions des pays membres, pourraient être facilement remplacés par les payeurs au pouvoir, Big Tech et Big Finance, qui finiront par appeler les coups de feu. Mérite dans le monde d'aujourd'hui’s, où “qui paie décide” mandats.

Les futures Assemblées annuelles de l'ONU pourraient être considérées comme des assemblées d'actionnaires pro forma, ou en termes de WEF “réunions des parties prenantes’s”, sans avoir en fait le pouvoir de changer de direction, ou de tracer une voie différente, plus humaine.

La gestion numérique est en contrôle, avec une (trans)humanité sans voix qui suit presque aveuglément. Ceux qui ne sont pas aveugles et peuvent résister peuvent facilement être supprimés numériquement. Personne ne s'en soucie. M. “digital” ne peut être accusé de meurtre. L'ordre fondé sur des règles n'a aucune notion de meurtre; c'est simplement une disparition numérique.

Dans les rangs des services consultatifs plus proches de l'ONU, nous devons nous attendre à trouver les sociétés informatiques Big Tech. Ils décideront en termes d'orientations numériques, car ils reçoivent le playscript de Big Finance, sans nom jusqu'à présent.

Avons-nous, humanité, un choix, une alternative, un moyen de sortir de cette mainmise numérique? Nous avons, mais only quand nous réalisons ce qui est prévu, quand nous reconnaissons les implications, et quand nous agissons non pas en tant qu'individus, mais quand nous sommes prêts à verser l'individualisme “imposé par le système et adoptons “Ensemble, nous pouvons”.

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Peter Koenig il est analyste géopolitique et ancien économiste senior à la Banque Mondiale et à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans dans le monde entier. Il est l'auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney’s “When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis” (Clarity Press – November 1, 2020).

Peter est Associé de recherche au Centre for Research on Globalization (CRG). Il est également non-résident Senior Fellow de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin, à Beijing.

Image en vedette: Salle de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York. (Licence sous CC BY-SA 2.0)La source originale de cet article est Global ResearchCopyright © 

Peter Koenig2024, Recherche mondiale

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