plitidepsine (09/07/2021)

 
Publié le , oui il y a 6 mois ! comment se fait-il que tous les médias n'aient pas répercuté triomphalement cette nouvelle, un scoop !
ah oui ! vous dites ? les grands médias appartiennent tous à 9 milliardaires ?  copains avec les fabricants de vaccins. alors c'est donc bien vrai que tout ça n'est qu'un cynique et criminel  BUSINESS-PLAN ?

Plitidepsine. Derrière ce nom barbare, se cache le composé antiviral le plus puissant découvert à ce jour. Un médicament capable de diminuer de 99 % la charge virale du SRAS-CoV-2.

C'est une découverte scientifique qui relance l'espoir de vaincre un jour cette pandémie à l'évolution galopante. Ce médicament antiviral, mis au point par la société espagnole Pharmamar et testé dans des laboratoires en France et aux Etats-Unis a donné des résultats tout à fait surprenants. Des données, rapportées par le Diari de Girona, qui ouvrent la voie à de nouveaux essais avant une éventuelle mise sur le marché.

Des tests prometteurs

"Les premiers résultats positifs de l'essai clinique PharmaMar suggèrent que la plitidepsine devrait être sérieusement envisagée pour étendre les essais cliniques pour le traitement de la covid-19", concluent les chercheurs dont les avancées viennent d'être publiées dans la revue Science. Testé sur des animaux, ce médicament, utilisé comme antitumoral, a montré un profil d'efficacité antivirale et de toxicité très prometteur, bien au-delà des résultats des autres antiviraux déjà utilisés dans le traitement de la Covid-19.

Selon le Diari, "l'essai a démontré une réduction de la reproduction virale et une diminution de 99 % de la charge virale dans les poumons des animaux traités par la plitidepsine. La publication conclut que la plitidepsine agit en bloquant la protéine eEF1A, qui est présente dans les cellules humaines, et qui est utilisée par le SARS-CoV-2 pour reproduire et infecter d'autres cellules".

Une découverte, fruit de la collaboration entre le PharmaMar espagnol et les laboratoires des chercheurs Kris White, Adolfo García-Sastre et Thomas Zwaka, dans les départements de microbiologie et de biologie cellulaire, régénérative et développement, à l'école de médecine Mount Sinai Icahn ( New York, des scientifiques Kevan Shokat et Nevan Krogan, à l'Institut des biosciences quantitatives de l'Université de Californie à San Francisco, et Marco Vignuzzi, à l'Institut Pasteur de Paris, qui pourrait marquer une étape cruciale dans la lutte contre la pandémie. 

 

Il faut que les français disent NON !
. Le français ne sait pas dire non et il n’est pas exigeant envers ses politiques que pourtant il paie grassement. Il grogne mais au final il finit par se taire et accepter. Tous les gouvernants le savent et l’ont compris depuis très longtemps. A leur décharge, il est certain que le système à la française ne leur facilite pas le refus. Pas de vrai contre pouvoir, partis d'"opposition"  qui ne sont que de la fausse opposition !! verrouillage de toute  contradiction, système judiciaire inféodé au pouvoir en place et non indépendant etc etc….

Il est évident que ces vaccins ne fonctionnent pas donc ceux qui accepteront de se faire injecter une troisième dose seront vraiment suicidaires ou inconscients.

D’ailleurs beaucoup hésitent et à juste titre.

Qu’ils se rappellent tout de même qu’une pandémie ne dure jamais des années. Elle s’est toujours éteinte seule. Toujours !
Sauf si on fait tout pour la faire durer..... si vous voyez ce que je veux dire.
Que celle-ci s'éternise en "variants", n'es t pas normal, du tout !  jamais vu dans le passé, scientifiquement impossible, donc.... il y a un loup quelque part

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