Justice doit être rendue pour sa maman, et en plus qui le réclame. (20/12/2015)

TERRORISTES DU BATACLAN : OÙ EST PASSÉ LE "BLOND"?

Mercredi 9 décembre, Le Parisien a rapporté l'identité du 3ème homme qui aurait participé -avec Omar Ismaïl Mostefaï et Samy Amimour- au meurtre de 90 spectateurs du Bataclan : il s'agirait de Foued Mohamed-Aggad {http://panamza.com/bch}.

Problème : de nombreux témoins avaient rapporté avoir vu "au moins 4 terroristes" -et non pas 3- parmi lesquels "une femme", un "blanc à lunettes" et un "grand blond à cheveux ras" {https://youtu.be/D12ldOc_lOc; http://panamza.com/13603}.

***SOUTENEZ L'INFO-PANAMZA ! http://www.panamza.com/solidaires***
 
Les témoignages utiles et sincères sont comme par hasard à chaque fois falsifiés ou tus.. La preuve-même que l'enquête officielle n'est pas légitime!!! Pourquoi donc nous cacher des éléments et nous mentir si ce n'est que pour couvrir l'opération qu'ils ont eux-mêmes mis sur pied!!

Panamza est-il le dernier vrai journaliste en France qui fasse son travail dans les règles de l'art ?

et il est menacé par le régime ! http://www.panamza.com/071215-gouvernement-menace-panamza/

protégeons-le ! il travaille pour la liberté, pour la démocratie, pour les citoyens, il travaille pour nous il nous faut tous le protéger !

Affaire Charlie : un proche de Bougrab succède au commissaire « suicidé »

INFO PANAMZA. Retrouvé "suicidé" au soir de l'attentat du 7 janvier, le commissaire Helric Fredou -qui devait rédiger un rapport sur Jeannette Bougrab- a été remplacé à la tête de la police judiciaire de Limoges par Thierry Miguel, influent franc-maçon qui avait récompensé en 2013 la compagne autoproclamée du directeur de Charlie Hebdo.

Le 16.11.2015 à 22h33

C'est mon fils qui aurait dû être à sa place !

Elle n'en revient pas.

La mère du policier Helric Fredou, prénommée Chantal, est stupéfaite par le dernier rebondissement au sujet de la mort suspecte de son fils, retrouvé mort (une balle logée dans le crâne) dans la nuit du 7 au 8 janvier 2015.

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Contactée le 10 novembre par Panamza, elle a fait connaître son étonnement à propos des récents changements observés à la tête du service régional de la police judiciaire de Limoges.

Avant d'aller plus loin, rappel des principaux faits relatifs à Helric Fredou, recueillis notamment auprès de sa famille et dévoilés par Panamza les 16 janvier, 25 janvier, 13 mars et 4 septembre.

1* Les policiers qui avaient auditionnée Chantal lui avaient expressément fait savoir qu'elle n'aurait pas accès au rapport d'autopsie. Le Code de procédure pénale prévoit pourtant qu'en cas d'autopsie judiciaire (pour suicide ou mort suspecte), tout membre de la famille peut en faire la demande auprès du Parquet.

2* L'arme de service d'Helric Fredou n'était pas munie d'un silencieux. Sa mère a donc posé une question élémentaire à ses collègues : "Pourquoi n'avez-vous rien entendu alors qu'il était environ minuit?". Réponse laconique : "Son bureau était bien isolé".

3* Helric Fredou voulait passer un coup de fil important après avoir effectué deux choses : débriefer "trois enquêteurs" partis interroger la famille proche d'une victime de l'attentat de Charlie Hebdo (en l'occurrence, les parents de Jeannette Bougrab -compagne autoproclamée de Charb- comme l'avait recoupé et divulgué Panamza) et consulter ensuite "les réseaux sociaux" (notamment une adresse Facebook). C'est à ce moment-là que Fredou aurait réalisé une déduction tellement importante qu'il "voulait continuer de travailler" en dépit des "frictions" survenues à ce sujet avec ses collègues. Précision importante : le "commandant"  en poste ce soir-là (non identifié) aurait voulu se charger lui-même du débriefing des enquêteurs et de la rédaction du rapport mais Fredou aurait insisté en lui répliquant "C'est mon boulot". 

4* Selon la police, Helric Fredou -44 ans, 1m88- aurait posé le canon de son revolver sur le front et la balle serait restée à l'intérieur du crâne.

5* Le médecin traitant d'Helric Fredou refuse de valider le portrait esquissé par les rares articles parus au sujet du policier, faisant état d'une prétendue "dépression".

6* La mère a voulu savoir à qui était adressé le dernier appel de son fils. Les policiers lui auraient rétorqué "On ne peut pas savoir" avant d'affirmer finalement qu'aucun coup de fil n'avait été passé.

7* "Quatre directeurs" de la police, venus expressément de Paris, ont rencontré la mère d'Helric Fredou pour lui adresser leurs condoléances et la convaincre qu'il s'agissait d'un "suicide".

8* Les policiers chargés de l'enquête ont emporté le matériel informatique et le smartphone personnel d'Helric Fredou dès le lendemain.

9* Aucun journaliste rattaché à un média traditionnel de la presse écrite et audiovisuelle n'a interviewé la mère d'Helric Fredou.

10* Le député socialiste Christophe Premat a adressé, à trois reprises, une question écrite à Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, à propos des "circonstances exactes du décès du policier Helric Fredou". Aucune réponse ne lui a été retournée depuis le 27 janvier. 

11* La mère d'Helric Fredou n'a reçu aucun message de condoléances de la part de François Hollande (dont le fief corrézien de Tulle était chapeauté par le commissaire) et Bernard Cazeneuve (l'ancien député-maire de Cherbourg qui fréquentait pourtant régulièrement l'ex-commissaire central de sa ville entre 2010 et 2012).

Gil Friedman, supérieur direct de Fredou, avait demandé (à une date inconnue) sa mutation et son successeur, dénommé Maurice Alibert, a entamé ses nouvelles fonctions à la date du 1er septembre -en vertu d'une décision prise (et actée au Journal officiel) par Mireille Ballestrazzi, directrice centrale (depuis janvier 2014) de la police judiciaire.

Panamza a également contacté la direction interrégionale de la police judiciaire d'Orléans -dont dépend la PJ de Limoges- afin de connaître l'identité du nouvel adjoint du commissaire divisionnaire. Pour cause : sur le site officiel -pourtant actualisé le 8 septembre- de l'administration française, le patronyme d'Helric Fredou figure toujours, dix mois après sa mort. Visiblement gênée par ma question, la standardiste m'a fait savoir, après un long silence à l'évocation du nom "Fredou", qu'elle n'était "pas en mesure" de me donner cette information -censée pourtant relever du domaine public- avant de m'affirmer en bredouillant qu'il était "possible qu'il n'y ait pas encore eu désignation" pour ce poste.

Une chose est certaine : dans les semaines ayant précédé l'arrivée du nouveau commissaire divisionnaire, un personnage singulier occupa la direction intérimaire de la PJ. Un site alternatif d'information, dénommé Eurasie Express, avait tenté -l'été dernier- de solliciter un avis officiel au sujet du rapport d'autopsie d'Helric Fredou. Incidemment, son rédacteur Frédéric Saillot signale s'être ainsi entretenu, le 13 août, avec "M.Miguel, directeur par intérim de la PJ de Limoges".

"M.Miguel"

Après un un recoupement basé sur les archives du web, Panamza a découvert qu'il s'agissait de Pour lire la suite de l'article : » Affaire Charlie : un franc-maçon proche de Bougrab succède au commissaire « suicidé »

 


CEINTURE EXPLOSIVE DE MONTROUGE : LES DÉMINEURS ONT EFFACÉ LES EMPREINTES.

Lundi 23 novembre, une ceinture d'explosifs a été retrouvée à Montrouge. La plupart des médias ont aussitôt relayé l'affirmation des enquêteurs de la police : il s'agirait du dispositif transporté par le terroriste présumé Salah Abdeslam et abandonné dans la nuit du 13 au 14 novembre
{https://youtu.be/sRJJlkmoR_0; http://panamza.com/bcd}.

Mardi 1er décembre, TF1 révélait que cette ceinture explosive "ne pourra pas être exploitée" en raison de "l'effacement des traces génétiques et des empreintes papillaires" provoqué par un produit utilisé par les démineurs {http://panamza.com/bce}.

Rappel : la police scientifique envoyée au Comptoir Voltaire -bar dans lequel un kamikaze se serait fait exploser- avait déjà fait preuve d'une certaine désinvolture lors de l'étude du site {http://panamza.com/inps}.

Témoignage à souligner : un habitant du quartier de Montrouge dans lequel fut retrouvée la ceinture explosive affirme catégoriquement qu'il n'y avait "rien sur le trottoir" à la date du samedi 21 novembre. Il ajoute que cet engin a "dû être déposé après" {http://panamza.com/bcf}.

 

 

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