Wilson - chantage (10/09/2020)

Ghislaine Maxwell planque des enregistrements secrets

Michael Moran Vendredi 10 Juillet 2020


Introduction
L’article suivant, du Daily Star, comporte quelques omissions flagrantes. Tout d'abord, il ne mentionne pas que l’on soupçonnait Robert Maxwell, le père de Ghislaine Maxwell, d’être un agent du Mossad. Lors des funérailles de ce dernier, l'ancien Premier ministre israélien Yitzhak Shamir, a déclaré que Maxwell avait « fait plus pour Israël que ce que l'on peut en dire aujourd'hui. »

La fille de Maxwell jouait probablement un rôle similaire à celui de son père car, avec Jeffrey Epstein, ils pilotaient une opération visant à obtenir des informations compromettantes sur des personnalités politiques occidentales. Or leur but n’était pas de les faire chanter pour leur soutirer de l’argent, mais de se servir des informations pour faire pression sur eux, pour qu’ils agissent dans l’intérêt d’Israël.
Parmi leurs victimes, il y avait Bill Clinton, Donald Trump [*], Prince Andrew, Ken Star, ancien avocat indépendant qui avait enquêté sur le président Clinton, Ted Kennedy, George Stephanopoulos, Peter Mandelson, ancien membre du cabinet britannique et Sergey Brin, cofondateur de Google.

[* NdT : Trump n’a pas été piégé par Epstein. Il est vrai que, plus jeune, Trump fréquentait les mêmes milieux huppés qu’Epstein. Mais quand il a compris ce que faisait ce dernier, il s’est éloigné de lui et l’a banni de son club de golfe. Durant sa campagne électorale, Trump a même annoncé qu’il le ferait arrêter. D’ailleurs, si Trump était compromis, pourquoi Ghislaine Maxwell n’a-t-elle pas divulgué les bandes compromettantes ? Toute la presse occidentale n’attendait que ça pour se débarrasser de Trump.]

Ce ne sont que quelques-unes des personnalités qu’Epstein et Ghislaine Maxwell ont piégées.

Vicky Ward, le journaliste qui a écrit le profil d'Epstein pour Vanity Fair en 2003, a déclaré à Slate : « Vous aviez le sentiment que ses amis n'étaient pas de vrais amis – il les tenait –, qu'il était du genre à collecter des informations sur les gens, puis à s’en servir contre eux. »

C’était effectivement le cas, mais le véritable bénéficiaire de l’opération n’était ni Epstein, ni Maxwell, mais l’État d’Israël. Tout compte fait, il va sans dire qu'il est peu vraisemblable qu'Epstein soit mort. En ce moment, après avoir fait sa part pour l'État sioniste, il vit probablement incognito quelque part en Israël.

Ghislaine Maxwell a « les bandes compromettantes d’Epstein dans une cachette secrète, » dit l’ancienne copine

D’après les rapports, Ghislaine Maxwell possède des bandes compromettantes dans une cachette secrète, des bandes qui pourraient l'aider à négocier sa peine.

Cette femme mondaine a été arrêtée la semaine dernière pour incitation de mineurs au proxénétisme et parjure.

 

Proche confidente de Jeffrey Epstein, cette héritière de 58 ans parcourait le monde aux côtés du magnat disgracié, à l’époque où il nouait des relations avec quelques-unes des personnalités les plus influentes du monde.

Une ancienne amie de Mme Maxwell a confié à un journaliste du Daily Mail, que c’était une femme ‘rusée’ qui, pour avoir une ‘assurance’ en cas de problème, s’était procuré des copies de la collection de bandes dégueulasses d'Epstein :

« Je pense que les bandes compromettantes que Ghislaine a mises de côté pour plus tard dans sa planque secrète, étaient prévues pour lui servir de "carte de sortie de prison", si les autorités étaient d’accord pour négocier. Elle a des copies de toutes les bandes d'Epstein. Ils pouvaient mouiller des détenteurs de pouvoirs, dans le but de les mener par le bout du nez. »

En août 2018, Epstein a dit à James B. Stewart, journaliste du New York Times, qu'il détenait des dossiers secrets sur certains de ces ‘détenteurs de pouvoirs’. Dossiers qui, selon Stewart, étaient « potentiellement préjudiciables ou embarrassants, en particulier à cause des détails sur leurs prétendues inclinations sexuelles et leur usage de drogues récréatives. »

Pratiquement un an plus tard, Epstein a été trouvé pendu dans sa cellule de prison au Metropolitan Correctional Center de New York, où il attendait d'être jugé pour proxénétisme aggravé.

Epstein gagnait la confiance des jeunes filles pour en faire ses esclaves sexuelles, mais il prenait aussi plaisir à se lier d'amitié avec des personnalités très en vue des deux côtés de l'Atlantique.

Epstein et Maxwell étaient souvent photographiés avec les personnages les plus influents du monde.

L’amie a déclaré: « Si Ghislaine tombe, elle va entraîner avec elle tout un sacré paquet d’entre eux. »

Mme Maxwell était la plus proche compagne d'Epstein.

Certains amis disent qu'elle espérait épouser un jour ce financier mondain, reconnu coupable de proxénétisme.

D'autres sources la décrivent comme une ‘madame’ qui aidait son ami et ancien employeur, à se procurer et former les mineures qu'il mettait au turbin.

Le 2 juillet 2020, Mme Maxwell a été arrêtée par le FBI à Bradford, dans le New Hampshire.

William Sweeney, l'agent spécial du FBI, a dit que le bureau surveillait Maxwell depuis un certain temps avant de l’arrêter :

« Nous surveillions discrètement Maxwell depuis un certain temps. Elle s’était réfugiée dans une magnifique propriété du New Hampshire, où elle continuait sa vie privilégiée pendant que ses victimes vivaient toujours avec le traumatisme qui leur avait été infligé des années auparavant. »

Plus tard dans la journée, Mme Maxwell a été inculpée de six crimes fédéraux, notamment pour détournement de mineurs, proxénétisme et parjure.

Mme Maxwell vient d’être transférée de Boscawen, la prison du comté de Merrimack, dans le New Hampshire, au Metropolitan Detention Center de Brooklyn, une prison de New York devenue tristement célèbre après une série d'enquêtes sur ses mauvaises conditions et les multiples affaires de mauvais traitements infligés aux détenus.
Cameron Lindsay, l’ancien directeur de cette prison ou sont enfermés des gens des deux genres, a qualifié l’endroit de « l'une des installations fédérales les plus problématiques » du système pénitentiaire, avec une « histoire unique de mauvaise conduite du personnel. »

Photo de tête : Ghislaine Maxwell jeune, avec son père Robert Maxwell, soupçonné d’être un agent du Mossad.

The Truth Seeker, Michael Moran du Daily Star, 7 juillet 2020

Original : Ghislaine Maxwell has ‘secret stash of Epstein’s sex tapes’ says former pal

Adaptation en français de Petrus Lombard

EN 1900 il n'était pas nécesaire d'aller jusqu'à la pédophilie, l'adultère suffisait çà briser une carrière politique et donc à faire chanter un Président :

Quelques vérités peu connues sur la Déclaration Balfour
Par Jean-Marie Gläntzlen

Il est difficile de s’intéresser à l’anomalie étatique sioniste dénommée hâtivement "Israël" (le soir du 12 mai par un vote de cinq contre quatre membres présents du gouvernement provisoire du Yichouv) et/ou au drame des Palestiniens patriotes (à bien différencier des collabos comme Abbas et Fayyad), sans avoir entendu parler de la « Déclaration Balfour » et de sa formule « Foyer national juif ». Mais hélas, comme souvent, ce qui en est retenu est généralement trompant. Et il est des fois où on pourrait croire préférable que certains ne connaissent pas du tout la question plutôt que de mal la connaître et encore plus non didactiquement la propager.

 

Pour mémoire ou découverte : la Déclaration Balfour du 2 Novembre 1917 est en fait une lettre adressée par le ministre des affaires étrangères du gouvernement britannique du moment à Lord Lionel Walter Rothschild qui dit essentiellement que "Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, (national home for the Jewish people) et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civiques et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les Juifs jouissent dans tout autre pays."

Mais, non sans avoir souligné la seconde partie souvent « oubliée » des sionistes, il est intéressant d’éclairer la connaissance de ce document historique et de ses conséquences par quelques réalités moins connues qui en remodèlent tout le sens. Car on ne saurait en retenir comme seule justification que ce fut (selon les Mémoires du chrétien sioniste et premier ministre à cette date Loyd Georges) l’expression de la reconnaissance britannique envers le chimiste russo-anglais Haïm Weizman, découvreur de la synthèse de l’acétone constituant indispensable de la cordite (un explosif précieux à la guerre, par ailleurs leader de l’Organisation sioniste mondiale et futur premier président de l’anomalie étatique sioniste en 1948.)

Cette précieuse déclaration est avant tout le fruit d’un marchandage lui aussi très peu connu. En 1916, la section britannique de l’Organisation Sioniste Mondiale a dit au gouvernement de sa majesté « Ne répondez pas favorablement à l’offre de paix de l’Allemagne par le petit-cousin de votre roi, notre section usaméricaine va faire entrer en guerre les USA, malgré leur bien connu isolationisme égocentrique ». Et ce fut effectivement le cas le 6 avril 1917 grâce à ce qu’il faut bien appeler le chantage d’une ancienne maîtresse du président Woodrow Wilson en manque d’argent pour financer une dette de 40.000 dollars de l’époque qu’avait son fils vis-à-vis de la banque qui l’employait. La section usaméricaine de l’Organisation sioniste mondiale se substitua au président des USA pour payer la très grosse somme demandée et la guerre fut déclarée par les USA. A quoi a pu tenir deux ans de prolongation de la « der des ders » et tous ses malheureux morts et veuves et orphelins supplémentaires ?

La preuve fut fournie en 1961 par le Juif usaméricain Benjamin H. Freedman, jeune collaborateur de la crème du parti démocrate dès les années 1912 sioniste actif jusqu’à sa « conversion » (y compris au catholicisme) en 1946 devenu pour les sionistes usaméricain « le Juif antisémite » par excellence.

Lire le discours donné en 1961 par Benjamin H. Freedman au nom d’un magazine de l’époque "Common Sens" à l’hôtel Willard de Washington DC.
Ecouter ici son discours (en anglais)

Mais, quoiqu’il en soit, il faudrait déjà savoir que Balfour était profondément « anti-Juifs », sinon également anti-juifs (au sens pratiquants d’une des versions du judaïsme initial né à la fin du VII° siècle seulement avant l’ère chrétienne sous Josias) comme tant d’autres de ses compatriotes et autres Européens et que sa déclaration n’était en rien une preuve d’affection.

Et c’est bien ce qu’avait compris le juif sioniste (mais pacifique, lui, et pas raciste) d’Odessa Ahad Haam quand il indisposa les arrogants sionistes racistes en déclarant : « Balfour a promis aux sionistes un foyer national juif en Palestine et pas la Palestine comme foyer national juif ». Tout comme le rappelèrent après lui Judah Magnes, Martin Buber, Ernst Simon et Annah Arendt entre autres, sans oublier Yeshayahou Leibowitz ; qu’ils soient ou non membre de l’Ihoud (Unité), mais partisans réalistes d’un Etat bi-national.

Etant considéré que, comme le soulignèrent effectivement plusieurs fois après les Britanniques toujours aussi peu « philojuifs », un « foyer national juif », ça n’est pas « un état juif », ni même un état dominé par les Juifs après viols, vols, assassinats, tueries et/ou expulsions des autochtones non juifs tels qu’ils furent maintes fois évoqués dans des discours sionistes de congrès ou dans des écrits et finalisés au printemps 1948 par le Plan Dalet. Encore peu en 2011 de vecteurs s’opinions et/ou de décisions sachant son existence et qu’on y trouvait pour chaque village arabe voué à la destruction (plus de cinq cents) le nom de toutes les autorités « politiques », religieuses ou autres et l’itinéraire détaillé pour se rendre à leur maison.

Evidemment retors comme à leur habitude, les arrogants sionistes agressifs, qu’on se gardera bien de confondre avec tous les Juifs de la planète, surtout que peu à l’époque étaient sionistes, jouèrent et encore maintenant sur l’ambiguïté entre « foyer national » et « état juif ».

Alors que les Britanniques aussi quelque peu également retors, outre la nécessité de l’application plus ou moins honnête des accords Sykes-Picot, jouèrent après 1917 double jeu avec les Juifs dont ils voulaient surtout se débarrasser (tout en s’en servant comme « boucliers et têtes de pont européens) et avec les Arabes dont ils lorgnaient les richesses pétrolières.

« Détail » encore, entre autres, à savoir pour terminer : la plume de Balfour fut tenue par un autre homme politique, le très actif sioniste d’ascendance juive réelle ou supposée Herbert Samuel (d’où peut-être la majuscule indue à Jewish) qui fut le premier gouverneur du mandat britannique en 1922 et dont il se dit qu’il était encore plus « pro-arabe » en repartant à Londres qu’il n’était arrivé fervent sioniste, tant les arrogants agissements sionistes lui avaient ouvert les yeux. Et encore n’étaient-ils que les futurs « terroristes » que combattraient plus tard l’armée britannique, à part pendant la trêve de 1940-1945 qui permit aux sionistes de voir s’entraîner leurs futurs soldats dans les armées alliés.

Désormais donc, et ça n’est pas du tout sans intérêt, quand vous lirez « Déclaration Balfour », il vous est suggéré de penser aussi « acte anti-juif et pas réellement pro-sioniste» exploitée malhonnêtement par les arrogants sionistes agressifs au grand dam des raisonnables sionistes pacifiques respectueux des droits des autochtones arabes.

PS. Pour se faire une idée la moins inobjective possible du drame palestinien, on ne saurait trop recommander la lecture ou au moins le butinage des 645 pages du livre du « Juif non juif » luxembourgo-usaméricain Arno J. Mayer « De leurs socs, ils ont forgé des glaives, Histoire critique d’"Israël" » (Editions Fayard – Mars 2009)

pour en savoir plus sur les dessous de Wilson,la Guerre Mondiale et le ColonelHOUSE :

avec l'explication de pourquoi à partir de 1919 ils se sont "brouillés", non ! Wilson n'a pas eu  de remords, cest simplement sa deuxième femme qui a profité de son état de santé, lien :
http://aline.dedieguez.pagesperso-orange.fr/mariali/chaos...

et on commence par retrouver le principe décrit par François Asselineau sur l'émiettage des nations et autres grands ensembles en petites parties qui n'auront pas la force de s'opposer !

et le plus important c'est que ce texte nous résume toute l'historique mondial des banques centrales privées et leur prise de pouvoir aux USA. Et les noms des principaux protagonistes.
et les ruses utilisées (on a raison de se méfier des fausses oppositions !  tiens au fait Tsipras apparemment en était une, " Il s'agit d'un stratagème classique, mais inusable.")

et le vote le 23 décembre à 1H30 du matin rappelle le vote en France d'une autre loi le 3 janvier 73 ...
il faut toujours se méfier des lois votés par 3 députés présents ..... il y en a eu plusieurs ces derniers temps.

à voir comment ils avaient mis Wilson dans leur poche on comprend leur rage aujourd'hui de voir triompher Trump qui (apparemment du moins) ne leur doit rien.

"prédisaient des lendemains qui chantent et une prospérité sans limites pour toutes les classes de la société." tiens ! ça rappelle les promesses dithyrambiques qui accompagnaient les traité de Maastricht ! et qui ont été suivit du contraire!


le naufrage du Lusitania (1198 morts) c'était déjà la chute du World Trade Center ....

l'auteur de ce texte synthétise et résume très bien plein de choses historiques et autres.

et beau résumé en une seule phrase Aux banquiers les bénéfices, aux citoyens les dettes
(mais qui a besoin pour en comprendre toute la portée esclavagiste d'être éclairé par la lecture par exemple du roman de Traven "1933 : Der Marsch ins Reich der Caoba traduit en Esperanto par "Cezaro" [PDF] TITOLPAĜO B.Traven Marŝo en la regnon de l' mahagono - Karapaco

www.karapaco.de/u/B.Traven/btraven_marsxo.pdf

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