moi (06/02/2023)

quelques citations, qui parlent de moi ...

« C’étaient les injustices, les humiliations, les inégalités de toutes sortes qui me révoltaient. J’y réagissais violemment, comme si elles me touchaient personnellement. Je ne supporte pas de voir quelqu’un humilié ou injustement traité » (Maxim Gorki)

« Je gage que rien ne serait plus bénéfique…que chaque homme fit, comme il fait des études, assez longtemps l’expérience de la misère, et cela, dans la solitude érigée par le monde autour de lui. » (Hector Bianchotti)

« Nous sommes de ceux qui posent les questions jusqu’au bout ; Jusqu’à ce qu’il ne reste plus la plus petite chance d’espoir vivante. » (Jean Anhouil)

« Donc ce que j’ai voulu, Seigneur, n’existe pas. » (Alfred de Vigny)

« Trois passions simples ont gouverné ma vie : le besoin d’amour, la soif de connaissance et une douloureuse communion avec tous ceux qui souffrent. » (Bertrand Russell)

« Je n’habite pas la société, j’habite le monde. » (Atiq Rahimi)

"Moi, j'aime à lire comme une poule boit, en relevant fréquemment la tête pour faire couler."

Renard
(Jules)

il aimait surtout ce qu’il n’était pas obligé de connaître et ce que les autres ne connaissaient pas, ce qui était à côté, ce qui était en marge »

Paul Hazard parlant de LESSING

« Sa nature sensible, généreuse et spontanée l’exposa plus qu’un autre peut-être à ressentir les mesquineries et les cruautés de l’existence. » (préfacier de Shen-Fu)

« Et pleurer de regret, d’attente et de détresse,
Et d’un obscur tourment que rien n’a consolé. »

Regnier (Henri de)

«  …à qui autre chose que rêver sembla toujours impossible. »

Simone (Madame)

= Pauline Benda

« Ne me touches pas, ne me demandes rien, ne me dis rien, reste avec moi ! »

Beckett (Samuel)

« Et tel un orphelin pauvre sans sœur aînée. »

Verlaine (Paul)

 

« Pour me guérir, c’est simple. Il suffit de rendre la vie à un mort. »

 

Giraudoux (Jean)

Il avait pris l’habitude de ne plus répondre
Et quand on l’interrogeait,
Il se donnait simplement l’air d’une poule qui va pondre.
Il avait pris l’habitude de ne plus se défendre
Et quand on l’accusait
Il se donnait simplement l’air de quelqu’un sous qui la terre va se fendre.

Norge (Géo)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

" Un peu de douceur me guérirait, mais je sais que c'est demander beaucoup" (Henry de Montherlant) 

« La tristesse, le remords, l’inquiétude et les désirs inassouvis sont là, suspendus quelque part au-dessus de lui. Liang n’ose pas bouger. Un geste ou un mouvement de l’esprit auraient déclenché l’agression de ces sentiments cruels qui le bombarderaient. » (Ya Ding)

« Il y a l’infini entre ce que je suis, et ce que j’ai besoin d’être.
Que m’importe ce qui peut finir ? L’heure qui arrivera dans soixante années est l à tout près de moi. J n’aime point ce qui se prépare, s’approche, arrive … et n’est plus. Je veux un bien, un rêve, une espérance enfin qui soit toujours devant moi, au-delà de moi, plus grande que mon attente elle-même. (Senancourt)

« Qu’importe le soleil ? Je n’attends rien des jours.

Lamartine (Alphonse de)

« Se saouler la gueule, se sentir seul, se branler. »

Upamany Chatterjee

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Ce qui sauve c’est de faire un pas, encore un pas, c’est toujours le même pas qu’on fait. » (Guillaumet)

« Je souffrais trop, et ma situation était par trop désespérée. Pour avoir le courage de marcher, je ne devais pas la considérer. »

Guillaumet

« Les autres soirs où il errait merveilleusement seul, proposant voluptueusement ses idées aux murs qui les renvoyaient une fois en écho, puis les faisaient disparaître à jamais. Toute sa vie, il avait écrit des livres sur l’air des vastes bâtiments et il avait tout laissé s’envoler. »

Bradbury (Ray)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Je ne suis pas inconstant, mais divisé. Je reste fidèle aux choses les plus opposées."

Thibon (Gustave)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 « Je ne veux pas mourir, non, je ne le veux pas, ni ne veux le vouloir; je veux vivre toujours, toujours; et vivre moi, ce pauvre moi que je suis et que je me sens être aujourd’hui et ici, et c’est pour cela que me torture le problème de la durée de mon âme, de la mienne propre.” (Miguel de Unamuno)

 

"Car je crois que seul vit véritablement celui qui vit son destin comme un mystère." (Stefan Zweig)

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