Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : tout ce noir est le symptome

une définition de mots-croisés, ou - De quoi tout ce noir est le symptome ? mode noire, vêtements noirs, femmes en noir.

Dans un mots-croisés une définition m'a fait rêver : "sans pois"

la solution? UNI

eh oui autrefois les robes étaient à pois  (comme celle de la femme vue sortir du restaurant où a été tué Robert Kennedy en 68 : https://www.greffiernoir.com/l-assassinat-de-bobby-kenned... ) et donc les tissus sans pois étaient unis ! Maintenant on ne voit plus de robes à pois (tellement courantes et classiques autrefois !), et d'abords plus de robes du tout ! les femmes sont toutes habillées en noir de la tête aux pieds, comme en Iran tiens !

De quoi tout ce noir est le symptome ?

 D'une manière générale, l'histoire, la psychologie, le montrent, le noir,  s'habiller en noir, des pieds jusqu'à la tête, ça a été la couleur:

- des gens en deuil
- des curés
- des inquisiteurs
- des ascètes et de ceux qui vivent de mortifications
- des caractères introvertis
- des gens rigoristes, sévères, austères, soucieux de respectabilité, conscients et imbus de l'importance et de la dignité qu'ils détiennent et représentent
- des romantiques suicidaires et des désespérés chroniques et morbides
- des gens qui aiment la rigueur, le sérieux, qui abhorrent la fantaisie, la liberté, qui sont conformistes
- des veuves
- des policiers du genre Gestapo ou KGB
- des vieux catholiques constipés et fascisants
- des Ayatollahs
- des croque-morts
- des maîtres d'hotel, laquais, serveurs, qu'une société réduit à l'état d'objets utilitaires et avec une obligation de décorum, de rigueur et, surtout, de distance

Alors pourquoi les gens de maintenant, et surtout, de manière systématique, les femmes de maintenant, s'habillent tous et surtout toutes tout en noir? De quoi témoigne cette invasion du noir?
Je vous laisse choisir.
 
Dans les années 50 et 60, ni 70 d'ailleurs ! encore moins,  jamais une femme ne se serait habillée en noir ! à part les veuves, et les vieilles bigotes (les dernières sont mortes dans les années 60.
 

Lire la suite

24/06/2023 | Lien permanent

paradoxe de notre époque, symptome très clair de fascisation ....

paradoxe de notre sinistre époque : alors que les enseignants ni même les parents n’ont plus le droit de rien, même pas d’une banale gifle à leurs enfants/élèves sous peine d’être ….. poursuivi en justice, que le moindre petit geste un peu vif ou le moindre propos considéré comme injurieux est monté en épingle comme un scandale sans nom, les policiers ont le droit de commettre les pires brutalités ( https://www.obspol.be/
   http://copwatch.fr.over-blog.com/    http://atouteslesvictimes.samizdat.net/ ) et même de tuer les adultes et les enfants (lisez sur internet il y a des cas absolument épouvantables de choses arrivées à des enfants de 14, 12 voire moins, ans, de les menotter, les attacher au radiateur, les traumatiser à vie, etc, des enfants coupables d’avoir fait du bruit dans la rue ! ou d’avoir fait une « quenelle » (un bras d’honneur), sans parler des « gorilles » de supermarchés qui apparemment ont le droit de brutaliser, arrêter et traumatiser à vie des enfants simplement parce qu’ils étaient envoyés par leurs parents faire une course dans ces ignobles machins capitalistes qui ont fait disparaître les boutiques normales.

Lire la suite

25/10/2017 | Lien permanent

Les soutanes noires sont partout !

Ils ont diminué les morceaux de sucre, qui ne sont plus que des demi morceaux de sucre. Remarquez, ils ont aussi tellement réduit la quantité de café dans la tasse !

par contre ils n’ont pas réduit le prix…. (curieux non ?)

ça fait d’autant plus de bénéf

Mais apparemment être avide de fric c’est sain. Et l’exploitation de l’homme par l’homme c’est « normal » …

Quand on vous disait que le pouvoir était à la Secte des Adorateurs de la Mort. C’est partout, et dans tous les domaines, même subliminaux (peut-être les plus dangereux)

Les « soutanes noires » sont partout.

Lire la suite

19/06/2016 | Lien permanent

la femme à la jupe noire est ma mère, le bébé est moi

IMG_20121215_135644.jpg

 

MalincourtJardin.jpgplus tard, dans le jardin

Lire la suite

15/09/2016 | Lien permanent

mon petit chat noir se comporte comme une femme

2009 :

Envers mon chat blanc il se comporte comme les femmes actuelles se comportent envers les hommes. Quand il voit mon chat blanc il cherche à faire croire qu’il en a peur, qu’il est malheureux et traumatisé, et que celui-ci est dangereux, alors que c’est le contraire et qu’il se conduit en fait en dominant et le repousse, et voudrait bien le chasser carrément et de la maison et du jardin si il pouvait, et que c’est mon gros blanc qui a peur et cède le terrain. Dès qu’il le voit il (le petit noir) se met ostensiblement à pousser des cris déchirants, l’air de dire : « oh comme j’ai peur ! oh comme ce méchant chat blanc est dangereux ! » Et puis c’est lui qui prend sa place ou cherche à le faire, et mon « dangereux » blanc qui fout le camp aussitôt quand il voit l’autre s’attabler à sa gamelle.

 

Dans la société actuelle c’est pareil

Lire la suite

29/06/2016 | Lien permanent

Jacques Brel mis à jour

Toutes vétues de noir comme leurs parents !
Comme l'inspecteure de police et la conseillière pédagogique
L'assistante sociale qui prêche à la DDASS.


Les Françaises, les Françaises
Les Fran, les Fran, les Françaises.

Lire la suite

08/01/2016 | Lien permanent

mode

avant on avait eu toutes sortes de modes, comme la mode sac, etc, mais maintenant pour les femmes partout c'est la mode tisonnier :  filiformes et tout en noir, depuis les pieds jusqu'à la tête.

c'est d'autant plus remarquable que ça n'a jamais encore été comme ça, jusqu'à il y a pas longtemps; par exemple en 1960 toutes les femmes portaient des couleurs vives, seules étaient en noir les veuves et les vieilles bigotes, (et parmi les hommes les gens "sérieux" imbus de leur personne, les curés et les agents de la Gestapo).

dans le passé les poètes ont eu coutume de comparer  les femmes à beaucoup de choses, c'est une habitude chez les poètes, mais maintenant aucune de leurs images n'est plus utilisable, la seule qui convient maintenant c'est celle d'un tisonnier, les femmes ressemblent à des tisonniers :  filiformes, pointues, dures et tout en noir.

Lire la suite

31/05/2017 | Lien permanent

en 1960

en 1960 toutes les femmes portaient des fichus, qu’on n’appelait pas « voiles islamiques » mais « carrés de chez Hermés », (ni "signes religieux ostentatoires", seuls les fichus rouges des "pionnières" étaient des signes communistes ostentatoires), et s’habillaient exclusivement de belles couleurs florales, souvent vives ; jamais de noir ! À part les veuves ou les vieilles bigotes.

Même les hommes, même vêtus de couleurs ternes, ne s’habillaient en noir que les pédants hyper-sérieux et imbus de leur personne les agents de la Gestapo et les croques-morts.

 

et partout on fumait on buvait de l'alcool et on roulait, librement, en 2CV

et on chantait des chanson loufoques

et nulle part il n'y avait de caméras de vidéo-surveillance.

Lire la suite

13/04/2017 | Lien permanent

jeunes paysannes russes vers 1909-19015 (photo de Prokudin-Gorski)

 

693px-Prokudin-Gorskii-08.jpg

*** Remarquez que les femmes à l'époque n'étaient pas habillées de noir des pieds jusqu'à la tête comme maintenant ! mais de toutes sortes de couleurs vives, et aussi que ce qu'on est sommé maintenant d'appeler "voile islamique" n'est autre qu'un fichu, vêtement traditionnel chez les orthodoxes, les catholiques et les athées jusque vers 1960 !

Lire la suite

05/02/2015 | Lien permanent

la vie humaine vue par Gao Xingjian

un autre extrait de son oeuvre inclassable, courte (29 pages), mais capitale, "instantanés" :

 

"......

À cet instant, le quatrième homme est arrivé, vêtu d’une veste de cuir. Sans dire un mot il s’est joint aux autres pour tirer la corde. Tous s’appliquent, impassibles. La corde se tend. Ils tirent dessus de toutes leurs forces avec persévérance, en la faisant filer entre leurs mains.

 

« Un petit chinois… », le vieux noir chante en anglais sans lui jeter un regard. La vieille Noire caresse son clavier, presque couchée sur le piano, elle balance son corps en mesure, absorbée par la musique, comme si elle était ivre ou passionnée, elle ne le regarde pas non plus. Il ne s’occupe que de boire sa bière. Sous la lumière bleue fluorescente du bar, personne ne regarde personne. L’assistance, emportée par la musique, ressemble à un groupe de marionnettes qui remuent la tête.

 

Le cheval a cabré ses pattes de devant. Des pattes couvertes de poils. « Il vagabonde dans le monde... »  le chant du vieil homme noir reprend.

 

La vieille femme noire plaque un accord, le sol résonne sous les sabots des chevaux. « Il vagabonde dans le monde…. Il vagabonde dans le monde... »

Le vieil homme noir s’accompagne à la batterie et l’assistance hoche la tête en rythme.

 

La corde file de main en main ; dessous, les pieds chaussés de cuir sont solidement ancrés sur la pelouse verte.

 

L’écume vole en l’air, les vagues frappent la digue. En bas la marée grossit, la plage a déjà complètement disparu. Le soleil est toujours aussi brillant, mais le ciel et la mer paraissent d’un bleu encore plus soutenu.

 

L’extrémité de la corde finit par apparaître. Un énorme poisson mort accroché à un hameçon rouge est tiré sur l’herbe verte. Il a la gueule grande ouverte, comme s’il respirait toujours ; en fait il est mort. Son œil tout rond n’a pas d’éclat, mais il a encore une expression de frayeur."

 

Lire la suite

16/12/2016 | Lien permanent

Page : 1 2 3 4 5 6